Postulat
tribal anti-Broglie,
anti-Schrödinger,
donc
anti-fréquentiel :
Négation
obligatoire de tous phénomènes fréquentiels autres
qu'électromagnétiques et sans masse. Négation des fréquences
intrinsèques des particules avec masse (fréquence
spinorielle de Louis de
Broglie : mc²/h,
et fréquence
électromagnétique de P.A.M.
Dirac : 2mc²/h). Négation des deux composantes rétrochrones dans l’équation d'onde de l'électron,
posée par Dirac en 1928. Silence radio sur le Zitterbewegung (1930),
qui laisse les profs et rédacteurs de manuels dans l’état d’une poule
qui aurait trouvé un couteau . Et représailles contre qui
ne participe pas à la tribale négation de la réalité.
Postulat géométrique macroscopique :
Les
copenhaguistes postulent l'autosimilitude de l'espace et du temps à
toutes échelles, avec extrapolation illimitée. De plus, ils
extrapolent vers la microphysique l'irréversibilité statistique du
temps macrophysique, et extrapolent la topologie
à finesse infinie héritée des mathématiciens du 19e siècle, là
où elle n'a plus de validité, sous la limite atomique.
Corollaire géométrique
macroscopique 1, de "quelque chose de très
petit" :
Postulat qu'on peut toujours
trouver plus petit permettant de définir qu'un truc, un électron
par exemple, est "petit", corpusculaire, voire
"ponctuel". Pas de chance : ça n'existe pas.
Corollaire géométrique macroscopique 2,
anti-absorbeurs :
« Il n'y a pas d'absorbeurs en
microphysique, juste de l'artillerie de corpuscules, tout comme en
macrophysique. »
Postulat positiviste à géométrie variable et
opportuniste :
Appel systématique aux dimensions de la
macrophysique, avec son "observateur", pour régir
les réalités microphysiques. Gros animaux aux perceptions lentes
(sans commune mesure avec les fréquences intrinsèques de la
microphysique), ils se placent au beau milieu de l'image censée
régir la microphysique. Au lieu de rechercher puis d'adopter les
mailles d'analyse pertinentes pour la microphysique, ils dénient les
réalités, et placent le confort territorial des chefs de secte au
dessus de tout.
Corollaire positiviste
anthropocentriste :
« Les
lois physiques sont faites pour satisfaire la curiosité du physicien
copenhaguiste, donc
pour lui fournir de
l'information ».
Si le physicien copenhaguiste ne peut plus déterminer la nouvelle
position du sous-marin, alors le sous-marin est « dans
un état superposé »
! Banesh Hoffmann scribit...
Oser
distinguer les réalités microphysiques des connaissances que nous
en avons est aux yeux des
copenhaguistes un crime
d'hérésie par un
relaps.
Que nous soyons arrivés
quelques quinze milliards d'années trop tard pour dicter que les
lois physiques seraient faites pour nous, ça
ne les alerte
pas.
Corollaire positiviste et
anthropocentriste anti-Fourier :
Les mythes de
la "dualité" de Bohr et de la cruelle "incertitude"
de Heisenberg pour dissimuler les propriétés de la transformation
de Fourier (vieille d'un siècle à l'époque) à l'échelle
microphysique, c'est aussi honnête que les autres mythologies
exploitées par les autres clergés : ça n’a aucun fondement,
c’est à jeter à la poubelle.
Postulat de séparabilité et délimitabilité (ou postulat de paresse triomphale) : Puisqu'on ne peut écrire qu’un système limité, et que de toutes façons on est impatients d'alléger des écritures déjà très lourdes, DONC en vrai un système quantique est tout naturellement délimité, raisonnablement séparé et indépendant du reste du monde. Sûr que c'est grossièrement faux.
Postulat magique et surnaturel, ou si vous préférez farfadique et poltergeist : Postulat que chaque quanton (électron, photon, proton, neutron, etc.) est exempté de toutes lois physiques, mais que magiquement, en grands nombres sa statistique rejoint des lois physiques, tout en perdant progressivement les caractères corpusculistes qu'on lui postulait. Jamais ils ne disent quel serait le miracle physique qui transformerait leur pas de loi individuelle en une loi collective.
Postulat anti-ondulatoire :
Même
quand on la calcule et que les chimistes s'en servent quotidiennement
avec succès, ils postulent que l'onde selon l'équation de
Schrödinger demeure fictive, dépourvue de tout sens
physique, et ne sert qu'à calculer la probabilité d'apparition du
corpuscule magique et surnaturel
(farfadique et poltergeist
si vous préférez). Lequel est autorisé à aller explorer
"jusqu'au delà de la planète Jupiter" dans son
trajet entre le canon à électrons et l'écran cathodique ou le
circuit intégré en gravure. D'ailleurs Feynman
et Hawking l'ont écrit, alors...
Postulat confusionniste :
dénier la limite
atomique en ondulatoire, et prescrire de
confondre entre
elles toutes sortes de « ondes », chaque
onde individuelle avec tout collectif d’ondes, et
ces collectifs avec des ondes de gravité ou d’élasticité dans
une collectivité, et
identifier mathématiquement
les trois,
l’individuel, le collectif et
les ondes de collectivité.
Le copenhaguisme Born-Heisenberg est fondé sur cette entourloupe, et
ça fait octante-neuf ans que ça dure comme ça. Une escroquerie
hégémonique.
C’est moins grave pour les photons : bosons,
ils aiment bien se grouper et se synchroniser en faisceaux, surtout
sur des distances astronomiques.
C’est excessivement
grave quand on généralise cette bourde aux électrons. D’une
part, leurs charges électriques moins se repoussent énergiquement ;
le collectif diverge donc énergiquement. De plus, fermions, ils
s’évitent les uns les autres, chacun dans un état quantique
distinct.
Postulat
tactique :
invoqué lors de chaque controverse : il consiste
à agglomérer le formalisme quantique et la sémantique
Göttingen-København, et
enseigner qu’ils sont inséparables. Pour cela, la
notion même de sémantique est déniée.