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Mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée

 
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Vendredi 17 Déc 2004, 4:21    Sujet du message: Mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

10 décembre 2004

Pour mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée :
Projet


Les cinq soussignés A. "Pluvier"-"Saint-Thèse", S. F. veuve Até, F. "Saint-Thèse", C. Plantefayard et Y. Plantefayard, expriment par le présent document leur repentir tardif d'avoir longtemps caché à la justice les faits suivants :

A partir de l'année 1997, notamment à partir d'août 1997 (juillet dans certains cas), nous avons été les cibles d'une campagne de médisances, probablement calomnieuses, organisée et mise en oeuvre par Gazonbleu et par sa fille Frédégonde "Saint-Thèse", dirigée contre leur respectivement époux et père Jacques "Saint-Thèse".

Elles ont alors justifié la mise à la porte de chez lui de monsieur "Saint-Thèse" sous les accusations suivantes :
C'est un dangereux pédophile, incestueux et violeur d'enfants,
il jette les bébés par terre,
il aime la solitude, il se dispute avec tout le monde, ne le fréquentez donc en aucun cas
,
ainsi que d'autres variantes, plus ou moins étudiées selon les publics. Ainsi F. Plantefayard a reçu la variante suivante : "Parce qu'il a fait quelque chose de très grave", sans autre précision explicite, mais en guidant clairement les sous-entendus dans le sens précité.

Or nous avions tous pour des raisons différentes refusé d'en témoigner par écrit, laissant M. "Saint-Thèse" sans aucune preuve utilisable en justice, tous présumant que quelqu'un serait courageux et lucide à notre place.

C. Plantefayard et Y. Plantefayard prenaient très au sérieux les menaces exprimées par Gazonbleu en présence des enfants, et craignaient ses représailles sur la scolarité de leur fils L. Plantefayard. En effet L. était alors élève dans le même collège AB où Madame Gazonbleu est professeure de mathématiques, et où Frédégonde "Saint-Thèse" occupait alors un Emploi-Jeunes, de soutien aux devoirs du soir, surtout en mathématiques.

André Até (décédé depuis) et son épouse S., restaient prisonniers d'une vision du monde angélique, et quoique prévenus par la lettre du 18 août 1997 (pièce Zantafia n° 7) que Monsieur "Saint-Thèse" savait ses jours en danger, ont persisté à nier constamment la volonté de nuire du couple mère-fille constitué par Gazonbleu et Frédégonde "Saint-Thèse". S. Até s'est contentée en juillet 1998 de demander à Monsieur "Saint-Thèse" par téléphone s'il était vrai qu'il se serait fait faire une fellation par sa fille, mais avait omis d'en tirer une conclusion sur la campagne de désinformations dont elle avait été la cible.

De leur côté, F. "Saint-Thèse" et A. "Pluvier"-"Saint-Thèse", respectivement soeur et mère de Jacques "Saint-Thèse", étaient d'avance acquises aux conjurées, par préjugé féministe. Ce ne fut qu'à la vue de l'attestation grossièrement délirante datée par Madame "Alie Boron" du 13 août 1998 (pièce Zantafia n° 16), qu'elles se sont décidées à contrer cette attestation mensongère, sans toutefois prendre la peine de rappeler par écrit la campagne de médisances ou calomnies qui leur avait été adressées par l'équipe Gazonbleu - Frédégonde "Saint-Thèse".

C'est pour réparer cette omission, ainsi que le grave préjudice subi par Monsieur "Saint-Thèse", expulsé de chez lui depuis plus de sept ans déjà, que les cinq signataires, après s'être mutuellement concertés, se sont décidés à attester ensemble de cette campagne de rumeurs bien organisée.



Voilà, tel est le projet que je vous soumets.

Pour que chacun puisse prendre contact avec chacun, et que vous puissiez recouper à loisir l'ensemble des faits :
A. "Pluvier"-"Saint-Thèse", adresse
F. "Saint-Thèse" adresse
S. Até, adresse
Y. Plantefayard, adresse
C. Plantefayard, adresse

Je suis à l'écoute de toutes les suggestions et objections. Toutes les pièces du dossier sont disponibles - sauf bien sûr celles du dossier correctionnel (article 441-7 NCP), que mon avocate Myriam T..z.n m'a cachées, travaillant ouvertement contre son client et pour l'impunité de l'adversaire.

En revanche, les explosions de rage de Madame "Alie Boron" sont publiées par elle-même aux adresses suivantes

http://www.forumquebec.com/forum/ftopic3286.php
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=1338
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2006

Son attestation mensongère du 13 août 1998 est toujours disponible à : La pièce 16, ou plus complet à Carrieres de pervers histrioniques dans le crime organisé.

Les pseudonymes à clés sont suffisamment transparents pour qui connaît les vrais protagonistes dans cette affaire criminelle efficacement maquillée.


Mon courrier du 18 août 1997 (pièce Zantafia n° 7), décrivant la préparation d'assassinat, est publié à l'adresse http://www.forumquebec.com/forum/ftopic5103.php
et http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2406

Plusieurs autres pièces sont ou seront bientôt sur mon site.

Merci d'avance.




"Saint-Thèse"
_________________

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MessagePosté le: Vendredi 17 Déc 2004, 5:28    Sujet du message: "Qu'il meure !" Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

Soeur
Adresse
17 décembre 2004

"Qu'il meure !"

Chère Soeur,

janvier 1971, quand René Desmaison et Serge Goussault étaient accrochés et coincés dans la paroi des Grandes Jorasses, un journaliste s'est inquiété de la connivence qui s'était installée dans la vallée de Chamonix, pour nier l'urgence à organiser des secours : " Desmaison est très fort, il va s'en sortir ! ". Le journaliste conclut que ces guides, au beau regard bleu, étaient en train de tuer un concurrent dont la gloire excitait leur jalousie. On ne peut pas se poser sur la crête, le vent est trop fort, disait-on à Chamonix. Un autre pilote d'hélicoptère arrive de Grenoble, sans connaître préalablement le massif des Grandes Jorasses, et se pose du premier coup... Finalement seul Serge était mort, mais René n'en était plus bien loin non plus... Simone Desmaison accuse le maire, Maurice Herzog, d'avoir fait traîner au maximum, pour s'assurer du décès de René Desmaison. Jalousie...

Certaines personnes vous marquent pour la vie, par leur générosité. Ainsi Jean-Pierre Bdl, alors maître assistant de physique, année 1962-1963. Il demande à l'un d'entre nous si Crt est toujours dans sa chambre, à la R.U. Plus tard, l'étudiant Crt, déjà croisé au Lycée Saint-Louis (il était en Sup quand j'étais en Reconversion), m'a raconté les interventions de Bdl pour tenter de le tirer de sa terrible crise de prostration ou de stupéfaction neurasthénique : il a tout essayé, tous les registres... J'ai aperçu Bdl encore une fois en 1973 ou 1974, au salon Innova : il présentait les réalisations industrielles de son labo, en superplasticité des métaux.

C'est par ce formidable contraste entre les actions de Bdl et celles de ma famille, que j'ai compris que chez moi, ce que l'on disqualifie du nom de dépression, est bien un phénomène relationnel, télécommandé, le résultat d'un plan de mort psychique, de déni de l'individu et de ses besoins basiques. Toute ma vie, j'ai lutté contre l'installation du désespoir anaclitique total : la perception que quoi que je fasse, l'organisation des mensonges et des dénis restera plus forte que moi.

La générosité d'un Bdl révèle par contraste le traumatisme au long cours infligé par le règne de l'avarice affective, de l'égocentrisme infantile, de la désinvolture, et de la jalousie dans ma famille d'origine. Prisonnier de la répartition rigide des rôles familiaux qui servent à fabriquer un dépressif majeur, j'ai passé ma vie à n'être rien d'autre qu'utile aux autres, à être si facilement exploitable, l'instrument des autres, afin de racheter le tort d'être né au mauvais moment, quand il faisait si faim. Je continue ainsi, alors qu'il serait indispensable, vital, que je sache me battre pour moi-même. Aussi bien dans ma famille d'origine, que dans la famille que j'ai fondée, tous y sont violemment opposés - sauf un, depuis peu, depuis qu'il est veuf.

Justifiées par leur fanatisme féministe, les femmes de ma famille d'origine exigent que je me conforme à leurs injonctions. J'ai publié en plusieurs lieux la litanie de leurs " M'enfin ! Kestatan pour te soumettre à nos directives ! Kestatan pour avouer tout ce qu'il nous plaira de te dicter ! Kestatan pour t'extraire magiquement de la réalité que je ne veux pas voir ? ". Leur égoïsme continue de dicter leurs violences téléphoniques : " Quoi ? Tu oses me résister, et manifester tes besoins réels, à toi ! Alors je raccroche ! C'est bien fait pour ta gueule ! "

Réalité : J'ai été banni de chez moi voici sept ans, par violences concertées. La majorité de mes effets personnels - dont ma flûte, par exemple - et la totalité des biens communautaires restent confisqués par les conjurées.
Réalité : Les complicités en robe noire ont garanti l'impunité aux attestations mensongères style Alie Boron. C'est un secret de Polichinelle dans le Barreau de [censuré] que l'article 441-7 NCP est lettre morte dès l'instant que les attestations mensongères servent à piller des maris et des pères : sexisme standardisé.
Réalité : recrutée depuis l'âge de 14 ans comme engin de guerre à mort contre son père par Alie Boron et par sa mère, Frédégonde glandouille toujours à Bac plus zéro. Elle aura trente ans dans quelques jours, le premier janvier 2005. Elle n'a cessé que durant six mois d'avoir pour identité " Je suis celle qui va débarrasser maman de l'homme qu'elle déteste".
Réalité : Sigbert après 7 ans d'études supérieures - de peur de faire de vraies études, trop longues - en est toujours à Bac plus zéro. Bin oui... Alie Boron avait tellement intérêt à inciter mes enfants à saboter leurs études, le plus sûr moyen de faire le désespoir de leurs parents. Tous mes enfants sont de consternants spécimens du syndrome d'aliénation parentale au long cours. Tous attendent mon cadavre à dépecer.
Réalité : Sept ans après avoir été banni de chez moi, je risque toujours de voir huissier et forces de l'ordre débarquer ici à six heures du matin, vérifier s'il y a quelqu'un dans mon lit. Elle est comme cela, l'administration judiciaire.
Réalité : Gazonbleu réussira toujours à bloquer encore des années toute liquidation du divorce et de la communauté. Disons que je ne verrai rien de ma part avant l'âge de soixante et onze ans. " M'enfin ! Kestatan pour te tourner vers l'avenir ? ". Non, je n'ai aucun avenir tant que cette procédure de répudiation n'est pas réglée, tant que la réparation ne m'est pas versée, tant que je n'ai pas récupéré ma part de patrimoine. C'est un secret de Polichinelle que telle a toujours été la stratégie de Gazonbleu : garder pour elle toute la communauté jusqu'à ma mort. En disperser une partie à des receleurs, notamment en rémunération des faux témoignages. Voler reste sa passion intime. Je vole, donc j'existe !

Depuis 1999, les courriers en archives en font foi, c'est en vain que je demande à ma mère et à ma soeur de témoigner par écrit de la campagne de calomnies que les conjurées leur ont déversées dans les oreilles. Il se révèle que l'essentiel de leurs motifs de fureur actuels, l'essentiel de la durée de ma situation critique, sont dûs à leurs complaisances bien installées envers la criminalité organisée, dès les années 1997-1999 : " Ah non alors ! Moi j'veux rien faire qui puisse désavantager Gazonbleu ! " décliné sous de nombreuses variantes, des cocasses jusqu'aux ignobles. En juillet 1999, Audowere nous a exposé être convaincue avoir assisté depuis le Brusc à des scènes se déroulant à "Canas". Mme Mère a refusé de consigner immédiatement ce délire par écrit, avant de l'avoir oublié. Elle m'a couvert d'invectives pour avoir osé le lui demander. Quand il fut urgent de faire ce compte-rendu par écrit à la JAF, entre mars et mai 2000, refus maintenu. Mme Mère voulait faire bien sentir son pouvoir, et jouer son jeu perso : " Tu comprends, moi je veux revoir Gazonbleu et Frédégonde ! ". Résultat net : Je n'ai plus revu ni entendu Audowere depuis le 5 mars 2000. Et Mme Mère n'a plus jamais revu Audowere depuis juillet 1999, n'a plus revu son arrière-petit-fils depuis le 26 octobre 1997. Il est clair que je ne les reverrai jamais de mon vivant.

Elles, ma mère et ma soeur, elles peuvent zaper, moi je ne peux pas. Elles se foutent pas mal de mes enfants, moi je ne peux pas en changer. Elles font bien sentir leur pouvoir, j'ai échappé à la mort de fort peu. L'assassinat était bien combiné. Seule la baraka l'a fait échouer. Lyon est bien entre Toulon et Paris, non ? Mais pas une seule fois Mme mère n'a pris la peine de s'arrêter m'y rendre visite, en sept ans.

Quiconque me ment une première fois, m'a déjà menti une fois de trop.
Il est un mensonge stratégique dont toi, Soeur, a été la destinataire, et qui ne t'a jamais indignée encore : en octobre 1997, Gazonbleu t'a soigneusement fait croire que " elle se faisait suivre par un psychologue ". Intox stratégique : comme cela, on s'imaginerait que sa paranoïa et sa volonté de tuer iraient vers la guérison, vers une solution intelligente respectant chacun. Et tu étais immensément demandeuse d'une telle illusion. Non seulement c'était un mensonge éhonté, il n'y a jamais eu de psychologue, jamais, mais surtout c'était le truc pour endormir les vigilances tandis que elle et sa fille fouillaient tout, tout, tout, mon disque dur y compris, à la recherche de tout élément qui pourrait servir contre moi au tribunal, et surtout à détruire toutes les pièces à décharge. Des pièces à décharge, j'ai dû en demander la copie au Rectorat... Comme pièces à conviction, elles sont allées jusqu'à exhiber un brouillon de courrier, ou un courrier jamais envoyé, datant de novembre 1970, donc treize mois avant le mariage, adressé à mémé : pièce Zantafia n° 93.

Zantafia la connaît bien, sa juge Zoreilles à elle qu'elle a, et sait quels travers il faut lui flatter. C'est pourquoi le leitmotiv est : Ce M. Saint-Thèse ose résister à notre toute-puissance et à notre omniscience innée, il refuse souvent de nous obéir. Aidez-nous à le briser et à le dépouiller de tout.

Rappelle toi : à la même époque, toi tu me pressais d'avouer que c'était moi le paranoïaque, moi le haineux, moi le malade, et le reste à l'avenant. Autrement dit, tu n'agissais que pour ton confort idéologique.

En conclusion, quand j'entends encore les exhortations de ma mère et de ma soeur à supprimer magiquement la réalité, alors qu'elles sont responsables de leur refus de témoigner à temps de la réalité de cette campagne de calomnies qui avait trouvé en elles une oreille propice dans un premier temps, donc responsables de l'enlisement fatal de la procédure civile, responsables du passage de mon avocate B. P. dans l'autre camp (le seul camp qui puisse gagner, et qui paye gros), hé bien je trouve que le féminisme fanatique de ces femmes est une horreur. Littéralement, cela me hérisse le poil du dos.

Ci-joint mon projet pour mettre tardivement fin à la complaisance envers la criminalité organisée. N'ayant plus aucune espèce de confiance dans le fanatisme de ces femmes, et leur hostilité de principe à la réalité qui dérange leur idéologie, je rends tout public.


Post scriptum.
Ah oui, j'oubliais, la criminalité organisée contre-attaque :



C'est vrai qu'à force de publier, je deviens un témoin de plus en plus gênant. C'est vraiment gênant, que je n'aie toujours pas la bouche pleine de terre !
A quand le tueur à gages ?
_________________

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MessagePosté le: Samedi 1 Jan 2005, 10:24    Sujet du message: 11 346 visites sur mon site en 2004, par 10386 visiteurs... Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

11 346 visites sur mon site en 2004, par 10386 visiteurs différents. Ils ont téléchargé 176 407 pages, totalisant 4,34 Go.

De très loin ce furent les pages scientifiques, concernant la mathématisation de la physique, qui furent les plus téléchargées. A partir de cet automne, la place d'honneur est revenue aux comptes-rendus de mes deux voyages en montagnes de Norvège en 1968 et en 1969. Et récemment, ce fut le dernier papier scientifique qui vint aux premiers rangs :
Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien.

Aujourd'hui 1er janvier 2005, ma fille aînée a trente ans, dont environ seize sous mission parricide, chargée d'éliminer son père, afin d'assurer à sa môman un veuvage blanc comme neige, sans reproches. Qui disait déjà que le syndrome d'aliénation parentale n'existe pas, n'est juste que "une invention minable de masculinistes revanchards" ?

Aujourd'hui, 1er janvier 2005, cela fait 1763 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille cadette.
2491 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
2624 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et le reste est à l'avenant.

En 2003, l'événement marquant fut l'impunité pénale accordée à la plus délirante des auteures d'attestations mensongères, "Alie Boron" et à sa commanditaire, mon épouse.
Pour mon avocate commise par le bâtonnier, ce nouveau triomphe de la joie de nuire, triomphant du Code Pénal, cette impunité maintenue était aussi le triomphe de la corporation des avocats sur la Loi française, et le triomphe de la fourberie contre tous les pères et pour le matriarcat absolu.

En 2004, l'événement marquant a été que ladite Alie Boron a pété les plombs publiquement. Vous pouvez la lire aux trois adresses suivantes :
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=1338
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2006
http://www.forumquebec.com/forum/ftopic3286.php

Cela me permet de ranimer l'action pénale si habilement avortée.

Prochains développements à venir dans une typologie de la malveillance. Ceci grâce aux réactions pleines de haine, déclenchées par mon action pour mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée . Du point de vue du pervers, l'avantage des violences orales, surtout téléphoniques, est qu'elles ne laissent pas de traces écrites, ont rarement des témoins, et continuent d'agir au long cours sur le moral du bouc émissaire ainsi chargé. Du point de vue du souffre-douleurs - c'est moi - la mise par écrit de ces violences, l'étalage écrit de cette joie de nuire permet de l'analyser très en détails, et de mettre en lumière les permanences automatiques chez l'auteure des dénigrements. A suivre donc !

Il est facile de prédire quelles seront les nouvelles explosions de haine quand ce prochain article sera publié à son tour:
Je dénonce la haine et la joie de nuire.
Je dénonce la joie d'attaquer à la personne.
Elles prétendront que c'est pareil, c'est juste symétrique, car critiquer leur joie de nuire, c'est les attaquer elles.

On passe à la case professionnelle management. On y ramasse le premier principe du management des personnes : N'attaquez jamais les personnes, si possible soutenez-les, mais complimentez les bons comportements et critiquez et blâmez les mauvais comportements.
On passe ensuite à la case professionnelle de psychopathologie clinique.
On y ramasse cette phrase de Harold Searles : "La personnalité du psychotique est toute entière dans son symptôme. Ôtez-lui son symptôme, et il ne lui reste plus rien." (in : L'effort pour rendre l'autre fou. Traduction NRF Gallimard).
Maintenant tout lecteur dispose des ingrédients pour conclure :
Cette joie de haïr et de nuire qui est constitutive de certaines personnalités, et surtout de certains groupes et sectes, est de nature psychotique. Elle en présente le trait caractéristique de déni de la réalité par clivage.
_________________

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MessagePosté le: Lundi 3 Jan 2005, 20:23    Sujet du message: C'est Alie Boron qui veut le reprendre de haut. Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

PhilTop a écrit:
Bonjour,

sais-tu ce qu'ils te veulent ?

C'est Alie Boron qui veut le reprendre de haut.
J'ignore si tous les Parquets de France reçoivent des instructions de la Chancellerie pour leur interdire d'appliquer l'article 441-7 du NCP, ou si ce sont des ententes locales à la juridiction de [censuré] pour garantir l'impunité aux attestations mensongères de complaisance. Ce que je puis attester, c'est que c'est un secret de Polichinelle dans le Barreau de [censuré], que l'impunité est garantie, et qu'en conséquence les avocats jouissent de toute latitude pour monter des coups monstrueux comme celui-ci. Mon avocate MT, commise par le bâtonnier, ne cachait pas qu'elle était impatiente de voir confirmée l'impunité des deux délinquantes.

J'ai annoncé publiquement que le non-lieu scandaleux dont Alie Boron et ses deux commanditaires ont bénéficié, elles ont tort de le coqueriquer, car je prépare la réouverture de cette procédure correctionnelle.

Alors Alie Boron se plaint d'être menacée.

Ça, c'est une victime, une vraie !


Pour que personne n'en ignore, voici le fac-simile, avec les fautes d'orthographe et de ponctuation d'origine, mais en remplaçant les noms propres réels par des pseudos, de son délire du 13 août 1998 :

(Sottenville), le 13 Août 1998

Madame Alie Boron

(adresse)

(Sottenville)




J'ai connu Madame Gazonbleu à la rentrée 1980, quand elle fut nommée au collège Gabriel Hannotaux, où j'enseignais moi-même depuis plusieurs années. Genevrier, à cette époque-là, ne travaillait pas, à 37 ans, il poursuivait, paraît-il, des études, à une époque où le chômage ne touchait pas les gens jeunes et diplômés. Très vite, je me rendis compte :

- que Gazonbleu et ses enfants étaient dans la misère la plus complète, ils manquaient de tout, même d'une nourriture convenable, alors que les ordinateurs commençaient à apparaître dans le bureau de Genevrier, qu'à Toulon, un peu plus tard, il s'était achetait un bateau avec le salaire de sa femme. Certains mois, il restait 400 francs pour vivre, même pas l'intégralité des allocations familiales, Genevrier gaspillait l'intégralité du salaire de sa femme pour son usage personnel.

- qu'il ne faisait aucun travail, ni études sérieuses : il était enfermé dans son bureau où j'entendais soit le bip caractéristique des jeux sur ordinateur, accompagné de musique très pure, jouée par une chaîne de haute qualité, donc très chère (surtout, il y a quinze ans et plus à une époque où les disques lasers n'existaient pas), soit le poste de télévision, acheté, soi-disant pour faire fonctionner un ordinateur, que les enfants, n'avaient pas le droit de regarder . Gazonbleu, qui l'avait payé, ne le regardait pas davantage. IL faisaient des soi-disant recherches, qui n'ont pas abouti à grand chose, mais coûtaient très cher. Un jour, profitant de l'absence de Gazonbleu, il alla au loin acheter une pelleteuse pour faire des recherches au sujet d'une brique miracle. La pelleteuse coûta très cher, il fallu la rendre sans être remboursé car son origine était malhonnête, déposer le brevet coûta très cher et fut inexploitable, donc ne rapporta rien. Bilan : quelques dizaines de milliers de francs d'alors, en francs actuels, plus du double...

- qu'il ne faisait pas davantage de travail dans la maison, je ne l'ai jamais vu un pinceau ou un marteau à la main. C'était Gazonbleu et Frédégonde, même petite fille, qui faisaient, comme elles pouvaient, tous les travaux dans la maison. Rajouter des prises électriques, reboucher des fissures, repeindre... Lui, pendant ce temps, se distrayait dans son bureau, épuisé par le travail intellectuel que représentaient ses recherches... quoiqu'étant allée des centaines de fois chez eux (nous habitions à moins de 100 mètres ), je suis pratiquement toujours tombée à des moments où il se distrayait, que ce soit le matin, l'après-midi, le soir.

-qu'il était violent. Non seulement périodiquement, il faisait éruption de son bureau, en vociférant , mais surtout, je fus témoin d'actes qui m'ont particulièrement choquée : Frédégonde avait environ huit ans, pour une peccadille que j'ai oublié, il se jeta sur elle, la fit tomber par terre et la roua de coups avant que Gazonbleu ne puisse intervenir . Une autre fois, il était venu chez moi, un dimanche matin, chercher quelques chose. N., ma fille aînée, alors âgée de quinze ans, écoutait dans le salon, de la musique de jeunes assez fort. Au lieu de demander à ma fille d'interrompre sa musique, Genevrier entra dans une colère sans nom à son égard, je pense qu'il l'aurait frappée si ma chienne-boxer n'avait pas montré les crocs en grognant, il savait qu'elle était de défense et avait déjà mordu . Après lui avoir vertement répondu, ma fille quitta la pièce. A mon grand étonnement, je vis alors Genevrier faire le poirier sur mon tapis de salon. Quand il eu repris une position normale, quelques minutes plus tard, il m'expliqua que c'était pour se calmer, car ma fille et son chien l'avaient mis hors de lui. A dater de ce jour, quand par hasard il vint chez moi, je le reçu sur le pas de la port quand mon mari était absent, craignant pour la sécurité de mes enfants et la mienne... et la sienne, car ma chienne aurait bien voulu goûter à un de ses mollets, à dater de ce jour. Je pense que Gazonbleu et les enfants étaient souvent victimes de ses actes de rage, car visiblement ils avaient tous très peur de lui. D'ailleurs plusieurs épisodes m'ont confortée dans ce sentiment . Il y a environ seize ans, Genevrier partit à Rennes pour, ô miracle, travailler, je vis alors Gazonbleu et ses enfants se transformer, rire, être heureux. Quelques mois plus tard , il revint, et j'eus le sentiment qu'un vent de panique soufflait sur la maison. En l'espace de quelques heures il fallu faire de la place aux affaires de ce Monsieur . Il investit le salon, le couloir et plusieurs pièces en haut , il fallu que Gazonbleu aussi soit à son entière disposition. Finis le bonheur, les rires, les ballades à la campagne, en forêt, la nourriture digne de ce nom.

que tout ce qui avait rapport à autre chose que LUI était secondaire, même la nourriture, l'habillement des enfants. Il nourrissait sa famille d'un mélange de riz complet et de lentilles... bon appétit ! Il paraît que c'est une nourriture équilibrée, complète et bon marché, donnée dans les pays sous développés en période de famine. Quand Frédégonde refusait de manger cette nourriture immonde, il la lui resservait au repas suivant. Un jour elle avoua à Venera , ma deuxième fille, qu'elle avait faim, alors que je n'avait pas encore desservi la table et se régala de ce que mes enfants avaient laissé et qui était normalement destiné au chien. J'étais très ennuyée car, n'ayant pas fait mes courses, je n'avait rien d'autre à lui donner. A dater de ce jour, il y eu toujours « la part de Frédégonde » qu'elle mangea bien souvent. Frédégonde avait alors une huitaine d'années, mais douze ans plus tard ils mangeaient toujours la même chose. Il n'acceptait pas non plus que ses enfants aient des vêtements corrects. Un jour, sa propre mère donna à Frédégonde une jolie petite robe rouge. Quand elle fut partie, il se mis en colère, interdit à sa fille de mettre la robe qui était, d'après lui « une robe pour courir les garçons »...à neuf ans ! Gazonbleu me donna la robe pour Venera....

En descendant sur la Côte d'Azur, au mois de Juillet, je me suis arrêtée chez Gazonbleu, ce que je n'aurais pas fait si Genevrier avait été là. J'y ai trouvé Gazonbleu et ses filles heureuses, décontractées. Mais le deuxième soir, Genevrier téléphona. Je su que c'était lui au changement d'expression des visages qui m'entouraient , la peur y était lisible .

Cet homme a maintenu femme et enfants dans la misère et la terreur pendant plus de 20 ans et il est prêt à tout pour que cela continue, d'une part il veut continuer à s'approprier le salaire de sa femme, d'autre part je pense qu'il éprouve du plaisir à les faire souffrir ,il a ainsi l'illusion de la puissance : ne dit il pas « le savant » en parlant de lui ! Sa fille a des cauchemars la nuit en rêvant de lui : elle le voit massacrer toute la famille .Ma propre fille a mal dormi la dernière nuit de crainte qu'il ne rentre , quoique la maison soit solidement barricadée. Connaissant Genevrier depuis 18 ans et ayant lu sa prose, je pense qu'il représente un danger réel pour Gazonbleu et Frédégonde , qu'il hait tout particulièrement, de plus il connaît parfaitement les lois. Je pense qu'il veut se faire passer pour fou pour les raisons suivantes :

Gazonbleu serait enchaînée encore à lui pour de nombreuses années : on ne divorce pas d'un fou !

Il a de gros ennuis avec son employeur : l'Education Nationale ,où il est rentré depuis peu Reconnu comme fou, il sera mis en longue maladie et non mis à la porte , s'il peut prouver que l'enseignement à aggraver son état de santé, pour avoir travailler quelques mois, il s'assure une rente à vie.

Enfin s'il passe aux actes, et tue Gazonbleu, ou plus probablement Frédégonde, qu'il hait tout particulièrement, reconnu comme fou il ne sera pas responsable. Quelques années d hôpital psychiatrique valent moins cher que 20 ans de prison, sans compter qu'il suffit d'être considérer comme guéri pour sortir, ça vaut le coup pour assouvir sa haine.
Je soussignée Alie Boron, confirme l’authenticité de ce témoignage (2 pages) qu’en raison d’une fracture de la main droite, je n’ai pu écrire à la main. (Signature Alie Boron)



Explications : "genevrier" était mon nom de plume au temps où feu Rezoville.com existait, et j'ai recopié le même pseudo dans mes Mémoires.

Vous lirez cela en ligne à l'adresse http://lavaujac.club.fr/mission_parricide/la_piece_16_.htm

Les derniers pétages de plombs de ladite Alie Boron sont à :

http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=1338
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2006
http://www.forumquebec.com/forum/ftopic3286.php

Hélas, je n'arrive pas à faire sortir du dossier pénal gelé, son courrier à la JAF, où elle multiplie encore les insultes, les calomnies et les cris de haine.

Par ailleurs, aussi bien par oral que par écrit, elle a joué et rejoué de la plaisanterie selon laquelle je serais le père de mon petit-fils. On en a les preuves.

Quelle noble personnalité ! C'est exactement la noble personnalité qu'il fallait comme sicaire à mon épouse pour éradiquer tout père, tout grand-père, et toute filiation paternelle à mes enfants. La sainte cause du matriacat absolu n'est regardante sur les moyens.



Aujourd'hui, 3 janvier 2005, cela fait 1765 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille cadette.
2493 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
2626 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et le reste est à l'avenant.
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Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les tortionnaires le détestent, le détestent, mais le détestent !
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Pheleas



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MessagePosté le: Mardi 4 Jan 2005, 8:59    Sujet du message: Répondre en citant

" Saint Thése ",

Alie Boron a écrit:
Gazonbleu serait enchaînée encore à lui pour de nombreuses années : on ne divorce pas d'un fou !


Pourquoi n'acceptes-tu pas le divorce ou pourquoi ne le provoques-tu pas ?
Avec ce Divorce tu auras sans doute des contingences, mais aussi des Droits ?

Amicalement.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Mardi 4 Jan 2005, 11:09    Sujet du message: De ma vie entière, je n'ai su faire qu'une seule chose Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

Pheleas a écrit:
" Saint Thése ",

Alie Boron a écrit:
Gazonbleu serait enchaînée encore à lui pour de nombreuses années : on ne divorce pas d'un fou !


Pourquoi n'acceptes-tu pas le divorce ou pourquoi ne le provoques-tu pas ?
Avec ce Divorce tu auras sans doute des contingences, mais aussi des Droits ?

Amicalement.

De ma vie entière, je n'ai su faire qu'une seule chose : être utile aux autres, être utilisé par les autres. Mais jamais être utile à moi-même, jamais revendiquer pour moi-même, jamais tailler un territoire à moi-même.
C'est fort bien expliqué dans le traité de
Psychothérapie des états dépressifs. Promenades derrière le masque honorable de la tristesse
Auteur(s) : Linares Juan-Luis, Campo Carmen
Editeur : ESF (EDITEUR)

Le schéma familial rigide qui produit les trajets de vie des dépressifs majeurs : cet enfant n'a jamais de droit à être considéré pour lui-même. Il doit constamment acheter par son dévouement à ses parents, son droit à rester sur Terre.

Faire tout le travail de l'avocat à la place de l'avocat, et souvent contre la fourberie de l'avocate, cela m'a souvent laissé sans forces, exangue et écoeuré. Je sais lutter pour les autres, je ne sais pas lutter pour moi. L'habit de Chicaneau, je n'ai pas toujours la force de l'habiter et de l'animer.

Comme je l'ai expliqué plus haut, j'ai en outre été sciemment paralysé par les deux matriarques fanatiques qui constituent la totalité de ce qui reste de ma famille d'origine. Jamais elles ne me pardonneront de ne pas, de ne plus être au service de leurs NOUS fusionnels mère-fille de la Toute-Puissance matriarcale
Ça fait vomir, et ça n'aide pas...
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MessagePosté le: Mardi 4 Jan 2005, 14:21    Sujet du message: Répondre en citant

" Saint Thése ",

Cela ne répond pas vraiment à ma question, mais je m'en contenterais, par ailleurs si :

" je n'ai su faire qu'une seule chose : " être utile aux autres, être utilisé par les autres. Mais jamais être utile à moi-même, jamais revendiquer pour moi-même, jamais tailler un territoire à moi-même. "

Peut être concidéré comme ta réponse, alors je trouve qu'en prendre conscience implique forcément dans le temps, un désir de changer, la preuve , le mémoire dont parle Alie Boiron, tes interventions sur différents Forums, le combat que tu mênes tambour battant, attestent que désormais, tu oeuvres un peu plus pour toi en combattant farouchement ce qui va " contre toi ", nous pouvons donc dire sans trop nous tromper, qu'aujourd'hui tu as appris à être utile pour toi même et pas uniquement aux autres.

Fort de ce constat, il va de soit qu'il va bien falloir un jour ou l'autre, passer à l'étape suivante en abordant le concept du bonheur sous la forme : " ai-je envie d'être heureux ? ", suis-je capable d'accéder au bonheur ? ", et " que puis-je faire pour l'atteindre ? ".

Au regard de cela, le fait de ne jamais poser le mot, " FIN ", sur ton Histoire, n'est-il pas une façon pour toi de montrer l'Amour que tu as surement encore pour la mère de tes enfants, tes enfants et surement une façon de continuer de baigner dans le malheur ?

Maintenant, relancer systématiquement toutes les procédures, les critiquer etc ... Même si tu es dans ton bon droit ... ... Est-il possible de croire qu'un jour tu seras capable de dire " STOP ", afin de pouvoir pacifier la situation, et peut-être travailler dés aujourd'hui à la reconstruction des relations parentales, ne serais-ce pour te donner le droit d'être heureux en voyant par exemple tes enfants et tes petits enfants.

Je rappelle, que tes enfants ont tous plus de 18 ans, certains ont des enfants, ils sont donc libre de venir ou pas et au vu de tes écrits, ils ne doivent surement pas " être " des crétins qui se laissent manipuler

Es-tu sûre, d'avoir gain de cause, un jour ? Et quand ? dans 10 ans !

Ne penseras-tu pas, alors, que toute réparation sera impossible ?

Enfin, ce qui serait interessant, c'est de savoir :

Quels éléments montrent que tu as une part de responsabilité dans ce qui est arrivé ?


Amicalement.
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MessagePosté le: Vendredi 14 Jan 2005, 0:59    Sujet du message: Chaque jour il descendait plus profond dans la pourriture de Répondre en citant Editer/Supprimer ce message

Il s'agit du juge qui enquêtait sur l'assassinat du député Lambrakis :
"Au début de son séjour, les filles de bonne famille tournaient autour de lui, flairant le bon parti. Mais à présent, il en savait trop, il faisait peur à tout le monde. Son isolement était devenu total. Chaque jour, il descendait plus profond dans la pourriture de la ville. Saloniki était pourrie de part en part...

Vous aurez peut-être reconnu les mots de Vassilis Vassilikos, dans son roman Z, tiré de L'affaire Lambrakis (1966), d'où Constantin Costa Gavras a tiré le film Z en 1970 (Je cite Vassilikos de mémoire). Dans le film, Yves Montant jouait le rôle du député de gauche assassiné sur la place, en 1963. Jean-Louis Trintignant jouait le rôle du juge d'instruction, arrivé à Salonique pour enquêter. Pierre Dux jouait le rôle du général chef de la police; Charles Denner celui d'un animateur local d'un parti de gauche, qui lui aussi échappait de peu à un attentat.

Depuis que j'ai lancé cet appel à mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée, complaisance sous couleur de solidarité anti-mâles, de matriarque à matriarque, je descends chaque jour plus profond dans la pourriture des matriarques absolues de ma famille d'origine.

Chaque jour je mets la main sur des preuves de délires, sur des arnaques, sur de la mal-gestion calamiteuse, des rideaux de mensonges intéressés et calomniateurs. Chaque semaine je reçois des ordres, des menaces, des insultes. Des torrents d'insultes. Je tombe sur des rapports d'insalubrité accablants sur le patrimoine que ma mère s'obstine à ne jamais réparer, afin de conserver dessus sa toute-puissance dans le registre imaginaire du NOUS fusionnel avec feue sa mère. Et c'est ça qui me fulmine des ordres... Tous délirants, tous dans le but de me ruiner et me paralyser davantage, mais pour que elle, elle se contemple dans un beau rôle, d'omnisciente sage...



Chaque jour il descendait plus profond dans la pourriture des matriarques absolues de sa famille.
Chaque jour, il descendait plus profond dans les endommagements psychiques au long terme, produits par l'aliénation parentale dans les années trente. Dans les années trente, au temps où ma grand mère divorçait pour des raisons pécuniaires de mon grand-père, inventeur brillant qui démissionnait de la Marine pour se lancer dans une carrière de petit industriel où il ne pouvait réussir. Septante ans plus tard, les dégâts psychiques sont toujours au pouvoir, et produisent toujours plus de délires et de malhonnêtetés.

Qui déjà prétendait que l'aliénation parentale n'existe pas, n'est juste que "une invention minable de masculinistes revanchards" ? Oh, ce devait être "Anne" Onyme, sur le site à Michèle Dayras, son Klub S°S. Michèle Dayras qui écrivait le 22 août 2001 : "Pour moi, tout homme est un salaud en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégriste en puissance..."


Aujourd'hui, 14 janvier 2005, j'ai 61 ans, et cela fait 1776 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille cadette.
2504 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
2637 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et le reste est à l'avenant.

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Et cela, les imposteurs et les tortionnaires le détestent, le détestent, mais le détestent !
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