Le GIEC n'est pas sans précédents dans l'histoire de l'humanité.


Ce n'est pas si nouveau. A de nombreuses reprises des princes ont institué des clergés et des religions chargés de berner le peuple, conformément aux ordres du prince, de sa cour ou d'une oligarchie.

En revanche c'est nouveau dans l'histoire de la communauté scientifique.
Dès le seizième siècle, soit dès les débuts de la science en Occident chrétien, les coups étaient francs, en ce sens qu'ils venaient pratiquement tous de la papauté, parfois relayée par la dictature de Calvin à Genève, puis par les congrégations protestantes des Amériques. Avec cet entraînement constant, les scientifiques débutants apprirent vite à dépister d'où venaient les coups anti-science.

Fin 19e siècle, le relais fut pris par les antidreyfusards, qui firent des campagnes anti-intellectuels, et par extension anti-sciences.
Ce modèle fut repris dans l'Allemagne nazie, qui tenta de faire une science aryenne, battant les tambours de guerre contre "la science juive, trop abstraite".

Plus à l'Est, on fit le coup de la science prolétarienne, dont Staline était l'arbitre suprême. Dans plusieurs de mes manuels provenant des éditions Mir, figure une diatribe contre le second principe de la thermodynamique, stigmatisé comme "bourgeois". Beaucoup plus grave fut la domination de Trofim Denissovitch Lyssenko, qui profita du système terroriste et plutôt ignare du pouvoir soviétique, pour lui refiler son escroquerie néo-lamarcko-mitchouriniste. Ce qui lui permettait d'envoyer au Goulag tous les objecteurs scientifiques. L'agriculture soviétique sombrait, et la science biologique coula de même dans l'empire soviétique.

Contrairement au système Lyssenko, élaboré par l'escroc tout seul puis vendu au pouvoir stalinien, le système CRU-Hadley-IPCC a été élaboré directement par le pouvoir politique de Margaret Thatcher, qui a immédiatement déployé ses moyens de corruption. Il lui a suffi de trouver des scientifiques de seconde ou troisième zone, corruptibles, à qui furent offertes des carrières inespérées, complètement pathologiques, à Michael E. Mann et Phil Jones, par exemple.

Or là, la communauté scientifique avait déjà perdu tous ses réflexes d'autodéfense contre les impostures et les corruptions refilées par le pouvoir politique. La guerre froide était gagnée. L'Occident avait fait libérer plusieurs scientifiques dissidents, des geôles "psychiatriques" où les tenait et les torturait le KPSS (PCUS en français) de Brejnev ; endormie par ses victoires, la communauté scientifique ne savait plus démasquer ses ennemis embusqués.

L'Onchocerca volvulus qui cause la cécité des rivières dispose d'une super-astuce pour échapper aux anticorps de l'humain parasité : il se tapisse des protéines et des anticorps du parasité, si bien qu'il n'est plus détecté comme étranger par le corps parasité. Le système CRU-Hadley-IPCC a bénéficié, sans en être très conscient, de la même ruse pour duper toutes défenses immunitaires de la communauté scientifique : à l'exception de personnalités exceptionnellement indépendantes et investigatrices, la collectivité s'est docilement laissée duper sans la moindre sécrétion d'histamine ni d'anticorps. Ces corrompus paraissaient être du sérail, et même ils l'étaient. Ils disposaient juste de crédits disproportionnés à leurs compétences, et de carrières en violation des règles de la méritocratie normale, grâce à leurs mandants politiques.

Lien sur les premier mandants financiers :
http://en.wikipedia.org/wiki/Climatic_Research_Unit
 Initial sponsors included British Petroleum, the Nuffield Foundation and Royal Dutch Shell. The Rockefeller Foundation was another early benefactor, and the Wolfson Foundation gave the Unit its current building in 1986.
Tiens ? On retrouve les fondateurs du WWF : les monarchies néerlandaise et britannique... Ces fortunes pétrolières sont sûrement des philanthropes... On n'a pas oublié celui qui rêvait de se réincarner en virus mortel, afin de tuer le maximum de gens.
http://www.propagandamatrix.com/prince.html

Dans leur grande simplesse, les climatocrédules s’imaginent que Rockefeller, c’est juste un monstre pétrolier, dont les horizons se borneraient au prix du barril. Dès la fin de la 2e guerre mondiale, ils avaient pris les moyens d’être un monstre médiatique, pour faire des opinions publiques et des gouvernements leurs pantins. Ils ont une stratégie planétaire depuis au moins deux tiers de siècle.

Quand on accuse la seule Margaret Thatcher d’être la corruptrice à l’origine de l’IPCC, pour ses seuls intérêts de politique intérieure, on oublie (et j'avais négligé moi-même) deux faits majeurs :
D’une part les corrompus du CRU étaient déjà en place avant, et financés par :
Initial sponsors included British Petroleum, the Nuffield Foundation and Royal Dutch Shell. The Rockefeller Foundation was another early
benefactor, and the Wolfson Foundation gave the Unit its current building in 1986.

D’autre part, quand Mrs Thatcher se ravisa que ses créatures carbocentristes ne racontaient que des conneries, elle fit machine arrière et fut l’une des premières « climatosceptiques », elle n’eut aucune influence. Aucune.
Donc les vrais patrons étaient ailleurs, avant elle, et après elle.

Dans leur stratégie médiatique planétaire, c’est tout bon d’avoir des idiots utiles, qui sous couleur de « transition énergétique écologique », dictent aux gouvernements les investissements les plus absurdes et contre-productifs, tels que subventionner le branchement d’éoliennes sur le réseau de distribution électrique, et s’engager à « sortir du nucléaire ». Une fois bien ruinés et exsangues, dans un pays paralysé et grelottant, comment pourraient-ils encore tenir tête aux ordres de leurs maîtres planétaires ?

Stratégie planétaire...

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