Des organisations convergentes vers le pire.

Le désamour, épisode dont la pathogénie est négligée.


A mesure que s'avançait mon éducation sentimentale de quinquagénaire, je découvrais combien le marché des cœurs d'occasion à nos âges, est saturé de cas psychiatriques. En écrasante majorité, ce sont des femmes affligées de défauts caractériels qui les rendent invivables, cette majorité se confond avec celle des divorcées. Font exception quelques veuves, je parle là des veuves accidentelles, pas des assassines pas-vue-pas-prise. Exception la plus notable : une femme remarquable tant par la laideur de son visage, que par son corps alerte et son intellect encore plus alerte ; reconvertie d'une profession de santé manuelle vers une intellectuelle, elle était docteure à quarante-six ans, et son sujet de thèse était tourné vers les utilisateurs qui ont besoin de ces informations pour leur travail.

Comme je suis un mâle et hétérosexuel, et que je ne traite que de ce que je connais et ai vérifié, je ne parlerai, du moins dans la partie du corpus constitué à titre sentimental, que de pathologies constatées chez des femmes. Je sais, de sexistes chtarbées m'accuseront donc d'horrible misogynie, comme elles accusent Georges Brassens d'avoir été "un sacré misogyne", tandis qu'à la génération précédente leurs mères hurlaient au "machiste" parce que Franquin avait croqué la conduite trompe-la-mort de Seccotine en scooter (Le nid du Marsupilami). Qu'elles rédigent donc la contre-expertise contrasexuée, menée par des femmes hétérosexuelles, nul ne s'y oppose.

D'autant qu'une autre partie du corpus, constituée à titre organisationnel chez les associations de pères répudiés ou en cours de divorce, qui tentent de lutter contre la misandrie de l'appareil judiciaire pour tenter de conserver un contact avec leurs enfants, met en évidence combien là aussi les divorces concentrent les cas pathologiques de belliquosité, intolérance, narcissisme ombrageux, immaturité, égoïsme et hypocrisie. Prédominance des cas de scénarios de vie Gagnant-Perdant et surtout Perdant-Perdant, obsession de tabasser ses alliés : "Nous sommes les seuls intellectuels autorisés, ailleurs ça n'est pas légal !".

Je ne m'étendrai pas sur les cas des veuves noires professionnelles, qui séduisent et épousent des proies, qu'elles assassinent ensuite dès qu'elles ont les mains sur le magot. Et pourtant on connaît leurs ravages, elles se propulsent en laissant derrière elles une traînée de cadavres.

Non, je m'intéresserai au cas démographiquement massif des femmes qui ont été amoureuses, ou qui l'ont fait croire, et qui ont transformé leur ménage en champ de tir suite à leur passion pour le pouvoir total. Elles se vengent d'avoir été amoureuses autrefois, puis d'avoir raté à tout diriger dans une inintelligence épaisse.

Naturellement j'ai constaté combien les veuves diffèrent du lot massif des divorcées : contrairement à ces dernières qui sont encore toutes entières dans la haine et le dénigrement de leurs ex-compagnons, les veuves se distinguent par l'absence de la pathologie standard : elles sont capables de reconnaître que l'autre existe, qu'il est une personne humaine ("bien que mâle", faut-il préciser pour les féministes qui soupçonneusement nous écoutent derrière la porte), et qu'il a son propre point de vue, sa propre sensualité, sa propre moralité, non moins respectables.

Il est relativement connu que la période des amours est une période d'apprentissages et de découvertes, où l'on a l'opportunité de se défaire de traditions familiales étouffantes, ou belliqueuses, ou méprisantes, et acquérir à la place des habiletés relationnelles indispensables. Il est pratiquement ignoré comment le désamour, qui n'est jamais étudié à un niveau universitaire, est le moment de désapprendre l'essentiel, de se bétonner et se bunkériser dans ses pires travers ; un endommagement le plus souvent irréversible, et encore plus s'il est répété..

Peut-on identifier les forces en présence ?

D'un côté l'intelligence de l'espèce, avec son adaptation spéciale due à notre naissance à un état prématuré (comparé aux autres singes), avec les contraintes spéciales dues à l'énorme encéphalisation de nos bébés, à la croissance très lente et la durée de l'enfance puis de l'adolescence. Elever des bébés humains, c'est unique par la longueur et la complexité de la tâche.

Sur l'autre bord, l'instinct territorial, le désir de suprématie et ses alliés : les cultes de l'individualisme, de la domination, du consumérisme débridé, sans oublier le culte de la méchanceté et de la malveillance.

Les alliés neuro-endocriniens de l'intelligence de l'espèce ?
Chargé de retrouver les quatre frères Dalton pour les ramener au pénitencier, avec l'aide obligée de Rantanplan - le chien le plus bête de l'Ouest - Lucky Luke ne tarde pas à découvrir que Rantanplan cherche à fuir les Dalton, mais qu'il est utilisable quand même, à titre de boussole qui indique le Sud (épisode Ma Dalton). Misandre professionnel, Philippe Brenot est utilisable comme Rantanplan : à titre de boussole qui indique le Sud. Après avoir gloussé d'aise devant les ruses que développent les autres guenons pour une tactique d'adultères et de dissimulation aux mâles du clan lequel au juste est le géniteur, Brenot est aux anges devant les ruses sexuelles particulières aux femelles Sapiens sapiens : Triomphe ! Triomphe ! Triomphe ! Puis le voilà tout déstabilisé, perplexe et inquiet : Mais à quoi peut bien servir l'orgasme féminin ? Hé oui, l'orgasme féminin peut servir à pacifier et stabiliser les couples, il est leur plus puissant allié neuro-endocrinien, et voilà ce que les misandres institutionnels ne peuvent tolérer. L'ocytocine est typiquement le nonapeptide des mammifères, il leur a servi d'abord en activateur de la lactation, il intervient dans les contractions de l'accouchement, et il intervient particulièrement dans l'orgasme chez les primates, en particulier les humains.

Recueillis par Jay Haley (traduction chez ESF), Milton Erickson donna deux cas d'une jeune femme ou dévergondée, ou quasi prostituée qui changèrent radicalement de mode de vie et firent un grand ménage dans leur vie : elles étaient tombées amoureuses d'un jeune homme bien. Rien qu'à espérer, elles découvrirent la valeur fidélité et la valeur fiabilité, des semaines ou des mois avant même que l'ocytocine prenne sa part dans la paix et l'attachement du futur ménage.

Tant pis pour les religieux qui professent que la Nature est parfaite par définition, nous venons de constater une sérieuse contradiction dans les évolutions dont nous sommes issus : d'une part un perfectionnement des ruses sexuelles des femelles pour duper les mâles sur la paternité, d'autre part des moyens neurologiques uniques et spécifiques pour tenir toute sa vie un Grand Livre des loyautés dues, et des loyautés reçues. Nos enfants y sont extrêmement sensibles ; alors si leur existence même est due à des trahisons et des tromperies, ils sont condamnés à le payer cher sans rien comprendre à ce qui leur arrive, et bonjour les dégâts au long cours. Avant d'arriver à l'âge "Hyargh hyargh ! Que c'est chouette de duper et manipuler les mâles !", les femelles humaines sont passées par les âges où l'on compte énormément sur la fiabilité des autres, mâles inclusivement. Sans parler des coûts ultérieurs de la déloyauté qu'elles avaient crue si triomphale ; ce consumérisme cynique et éhonté, ça n'est pas là l'investissement sain à recommander à ses amis : la connaissance va se propager qu'on ne peut lui faire confiance en rien, les enfants apprendront qu'on ne peut compter sur personne, et surtout pas sur leur mère, et apprennent à ne jamais être des personnes de confiance, à ne jamais être recommandables.

La déontologie et l'éthique en matière conjugale et en matière familiale font l'objet de quolibets et de gausseries "Ah que c'est ringard !" dans tous les media aux ordres, en ce Féministan du 21e siècle.  Voir la suite burlesque sur Sénégalement vôtre, pack wedding. Voir les profits que font les trafiquants de stupéfiants sur le dos de nos enfants privés de père et déboussolés.


Ces tares acquises sont elles amendables ?


Non : le lobby des avocats s'oppose efficacement à tout amendement des travers qui sont dommageables au conjoint et à la famille, et depuis des décennies, voire des siècles, il détient le législateur et les couloirs du ministère et de nombreux députés dévoués à son lobby depuis des décennies, voire des siècles. Il prospère sur la ruine des familles, ruine qu'il provoque et exaspère.
Les deux premiers actes législatifs du gouvernement Raffarin ont été au profit de l'Honorable Monopole d'avocats (clientélisme oblige) :
1. Etendre l'Honorable Monopole d'avocats au Tribunal administratif, afin d'en multiplier le coût d'accès au bas mot par vingt.
2. Interdire aux associations d'ester en appel sans avocat. Sans avocat, elles plaidaient elles-mêmes et gagnaient souvent contre un promoteur immobilier et un maire corrompu qui violaient ensemble la loi Littoral. Tandis qu'avec un avocat, intrinsèquement vénal, la puissance d'argent redevient maîtresse de la non-application de la loi : l'avocat sait préserver son avenir en servant fidèlement les plus riches, même si officiellement il fait semblant d'être leur adversaire.
L'Honorable Monopole d'avocats ne perd jamais d'argent à la judiciarisation de la société, et en gagne d'autant plus qu'il aide à l'envenimement et au massacre des structures familiales. Voir ce qu'en disaient déjà les québécois industrieux en 1792 :
 Parti avocats.
Hélas l'image complète (vraisemblablement due à Louis Dulongpré (1759 - 1843) a disparu du serveur de l'UQAM (Montréal), il ne reste que la vignette d'appel par Marc Brault sur un autre serveur.
Cette affiche conservée à l'Université du Québec à Montréal, UQAM, expose la nocivité publique du parti des avocats, exposée par l'autre composante de la bourgeoisie québécoise, les marchands. Sur la moitié de gauche, un grand dessin représente le port de Québec et les bienfaits du commerce. La moitié de droite, évoque les méfaits que causent les avocats : division des familles, exploitation des plus démunis, etc.

A l'heure actuelle, il n'existe aucun moyen ni judiciaire ni médiationnel pour pouvoir assigner son conjoint à une formation à des habiletés de base, à un savoir-être indispensable. Accepter qu'il formule une demande réciproque, et y déférer. Pouvoir trouver des professionnels en réseau capables de vous orienter rapidement.
Historique du développement du projet : http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=183.0
Au final, c'est sur la déontologie qu'il faut agir, et s'en donner les moyens.  Là est le seul levier que ces mafieux ont oublié de contrôler de près.


L'Honorable Monopole d'avocats est partie prenante à la pathologie.

On prête à Napoléon l'aphorisme que "L'histoire, c'est des mensonges sur lesquels on est d'accord".
Sur le même modèle, on peut remarquer que souvent l'enseignement, c'est des mensonges sur lesquels le ministre et les inspecteurs sont d'accord. Voir par exemple le recrutement de supplétifs militants dans ce sujet de bac : http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,1982.0.html où il s'agit de profiter de ce que les élèves citadins n'ont aucune idée d'une exploitation forestière, et encore moins de la gestion des sols forestiers sur une durée réaliste, soit au moins cinq générations d'arbres. Jamais aucun militant zécolo n'a jamais pris la peine d'étudier la pédologie et les mécanismes de la pédogenèse.
Ou que la Justice, c'est des mensonges sur lesquels les gens déguisés en toges noires et jabots blancs sont d'accord (solidarité corporatiste oblige).
Misandres professionnelles, des avocates et magistrates se servent volontiers de "l'intérêt de l'enfant" pour massacrer les pères.
Sur le modèle fourni par Napoléon, on peut remarquer sous la plume et dans la bouche de ces magistrates et avocates, "l'intérêt de l'enfant", c'est des mensonges sur lesquels elles sont d'accord.
Leur culte de l'individualisme forcené et de la félonie débridée est strictement inégalitaire et sexiste : pour les femmes et contre les hommes.

Mais la réalité de l'intérêt de l'enfant ?

Confrontés de force à cet univers malsain, nous ne tardons guère à découvrir que les avocates sont d'accord entre elles pour entretenir les magistrates dans leurs délires et fantasmes préférés, et qu'inversement, les magistrats disposent de puissants moyens pour obliger experts et avocats à abonder dans le sens de leurs délires préférés. "De toute façon, je conclurai dans le sens demandé par le juge" se vantait un de ces experts devant Pascal Dazin.

Voir L'avocate qui dès le premier quart d'heure, ment contre son client.

    Dès le 27 juin 1998, avant d'avoir vu d'autres pièces du dossier que l'accusation rédigée par mon épouse et son avocate Florence Zanetti (déjà mentionnée sous le pseudonyme de "Maîtresse Zantafia", mais le temps des pseudonymes est épuisé pour les auxiliaires d'injustice), mon avocate Brigitte Prudhomme commence à mentir contre  son client :
"Non non ! Monsieur Lavau n'a pas été expulsé de chez lui par les sévices et violences concertées de son épouse et de sa fille ! Il a juste eu le sentiment qu'il était exclu !"

Bin oui quoi à la fin ! Surtout pas de faits, hein ! Juste des fantasmes de pauvre malade délirant, n'est-ce pas ?
Ensuite Brigitte Prudhomme a fait porter le chapeau à la magistrate, Agnès Vareilles :
"Vous comprenez, je ne peux raconter à la juge que des contes de fées qui lui agréent, sinon elle se venge."
"La participation de votre fille aînée au harcèlement et aux violences, personne ici n'en veut rien savoir. Vous divorcez de votre femme, et non de votre fille !".

Puis elle donne sa version, son conte de fée à elle, incompatible à la fois à celle de l'adversaire, et à la réalité :
"Justement, votre épouse vous reproche de vous être laissé dominer par elle, et à sa place j'en aurais fait autant."
Mon avocate Brigitte Prudhomme est divorcée elle-même, et je n'imaginais pas encore que la guerre sexiste, outre qu'elle passe entre la mère et le fils, entre la sœur et le frère, passe aussi entre l'avocate et son naïf client.

Brigitte Prudhomme s'oppose à ce qu'on relève que l'acte d'accusation est un tissu de mensonges et de contradictions, et là encore elle fait porter le chapeau à la magistrate : "Les juges détestent qu'on conteste tout, et s'en vengent !". Elle laissera donc passer l'immense majorité des calomnies préparées par mon épouse et par Florence Zanetti. Autre interprétation qui s'impose au fil du temps : l'échange de bons procédés et la solidarité corporatiste entre avocat(e)s exigent qu'on ne mette jamais un(e) collègue dans l'embarras. Un client, ça se jette rapidement, et protégé(e)s par leur Honorable Monopole, les avocat(e)s retrouvent rapidement des centaines d'autres clients captifs. Alors que les chères collègues dans le même Barreau, on les conserve trente ans. Les excellentes relations entre eux/elles sont donc primordiales. Idem des excellentes relations à conserver avec les magistrat(e)s, qu'on conserve au moins trois ans.

Brigitte Prudhomme a ainsi déjà exposé, et tous les autres avocats confirmeront, que son rôle tacite est de préserver une unanimité de TGI (Temple de Grande Inexactitude), de préserver la juge de toute irruption de la réalité, qui pourrait faire rupture des fantasmes communs. Et que si elle menace "Sinon elle se vengera !" cela signifie que c'est surtout elle-même qu'elle veut préserver. Les seules menaces magistrales qu'elle prenne en compte sont celles sur SON chiffre d'affaires et SON confort de plaidoirie.

On connaît quelques albums dessinés par Franquin dont l'essentiel du scénario était fourni par Greg, notamment tous ceux où apparaît le maléfique Zorglub. Quinze ans après, aucun des deux auteurs ne sait plus quelle était la part de l'un et la part de l'autre dans le détail des gags. Il en va de même des délires présentés à la magistrate par l'avocate d'obédience féminazie : quelles sont au juste les parts inventées par la répudiante crapuleuse et pathologique, celles inventées par l'avocate pathologique, ou celles inventées par les fausses témoins sélectionnées pour leur bêtise et leur passion de nuire ? Enchaînées par le mensonge commun et les délits communs, elles se cramponnent au principe qu'elles partagent avec la marine Shadok : il faut toujours taper sur les mêmes, ça limite le nombre des mécontents.


Vertus et limites de l'écoute rogersienne (Carl Rogers, 1902-1987)

En 1972, il avait suffi d'un séminaire d'une demi-journée à Jean-Paul Garnier <http://www.nfnlp.com/jeanpaulgarnier_bio.htm>  pour nous faire saisir le caractère irremplaçable de l'écoute active, enseignée par Carl Rogers, au moins pour toutes les relations d'entreprise, et nous en donner les bases. Une autre demi-journée titrée "développer son intelligence" nous permit d'apprendre à se défier des présentations biaisées et des préjugés biaiseurs. En un sens, elle était une introduction à la créativité, aux précautions d'enquêteur, à la méthodologie générale. Elle aussi m'a servi toute la vie.

Et en relations sentimentales ? Rogersien ? Certes ; quand j'ai commencé mon éducation sentimentale de quinquagénaire, l'écoute à la Rogers fit merveille. Sans toutefois avoir la propriété de transformer en merveille telle femme à l'héritage hélas paranoïaque, et je ne détaillerai pas les autres pathologies tenaces qu'hélas un peu de temps révéla chez plusieurs. Non, Rogers et son héritage ne font pas tout, même si c'est une condition préalable à tout le reste.

Une certaine réciproque est vraie : quand une certaine personne ne veut rien écouter, mais juste glapir ses édits rageurs - telle fut mon épouse durant trop d'années - elle perd toute intelligence, elle est devenue ou redevenue toxique et dangereuse.
Et là, Rogers-rien-que-Rogers vous condamne à l'impuissance et à la paralysie : il vous interdit l'insurrection contre les bourreaux et bourrelles, il ne vous donne aucun des moyens de votre indépendance. On n'abordera pas ici les débats entre l'indépendance et la soumission comme conditions de la survie, c'est une autre question. Enfin pour l'instant je suis encore vivant (et la baraka y est pour quelque chose), ce que certains tortionnaires, certains escrocs et imposteurs ne me pardonneront jamais.

Un cas typique de cette perversion fut Laura la cheffe du chef  <http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=82.msg319#msg319> de feu Québec-Politique.com<http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=230.0>. "Laura" consacre sa vie à la guerre contre l'existence d'individus mâles dans l'espèce humaine. J'ai depuis oublié bien des détails de sujets de discussion, et n'en ai sauvegardé qu'une petite minorité. Là où elle s'était contentée d'attaques à la personne au lieu du moindre début de commencement d'une analyse de fond, je lui demande ce qu'elle préconiserait, elle, ce qu'elle voudrait obtenir au juste. Aussitôt elle hurle de rage et m'accuse d'être un maudit manipulateur, un traître... Bah oui, lui demander ce qu'elle veut au juste, c'est percer son jeu de perverse qui n'a aucune idée claire, qui n'a que sa haine sexiste. Elle n'a pas non plus la moindre biographie : seule son adhésion à une secte paranoïaque lui donne une apparence de personnalité.

Le point commun à ces pervers et perverses est la dissimulation, qui est devenue le centre de leur vie. Cette "Laura" par la promptitude de sa réaction de rage, démontrait qu'elle n'avait aucune pensée propre, et se savait incapable d'en avoir jamais ; elle sentait que lui demander d'exposer son idée, était l'acculer à prouver qu'elle n'avait aucune idée en propre ; pour elle se donner une apparence de vie sur le Net, se résumait à tabasser les mâles s'ils se permettaient d'être incroyants envers la propagande hégémonique. Mon ex-épouse aussi avait la dissimulation comme centre de "vie", et l'a certainement encore.

Conduite de paix, l'attitude rogersienne ne réussit à pacifier que lorsque la guerre est encore peu avancée, qu'il n'y a encore guère que des malentendus, ou des méfiances non encore blindées. On a vu ci-dessus son échec sur une paranoïaque perverse, ici misandre victimaire de longue date. Voici un autre cas où la tragédie était déjà hors d'atteinte de tout rogersien :
7.9.2.          Confusion des mobiles. http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html#_Toc48894620

Un soir, dans le salon - et peut-être bien après un festival de violences de Frédégonde ? -, je proteste contre l’augmentation constante des brimades que Gazonbleu m’inflige, comme à titre de « punitions » skinnerriennes. On se demande seulement quel est le but poursuivi, par cette augmentation constante des punitions : quel est donc le comportement que Gazonbleu chercherait à éliminer chez moi, et lequel elle chercherait à obtenir ? Et si elle l’obtenait, penserait-elle un jour à diminuer et lever les punitions ? Alors que je la vois toujours les augmenter, quoi qu'il arrive, et quoi que je fasse.

Premier temps traditionnel : « Mais tu délires complètement ! Je n’ai rien fait de semblable !

- Ah bon ? Et telle action, tel jour ? et telle autre, telle semaine ? Je délire ?

- Ah ! Ben heureusement ! Ou en serait-on si je ne l’avais fait !  Non mais sans blague ! »

Ce point éclairci, j’insiste sur ma question : la raison de cette augmentation constante des brimades ? Les yeux exorbités par la panique, Gazonbleu me lance un premier reproche, puis à la moindre rectification des faits, me coupe la parole précipitamment, et bifurque vers un autre grief plus ancien. Très vite, on en arrive aux années 70, à des incidents uniques, jamais répétés, dont le coupable n’est pas toujours moi, loin s’en faut. Il m’est par exemple reproché l’inimitié et la muflerie dont nous fûmes victimes, durant une brève croisière à partir de Granville, vers Jersey et Chausey, en septembre 1972.

Tout cela pour justifier l’augmentation constante des brimades, en 1991 ! A chaque fois que je souligne la fuite de Gazonbleu hors du grief précédent, pour en lancer précipitamment un autre, encore plus ancien, encore plus bizarre, la panique augmente sur son visage. « Pourquoi es-tu incapable de traiter un problème à la fois ? Pourquoi le seul fait de traiter un problème à la fois, tu le traites comme un crime, dont tu as raison de tirer vengeance ? Pourquoi toujours ce reproche que pendant que je traite un problème, je serais en train de ne pas les traiter tous, tous les autres, simultanément ? ». En conclusion "Gazonbleu" s'enfuit en criant : "Ça veut dire que tu as toujours raison !". Gazonbleu m’en voulait à mort, de ne pas être en unanimité avec sa confusion mentale. C’est pourquoi, il lui fallait d’urgence recruter d’autres unanimes : elle a ainsi recruté nos aînés, pour cogner en unanimité sur le bouc émissaire, ce salaud de dissident, résistant à la dictature. Il ne faut guère chercher ailleurs la raison de l’aliénation partielle de Frédégonde, recrutée depuis 1988 dans une mission parricide, à titre d'aide-bourrelle.

En réalité - sous réserve que 1991 soit la bonne année, et non 1992 -, sous son hostilité insupportable, Gazonbleu se cachait ainsi sa propre faute, et sa panique devant la dépense de 25 000 F qu’elle avait engagé en cachette avec Frédégonde, pour deux canapés de cuir, dont nous n’avions, et de loin, ni le budget pour les payer, ni la place pour les accueillir. Détails dans le chapitre : « Un jeu qui rapporte : Au viol ! ».

Mais si quelqu'un nous démontre que lui aurait su faire, nous l'écoutons. Là encore, il s'agissait d'une paranoïaque, mais à titre individuel et non à titre groupal ni dans une secte.

Les limites et les risques de l'écoute rogersienne : vous risquez de découvrir que l'autre n'a aucune espèce de pensée, n'a que de la haine généralisée, ou n'a que de la confusion mentale, ou se révèle être une ordure que vous n'aurez jamais la moindre envie de fréquenter.
Autre limite : le bavard intarissable qui vous soûle et vous épuise ; là ce n'est pas du tout la bonne tactique...


Limites de la médiation dans une société dominée par le lobby des avocats.

La médiation, ça ne peut marcher qu'entre gens honnêtes, ou qui acceptent de le devenir. Et surtout ça ne peut marcher que si ça peut mettre hors de course l'Honorable Monopole d'avocats et l'honorable monopole du TGI dominé par des lois favorables aux intérêts de l'Honorable Monopole d'avocats. Il y faudra une révolution, pour parvenir à casser ce monopole. En médiation, on renonce à la violence, on daigne apprendre la communication non-violente ; un véritable crime de lèse-avocats ! En médiation, on accepte que l'autre existe, est une personne qui a des intérêts propres, une volonté propre, des valeurs, alors que tout cela est pur blasphème aux yeux de ces militantes féminazies, ainsi qu'au gang de tueuses conjurées qu'ont comploté mon ex-épouse et sa fille aînée, représentatives de tant d'autres répudiantes pathologiques et brigandes. Pour ces adeptes du brigandage, l'autre n'est qu'une proie à dépecer par tous moyens.

Une révolution à faire est bien de culbuter cet Honorable Monopole d'avocats.


Désillusion et résipiscence, oser utiliser le pronom personnel "je".

Pour accepter la subjectivité d'autrui, il faut déjà avoir été autorisé à éprouver sa propre subjectivité, il faut être autorisé à dire "je", comme sujet grammatical d'un verbe de ressenti.
Tandis que Carl Rogers escamotait le travail sur le "je", l'expérience prouve que c'est au contraire vital pour progresser. On n'a pas oublié le tollé soulevé chez les gaullistes par la réponse de Laurent Fabius au sujet de François Mitterrand lors la réception à l'Élysée du général Jaruzelski : "Lui c'est lui, et moi c'est moi". Pour des oreilles de gens normaux, Fabius n'avait dit qu'une platitude, mais chez les "godillots" du général de Gaulle, c'était un blasphème car pour eux il était évident que le premier ministre n'est qu'une extension du président, et certainement pas une personne distincte.

Il n'avait pas encore trois ans, quand mon fils posa à sa mère : "Toi tu veux que je sois sage, mais moi j'aime pas être sage !". Hélas ce jeune surdoué a depuis été amputé de cette indépendance d'esprit qu'il avait alors, à mesure qu'il était amputé de son père.

Jacques Salomé appelle cela la "relation klaxon" : Tu ! Tu ! Tu ! Tu ! Tu ceci, tu cela, le bombardement en reproches d'exister. En effet là est le principal contage de cette maladie relationnelle, de parent à enfant, de parent tout-puissant et ignorant de lui-même, à enfant dépendant et en situation d'infériorité.
Le bénéfice à très court terme pour ce parent abuseur, est une domination tactique, à l'échelle du quart d'heure tout au plus. A moyen terme et à long terme, la relation klaxon est un désastre total, ruine votre vie et celle de ceux qui restent vos proches (ils feraient mieux de prendre le large dès que possible). C'est du reste bien pourquoi les avocates d'obédience féminazie la pratiquent assidument, à coups d'accusations délirantes contre le bouc émissaire masculin qu'elles ont sous la main : elles exportent sur autrui le désastre de leur propre famille d'origine et de leur propre vie ; tel est le scénario de vie des pervers.

Dans toutes les relations de travail, le mode klaxon ne produit que de la ruine. Dans les relations amoureuses aussi, c'est la ruine rapide. On dénie autrui par incapacité à le reconnaître, comme de se reconnaître.