Quinze postulats hégémoniques, subreptices et injustifiables, en quantique anti-transactionniste.

Postulat anti-relativiste :
Selon eux, le temps demeure celui du dieu d'Isaac Newton, qui pouvait tout voir simultanément et instantanément.
Selon eux, et hélas aussi selon le formalisme qu'ils enseignent, le temps est un paramètre uni­versel et ubiquiste ; ils font comme si le temps du laboratoire était universel. Or déjà le premier photon venu viole leur postulat anti-relativiste : il voyage à temps propre nul ; la réaction qui le crée à l'émetteur et la réaction d'annihilation à son absorbeur sont pour lui simultanées, et également causales. Simultanées selon-le-photon mais pas d'une durée nulle, sinon aucune expérience d'inter­férence ne réussirait, car chaque photon serait de longueur de cohérence nulle.

Postulat corpusculariste.
On pourrait aussi dire anti-optique, car les lois quantitatives de l'optique astronomique sont incompatibles avec l’idéation corpusculariste. Pour une demi-phrase erronée écrite en 1905 par Albert Einstein, les grands ancêtres s'étaient persuadés que Einstein avait eu raison de ressusciter le corpuscule d'Isaac Newton. Sans s'apercevoir que ce concept est interne à la macrophysique, très très loin de la limite atomique, et que son extrapolation vers la microphysique devrait être expérimentalement validée, et elle ne l'a jamais été.

Postulat tribal anti-Broglie, anti-Schrödin­ger, donc anti-fréquentiel :
Négation obligatoire de tous phénomènes fréquentiels autres qu'électromagnétiques et sans masse. Négation des fréquences intrinsèques des particules avec masse (
fréquence spinorielle de Louis de Broglie : mc²/h, et fréquence électromagnétique de P.A.M. Dirac : 2mc²/h). Négation des deux composantes rétrochrones dans l’équation d'onde de l'électron, posée par Dirac en 1928. Silence radio sur le Zitterbewegung (1930), qui laisse les profs et rédacteurs de manuels dans l’état d’une poule qui aurait trouvé un couteau . Et représailles contre qui ne participe pas à la tribale négation de la réalité.

Postulat géométrique macroscopique :
Les copenhaguistes postulent l'autosimilitude de l'espace et du temps à toutes échelles, avec extra­polation illimitée. De plus, ils extrapolent vers la microphysique l'irréversibilité statistique du temps macrophysique, et extrapolent la topologie à finesse infinie héritée des mathématiciens du 19e siècle, là où elle n'a plus de validité, sous la limite atomique.

Corollaire géométrique macroscopique 1, de "quelque chose de très petit" :
Postulat qu'on peut toujours trouver plus petit permettant de définir qu'un truc, un électron par exemple, est "petit", corpusculaire, voire "ponctuel". Pas de chance : ça n'existe pas.

Corollaire géométrique macroscopique 2, anti-absorbeurs :
« Il n'y a pas d'absorbeurs en microphysique, juste de l'artillerie de corpuscules, tout comme en macrophysique. »

Postulat positiviste à géométrie variable et opportuniste :
Appel systématique aux dimensions de la macrophysique, avec son "observateur", pour régir les réalités microphysiques. Gros animaux aux perceptions lentes (sans commune mesure avec les fréquences intrinsèques de la microphysique), ils se placent au beau milieu de l'image censée régir la microphysique. Au lieu de rechercher puis d'adopter les mailles d'analyse pertinentes pour la microphysique, ils dénient les réalités, et placent le confort territorial des chefs de secte au dessus de tout.

Corollaire positiviste anthropocentriste :
« Les lois physiques sont faites pour satisfaire la curiosité du physicien copenhaguiste, donc pour lui fournir de l'information ». Si le physicien copenhaguiste ne peut plus déterminer la nouvelle position du sous-marin, alors le sous-marin est « dans un état superposé » ! Banesh Hoffmann scribit...
Oser distinguer les réalités microphysiques des connaissances que nous en avons est
aux yeux des copenhaguistes un crime d'hérésie par un relaps. Que nous soyons arrivés quelques quinze milliards d'années trop tard pour dicter que les lois physiques seraient faites pour nous, ça ne les alerte pas.

Corollaire positiviste et anthropocentriste anti-Fourier :
Les mythes de la "dualité" de Bohr et de la cruelle "incertitude" de Heisenberg pour dissimuler les propriétés de la transformation de Fourier (vieille d'un siècle à l'époque) à l'échelle microphysique, c'est aussi honnête que les autres mythologies exploitées par les autres clergés : ça n’a aucun fondement, c’est à jeter à la poubelle.

Postulat de séparabilité et délimitabilité (ou postulat de paresse triomphale) : Puisqu'on ne peut écrire qu’un système limité, et que de toutes façons on est impatients d'alléger des écritures déjà très lourdes, DONC en vrai un système quantique est tout naturellement délimité, raisonnablement séparé et indépendant du reste du monde. Sûr que c'est grossièrement faux.

Postulat magique et surnaturel, ou si vous préférez farfadique et poltergeist : Postulat que chaque quanton (électron, photon, proton, neutron, etc.) est exempté de toutes lois physiques, mais que magiquement, en grands nombres sa statistique rejoint des lois physiques, tout en perdant progressivement les caractères corpusculistes qu'on lui postulait. Jamais ils ne disent quel serait le miracle physique qui transformerait leur pas de loi individuelle en une loi collective.

Postulat anti-ondulatoire :
Même quand on la calcule et que les chimistes s'en servent quotidiennement avec succès, ils postulent que l'onde selon l'équation de Schrödinger demeure fictive, dépourvue de tout sens physique, et ne sert qu'à calculer la probabilité d'apparition du corpuscule magique et surnaturel (farfadique et poltergeist si vous préférez). Lequel est autorisé à aller explorer "jusqu'au delà de la planète Jupiter" dans son trajet entre le canon à électrons et l'écran cathodique ou le circuit intégré en gravure. D'ailleurs Feynman et Hawking l'ont écrit, alors...

Postulat confusionniste :
dénier la limite atomique en ondulatoire
, et prescrire de confondre entre elles toutes sortes de « ondes », chaque onde individuelle avec tout collectif d’ondes, et ces collectifs avec des ondes de gravité ou d’élasticité dans une collectivité, et identifier mathématique­ment les trois, l’individuel, le collectif et les ondes de collectivité. Le copenhaguisme Born-Heisenberg est fondé sur cette entourloupe, et ça fait octante-neuf ans que ça dure comme ça. Une escroquerie hégémonique.
C’est moins grave pour les photons : bosons, ils aiment bien se grouper et se synchroniser en faisceaux, surtout sur des distances astronomiques.
C’est excessivement grave quand on généralise cette bourde aux électrons. D’une part, leurs charges électriques moins se repoussent énergiquement ; le collectif diverge donc énergiquement. De plus, fermions, ils s’évitent les uns les autres, chacun dans un état quantique distinct.

Postulat tactique :
invoqué lors de chaque controverse : il consiste à agglomérer le formalisme quantique et la sémantique Göttingen-København, et enseigner qu’ils sont inséparables. Pour cela, la notion même de sémantique est déniée.

Postulat de Göttingen :
Il n'y a que des états, les transitions passent à l'as.
En effet, la durée et les propriétés physiques des transitions, telles que les longueurs de cohérence des photons, révélées par les phénomènes d'interférences décrits depuis Thomas Young, sont incom­patibles avec le postulat corpusculariste.




Postulats transactionnistes :

Les absorbeurs existent.

Postulat Broglie-Dirac : les fréquences intrinsèques de Broglie et de Dirac-Schrödinger jouent chacune leur rôle. La broglienne mc²/h pour chaque interférence d'un quanton avec lui-même, la Dirac-Schrödinger 2 mc²/h pour toute interaction électromagnétique, par exemple la dispersion Compton.

Postulat de Fermat-Fresnel : les trajets réels arrivent en phase, éventuellement à un nombre entier de périodes près. D'où la géométrie du fuseau de Fermat entre absorbeur et émetteur.

Tout photon a un absorbeur.  Un photon est une transaction réussie entre trois partenaires : un émetteur, un ab­sorbeur, et l'espace qui les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les séparent, qui transfère par des moyens électroma­gnétiques un quantum de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des repères respectifs de l'émetteur et de l'absorbeur.

On distingue les macro-temps des macro-systèmes tels que le laboratoire, des micro-temps dans lesquels s'inscrivent tous les tâtonnements d'ondes brogliennes qui vont aboutir à des transactions réussies.

Non, il est impossible d'isoler un système quantique, comme on isole ses équations au tableau noir : il est impossible d'écranter le bruit de fond de Broglie-Dirac. Il est impossible de prédire quelle transaction va surgir de ce clapotis ni quand.

Il est incorrect et contraire à la déontologie scientifique de dissimuler aux étudiants tant de faits expérimentaux qui embarrassent les copenhaguistes : toutes les absorptions spectrales, toutes les interférences telles que couches anti-reflets, lames quart d'onde, couleurs interférentielles, effets Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en polarisation circulaire, preuves de la largeur non négligeable de chaque photon. Vaste liste. Ils vous ont caché l’effet de transparence Ramsauer-Townsend, strictement ondulatoire. Si l’électron est toujours ondulatoire, comment vont-ils conserver leur mystérieux dualisme onde-corpuscule qui impressionne tant les foules ébaubies ? Ainsi que de nombreux autres résultats expérimentaux quotidiens mais incompatibles avec l'idéation corpusculaire des Göttingen-copenhaguistes.


Résultats originaux.
Grâce à la géométrie du fuseau de Fermat, nous avons dimensionné la prétendue expérience qui est prétendue valider la contrafactualité de Penrose, Elitzur et Vaidman. Il est prouvé que le prétendu "miroir tremblant" qui devrait trahir le photon-corpuscule sera toujours trop lourd de sept à huit ordres de grandeur.
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/contrafactualite-penrose-elitzur-155565
Dans d'autres domaines de l'astronomie, même interférentielle, et de l'optique physique et des effets fins de polarisation, nous n'avons pas prédit de résultats expérimentaux nouveaux, seulement vérifié que nos résultats théoriques sont pleinement cohérents avec tous les faits expérimentaux connus, y compris ceux que l'on cache prudemment aux étudiants en quantique. Par exemple en radiocristallographie ou en méthodes physiques de la chimie analytique...

Texte complet du livre de vulgarisation à https://www.researchgate.net/publication/313309517_La_microphysique_que_l'on_vous_conte_est-elle_bien_la_bonne_La_physique_quantique_transactionnelle_expliquee_pour_tous