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Et si les psychiatres étaient la panacée
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allorex



Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26

MessagePosté le: Jeu Mai 27, 2004 6:25 pm    Sujet du message: Et si les psychiatres étaient la panacée Répondre en citant

Depuis juillet 2001 je me bats en justice contre mon ex, simplement parce que je suis père et j'aime mon enfant.
Comme d'autre, j'ai eu à me plaindre d'avocats, d'enquêtrices sociales ou psychologues,
mais je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre d'un psychiatre.

J'ai rencontré un psychiatre désigné par la Cour d'appel à titre d'expert et pour la première fois il m'a semblé voir un professionnel équilibré.
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Jacques Lavau



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Messages: 333
Localisation: Vaulx en Velin

MessagePosté le: Jeu Mai 27, 2004 8:17 pm    Sujet du message: Ils le seraient SI... Répondre en citant

allorex a écrit:
Depuis juillet 2001 je me bats en justice contre mon ex, simplement parce que je suis père et j'aime mon enfant.
Comme d'autre, j'ai eu à me plaindre d'avocats, d'enquêtrices sociales ou psychologues,
mais je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre d'un psychiatre.

J'ai rencontré un psychiatre désigné par la Cour d'appel à titre d'expert et pour la première fois il m'a semblé voir un professionnel équilibré.
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Ils seraient la solution SI...
Si ils étaient eux-même au clair avec leur propre enfance, avec les disputes de leurs parents, etc. etc. Bref, s'ils avaient acquis le savoir être d'un clinicien. Rien de tout cela n'est garanti ni par le diplôme ni par les études. Rien.
J'ai rencontré des psychiatres très bien. J'ai rencontré aussi parfois de dangereux imbéciles, et deux ripoux.

Il nous revient à nous utilisateurs expérimentés de l'administration judiciaire, et des experts psychiatres, de mettre la main à la pâte, pour écrire noir sur blanc notre part du cahier des charges : ce que nous attendons comme santé mentale, et comme honnêteté des magistrats et des experts qu'ils désignent. Le peuple français, c'est nous ; et nous qui avons subi des répudiations et des campagnes de calomnies monstrueuses, commençons à en connaître un bout sur cette maladie mentale qui se manifeste dans ces divorces si conflictuels et si délirants.

Nous commençons à en savoir long sur les endommagements infligés aux enfants par le syndrome d'aliénation parentale. Nous avons des éléments pour reconnaître justement ce syndrome, et les altérations durables de la jugeotte qui en découlent, dans certains jugements de certains juges, aliénés parentaux...
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Jacques Lavau
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allorex



Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26

MessagePosté le: Jeu Mai 27, 2004 11:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Les psychiatres douteux que tu as rencontré étaient-ils missionnés par un juge afin de déterminer les mesures à prendre dans l'intérêt de l'enfant?
Si oui, alors j'ai eu de la chance, ouf!

J'apprécie ton analyse quant à la nécessité de mettre la main à la pâte et l'idée qu'il incombe à nous citoyen, de chercher à améliorer la situation que tu décris bien. Pour ma part je m'y attèle, pas pour moi car je n'y crois plus, mais pour mon fils qui sera sans doute plus difficile à tromper.

Socrate aurait dit : de toute manière mariez vous, car si on fait un bon mariage on devient heureux et si on fait un mauvais mariage on devient philosophe.
Les enfants comprendront.
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Saint-Thèse



Inscrit le: 07 Nov 2002
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Localisation: Lyon

MessagePosté le: Sam Mai 29, 2004 7:23 pm    Sujet du message: Dans les grandes villes, il ne manque pas de médecins ratés, Répondre en citant

allorex a écrit:
Les psychiatres douteux que tu as rencontrés étaient-ils missionnés par un juge afin de déterminer les mesures à prendre dans l'intérêt de l'enfant ?
Si oui, alors j'ai eu de la chance, ouf ! ...

Non, les deux ripoux étaient l'un dans le rectorat, l'autre missionné par le rectorat, comme calomniateur à gages.

Dans les pays du Tiers Monde, Amérique latine, Afrique, etc. les grandes multinationales disposent d'un pouvoir de corruption fantastique. La mise à sac de l'Argentine en est un exemple documenté sur France 5 (http://www.france5.fr/actu_societe/articles/W00368/52/111041.cfm). En France, les plus puissantes administrations aussi disposent d'un pouvoir de corruption local qui fait frémir quand on en a rencontré des exemples, ne serait-ce qu'une seule fois dans sa vie.

Dans les grandes villes, il n'a jamais manqué de médecins ratés, simultanément incapables de se faire embaucher dans une structure hospitalière, et incapables d'atteindre les besoins de leur train de vie en exercice libéral. Ce sont ceux-là qui dépendent pour leur survie, d'une complaisance totale envers les commissariats de police. Ils sont toujours là pour délivrer un certificat affirmant que tel homme passé à tabac n'a aucune blessure visible ni aucune trace de coups, et que par conséquent ses plaintes pour brutalités policières ne sont que le résultat de son imagination enfiévrée...

Remarquez, il existe forcément aussi des commissariats honnêtes. De même qu'il doit bien exister, sur toutes les Académies que comporte le Ministère de l'Education Nationale, des Rectorats honnêtes. Mais pas de chance, ce n'est pas ce que j'ai constaté au Rectorat de G. Oups ! Je n'ai rien dit ! C'est seulement dans la capitale des noix, comme le savent les gourmets. De même qu'il existe certainement des proviseurs honnêtes, dévoués au métier, dévoués au service, et qui ne construisent pas leur propre maison au moyen des hommes et des ressources financières du lycée professionnel. Mais pas de chance ! C'est justement ce contre-exemple-là que j'ai rencontré à « Nagoumari » (dans toute l'Europe, les gourmands connaissent les nagouts de Nagoumari). Mes collègues le surnommaient Gonflebouffigues.
Dévoués à leur mission, ce ne sont pas les proviseurs honnêtes, qui missionneraient des élèves paumés pour exécuter leurs violences. Mais à Nagoumari si : Gonflebouffigues a commandité les plus paumés de nos élèves, pour pratiquer des violences sur professeur. J'avais déjà eu la chance d'enregistrer sur magnétophone son arrivée tonitruante dans ma classe, pour se venger que j'aie cessé de l'attendre dans l'antichambre, pour aller prendre mes élèves à l'heure dite, le 14 février 1997. J'ai eu plus tard la chance de tomber sur une preuve écrite de sa complicité envers les violences organisées. Mais pour étouffer ce genre de scandales, le rectorat de G dispose de ripoux directement salariés, calomniateurs à gages, chargés de disqualifier tous témoins gênants... J'ai nommé là « Morzil Manche ». Je l'ai pseudonymisé ainsi à l'imitation d'Alcofribas Nasier.

Hélas, lui, je ne l'ai pas enregistré, ça ne manquait pas de sel... Il m'a exposé sa vision personnelle de l'histoire des sciences, si négationniste, une telle apologie des connivences entre notables. Entre médecins, je m'inquiéterais d'une négation du sort fait à Ignac Fülöp Semmelweis (Buda 1818, Wien 1865) par la connivence des autorités médicales de Wien, en représailles d'avoir découvert, puis publié en 1848 les lois de l'asepsie : Semmelweis voulait imposer que l'on se lavât les mains après avoir disséqué les cadavres, et avant de toucher les accouchées, afin de cesser de les tuer par septicémie, qu'on appelait alors fièvre puerpérale. Mais alors, comment allait-on prouver sa virilité aux autres carabins ? En ce temps là, était le plus viril et jouissait du prestige, celui qui s'essuyait le mieux ses mains pleines de sang ou de pus, sur les revers de sa veste. L'affaire Semmelweis est la honte ineffaçable du corps médical. Entre physiciens, je m'inquiéterais du négationnisme qui consisterait à nier l'escalier sous lequel Pierre Curie avait son laboratoire jusqu'au delà de la soutenance de sa thèse en 1894. Hé oui, Pierre Curie n'était pas issu de Grandes Ecoles, et il l'a payé très cher toute sa vie. Donc MorzilManche était chargé de me mentir comme arracheur de dents, et de me déclarer fou dans ma tête. Ce qu'il fit. Il avait la sentence dans sa poche avant de me voir, et l'aurait énoncée aussi bien sans me voir.

Les années suivantes, n'ayant donc plus rien à faire qui soit professionnel à Nagoumari, je me suis déchargé de la corvée de me faire insulter et bafouer tout le restant du jour et de la nuit, à domicile, en ce somptueux huis-clos de Château la Haine, si dangereusement isolé loin de tous regards et de tous témoins extérieurs. J'ai échappé de mon vivant à mes deux tortionnaires à domicile : j'ai repris des études, à Lyon. J'ignorais alors si c'était pour trois semaines, pour quatre semaines, ou pour trois mois. J'y suis encore... mais trois semaines de survie, au voisinage de gens sains d'esprit, c'était toujours bon à prendre, cela valait bien un paiement de droits universitaires.

En janvier 1998, il fallait bien régulariser administrativement l'état de fait créé pour protéger la pourriture de Gonflebouffigues. Un psychiatre lyonnais a donc été missionné pour me déclarer inapte d'une façon d'une autre. Il lui a fallu une demi-heure pour s'apercevoir que le diagnostic que l'inspection académique lui dictait ne correspondait à rien du tout ; il m'avait longuement pressé d'avouer que j'étais gravement déprimé, que j'avais peur de mes élèves, que j'étais paranoïaque, etc.

Déprimé, moi ? Je viens d'échapper de mon vivant à mes deux tortionnaires à domicile, j'ai minci de quatre kilos, je ne me suis jamais si bien porté depuis six ans.
Peur de mes élèves ? Arrêtez les conneries, arrêtez de croire sur parole tout ce qu'on vous dicte depuis Valence sans m'avoir jamais vu.

Etc.

Protecteur et maternel, il se fait une idée fort peu officielle de la condition psychologique des profs du secondaire – il en voit beaucoup qui craquent, sur l'académie de Lyon, il sait la violence ordinaire installée dans bien des établissements - , et trouve que j'occupe fort bien mes loisirs forcés, avec cette reprise d'études, que comme moi, il estime provisoire, et il rédige en termes fort vagues, mais propres à me laisser le temps de terminer tranquillement l'année universitaire. Et moi, j'échappe de mon vivant à mes deux tortionnaires à domicile. Rappel : par courrier du 18 août 1997, j'avais prévenu deux amis très chers, et les deux femmes qui constituent toute ma famille d'origine, que quelle que soit la mise en scène convaincante constituée par les deux conjurées, mon épouse Gazonbleu, et sa fille aînée Frédégonde, mon cadavre ne sera jamais celui d'un suicidé, ni d'un accidenté accidentellement, mais bien celui d'un assassiné, et qu'il faudra sérieusement secouer la police judiciaire, afin qu'elle ne se contente pas de faire semblant d'enquêter.

Rappel : les photos du frein saboté le 18 juillet 1998 par les soins de ma très chère épouse, sont consultables sur mon site.

Deux ans plus tard, an 2000, je suis impatient de reprendre mon métier, et multiplie les certificats aussi bien de généraliste que de psychiatre, rappelant que je suis en pleine forme, et pleine possession de tous mes moyens. Oh mais pas question ! Depuis le temps qu'on vous déclare inapte, on ne va quand même pas changer d'avis !

Cette fois, c'est Caillou de la Taupinière qui est chargé de me déclarer fou dans ma tête par l'inspection académique. Il lui faut plus de deux mois afin d'oublier les faits, et ne plus écrire que ce qui convient aux demandes de l'inspection académique. Il faut savoir que cette partie de votre dossier administratif, celle qui se revêt d'une aura médicale, vous est totalement secrète.
Chaque fois que je parviens à faire lire par le médecin généraliste de mon quartier les élucubrations de Caillou de la Taupinière, je suis stupéfait par les discours apocryphes qu'il me prête. J'admire les allusions codées, toutes immédiatement traduisibles en « parfait paranoïaque » par le collègue de Valence : « psychorigide... projets grandioses... ». Je ne peux hélas guère donner les détails en raison du dispositif de protection des ripoux : le généraliste n'est pas autorisé à me montrer, et encore moins à me laisser photocopier les écrits du ripoux, il doit juste me traduire avec ses mots à lui, « ce qu'il estime compatible avec l'état de santé du patient ». Et il doit retourner dans les huit jours ce rapport d'expert psychiatre, sous peine de, etc. De quoi faire reculer tout médecin de quartier.

Inattaquable, le monsieur Caillou de la Taupinière ! Expert auprès des tribunaux, expert de l'administration judiciaire, chargé des détenus de la prison de Lyon... Je trouverai bien un contre-expert en ville, mais aucun qui soit lui aussi expert auprès des tribunaux : tous se défilent immédiatement. Même B. J., qui est en exercice à Saint-Jean de Dieu, estime qu'avec ce divorce si violemment conflictuel, j'ai encore un soupçon de fragilité, et qu'en conséquence il me renvoie sans papier, mais estime qu'avec ma formulation : Un tracteur agricole n'est pas une Formule 1 malade, pas plus qu'une Formule 1 n'est un tracteur agricole malade, il a amplement justifié l'heure qu'il m'a consacrée.

Bref, tu es seul au monde, pour tâcher de prouver à ton rectorat, et à ton inspection académique, que tu es largement en très bonne forme physique et mentale, s'ils ont décidé que tu es un fou fini, afin de protéger la corruption et les fautes professionnelles d'un membre de la caste du Parti Intérieur.

D'autres que moi ont décrit les complicités entre les JAF et les enquêtrices sociales : on doit caresser le JAF dans le sens du poil, afin d'obtenir d'autres missions.

J'ai déjà rendu compte du livre de Patrick Pognant, La paranoïa menottée » ([b]Procès de Philippe Naigeon, La paranoïa menottée. Essai de Patrick Pognant, Editions de L'Harmattan, 2002, 368 p.[/] http://ppognant.online.fr/proces01.html), qui décrit comment la cour d'assises de Paris a jugé un fou, et comment les experts psychiatres agréés par cette cour, se plient tout comme elle au devoir politique et publicitaire.

Voilà : depuis plus d'un siècle et demi, comme l'a amplement démontré Michel Foucault, les aliénistes couchent dans le lit de la Justice, et en ont contracté une sacrée part de sa corruption intrinsèque.


Quand à la question des psychiatres idiots, j'en ai rencontré un au moins, il y a longtemps, à « Sottenville », et c'était à titre professionnel. Obsédé de nier les gens, W. cherchait la molécule de la folie. Il a ainsi laissé suicider les deux beaux-frères de « Alie Boron », dont vous lisez quelques exploits de faux témoin, sur mon site, et ici même, où j'ai déjà recopié ses délires, ainsi que l'impunité totale que lui a garantie le TGI. D'autres incompétents, oui, mais cela nous renvoie à mon enfance et mon adolescence, au temps où telle sommité lyonnaise aidait à organiser mon suicide. Il est vrai que je n'étais plus catho, et que j'étais totalement insensible à ses sermons sur la grandeur de son dieu, et que cela faisait désordre dans son esprit de faux-jeton. Et de nos jours, la réputation de ce faux-cul reste toujours intouchable auprès de certains, ici à Lyon. Ah ! La complicité entre notables !

Si vous ouvrez des livres de management consacrés à la qualité, vous constaterez que la qualité est jugée en dernier ressort par le client, et non pas par le fournisseur.

Toutes les corruptions et les incompétences professionnelles que j'ai mentionnées aujourd'hui ou les autres jours, ne se maintiennent au pouvoir que parce que le client final, le peuple français, est muselé. Le notable conserve sa toute-puissance d'Ancien Régime, grâce à ses réseaux d'influence entre notables. Les élites à la française se sont ingéniées à conserver le plus gros de leurs privilèges d'Ancien Régime, par exemple en maintenant hors du droit commun les administrations régaliennes qu'ils détiennent. Traditionnellement, une de leurs astuces favorites consiste à disséminer des privilèges secondaires à ceux dont ils ont besoin pour étouffer les scandales. Par exemple, le personnel de l'administration rectorale est immensément privilégié, comparativement aux professeurs et aux surveillants dans les établissements d'enseignement. Ainsi est acheté son silence et sa complicité : Pas de vagues ! Surtout pas de vagues !

Gonflebouffigues, MorzilManche, et Caillou de la Taupinière sont la honte de la Fonction Publique. Vous avez donné des preuves que certains JAF font de même. Nous avons quelques noms.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Sam Mai 29, 2004 7:41 pm    Sujet du message: Argentine, voir aussi l'article sur le Monde Diplomatique : Répondre en citant

Argentine, voir aussi l'article sur le Monde Diplomatique :
http://www.monde-diplomatique.fr/2002/01/GABETTA/16029

Il y a aussi le site de ATTAC : http://attac.org/fra/inte/argentine.htm
mais il semble en panne quand je le consulte.

Pour la France, j'ai déjà cité le livre d'Yves Mény : La corruption de la République, mais il ne s'intéresse pas à l'administration judiciaire, hélas.
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Alie Boron



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MessagePosté le: Dim Mai 30, 2004 8:52 pm    Sujet du message: et si les psychiatres étaient la panacée Répondre en citant

D'après St-Thèse mes deux beaux-frères se seraient suicidés..... Petit problème, je n'ai jamais eu deux beaux-frères mais un seul: je suis fille unique et mon mari n'a jamais eu qu'un frère!
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allorex



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MessagePosté le: Dim Mai 30, 2004 9:50 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ton témoignage me fait penser à du Céline, un chef-oeuvre de lâcheté et parfaite médiocrité de beaucoup de notables. Quoique en haut lieu ce n'est pas plus frais.

J'ai sacrifié du temps à confondre ces infâmes, et seul les psychiatres ont reconnu leurs maladresses, ce qui m'aidera en appel.
En l'occurence les juges ne reconnaissent pas leurs erreurs et quant aux avocats les 3/4 se comportent comme des esccrocs.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 8:38 am    Sujet du message: La thèse de Céline portait justement sur Semmelweis. Répondre en citant

allorex a écrit:
Ton témoignage me fait penser à du Céline...

SEMMELWEIS
DE LOUIS-FERDINAND CÉLINE
Editeur : Gallimard
Prix du livre : 5.79 Euros
Thèse de médecine de l’auteur, soutenue en 1924 et publiée en 1936.

Quant à moi, j'en avais eu connaissance par la traduction orale que m'avait faite Joseph Davidovits du livre "Das Jarhundert der Chirurgen", où un médecin allemand consigne les mémoires de son grand-père, chirurgien.

Ouverture du chapitre consacré à l'affaire Semmelweis (je cite de mémoire) :
"L'affaire Semmelweis est la plus grande honte de notre profession, et c'est aussi ma plus grande honte personnelle, car moi aussi j'étais au courant, et moi aussi je n'ai rien fait.
J'étais alors parti aux Etats Unis, où je m'initiais à la narcose, qui venait d'être découverte, et j'ai écrit une lettre au professeur Michaelis, de Kiel. On m'a retourné ma lettre en m'expliquant qu'elle arrivait trop tard, car le professeur Michaelis s'était suicidé. Il venait de lire la publication du docteur Semmelweis, un jeune médecin à Wien, qui explique que la fièvre puerpérale est transmise par les médecins eux-mêmes, par les substances qu'ils portent sur leurs mains après avoir disséqué les cadavres. Le docteur Michaelis était alors accablé par le deuil d'avoir perdu sa belle-fille, morte en couches de fièvre purpérale. Il n'a pas supporté la honte de l'avoir lui-même tuée par inconséquence, de l'avoir examinée sans s'être lavé les mains... C'est pourquoi il a mis fin à ses jours. ...
"
J'ai cité de mémoire : ceci m'a été lu et traduit à la volée à la fin de l'hiver 1978, voici donc vingt-six ans.
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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 8:42 am    Sujet du message: La thèse de Céline portait justement sur Semmelweis. Répondre en citant

allorex a écrit:
Ton témoignage me fait penser à du Céline...

SEMMELWEIS
DE LOUIS-FERDINAND CÉLINE
Editeur : Gallimard
Prix du livre : 5.79 Euros
Thèse de médecine de l’auteur, soutenue en 1924 et publiée en 1936.

Quant à moi, j'en avais eu connaissance par la traduction orale que m'avait faite Joseph Davidovits du livre "Das Jarhundert der Chirurgen", où un médecin allemand consigne les mémoires de son grand-père, chirurgien.

Ouverture du chapitre consacré à l'affaire Semmelweis (je cite de mémoire) :
"L'affaire Semmelweis est la plus grande honte de notre profession, et c'est aussi ma plus grande honte personnelle, car moi aussi j'étais au courant, et moi aussi je n'ai rien fait.
J'étais alors parti aux Etats Unis, où je m'initiais à la narcose, qui venait d'être découverte, et j'ai écrit une lettre au professeur Michaelis, de Kiel. On m'a retourné ma lettre en m'expliquant qu'elle arrivait trop tard, car le professeur Michaelis s'était suicidé. Il venait de lire la publication du docteur Semmelweis, un jeune médecin à Wien, qui explique que la fièvre puerpérale est transmise par les médecins eux-mêmes, par les substances qu'ils portent sur leurs mains après avoir disséqué les cadavres. Le docteur Michaelis était alors accablé par le deuil d'avoir perdu sa belle-fille, morte en couches de fièvre purpérale. Il n'a pas supporté la honte de l'avoir lui-même tuée par inconséquence, de l'avoir examinée sans s'être lavé les mains... C'est pourquoi il a mis fin à ses jours. ...
"
J'ai cité de mémoire : ceci m'a été lu et traduit à la volée à la fin de l'hiver 1978, voici donc vingt-six ans.
Merci à Joseph Davidovits d'avoir consacré deux heures d'un dimanche après-midi à me faire cette lecture.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 8:56 am    Sujet du message: Aussi : ’L’HOMME QUI VOULAIT SAUVER LES FEMMES’ Répondre en citant

Interrogez Google avec "Céline+thèse+Semmelweis", et vous aurez environ 130 réponses, dont celle-ci :

SPECTACLE ’L’HOMME QUI VOULAIT SAUVER LES FEMMES’
19/03/2004, 20/03/2004 et 22/03/2004 - THEATRE ET MARIONNETTES
http://www.russie.net/article.php3?id_article=1045

Russie.net - Compagnie "La Mémoire et l’Instant" en 2001

L’HOMME QUI VOULAIT SAUVER LES FEMMES, D’APRES "SEMMELWEIS" DE LOUIS FERDINAND CELINE -
UN SPECTACLE CONCU ET INTERPRETE PAR CHIRSTINE LAPSCA ET MICHEL SIGALLA.

THEATRE ET MARIONNETTES.

19/03/2004, 20/03/2004 et 22/03/2004
à 20h00
RESERVATIONS AU 01 43 63 41 61.

PLACEMENT LIBRE.
BILLET D’ACCES DIRECT A LA SALLE.
Centre d’échange et de création des Arts de la scène
23 bis rue du Chassagnolle
93260 Les Lilas

Ignace-Philippe Semmelweis 1818 - 1865, Chirurgien et obstétricien hongrois

"Il n’y a pas de petite ressource pour le génie, il n’y en a que de possibles ou d’impossibles." L.F. Céline.

"La vie et l’oeuvre de Ignace-Philippe Semmelweis", cette grande figure de la médecine fut choisie par Céline (Louis-Ferdinand Destouches, dit) en 1924 comme sujet pour sa thèse de doctorat en médecine. Il en a fait un héros de la médecine moderne. Né à Buda en Hongrie, le 18 juillet 1818, Ignace-Philippe Semmelweis était le quatrième fils d’un père épicier. Il fit ses études au lycée de Pest puis à l’université de Vienne. Étudiant hongrois, il quitta Budapest pour apprendre à Vienne d’abord le droit avant de se tourner vers la médecine. Là il eut des maîtres prestigieux : Skoda le grand clinicien de l’époque, et Rokitansky l’anatomo-pathologiste.

Histoire de "L’Homme qui voulait sauver les femmes"

Semmelweis est nommé maître en chirurgie en 1846, et professeur assistant dans le service du Professeur Klin, chef de service de l’un des deux pavillons de la maternité de l’hôpital général de la ville de Vienne, l’autre pavillon ayant pour patron le professeur Barcht. Il ne met pas longtemps pour découvrir les ravages que fait la fièvre puerpérale et se trouve confronté à la tragédie qui se déroule chaque jour dans ce service. Les parturientes lui apprennent que les femmes redoutent à venir accoucher dans cet hôpital, tant les risques de fièvre ou de mort sont élevés. Dans ces conditions seules les femmes qui au dernier moment ne trouvaient pas d’autres possibilités, se résignaient à y être admises. Dans un service, la létalité pouvait atteindre 30%, dans l’autre 1% à 2% seulement. Le premier était tenu par les médecins et les étudiants en médecine, le second par les sages-femmes et les élèves sages-femmes. Semmelweis se trouve rapidement confronté à un mal sur lequel il est le seul à s’interroger et qu’il tentera d’éradiquer à force d’observations et de réflexions, gardant toujours à l’esprit que l’ "on meurt davantage chez Klin que chez Barcht." C’est alors qu’il observa que les étudiants se déplaçaient des salles de dissection cadavériques vers les salles d’accouchements, sans précaution particulière. Il remarqua que s’exhalent des relents cadavériques des mains des professeurs, assistants, étudiants qui pratiquent des dissections sur les cadavres et c’est ainsi qu’ils se rendent au chevet des femmes en couches. Il en conclut qu’il devait y avoir un AGENT INVISIBLE , causant la mort et que l’on devait éviter de transférer cet agent de la salle d’autopsie à la salle d’accouchement. Il eut donc l’idée, de faire pratiquer un lavage systématique des mains, de tous les étudiants, à l’aide d’une solution de chlorure de calcium, bien que cette mesure ne corresponde à aucune exigence scientifique à l’époque. À partir de 1847, il interdit aux étudiants en médecine de quitter les salles de dissection sans s’être lavé les mains, ce qui entraîne immédiatement une baisse significative des taux de la mortalité qui passe de 12% à 3%. Il étend ses formalités de désinfection à toute personne ayant été au contact d’une malade, d’instruments de chirurgie ou de pansements, il ordonne l’isolement des femmes malades : la mortalité tombe à 1%. Semmelweis fait part de son observation à son Maître Klin, auquel il demande de se soumettre également au lavage systématique des mains. Sans doute vexé, Klin révoqua son assistant sans ménagement.

Des communications sont faites à l’Académie des Sciences par Skoda, à la Société de Médecine par Hebra, ceux-ci sont favorables à la théorie de Semmelweis qui jalousé et persécuté, n’arrive pas à faire reconnaître sa découverte par ses collègues qui considèrent le lavage des mains comme contraignant et inopportun, Semmelweis doit de nouveau quitter Vienne. Hebra, qui fut un des rares à soutenir Semmelweis déclara même "quand on fera l’histoire des erreurs humaines, on trouvera difficilement des exemples de cette force et on restera étonné que des hommes aussi compétents, aussi spécialisés, puissent, dans leur propre science, demeurer aussi aveugles, aussi stupides." Ce à quoi Klin répondit : "Monsieur Semmelweis prétend que nous transportons sur nos mains de petites choses qui seraient la cause de la fièvre puerpérale. Quelles sont ces petites choses, ces particules qu’aucun oeil ne peut voir ? C’est ridicule ! Les petites choses de Monsieur Semmelweis n’existent que dans son imagination ! ".

Céline - Semmelweis

On l’oublie souvent, Céline a été médecin avant d’étre écrivain...Dans sa thèse de médecine "Semmelweis", soutenue à l’age de 30 ans, en 1924, Louis-Ferdinand Destouches (Céline)se passionne pour la découverte de l’asepsie...
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 9:14 am    Sujet du message: OK, un seul beau-frère suicidé. Répondre en citant

Alie Boron a écrit:
D'après St-Thèse mes deux beaux-frères se seraient suicidés..... Petit problème, je n'ai jamais eu deux beaux-frères mais un seul: je suis fille unique et mon mari n'a jamais eu qu'un frère!


OK, un seul beau-frère suicidé. Dont acte.

Nous étions d'accord, en ces années 1990-1995, que le docteur W. était un dangereux incompétent, obsédé de molécules-rien-que-de-molécules, et infoutu d'écouter les gens, et c'était bien lui qui s'était "occupé" de votre beau frère, frère de votre mari.

Cela, le contestez-vous ?

Contestez-vous aussi vous être invitée de nombreux dimanches après-midi, pour vous faire écouter déblatérer pis que pendre de tous voisins et collègues ?
Contestez-vous que j'ai été souvent chargé de vous répondre que mon épouse n'était pas là ? "Si c'est encore Alie, je n'y suis pas ! Elle va encore me faire perdre tout mon après-midi !". Il se trouve que je n'en suis pas le seul témoin, et que l'un d'entre eux en a témoigné par écrit, témoin direct.
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Alie Boron



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 9:54 am    Sujet du message: et si les psychiatre étaient la panacée Répondre en citant

Mon beau-frère est mort en 1982, alors ce que faisait le docteur W, que je n'ai pas l'honneur de connaître dans les années 90-95 est le cadet de mes soucis. Mon beau-frère habitait et était soigné à Creil, donc pas par le docteur W.
J'allais fréquemment rendre visite à ton épouse, ou elle venait chez moi, pendant les vacances scolaires ou le mercredi après-midi ,parfois le samedi, jamais le dimanche car j'allais avec mes enfants et mon mari, s'il n'était pas de service, chez ma mère et ma belle-mère.
Dire du mal de mes collègues et voisins, ça c'est dans tes rêves! D'ailleurs, quoique je ne soit plus en activité, j'ai toujours d'excellentes relations avec mes collègues qui ne manquent jamais une occasion de m'inviter à un pot. Quant à mes voisins, qui sont aujourd'hui décédés, je les connaissais depuis ma plus tendre enfance et les aimais beacoup.
Comme je l'ai dit sur les autres posts que j'ai envoyé, je ne te répondrai plus à tes élucubrations, je n'ai pas de temps à perdre.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Lun Mai 31, 2004 1:18 pm    Sujet du message: Une des deux versions est donc mensongère. Répondre en citant

Alie Boron a écrit:
Mon beau-frère est mort en 1982, alors ce que faisait le docteur W, que je n'ai pas l'honneur de connaître dans les années 90-95 est le cadet de mes soucis. Mon beau-frère habitait et était soigné à Creil, donc pas par le docteur W.

Une des deux versions est donc mensongère. Soit celle de ce jour par écrit, soit la version orale que vous avez donné à Saint-Quentin. A cette époque, le psychiatre W. vous était parfaitement connu, et votre phrase est textuellement : "W. Il lui recherchait dans la tête la molécule de la folie..."
Eventuellement les deux versions contiennent des affabulations. Vous mentez systématiquement.

Alie Boron a écrit:
J'allais fréquemment rendre visite à ton épouse, ou elle venait chez moi, pendant les vacances scolaires ou le mercredi après-midi ,parfois le samedi, jamais le dimanche car j'allais avec mes enfants et mon mari, s'il n'était pas de service, chez ma mère et ma belle-mère.
Dire du mal de mes collègues et voisins, ça c'est dans tes rêves! D'ailleurs, quoique je ne soit plus en activité, j'ai toujours d'excellentes relations avec mes collègues qui ne manquent jamais une occasion de m'inviter à un pot. Quant à mes voisins, qui sont aujourd'hui décédés, je les connaissais depuis ma plus tendre enfance et les aimais beacoup.
Comme je l'ai dit sur les autres posts que j'ai envoyé, je ne te répondrai plus à tes élucubrations, je n'ai pas de temps à perdre.


Encore des mensonges : presque toujours le dimanche après-midi, vos visites entempestives.
Dire du mal des autres est votre raison de vivre. J'y étais.
Mon épouse ne vous supportait plus.
La seule raison pour laquelle elle a fait appel à vous pour vous exploiter comme faux témoin est qu'elle connaît votre incurable passion pour la médisance envers son prochain.

Si elle avait une astuce pour vous laisser tomber, et rester impunie, elle avec tout son butin, elle n'hésiterait pas à vous laisser tomber comme elle a laissé tomber tous ceux qui ont connaisance de la réalité de ses mensonges. Mais là, son sort au correctionnel est lié au vôtre...

Et l'affaire de votre faux témoignage est loin d'être définitivement classée. J'y veille personnellement.
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allorex



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MessagePosté le: Mar Juin 01, 2004 1:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Saint-thèse a écrit :
Citation:


Merci de m'avoir fait connaître Semmelweis, je suis content de pouvoir dans ce forum souvent m'instruire.

Je ne doute pas que la vérité possède une parfaite valeur morale. Cependant elle ne rapporte que le fait lui-même, ce qui donne toute amplitude à embrouiller les circonstances. Toutefois les mensonges ne pourraient pas tenir sans ancrage à la réalité.

En justice, je remarque que les juges sont vite dépassés et s'en remettent aux psychiatres, comme si ces derniers détiendraient la juste moralité.

Ainsi les juges s'en lavent les mains ouvrant une brèche aux sous-traitants, petits avocats, enquêtrices, pour qui le Droit n'est ni la vérité, ni la morale mais d'abord un moyen de ce faire de l'argent.

Et d'après les nombreux témoignages de pères, j'ai cru observer moins de critiques envers les experts psychiatres qui sembleraient plus près de la vérité, dans le sens étymologique du mot.



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allorex



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MessagePosté le: Mar Juin 01, 2004 1:30 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mille excuses Saint-Thèse. Je me suis planté en cherchant à employer le "Quote" .
Merci d'observer que ci-dessus n'est nullement une citation de Saint-Thèse mais un texte d'allorex. icon_redface.gif
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alain



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MessagePosté le: Mer Juin 02, 2004 10:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

Si je peux me permettre un avis suite à un vécu récent assez 'riche', où j'ai donc pu observer : les avocats (le mien, celui de mes enfants, les 3 successifs de mon ex), les JAF ( 3 successifs en 3 ans), les JDE (2), les intervenants de l'enquête sociale (assistante sociale et psychologue), le médiateur pénal, les intervenants de l'IOE (éducateur, psychologue), les intervenants du point rencontre (éducateurs, psychologue), l'expert psychiatre missionné par le JAF, eh bien, c'est de loin le psychiatre qui me semble avoir la meilleure compétence pour comprendre la situation, l'expliquer et éclairer toute une armée d'intervenants plus néfastes les uns que les autres dans une situation manifestement contentieuse où à l'évidence il n'y avait rien de concret justifiant une mise à l'écart de fait du père, alors que la dimension pathologique du conflit conduit par la mère sautait aux yeux.
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Mer Juin 02, 2004 12:27 pm    Sujet du message: Tu as le droit de vivre et d'avoir un avis ! Répondre en citant

alain a écrit:
Si je peux me permettre un avis ...

Tu as le droit de vivre et d'avoir un avis ! Revendique-le ! Clame-le ! Pique une grosse colère et frappe du poing sur la table si quelqu'un, ici ou ailleurs, cherche encore à brimer ton droit d'avoir un avis, et de l'exprimer.

Bien sûr, en Chine, le net est aussi surveillé et réprimé que la totalité des autres média là-bas. En Chine, tu peux aller finir ta vie au Goulag, comme esclave, si tu exprimes trop de vérités dérangeantes pour la mafia au pouvoir. Mais en France, cette liberté-là nous reste, pour encore quelque temps. Profite-z-en à fond, pendant que ça dure.

Pendant que ça dure...
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alain



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MessagePosté le: Mer Juin 02, 2004 1:10 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Durant ces 3 années (et c'est pas fini), plusieurs fois j'aurais voulu m'exprimer personnellement : en audience devant le JAF !!
Hélas ceci n'est permis qu'aux avocats, certes mandatés par leur client (comme on me l'a bien servi à l'ordre des avocats quand il a daigné me recevoir après plusieurs demandes pour qu'il intervienne car l'avocate de l'ex dépassait sérieusement les limites d'un minimum de déontologie. L'avocate en question a été priée, très délicatement, sans faire de vague, de passer le dossier à un confrère.
Je me suis exprimé, battu pourrait-on dire, puisque cela ressemble à une guerre cautionnée par le système.
Je n'ai rien obtenu de concret. Il n'y a que des écrits qui illustrent clairement la démarche de la mère depuis 3 ans. Mais elle n'a rien à craindre, aucune menace....
Alors que fallait-il faire ? Laisser faire et s'épargner toutes ces blessures et humiliations et vivre avec le remors de n'avoir pas combattu ?
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allorex



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MessagePosté le: Jeu Juin 03, 2004 9:22 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Alors que fallait-il faire ? Laisser faire et s'épargner toutes ces blessures et humiliations et vivre avec le remors de n'avoir pas combattu ?

Parce qu'un père se doit de protéger ses enfants la question ne devrait même pas se poser, il faut combattre! Ne serait-ce pour prévenir nos chers petits des dangers.

Et je pense aux systèmes installés par les professions judiciaires qui consistent à prévaloir leurs poncifs au détriment de la vérité.
Moi aussi je combats ces monstres depuis 3 des années et c'est pas fini. Lorsque me vint l'image de ces pros du droit etc, poussant mon enfant attristé dans un train sans retour, j'ai crié non!!
J'ai porté plainte contre l' avocat (comme ces gens se foutent de déontologie, mes réclamations se sont portées sur des honoraires indûs)
J'ai aussi attaqué l'enquête sociale, l'école et rappelé à l'ordre un psy.

Naturellement, je me suis toujours présenté avec des preuves accablantes et textes afférents aux professions mises en causes.

Devant le JAF j'ai plaidé sans défenseur comme la loi m'y autorise.
En Cour d'Appel, idem, mais j'ai dû insister auprès de mon avoué. En effet ,sans le ministère d'un avocat, oblige la présence de l'avoué (ils n'aiment pas ça) sans pour autant plaider mais il se charge de solliciter le Président de la Cour de bien vouloir vous autoriser à vous exprimer sachant que le Président peut à touts moments vous retirer la parole, en somme l'avoué s'engage à garantir que vous serez capable de vous exprimerez et avec courtoisie et sans insultes.

C'est beaucoup de travail il vous faut rédiger des Conclusions parfaites, faire observer les lois et confondre les spécialistes.
Mais l'amour triomphe toujours!
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Saint-Thèse



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MessagePosté le: Ven Juil 02, 2004 3:10 pm    Sujet du message: Concernant Caillou de la Taupinière et son commanditaire Répondre en citant

Concernant Caillou de la Taupinière (expert psychiatre auprès des tribunaux) et son commanditaire en calomnies à gages : le Rectorat de l'Académie de G...

Les lecteurs du feuilleton se souviennent que le calomniateur à gages anonymisé plus haut était chargé d'approuver la placardisation de votre serviteur, et de lui prêter des discours apocryphes, résumés ensuite en "projets grandioses, psychorigidité, et autres mots codés que je décode fort bien, étant moi aussi un peu du métier.

Autre calomniatrice, moins payée que l'illustre expert ci-dessus, mais plus passionnée de nuire, Alie Boron scrute périodiquement Paternet et ForumQuebec, afin de vérifier si sa passion de la calomnie me nuit bien autant qu'elle le désire si passionnément...

Plusieurs lecteurs ont ensuite fait référence aux articles de mon site, traitant de mathématisation de la physique. De fil en aiguille, me voici contributeur de plus en plus actif à l'encyclopédie libre Wikipedia.org.

Et là se pose un problème éditorial de fond : comment concilier la volonté Wiki de ne publier que du consensus, avec le fait attristant que la mathématisation de la physique ne s'est jamais donnée les moyens de devenir une science ? Au contraire elle est demeurée un domaine coutumier, où les plus gros conflits d'influence et de pouvoir se règlent à coups d'intimidation, de persiflage, etc.
Le consensus de tout ce qui avait du pouvoir médical à Wien en 1848 était violemment hostile à la découverte des contraintes de l'aseptie, faite par Semmelweiss...

Voilà-t-il pas qu'on en vient à discuter des fautes méthodologiques les mieux établies, qui ont riche pignon sur rue !

Par exemple ces confusions entre niveaux d'abstraction incompatibles, sur les intimidations qui ont imposé ces confusions à des professions entières... On m'a demandé une illustration, et la voici, elle ne date pas d'hier.





C'est Alie Boron qui va en faire une tête !

En fait, depuis maintenant six ans que je suis définitivement banni de chez moi, et que ma très chère épouse a fait main basse sur toutes les archives du ménage, sur la quasi-totalité de mes biens, de ma flûte, de mes livres, depuis juillet 1998 je n'écris plus, en dernier ressort que pour mes enfants. Comme Alexandr Soljénitsyn emprisonné à la Loubianka, commençait à stocker les souvenirs avec précision, pour plus tard en témoigner à la face du Monde.

____________
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences.
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