|
www.forum-divorce-hommes.com
Forum des hommes et
pères divorcés
|
Voir le sujet précédent
:: Voir le sujet suivant |
Auteur |
Message |
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Jeu Mai 27, 2004
6:25 pm
Sujet du message: Et si les psychiatres étaient la
panacée |
|
|
Depuis
juillet 2001 je me bats en justice contre mon ex, simplement parce que
je suis père et j'aime mon enfant.
Comme d'autre, j'ai eu à me plaindre d'avocats,
d'enquêtrices sociales ou psychologues,
mais je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre d'un psychiatre.
J'ai rencontré un psychiatre désigné
par la Cour d'appel à titre
d'expert et pour la première fois il m'a semblé
voir un professionnel
équilibré.
|
|
Revenir en haut |
|
|
Jacques Lavau
Inscrit le: 04 Aôu 2003
Messages: 333
Localisation: Vaulx en Velin
|
Posté le: Jeu Mai 27, 2004
8:17 pm
Sujet du message: Ils le seraient SI... |
|
|
allorex
a écrit: |
Depuis juillet
2001 je me bats en justice contre mon ex, simplement parce que je suis
père et j'aime mon enfant.
Comme d'autre, j'ai eu à me plaindre d'avocats,
d'enquêtrices sociales ou psychologues,
mais je n'ai jamais entendu quelqu'un se plaindre d'un psychiatre.
J'ai rencontré un psychiatre désigné
par la Cour d'appel à titre
d'expert et pour la première fois il m'a semblé
voir un professionnel
équilibré.
|
Ils seraient la solution SI...
Si ils étaient eux-même au clair avec leur propre
enfance, avec les
disputes de leurs parents, etc. etc. Bref, s'ils avaient acquis le savoir être
d'un clinicien. Rien de tout cela n'est garanti ni par le
diplôme ni par les études. Rien.
J'ai rencontré des psychiatres très bien. J'ai
rencontré aussi parfois de dangereux imbéciles,
et deux ripoux.
Il nous revient à nous utilisateurs
expérimentés de l'administration
judiciaire, et des experts psychiatres, de mettre la main à
la pâte,
pour écrire noir sur blanc notre part du cahier des charges
: ce que
nous attendons comme santé mentale, et comme
honnêteté des magistrats
et des experts qu'ils désignent. Le peuple
français, c'est nous ; et
nous qui avons subi des répudiations et des campagnes de
calomnies
monstrueuses, commençons à en connaître
un bout sur cette maladie
mentale qui se manifeste dans ces divorces si conflictuels et si
délirants.
Nous commençons à en savoir long sur les
endommagements infligés aux
enfants par le syndrome d'aliénation parentale. Nous avons
des éléments
pour reconnaître justement ce syndrome, et les
altérations durables de
la jugeotte qui en découlent, dans certains jugements de
certains
juges, aliénés parentaux...
_________________
Jacques Lavau |
|
Revenir en haut |
|
|
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Jeu Mai 27, 2004
11:24 pm
Sujet du message: |
|
|
Les
psychiatres douteux que tu as rencontré
étaient-ils missionnés par un
juge afin de déterminer les mesures à prendre
dans l'intérêt de
l'enfant?
Si oui, alors j'ai eu de la chance, ouf!
J'apprécie ton analyse quant à la
nécessité de mettre la main à la
pâte et l'idée qu'il incombe à nous
citoyen, de chercher à améliorer la
situation que tu décris bien. Pour ma part je m'y
attèle, pas pour moi
car je n'y crois plus, mais pour mon fils qui sera sans doute plus
difficile à tromper.
Socrate aurait dit : de toute manière mariez vous, car si on
fait
un bon mariage on devient heureux et si on fait un mauvais mariage on
devient philosophe.
Les enfants comprendront. |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Sam Mai 29, 2004
7:23 pm
Sujet du message: Dans les grandes villes, il ne manque pas
de médecins ratés, |
|
|
allorex
a écrit: |
Les
psychiatres douteux que tu as rencontrés
étaient-ils missionnés par un
juge afin de déterminer les mesures à prendre
dans l'intérêt de
l'enfant ?
Si oui, alors j'ai eu de la chance, ouf ! ... |
Non, les deux ripoux étaient l'un dans le rectorat, l'autre
missionné par le rectorat, comme calomniateur à
gages.
Dans les pays du Tiers Monde, Amérique latine, Afrique, etc.
les
grandes multinationales disposent d'un pouvoir de corruption
fantastique. La mise à sac de l'Argentine en est un exemple
documenté
sur France 5
(http://www.france5.fr/actu_societe/articles/W00368/52/111041.cfm). En
France, les plus puissantes administrations aussi disposent d'un
pouvoir de corruption local qui fait frémir quand on en a
rencontré des
exemples, ne serait-ce qu'une seule fois dans sa vie.
Dans les grandes villes, il n'a jamais manqué de
médecins ratés,
simultanément incapables de se faire embaucher dans une
structure
hospitalière, et incapables d'atteindre les besoins de leur
train de
vie en exercice libéral. Ce sont ceux-là qui
dépendent pour leur
survie, d'une complaisance totale envers les commissariats de police.
Ils sont toujours là pour délivrer un certificat
affirmant que tel
homme passé à tabac n'a aucune blessure visible
ni aucune trace de
coups, et que par conséquent ses plaintes pour
brutalités policières ne
sont que le résultat de son imagination
enfiévrée...
Remarquez, il existe forcément aussi des commissariats
honnêtes. De
même qu'il doit bien exister, sur toutes les
Académies que comporte le
Ministère de l'Education Nationale, des Rectorats
honnêtes. Mais pas de
chance, ce n'est pas ce que j'ai constaté au Rectorat de G.
Oups ! Je
n'ai rien dit ! C'est seulement dans la capitale des noix, comme le
savent les gourmets. De même qu'il existe certainement des
proviseurs
honnêtes, dévoués au métier,
dévoués au service, et qui ne construisent
pas leur propre maison au moyen des hommes et des ressources
financières du lycée professionnel. Mais pas de
chance ! C'est
justement ce contre-exemple-là que j'ai rencontré
à « Nagoumari » (dans
toute l'Europe, les gourmands connaissent les nagouts de Nagoumari).
Mes collègues le surnommaient Gonflebouffigues.
Dévoués à leur mission, ce ne sont pas
les proviseurs honnêtes,
qui missionneraient des élèves paumés
pour exécuter leurs violences.
Mais à Nagoumari si : Gonflebouffigues a
commandité les plus paumés de
nos élèves, pour pratiquer des violences sur
professeur. J'avais déjà
eu la chance d'enregistrer sur magnétophone son
arrivée tonitruante
dans ma classe, pour se venger que j'aie cessé de l'attendre
dans
l'antichambre, pour aller prendre mes élèves
à l'heure dite, le 14
février 1997. J'ai eu plus tard la chance de tomber sur une
preuve
écrite de sa complicité envers les violences
organisées. Mais pour
étouffer ce genre de scandales, le rectorat de G dispose de
ripoux
directement salariés, calomniateurs à gages,
chargés de disqualifier
tous témoins gênants... J'ai nommé
là « Morzil Manche ». Je l'ai
pseudonymisé ainsi à l'imitation d'Alcofribas
Nasier.
Hélas, lui, je ne l'ai pas enregistré,
ça ne manquait pas de sel...
Il m'a exposé sa vision personnelle de l'histoire des
sciences, si
négationniste, une telle apologie des connivences entre
notables. Entre
médecins, je m'inquiéterais d'une
négation du sort fait à Ignac
Fülöp
Semmelweis (Buda 1818, Wien 1865) par la connivence des
autorités
médicales de Wien, en représailles d'avoir
découvert, puis publié en
1848 les lois de l'asepsie : Semmelweis voulait imposer que l'on se
lavât les mains après avoir
disséqué les cadavres, et avant de toucher
les accouchées, afin de cesser de les tuer par
septicémie, qu'on
appelait alors fièvre puerpérale. Mais alors,
comment allait-on prouver
sa virilité aux autres carabins ? En ce temps là,
était le plus viril
et jouissait du prestige, celui qui s'essuyait le mieux ses mains
pleines de sang ou de pus, sur les revers de sa veste. L'affaire
Semmelweis est la honte ineffaçable du corps
médical. Entre physiciens,
je m'inquiéterais du négationnisme qui
consisterait à nier l'escalier
sous lequel Pierre Curie avait son laboratoire jusqu'au delà
de la
soutenance de sa thèse en 1894. Hé oui, Pierre
Curie n'était pas issu
de Grandes Ecoles, et il l'a payé très cher toute
sa vie. Donc
MorzilManche était chargé de me mentir comme
arracheur de dents, et de
me déclarer fou dans ma tête. Ce qu'il fit. Il
avait la sentence dans
sa poche avant de me voir, et l'aurait énoncée
aussi bien sans me voir.
Les années suivantes, n'ayant donc plus rien à
faire qui soit
professionnel à Nagoumari, je me suis
déchargé de la corvée de me faire
insulter et bafouer tout le restant du jour et de la nuit, à
domicile,
en ce somptueux huis-clos de Château la Haine, si
dangereusement isolé
loin de tous regards et de tous témoins
extérieurs. J'ai échappé de mon
vivant à mes deux tortionnaires à domicile : j'ai
repris des études, à
Lyon. J'ignorais alors si c'était pour trois semaines, pour
quatre
semaines, ou pour trois mois. J'y suis encore... mais trois semaines de
survie, au voisinage de gens sains d'esprit, c'était
toujours bon à
prendre, cela valait bien un paiement de droits universitaires.
En janvier 1998, il fallait bien régulariser
administrativement
l'état de fait créé pour
protéger la pourriture de Gonflebouffigues. Un
psychiatre lyonnais a donc été
missionné pour me déclarer inapte d'une
façon d'une autre. Il lui a fallu une demi-heure pour
s'apercevoir que
le diagnostic que l'inspection académique lui dictait ne
correspondait
à rien du tout ; il m'avait longuement pressé
d'avouer que j'étais
gravement déprimé, que j'avais peur de mes
élèves, que j'étais
paranoïaque, etc.
Déprimé,
moi ? Je viens d'échapper de
mon vivant à mes deux tortionnaires à domicile,
j'ai minci de quatre
kilos, je ne me suis jamais si bien porté depuis six ans.
Peur de mes élèves ? Arrêtez les
conneries, arrêtez de croire sur
parole tout ce qu'on vous dicte depuis Valence sans m'avoir jamais vu.
Etc.
Protecteur et maternel, il se fait une idée fort peu
officielle de la
condition psychologique des profs du secondaire – il en voit
beaucoup
qui craquent, sur l'académie de Lyon, il sait la violence
ordinaire
installée dans bien des établissements - , et
trouve que j'occupe fort
bien mes loisirs forcés, avec cette reprise
d'études, que comme moi, il
estime provisoire, et il rédige en termes fort vagues, mais
propres à
me laisser le temps de terminer tranquillement l'année
universitaire.
Et moi, j'échappe de mon vivant à mes deux
tortionnaires à domicile.
Rappel : par courrier du 18 août 1997, j'avais
prévenu deux amis très
chers, et les deux femmes qui constituent toute ma famille d'origine,
que quelle que soit la mise en scène convaincante
constituée par les
deux conjurées, mon épouse Gazonbleu, et sa fille
aînée Frédégonde, mon
cadavre ne sera jamais celui d'un suicidé, ni d'un
accidenté
accidentellement, mais bien celui d'un assassiné, et qu'il
faudra
sérieusement secouer la police judiciaire, afin qu'elle ne
se contente
pas de faire semblant d'enquêter.
Rappel : les photos du frein saboté le 18 juillet 1998 par
les soins de ma très chère épouse,
sont consultables sur mon site.
Deux ans plus tard, an 2000, je suis impatient de reprendre mon
métier, et multiplie les certificats aussi bien de
généraliste que de
psychiatre, rappelant que je suis en pleine forme, et pleine possession
de tous mes moyens. Oh mais pas question ! Depuis le temps qu'on vous
déclare inapte, on ne va quand même pas changer
d'avis !
Cette fois, c'est Caillou de la Taupinière qui est
chargé de me
déclarer fou dans ma tête par l'inspection
académique. Il lui faut plus
de deux mois afin d'oublier les faits, et ne plus écrire que
ce qui
convient aux demandes de l'inspection académique. Il faut
savoir que
cette partie de votre dossier administratif, celle qui se
revêt d'une
aura médicale, vous est totalement secrète.
Chaque fois que je parviens à faire lire par le
médecin
généraliste de mon quartier les
élucubrations de Caillou de la
Taupinière, je suis stupéfait par les discours
apocryphes qu'il me
prête. J'admire les allusions codées, toutes
immédiatement traduisibles
en « parfait paranoïaque » par le
collègue de Valence : « psychorigide... projets
grandioses...
». Je ne peux hélas guère donner les
détails en raison du dispositif de
protection des ripoux : le généraliste n'est pas
autorisé à me montrer,
et encore moins à me laisser photocopier les
écrits du ripoux, il doit
juste me traduire avec ses mots à lui, « ce qu'il estime compatible avec
l'état de santé du patient
». Et il doit retourner dans les huit jours ce rapport d'expert psychiatre,
sous peine de, etc. De quoi faire reculer tout médecin de
quartier.
Inattaquable, le monsieur Caillou de la Taupinière ! Expert
auprès des
tribunaux, expert de l'administration judiciaire, chargé des
détenus de
la prison de Lyon... Je trouverai bien un contre-expert en ville, mais
aucun qui soit lui aussi expert auprès des tribunaux : tous
se défilent
immédiatement. Même B. J., qui est en exercice
à Saint-Jean de Dieu,
estime qu'avec ce divorce si violemment conflictuel, j'ai encore un
soupçon de fragilité, et qu'en
conséquence il me renvoie sans papier,
mais estime qu'avec ma formulation : Un tracteur agricole n'est pas
une Formule 1 malade,
pas plus qu'une Formule 1 n'est un tracteur agricole malade,
il a amplement justifié l'heure qu'il m'a
consacrée.
Bref, tu es seul au monde, pour tâcher de prouver
à ton rectorat, et à
ton inspection académique, que tu es largement en
très bonne forme
physique et mentale, s'ils ont décidé que tu es
un fou fini, afin de
protéger la corruption et les fautes professionnelles d'un
membre de la
caste du Parti Intérieur.
D'autres que moi ont décrit les complicités entre
les JAF et les
enquêtrices sociales : on doit caresser le JAF dans le sens
du poil,
afin d'obtenir d'autres missions.
J'ai déjà rendu compte du livre de Patrick
Pognant, La paranoïa
menottée » ([b]Procès de Philippe
Naigeon, La paranoïa menottée. Essai
de Patrick Pognant, Editions de L'Harmattan, 2002, 368 p.[/] http://ppognant.online.fr/proces01.html),
qui décrit comment la cour d'assises de Paris a
jugé un fou, et comment
les experts psychiatres agréés par cette cour, se
plient tout comme
elle au devoir politique et publicitaire.
Voilà : depuis plus d'un siècle et demi, comme
l'a amplement
démontré Michel Foucault, les
aliénistes couchent dans le lit de la
Justice, et en ont contracté une sacrée part de
sa corruption
intrinsèque.
Quand à la question des psychiatres idiots, j'en ai
rencontré un au
moins, il y a longtemps, à « Sottenville
», et c'était à titre
professionnel. Obsédé de nier les gens, W.
cherchait la molécule de la
folie. Il a ainsi laissé suicider les deux
beaux-frères de « Alie Boron
», dont vous lisez quelques exploits de faux
témoin, sur mon site, et
ici même, où j'ai déjà
recopié ses délires, ainsi que
l'impunité totale
que lui a garantie le TGI. D'autres incompétents, oui, mais
cela nous
renvoie à mon enfance et mon adolescence, au temps
où telle sommité
lyonnaise aidait à organiser mon suicide. Il est vrai que je
n'étais
plus catho, et que j'étais totalement insensible
à ses sermons sur la
grandeur de son dieu, et que cela faisait désordre dans son
esprit de
faux-jeton. Et de nos jours, la réputation de ce faux-cul
reste
toujours intouchable auprès de certains, ici à
Lyon. Ah ! La complicité
entre notables !
Si vous ouvrez des livres de management consacrés
à la qualité,
vous constaterez que la qualité est jugée en
dernier ressort par le
client, et non pas par le fournisseur.
Toutes les corruptions et les incompétences professionnelles
que
j'ai mentionnées aujourd'hui ou les autres jours, ne se
maintiennent au
pouvoir que parce que le client final, le peuple français,
est muselé.
Le notable conserve sa toute-puissance d'Ancien Régime,
grâce à ses
réseaux d'influence entre notables. Les élites
à la française se sont
ingéniées à conserver le plus gros de
leurs privilèges d'Ancien Régime,
par exemple en maintenant hors du droit commun les administrations
régaliennes qu'ils détiennent.
Traditionnellement, une de leurs astuces
favorites consiste à disséminer des
privilèges secondaires à ceux dont
ils ont besoin pour étouffer les scandales. Par exemple, le
personnel
de l'administration rectorale est immensément
privilégié,
comparativement aux professeurs et aux surveillants dans les
établissements d'enseignement. Ainsi est acheté
son silence et sa
complicité : Pas
de vagues ! Surtout pas de vagues !
Gonflebouffigues, MorzilManche, et Caillou de la Taupinière
sont la
honte de la Fonction Publique. Vous avez donné des preuves
que certains
JAF font de même. Nous avons quelques noms.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Sam Mai 29, 2004
7:41 pm
Sujet du message: Argentine, voir aussi l'article sur le
Monde Diplomatique : |
|
|
Argentine,
voir aussi l'article sur le Monde Diplomatique :
http://www.monde-diplomatique.fr/2002/01/GABETTA/16029
Il y a aussi le site de ATTAC : http://attac.org/fra/inte/argentine.htm
mais il semble en panne quand je le consulte.
Pour la France, j'ai déjà cité le
livre d'Yves Mény : La
corruption de la République, mais il ne
s'intéresse pas à l'administration judiciaire,
hélas.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Alie Boron
Inscrit le: 30 Mai 2004
Messages: 8
Localisation: Sottenville
|
Posté le: Dim Mai 30, 2004
8:52 pm
Sujet du message: et si les psychiatres étaient la
panacée |
|
|
D'après
St-Thèse mes deux beaux-frères se seraient
suicidés..... Petit
problème, je n'ai jamais eu deux beaux-frères
mais un seul: je suis
fille unique et mon mari n'a jamais eu qu'un frère! |
|
Revenir en haut |
|
|
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Dim Mai 30, 2004
9:50 pm
Sujet du message: |
|
|
Ton
témoignage me fait penser à du Céline,
un chef-oeuvre de lâcheté et
parfaite médiocrité de beaucoup de notables.
Quoique en haut lieu ce
n'est pas plus frais.
J'ai sacrifié du temps à confondre ces
infâmes, et seul les
psychiatres ont reconnu leurs maladresses, ce qui m'aidera en appel.
En l'occurence les juges ne reconnaissent pas leurs erreurs et quant
aux avocats les 3/4 se comportent comme des esccrocs. |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
8:38 am
Sujet du message: La thèse de Céline
portait justement sur Semmelweis. |
|
|
allorex
a écrit: |
Ton
témoignage me fait penser à du
Céline... |
SEMMELWEIS
DE LOUIS-FERDINAND CÉLINE
Editeur : Gallimard
Prix du livre : 5.79 Euros
Thèse de médecine de l’auteur, soutenue
en 1924 et publiée en 1936.
Quant à moi, j'en avais eu connaissance par la traduction
orale que m'avait faite Joseph Davidovits du livre "Das Jarhundert der Chirurgen",
où un médecin allemand consigne les
mémoires de son grand-père, chirurgien.
Ouverture du chapitre consacré à l'affaire
Semmelweis (je cite de mémoire) :
"L'affaire Semmelweis
est la
plus grande honte de notre profession, et c'est aussi ma plus grande
honte personnelle, car moi aussi j'étais au courant, et moi
aussi je
n'ai rien fait.
J'étais alors parti aux Etats Unis, où je
m'initiais à la narcose,
qui venait d'être découverte, et j'ai
écrit une lettre au professeur
Michaelis, de Kiel. On m'a retourné ma lettre en
m'expliquant qu'elle
arrivait trop tard, car le professeur Michaelis s'était
suicidé. Il
venait de lire la publication du docteur Semmelweis, un jeune
médecin à
Wien, qui explique que la fièvre puerpérale est
transmise par les
médecins eux-mêmes, par les substances qu'ils
portent sur leurs mains
après avoir disséqué les cadavres. Le
docteur Michaelis était alors
accablé par le deuil d'avoir perdu sa belle-fille, morte en
couches de
fièvre purpérale. Il n'a pas supporté
la honte de l'avoir lui-même tuée
par inconséquence, de l'avoir examinée sans
s'être lavé les mains...
C'est pourquoi il a mis fin à ses jours. ..."
J'ai cité de mémoire : ceci m'a
été lu et traduit à la
volée à la fin de l'hiver 1978, voici donc
vingt-six ans.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
8:42 am
Sujet du message: La thèse de Céline
portait justement sur Semmelweis. |
|
|
allorex
a écrit: |
Ton
témoignage me fait penser à du
Céline... |
SEMMELWEIS
DE LOUIS-FERDINAND CÉLINE
Editeur : Gallimard
Prix du livre : 5.79 Euros
Thèse de médecine de l’auteur, soutenue
en 1924 et publiée en 1936.
Quant à moi, j'en avais eu connaissance par la traduction
orale que m'avait faite Joseph Davidovits du livre "Das Jarhundert der Chirurgen",
où un médecin allemand consigne les
mémoires de son grand-père, chirurgien.
Ouverture du chapitre consacré à l'affaire
Semmelweis (je cite de mémoire) :
"L'affaire Semmelweis
est la
plus grande honte de notre profession, et c'est aussi ma plus grande
honte personnelle, car moi aussi j'étais au courant, et moi
aussi je
n'ai rien fait.
J'étais alors parti aux Etats Unis, où je
m'initiais à la narcose,
qui venait d'être découverte, et j'ai
écrit une lettre au professeur
Michaelis, de Kiel. On m'a retourné ma lettre en
m'expliquant qu'elle
arrivait trop tard, car le professeur Michaelis s'était
suicidé. Il
venait de lire la publication du docteur Semmelweis, un jeune
médecin à
Wien, qui explique que la fièvre puerpérale est
transmise par les
médecins eux-mêmes, par les substances qu'ils
portent sur leurs mains
après avoir disséqué les cadavres. Le
docteur Michaelis était alors
accablé par le deuil d'avoir perdu sa belle-fille, morte en
couches de
fièvre purpérale. Il n'a pas supporté
la honte de l'avoir lui-même tuée
par inconséquence, de l'avoir examinée sans
s'être lavé les mains...
C'est pourquoi il a mis fin à ses jours. ..."
J'ai cité de mémoire : ceci m'a
été lu et traduit à la
volée à la fin de l'hiver 1978, voici donc
vingt-six ans.
Merci à Joseph Davidovits d'avoir consacré deux
heures d'un dimanche après-midi à me faire cette
lecture.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
8:56 am
Sujet du message: Aussi : ’L’HOMME QUI
VOULAIT SAUVER LES FEMMES’ |
|
|
Interrogez
Google avec "Céline+thèse+Semmelweis", et vous
aurez environ 130 réponses, dont celle-ci :
SPECTACLE ’L’HOMME QUI VOULAIT SAUVER LES
FEMMES’
19/03/2004, 20/03/2004 et 22/03/2004 - THEATRE ET MARIONNETTES
http://www.russie.net/article.php3?id_article=1045
Russie.net - Compagnie "La Mémoire et l’Instant"
en 2001
L’HOMME QUI VOULAIT SAUVER LES FEMMES, D’APRES
"SEMMELWEIS" DE LOUIS FERDINAND CELINE -
UN SPECTACLE CONCU ET INTERPRETE PAR CHIRSTINE LAPSCA ET MICHEL
SIGALLA.
THEATRE ET MARIONNETTES.
19/03/2004, 20/03/2004 et 22/03/2004
à 20h00
RESERVATIONS AU 01 43 63 41 61.
PLACEMENT LIBRE.
BILLET D’ACCES DIRECT A LA SALLE.
Centre d’échange et de création des
Arts de la scène
23 bis rue du Chassagnolle
93260 Les Lilas
Ignace-Philippe Semmelweis 1818 - 1865, Chirurgien et
obstétricien hongrois
"Il n’y a pas de petite ressource pour le génie,
il n’y en a que de possibles ou d’impossibles."
L.F. Céline.
"La vie et l’oeuvre de Ignace-Philippe Semmelweis", cette
grande figure
de la médecine fut choisie par Céline
(Louis-Ferdinand Destouches, dit)
en 1924 comme sujet pour sa thèse de doctorat en
médecine. Il en a fait
un héros de la médecine moderne. Né
à Buda en Hongrie, le 18 juillet
1818, Ignace-Philippe Semmelweis était le
quatrième fils d’un père
épicier. Il fit ses études au lycée de
Pest puis à l’université de
Vienne. Étudiant hongrois, il quitta Budapest pour apprendre
à Vienne
d’abord le droit avant de se tourner vers la
médecine. Là il eut des
maîtres prestigieux : Skoda le grand clinicien de
l’époque, et
Rokitansky l’anatomo-pathologiste.
Histoire de "L’Homme qui voulait sauver les femmes"
Semmelweis est nommé maître en chirurgie en 1846,
et professeur
assistant dans le service du Professeur Klin, chef de service de
l’un
des deux pavillons de la maternité de
l’hôpital général de la ville
de
Vienne, l’autre pavillon ayant pour patron le professeur
Barcht. Il ne
met pas longtemps pour découvrir les ravages que fait la
fièvre
puerpérale et se trouve confronté à la
tragédie qui se déroule chaque
jour dans ce service. Les parturientes lui apprennent que les femmes
redoutent à venir accoucher dans cet hôpital, tant
les risques de
fièvre ou de mort sont élevés. Dans
ces conditions seules les femmes
qui au dernier moment ne trouvaient pas d’autres
possibilités, se
résignaient à y être admises. Dans un
service, la létalité pouvait
atteindre 30%, dans l’autre 1% à 2% seulement. Le
premier était tenu
par les médecins et les étudiants en
médecine, le second par les
sages-femmes et les élèves sages-femmes.
Semmelweis se trouve
rapidement confronté à un mal sur lequel il est
le seul à s’interroger
et qu’il tentera d’éradiquer
à force d’observations et de
réflexions,
gardant toujours à l’esprit que l’ "on
meurt davantage chez Klin que
chez Barcht." C’est alors qu’il observa que les
étudiants se
déplaçaient des salles de dissection
cadavériques vers les salles
d’accouchements, sans précaution
particulière. Il remarqua que
s’exhalent des relents cadavériques des mains des
professeurs,
assistants, étudiants qui pratiquent des dissections sur les
cadavres
et c’est ainsi qu’ils se rendent au chevet des
femmes en couches. Il en
conclut qu’il devait y avoir un AGENT INVISIBLE , causant la
mort et
que l’on devait éviter de transférer
cet agent de la salle d’autopsie à
la salle d’accouchement. Il eut donc
l’idée, de faire pratiquer un
lavage systématique des mains, de tous les
étudiants, à l’aide d’une
solution de chlorure de calcium, bien que cette mesure ne corresponde
à
aucune exigence scientifique à
l’époque. À partir de 1847, il interdit
aux étudiants en médecine de quitter les salles
de dissection sans
s’être lavé les mains, ce qui
entraîne immédiatement une baisse
significative des taux de la mortalité qui passe de 12%
à 3%. Il étend
ses formalités de désinfection à toute
personne ayant été au contact
d’une malade, d’instruments de chirurgie ou de
pansements, il ordonne
l’isolement des femmes malades : la mortalité
tombe à 1%. Semmelweis
fait part de son observation à son Maître Klin,
auquel il demande de se
soumettre également au lavage systématique des
mains. Sans doute vexé,
Klin révoqua son assistant sans ménagement.
Des communications sont faites à
l’Académie des Sciences par Skoda,
à la Société de Médecine
par Hebra, ceux-ci sont favorables à la
théorie de Semmelweis qui jalousé et
persécuté, n’arrive pas à
faire
reconnaître sa découverte par ses
collègues qui considèrent le lavage
des mains comme contraignant et inopportun, Semmelweis doit de nouveau
quitter Vienne. Hebra, qui fut un des rares à soutenir
Semmelweis
déclara même "quand on fera l’histoire
des erreurs humaines, on
trouvera difficilement des exemples de cette force et on restera
étonné
que des hommes aussi compétents, aussi
spécialisés, puissent, dans leur
propre science, demeurer aussi aveugles, aussi stupides." Ce
à quoi
Klin répondit : "Monsieur Semmelweis prétend que
nous transportons sur
nos mains de petites choses qui seraient la cause de la
fièvre
puerpérale. Quelles sont ces petites choses, ces particules
qu’aucun
oeil ne peut voir ? C’est ridicule ! Les petites choses de
Monsieur
Semmelweis n’existent que dans son imagination ! ".
Céline - Semmelweis
On l’oublie souvent, Céline a
été médecin avant
d’étre
écrivain...Dans sa thèse de médecine
"Semmelweis", soutenue à l’age de
30 ans, en 1924, Louis-Ferdinand Destouches (Céline)se
passionne pour
la découverte de l’asepsie...
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
9:14 am
Sujet du message: OK, un seul beau-frère
suicidé. |
|
|
Alie
Boron a écrit: |
D'après
St-Thèse mes deux beaux-frères se seraient
suicidés..... Petit
problème, je n'ai jamais eu deux beaux-frères
mais un seul: je suis
fille unique et mon mari n'a jamais eu qu'un frère! |
OK, un seul beau-frère suicidé. Dont acte.
Nous étions d'accord, en ces années 1990-1995,
que le docteur W. était
un dangereux incompétent, obsédé de
molécules-rien-que-de-molécules, et
infoutu d'écouter les gens, et c'était bien lui
qui s'était "occupé" de
votre beau frère, frère de votre mari.
Cela, le contestez-vous ?
Contestez-vous aussi vous être invitée de nombreux
dimanches
après-midi, pour vous faire écouter
déblatérer pis que pendre de tous
voisins et collègues ?
Contestez-vous que j'ai été souvent
chargé de vous répondre que mon épouse
n'était pas là ? "Si c'est encore Alie, je n'y
suis pas ! Elle va encore me faire perdre tout mon
après-midi !". Il se trouve que je n'en suis
pas le seul témoin, et que l'un d'entre eux en a
témoigné par écrit, témoin
direct.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
Alie Boron
Inscrit le: 30 Mai 2004
Messages: 8
Localisation: Sottenville
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
9:54 am
Sujet du message: et si les psychiatre étaient la
panacée |
|
|
Mon
beau-frère est mort en 1982, alors ce que faisait le docteur
W, que je
n'ai pas l'honneur de connaître dans les années
90-95 est le cadet de
mes soucis. Mon beau-frère habitait et était
soigné à Creil, donc pas
par le docteur W.
J'allais fréquemment rendre visite à ton
épouse, ou elle venait chez
moi, pendant les vacances scolaires ou le mercredi
après-midi ,parfois
le samedi, jamais le dimanche car j'allais avec mes enfants et mon
mari, s'il n'était pas de service, chez ma mère
et ma belle-mère.
Dire du mal de mes collègues et voisins, ça c'est
dans tes rêves!
D'ailleurs, quoique je ne soit plus en activité, j'ai
toujours
d'excellentes relations avec mes collègues qui ne manquent
jamais une
occasion de m'inviter à un pot. Quant à mes
voisins, qui sont
aujourd'hui décédés, je les
connaissais depuis ma plus tendre enfance
et les aimais beacoup.
Comme je l'ai dit sur les autres posts que j'ai envoyé, je
ne te
répondrai plus à tes élucubrations, je
n'ai pas de temps à perdre. |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Lun Mai 31, 2004
1:18 pm
Sujet du message: Une des deux versions est donc
mensongère. |
|
|
Alie
Boron a écrit: |
Mon
beau-frère est mort en 1982, alors ce que faisait le docteur
W, que je
n'ai pas l'honneur de connaître dans les années
90-95 est le cadet de
mes soucis. Mon beau-frère habitait et était
soigné à Creil, donc pas
par le docteur W. |
Une des deux versions est donc mensongère. Soit celle de ce
jour par
écrit, soit la version orale que vous avez donné
à Saint-Quentin. A
cette époque, le psychiatre W. vous était
parfaitement connu, et votre
phrase est textuellement : "W.
Il lui recherchait dans la tête la molécule de la
folie..."
Eventuellement les deux versions contiennent des affabulations. Vous
mentez systématiquement.
Alie
Boron a écrit: |
J'allais
fréquemment rendre visite à ton
épouse, ou elle venait chez moi,
pendant les vacances scolaires ou le mercredi après-midi
,parfois le
samedi, jamais le dimanche car j'allais avec mes enfants et mon mari,
s'il n'était pas de service, chez ma mère et ma
belle-mère.
Dire du mal de mes collègues et voisins, ça c'est
dans tes rêves!
D'ailleurs, quoique je ne soit plus en activité, j'ai
toujours
d'excellentes relations avec mes collègues qui ne manquent
jamais une
occasion de m'inviter à un pot. Quant à mes
voisins, qui sont
aujourd'hui décédés, je les
connaissais depuis ma plus tendre enfance
et les aimais beacoup.
Comme je l'ai dit sur les autres posts que j'ai envoyé, je
ne te
répondrai plus à tes élucubrations, je
n'ai pas de temps à perdre. |
Encore des mensonges : presque toujours le dimanche
après-midi, vos visites entempestives.
Dire du mal des autres est votre raison de vivre. J'y étais.
Mon épouse ne vous supportait plus.
La seule raison pour laquelle elle a fait appel à vous pour
vous
exploiter comme faux témoin est qu'elle connaît
votre incurable passion
pour la médisance envers son prochain.
Si elle avait une astuce pour vous laisser tomber, et rester
impunie, elle avec tout son butin, elle n'hésiterait pas
à vous laisser
tomber comme elle a laissé tomber tous ceux qui ont
connaisance de la
réalité de ses mensonges. Mais là, son
sort au correctionnel est lié au
vôtre...
Et l'affaire de votre faux témoignage est loin
d'être définitivement classée. J'y
veille personnellement.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Mar Juin 01, 2004
1:20 pm
Sujet du message: |
|
|
Saint-thèse
a écrit :
Citation: |
Merci de m'avoir fait connaître Semmelweis, je suis content
de pouvoir dans ce forum souvent m'instruire.
Je ne doute pas que la vérité possède
une parfaite valeur morale.
Cependant elle ne rapporte que le fait lui-même, ce qui donne
toute
amplitude à embrouiller les circonstances. Toutefois les
mensonges ne
pourraient pas tenir sans ancrage à la
réalité.
En justice, je remarque que les juges sont vite
dépassés et s'en
remettent aux psychiatres, comme si ces derniers
détiendraient la juste
moralité.
Ainsi les juges s'en lavent les mains ouvrant une brèche aux
sous-traitants, petits avocats, enquêtrices, pour qui le
Droit n'est ni
la vérité, ni la morale mais d'abord un moyen de
ce faire de l'argent.
Et d'après les nombreux témoignages de
pères, j'ai cru observer
moins de critiques envers les experts psychiatres qui sembleraient plus
près de la vérité, dans le sens
étymologique du mot.
|
|
|
Revenir en haut |
|
|
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Mar Juin 01, 2004
1:30 pm
Sujet du message: |
|
|
Mille
excuses Saint-Thèse. Je me suis planté en
cherchant à employer le "Quote" .
Merci d'observer que ci-dessus n'est nullement une citation de
Saint-Thèse mais un texte d'allorex. |
|
Revenir en haut |
|
|
alain
Inscrit le: 01 Oct 2002
Messages: 764
Localisation: NANTES
|
Posté le: Mer Juin 02, 2004
10:49 am
Sujet du message: |
|
|
Si
je peux me permettre un avis suite à un vécu
récent assez 'riche', où
j'ai donc pu observer : les avocats (le mien, celui de mes enfants, les
3 successifs de mon ex), les JAF ( 3 successifs en 3 ans), les JDE (2),
les intervenants de l'enquête sociale (assistante sociale et
psychologue), le médiateur pénal, les
intervenants de l'IOE (éducateur,
psychologue), les intervenants du point rencontre
(éducateurs,
psychologue), l'expert psychiatre missionné par le JAF, eh
bien, c'est
de loin le psychiatre qui me semble avoir la meilleure
compétence pour
comprendre la situation, l'expliquer et éclairer toute une
armée
d'intervenants plus néfastes les uns que les autres dans une
situation
manifestement contentieuse où à
l'évidence il n'y avait rien de concret
justifiant une mise à l'écart de fait du
père, alors que la dimension
pathologique du conflit conduit par la mère sautait aux yeux. |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Mer Juin 02, 2004
12:27 pm
Sujet du message: Tu as le droit de vivre et d'avoir un avis ! |
|
|
alain
a écrit: |
Si je peux me
permettre un avis ... |
Tu as le droit de vivre et d'avoir un avis ! Revendique-le ! Clame-le !
Pique une grosse colère et frappe du poing sur la table si
quelqu'un,
ici ou ailleurs, cherche encore à brimer ton droit d'avoir
un avis, et
de l'exprimer.
Bien sûr, en Chine, le net est aussi surveillé et
réprimé que la
totalité des autres média là-bas. En
Chine, tu peux aller finir ta vie
au Goulag, comme esclave, si tu exprimes trop de
vérités dérangeantes
pour la mafia au pouvoir. Mais en France, cette
liberté-là nous reste,
pour encore quelque temps. Profite-z-en à fond, pendant que
ça dure.
Pendant que ça dure...
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
alain
Inscrit le: 01 Oct 2002
Messages: 764
Localisation: NANTES
|
Posté le: Mer Juin 02, 2004
1:10 pm
Sujet du message: |
|
|
Durant
ces 3 années (et c'est pas fini), plusieurs fois j'aurais
voulu m'exprimer personnellement : en audience devant le JAF !!
Hélas ceci n'est permis qu'aux avocats, certes
mandatés par leur
client (comme on me l'a bien servi à l'ordre des avocats
quand il a
daigné me recevoir après plusieurs demandes pour
qu'il intervienne car
l'avocate de l'ex dépassait sérieusement les
limites d'un minimum de
déontologie. L'avocate en question a
été priée, très
délicatement, sans
faire de vague, de passer le dossier à un
confrère.
Je me suis exprimé, battu pourrait-on dire, puisque cela
ressemble à une guerre cautionnée par le
système.
Je n'ai rien obtenu de concret. Il n'y a que des écrits qui
illustrent clairement la démarche de la mère
depuis 3 ans. Mais elle
n'a rien à craindre, aucune menace....
Alors que fallait-il faire ? Laisser faire et s'épargner
toutes
ces blessures et humiliations et vivre avec le remors de n'avoir pas
combattu ? |
|
Revenir en haut |
|
|
allorex
Inscrit le: 04 Mar 2004
Messages: 26
|
Posté le: Jeu Juin 03, 2004
9:22 am
Sujet du message: |
|
|
Citation: |
Alors
que fallait-il faire ? Laisser faire et s'épargner toutes
ces blessures
et humiliations et vivre avec le remors de n'avoir pas combattu ? |
Parce qu'un père se doit de protéger ses enfants
la question ne devrait
même pas se poser, il faut combattre! Ne serait-ce pour
prévenir nos
chers petits des dangers.
Et je pense aux systèmes installés par les
professions judiciaires
qui consistent à prévaloir leurs poncifs au
détriment de la vérité.
Moi aussi je combats ces monstres depuis 3 des années et
c'est pas
fini. Lorsque me vint l'image de ces pros du droit etc, poussant mon
enfant attristé dans un train sans retour, j'ai
crié non!!
J'ai porté plainte contre l' avocat (comme ces gens se
foutent de
déontologie, mes réclamations se sont
portées sur des honoraires indûs)
J'ai aussi attaqué l'enquête sociale,
l'école et rappelé à l'ordre un psy.
Naturellement, je me suis toujours présenté avec
des preuves accablantes et textes afférents aux professions
mises en causes.
Devant le JAF j'ai plaidé sans défenseur comme la
loi m'y autorise.
En Cour d'Appel, idem, mais j'ai dû insister
auprès de mon avoué.
En effet ,sans le ministère d'un avocat, oblige la
présence de l'avoué
(ils n'aiment pas ça) sans pour autant plaider mais il se
charge de
solliciter le Président de la Cour de bien vouloir vous
autoriser à
vous exprimer sachant que le Président peut à
touts moments vous
retirer la parole, en somme l'avoué s'engage à
garantir que vous serez
capable de vous exprimerez et avec courtoisie et sans insultes.
C'est beaucoup de travail il vous faut rédiger des
Conclusions parfaites, faire observer les lois et confondre les
spécialistes.
Mais l'amour triomphe toujours! |
|
Revenir en haut |
|
|
Saint-Thèse
Inscrit le: 07 Nov 2002
Messages: 1140
Localisation: Lyon
|
Posté le: Ven Juil 02, 2004
3:10 pm
Sujet du message: Concernant Caillou de la
Taupinière et son commanditaire |
|
|
Concernant
Caillou de la Taupinière (expert psychiatre
auprès des tribunaux) et
son commanditaire en calomnies à gages : le Rectorat de
l'Académie de
G...
Les lecteurs du feuilleton se souviennent que le calomniateur
à
gages anonymisé plus haut était chargé
d'approuver la placardisation de
votre serviteur, et de lui prêter des discours apocryphes,
résumés
ensuite en "projets
grandioses, psychorigidité, et autres mots
codés que je décode fort bien, étant
moi aussi un peu du métier.
Autre calomniatrice, moins payée que l'illustre expert
ci-dessus, mais
plus passionnée de nuire, Alie Boron scrute
périodiquement Paternet et
ForumQuebec, afin de vérifier si sa passion de la calomnie
me nuit bien
autant qu'elle le désire si passionnément...
Plusieurs lecteurs ont ensuite fait référence aux
articles de mon
site, traitant de mathématisation de la physique. De fil en
aiguille,
me voici contributeur de plus en plus actif à
l'encyclopédie libre
Wikipedia.org.
Et là se pose un problème éditorial de
fond : comment concilier la volonté Wiki de ne publier que
du consensus,
avec le fait attristant que la mathématisation de la
physique ne s'est
jamais donnée les moyens de devenir une science ? Au
contraire elle est
demeurée un domaine coutumier, où les plus gros
conflits d'influence et
de pouvoir se règlent à coups d'intimidation, de
persiflage, etc.
Le consensus
de tout ce
qui avait du pouvoir médical à Wien en 1848
était violemment hostile à
la découverte des contraintes de l'aseptie, faite par
Semmelweiss...
Voilà-t-il pas qu'on en vient à discuter des
fautes méthodologiques les mieux établies, qui
ont riche pignon sur rue !
Par exemple ces confusions entre niveaux d'abstraction
incompatibles, sur les intimidations qui ont imposé ces
confusions à
des professions entières... On m'a demandé une
illustration, et la
voici, elle ne date pas d'hier.
C'est Alie Boron qui va en faire une tête !
En fait, depuis maintenant six ans que je suis
définitivement banni
de chez moi, et que ma très chère
épouse a fait main basse sur toutes
les archives du ménage, sur la quasi-totalité de
mes biens, de ma
flûte, de mes livres, depuis juillet 1998 je
n'écris plus, en dernier
ressort que pour mes enfants. Comme Alexandr Soljénitsyn
emprisonné à
la Loubianka, commençait à stocker les souvenirs
avec précision, pour
plus tard en témoigner à la face du Monde.
____________
La science se distingue de tous les autres modes de transmission
des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les
experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent
contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et
qu’il faut prendre la
peine de vérifier, par des expériences.
_________________
Les morts ne témoignent pas... |
|
Revenir en haut |
|
|
|
|
Vous ne
pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce
forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce
forum
|
|