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Accueil > Littérature & Poésie > Trompettes de la calomnie ! |
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Synapse
Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897
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Posté le: 31 Mar 2004 1:54 |
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Trompettes de la calomnie !
(Air de Georges Brassens : Trompettes de la renommée)
Je vivais à l’écart de la guerre sexiste,
Physicien bricoleur, bégayant et timide.
En quête de butin, les femmes d’embuscade,
M’eurent bientôt choisi, comme cible de leur haine.
Refus d’obtempérer à l’ordre de suicide !
Deux sabotages de frein devaient régler mon sort !
Mais là la chanc’ tourna : au lieu d’être un cadavre,
Je suis maint’nant la cibl’ des cercles de rumeurs !
Refrain :
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
"Au secours d’la rumeur, je suis toujours présente !
Il ose les contrepets, et n’m’a jamais draguée !
Ce n’est qu’un hétéro, même pas une lesbienne !
Il fait ç’que dit sa femme, et n’en pense pas moins.
J’ai donc tout bien compris, et son sort est scellé !
Mon instinct d’infirmière, ne m’a jamais trompée,
D’ailleurs on m’l’a dictée, cette rumeur concertée :
Cet ironiste distrait est donc violeur d’fillettes !"
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
"J’avais l’monde à mes pieds ! Tous buvant mes paroles !
François était baveux, tout petit subjugué,
Les yeux écarquillés, devant ma toute-science :
L’enfant dans le parent, le parent dans l’enfance !
Au pied d’ma souv’raineté, sans faire de soumission,
un seul n’y croyait pas, c’était l’mari d’Geneviève !
Faisons lui son affaire, à cet homme insoumis !
Faisons d’cet incroyant, la violence incarnée !"
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
"Je suis votre avocat’ ! C’est donc moi qui commande !
Je sais quels sont vos torts, vous êtes un imbécile :
Vous vous laissez becq’ter par toute la famille,
Brouter la laine sur le dos, et moi j’aurai ma part !
D’ailleurs vos adversaires partagent ma misandrie
Et me paient davantage, elles ont tout’les richesses !
Passez sur le billard, des mois d’convalescence !
Moi j’dirai à la juge qu’vous vous foutez d’vot'fille!"
Trompettes de la fourberie !
Vous êtes bien femmes en toges
Noires !
"Gen’viève avec son père, voilà le vrai mariage !
Dialogue passionné, et Jacques n’y place mot.
Il a lu bien trop d’livres, hors de mon pré carré !
Des trucs que j’connais pas ! Pourtant j’suis prof d’anglais !
J’peux pas trouver un homme, que’j’guid’au doigt, à l’œil,
Qui suive mes maximes, qui croive à mon dieu.
Non Jacq’ne fait pas l’affaire, il est trop autonome.
S’il emballe ses outils, ça prouve qu’ils n’servaient pas !"
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
"Quand Jacques était à Renn’, j’l’ai vu rouer sa fille,
De coups à Saint-Quentin ! Quel don d’ubiquité !
Ils avaient un grand chien, un beauceron féroce,
Pas grav' j'attesterai, qu'ma chienne lui faisait peur !
Il avait navigué, longtemps avant l'mariage,
Mais moi j'attesterai que j'lai vu acheter
un bateau mystérieux, peut-êtr' bien à Toulon ?
Ou peut-être sur la Lune ? Mais aux dépens d'sa femme !"
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
"Je suis jug’souverain' ! Je fais ce qu’il me plaît !
Moi ? Ouvrir les dossiers ? Mais vous n'y songez pas ?
Je fais d'la grand' série, plus de deux mill' par an !
Mais j'ai mes p'tites astuces, pour pas me surmener !
Ma premièr' précaution : savoir qui c'est le mâle,
C'est lui qu'j'vais condamner ! Quant à savoir pourquoi ?
Je n'ai qu'à obéir, à qui sait débiter,
Sans rire et sans sourire, les mensonges les plus gros !"
Trompettes de la calomnie,
Vous êtes bien femmes de haine !
Correction du 31 mai : le pluriel à "Ils avaient un grand chien".
Nabis était un beauceron venant de la SPA. Il avait la détestable
habitude de mordre les passants, les autres chiens et l'infirmière
venue piquer mon épouse. Une fois, en voiture vers la vallée de l'Oise,
il a déchiré la joue de mon fils. Arrêt d'urgence chez un médecin, pour
recoudre la joue.
Sigbert l'adorait pourtant. En vacances chez ma mère, il téléphona
que Nabis lui manquait, et sa mère en fut fort vexée : elle eût préféré
l'entendre dire que c'était elle qui lui manquait...
En me rendant visite à Saint-Méen (entre Rennes et Saint-Brieuc)
avec le C35 rempli de meubles, accompagnée de Georges P, camarade de
militantisme, Gazonbleu a beaucoup tenté d'abandonner Nabis en forêt.
Sans succès : le chien est toujours revenu à temps.
Nous l'avons rendu à la SPA pour euthanasie probable, au départ en
vacances de juillet 1985. Il était devenu trop dangereux, et les dégâts
qu'il avait causés à la maison et aux véhicules nous avaient rendus
intolérants. Féroce comme il l'était, il n'était pas donnable.
La seule survie qu'il pouvait encore avoir, c'était comme chien de garde, mais hélas pas dressable, définitivement dangereux _________________ Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..
Dernière édition par Synapse le 31 Mai 2004 4:47; édité 3 fois |
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Avenger72
Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483
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Posté le: 31 Mar 2004 6:43 |
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:wink
Dernière édition par Avenger72 le 04 Avr 2004 10:26; édité 1 fois |
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Avenger72
Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483
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Posté le: 31 Mar 2004 6:54 |
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:wink
Dernière édition par Avenger72 le 04 Avr 2004 10:26; édité 1 fois |
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Synapse
Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897
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Posté le: 01 Avr 2004 13:57 |
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C'est la même histoire, mais trois ans et demi plus tôt, et sans musique :
Le conte du papa qui mourait de solitude, à petit froid.
Il était une fois un papa à qui on avait tout pris. On lui avait
pris d’abord ses enfants, sa femme, puis sa maison, ses livres, sa
flûte, ses partitions, ses meubles, les objets d’art, tous ses
souvenirs, toutes les photos des enfants et de sa famille, même son
piolet et ses crampons, même ses dossiers médicaux. On lui prenait
aussi une rançon tous les mois.
Il était le seul père qu’eussent ces enfants là. Plus de papa, confisqué pour les besoins de la guerre.
C’étaient les seuls enfants qu’eût ce papa-là. Plus d’enfants, confisqués pour les besoins de la guerre.
Il était le seul grand-père qu’eût ce petit-là. Plus de grand-père,
confisqué pour les besoins de la guerre. C’était le seul petit-fils
qu’eût ce grand-père-là. Plus de petit-fils, confisqué pour les besoins
de la guerre.
Elle était la seule grand-mère vivante qu’eussent ces enfants-là,
la seule arrière-grand-mère de ce petit-là. Confisquée elle aussi, pour
les besoins de la guerre. Confisquée la tante, confisqués les
cousins... pour les besoins de la guerre.
On le harcelait depuis des années par un interminable procès en
sorcellerie, pour prouver combien on avait raison de le haïr et de le
dépouiller (et pour retarder le plus possible la liquidation de la
communauté). Elle l’avait acheté à l’Université, comme un
investissement qui garantissait un changement de classe sociale. Et
comme un allié à la patience inépuisable, qui lui permette enfin de
grandir face à sa mère. Et comme un reproducteur, qui lui donnerait des
enfants. Avant d’être une femme, elle avait été une petite fille
harcelée par une maman-hydre à huit têtes. Une petite fille ? Pas si
vite ! Il fallait d’abord qu’elle remplaçât un frère aîné mort avant sa
naissance...
Avant d’être un papa, il avait été un garçon qui cherchait à se
protéger les oreilles contre le jacassin envahissant de sa maman. Et un
petit garçon à qui son père interdisait toute autodéfense contre les
violences alentour : trop viril, et toute virilisation faisait ombrage
au papa du petit garçon. Un garçon à qui n’était laissé que le lycée et
la scolarité comme lieu d’épanouissement partiel. Il fut condamné à
l’isolement total, et une tentative de suicide lui laissa les deux
mains handicapées.
Le job du papa n’était jamais sécurisé. Certaines années furent
confortables, d’autres furent d’une dure misère. Les enfants furent la
lumière du couple; ils adoraient leurs deux parents, qui le leur
rendaient bien. L’épouse du papa perdit sa mère. Elle n’eut donc plus
besoin de son mari comme allié contre sa mère; tandis que la voie était
libre pour repartir à la conquête incestueuse de son papa à elle. Elle
ne manqua plus une occasion de dévaloriser son mari en comparaison de
son père.
Mais elle avait encore besoin de lui comme reproducteur. Enfin un
troisième bébé naquit. Du coup, elle marqua clairement qu’elle n’avait
plus besoin d’un mâle dans son lit, et que l’inaction coite et
l’impuissance seraient désormais exigées. La nuit, le mari eut
désormais l’obligation de se cantonner au rôle du cadavre chauffant.
Les enfants restèrent le foyer de lumière dans les ténèbres, la
promesse des fleurs sous une banquise de glace.
Une voisine quelque peu jeteuse de sorts, perverse en termes plus
savants, intervint alors. Elle avait besoin de l’aînée, Frédégonde,
pour se valoriser. Elle excita donc son mépris contre ses deux parents.
La mère réagit en redirigeant le mépris de Frédégonde contre son seul
papa. En une année, Frédégonde se coula dans le rôle de déléguée à la
violence conjugale. Quand Frédégonde partit en stage de kayak, son papa
poussa un grand soupir de soulagement : « Douze jours sans Frédégonde, c’est toujours bon à prendre ! ». Elle s’appelait comme cela, Frédégonde, chez les barbares mérovingiens, et elle fut la plus sanguinaire.
Les deux plus jeunes enfants louvoyèrent quelques années entre les
injonction de la jalousie maternelle, et leur besoin d’avoir deux
parents pour quelques années encore, et mirent les bouchées doubles
pour tirer le maximum de leur papa, pendant qu’il existait encore. Leur
aînée partit ne rien faire en Maths Sup-Biologie, puis en fac, puis en
IUT, puis sur les marchés et brocantes, continua de donner à tout le
monde des leçons péremptoires, mais à crédit, continua d’accuser tout
le monde. Pour conclure sa dérive, elle attrapa un spermatozoïde qui
passait, ce qui lui permit de reprendre le statut social d’une
assistée.
Son papa et sa maman la reprirent à l’abri dans leur nouvelle
maison, et le petit-fils poussa à merveille, d’une énergie admirable.
Jusqu’à ce qu’on lui interdise de faire fête à son grand-père (et qu’on
l’en prive totalement), dont la disparition (de préférence par « suicide », ou par « accident
»), ou au moins l’expulsion et la spoliation, était programmées. Le
petit-fils cassa son développement. Condamné à l’isolement total, le
papa pleurait seul, et tenait bon. Il prévint sa famille d’origine, du
crime parfait en cours. Il sauvait sa vie par l’écriture.
La valise ou le cercueil ! Un cafouillage de l’employeur fournit la
valise, et le père lassé de faire face à une guérilla féroce dans un
huis clos isolé, un luxueux huis clos mortel, saisit la valise, et
repris des études dans la plus proche grande ville. Les neuf premiers
mois furent une résurrection; il mincit de neuf kilos, recouvra une
santé inespérée, parvint même parfois à briser sa solitude. Pendant ce
temps-là, les deux tueuses affûtaient leur dispositif. Le procès est la
continuation de la même guerre, avec d’autres méthodes, d’autres
dissimulations. Toute à sa joie de nuire, la jeteuse de sorts ajouta le
plus ahurissant des faux témoignages.
Il resta encore quelque temps à ce papa sa petite dernière, sa
dernière fille. Pas bien longtemps. Dans la Mafia sicilienne, pour y
entrer, il faut faire la preuve qu’on sait tuer. On désigne au candidat
la cible à tuer : « A fatte multo malo a tutti !
». La maman et sa nouvelle compagne désignèrent à l’adolescente quels
mensonges il fallait raconter sur son papa. Afin que les deux femmes
restassent ses seules parents, sans que plus rien ne filtre. La juge
resta dans l’inaction, et le coup de force accompli resta établi. La
jeune fille ne revit plus son papa, et ne lui parla plus jamais au
téléphone.
Dans son HLM de pauvre, le papa vit passer les samedis et les
dimanches, qu’il avait réservés à sa fille, et qu’il passait seul, sa
fille ne venant pas. Dans son HLM de pauvre, le papa cherchait à rompre
une solitude qui durait depuis la naissance d’Audowere (elle s’appelait
comme cela, chez les barbares mérovingiens).
Il en entendit de belles, aux quatre vents de l’opinion des femmes...
L'une lui reprocha d'être trop vieux, l'autre trop jeune, mais
toutes deux d'être bien trop pauvre, trop spolié, trop rançonné, pour
être un homme intéressant.
L'une lui reprocha d'être nerveux, l'autre d'être calme et froid,
mais toutes deux d'être bien trop pauvre, trop spolié, trop rançonné,
pour être un homme intéressant.
L'une lui reprocha d'être trop intellectuel, l'autre trop
bricoleur, mais toutes deux d'être bien trop pauvre, trop spolié, trop
rançonné, pour être un homme intéressant.
L'une lui reprocha d'être trop sportif, l'autre d'être trop
fragile d'épaules, et sans voiture, mais toutes deux d'être bien trop
pauvre, trop spolié, trop rançonné, pour être un homme intéressant.
L'une trop gai, trop humoriste, l'autre trop sérieux, pas assez fêtard, etc. etc.
Et ce qu’elles se gardèrent bien de dire, mais qu’elles manifestèrent de façon assourdissante : « Ho ! Mais s’il est si trempé et autonome, comment vais-je le tenir à 100% sous mon commandement ? »
L’écriture lui servit de passe-murailles, le maintint en vie. Le
papa écrivit d’abord ses mémoires. Puis il écrivit des billets sur des
forums publics. Quelques poèmes non rimés. Des essais. Surtout du rire.
Il n’écrivait plus assez d’articles scientifiques : il n’y croyait
plus. Les billets, les essais et les poèmes n’étaient pas conformes aux
principes du Nazional-Féminisme, et les Sections d’Assaut se livrèrent
à quelques autodafés. Les calomnies reprirent quelque temps, jusqu’à ce
que les Nazional-Féministes se ridiculisent, et se fissent oublier un
temps.
En convalescence après chirurgie, le papa traversa la France, pour
joindre sa solitude à la solitude d’une maman encore plus durement
maltraitée par la vie que lui. Ils se donnèrent de la tendresse et de
la douceur le temps qu’ils purent. Le papa endossa les chantiers et les
soucis de sa nouvelle amie. Puis ils laissèrent un peu d’eux-mêmes
derrière eux dans un doux souvenir. Ils n’avaient pas les moyens de
refaire la géographie.
L’année universitaire reprit. Nous ignorons la suite du conte du
papa qui mourait de solitude à petit froid. Je crois qu’il s’occupera
d’autres enfants maltraités, autour de lui, et d’autres familles qui
commencent à délirer, comme la sienne a déliré, et qu’il veut mettre
fin à cette non-assistance à personnes en danger. Le plus dur, c’est de
réussir à franchir les périodes de vacances, quand tout s’arrête, même
le club de kayak.
Jacques, septembre 2000. _________________ Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..
Dernière édition par Synapse le 03 Avr 2004 21:07; édité 1 fois |
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bachi
Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 508
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Posté le: 03 Avr 2004 20:40 |
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Qu'est-ce qu'on peut dire, suite à la lecture de ce conte?
Rien qui pourrait vraiment changer qioi que ce soit.
Sinon, que j'ai été touché même si je connaissais déjà de larges parties du conte.
Que tu ne mérites pas ça.
Mais quelqu'un peut-il mériter ces misères?
Tu as une plume trempée dans l'honnêteté, profondémment.
Trempée dans l'authenticité, profondémment.
C'est une force inouie que tu as, que je n'ai vraiment pas.
Le conte des misères d'un homme que le destin a éprouvé durement. |
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Synapse
Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897
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Posté le: 01 Mai 2004 8:52 |
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Aujourd'hui 1er mai, ma fille a dix-huit ans.
J'ai reçu l'avant-dernier bulletin scolaire. A condition que
Sarkozy ne réussisse pas à déclencher une nouvelle grève des profs
comme l'an dernier, alors je recevrai en juin un tout dernier, dernier
bulletin scolaire. Et ce seront les dernières nouvelles de ma fille que
je recevrai pour le restant de mes jours. Je pourrai savoir par
d'autres moyens si elle aura réussi son bac. Et ce sera tout.
J'ignorerai tout de la fac ou de l'école où elle sera. J'ignorerai
si elle sera vivante, morte, ou hospitalisée, j'ignorerai en quel pays.
Tout comme j'ignore tout du destin de mon fils depuis octobre 2003,
tout comme j'ignorais tout de sa maladie l'année scolaire précédente.
C'est comme cela la toute-puissance matronale, avec la complicité active de l'Injustice aux Affaires Antifamiliales.
On commence à savoir réhabiliter convenablement des phobiques
agoraphobes. On ne veut rien savoir pour guérir les syndromes
d'aliénation parentale. On préfère nier la gravité et même l'existence
de cette forme d'aliénation, volontairement administrée pour l'exercice
de la joie de nuire.
Il serait du reste économiquement fort intéressant de savoir guérir
les paranoïaques. D'un point de vue managérial, il serait aussi fort
intéressant de savoir réhabiliter les anciens complices de mobbing...
Oui mais ! Toute puissance de la corruption, et des complicités entre corrupteurs !
Aujourd'hui, 1er mai 2004, cela fait 1518 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille.
2246 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
2379 jours que ce petit-fils est interdit de voir son
arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure. Ainsi
est consacré le triomphe de la violence perverse. Et le reste est à
l'avenant.
-- Comme toutes les autres guerres civiles, comme toutes les autres
guerres de religion, la Sainte Guerre Sexiste corrompt les
institutions, et asservit les services de l’état et de la société à ses
buts de guerre. _________________ Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !.. |
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X13

Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 935
Trophées: 4
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Posté le: 01 Mai 2004 9:06 |
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Machiavel
Inscrit le: 09 Sep 2003
Messages: 522
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Posté le: 01 Mai 2004 10:17 |
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Cher Synapse,
Je compatis à cette triste histoire.
Il faudrait (excuse-moi) avoir les deux versions de cette histoire pour
pouvoir s'en faire une idée juste mais j'avoue que la moitié que je
connais me laisse un goût amer.
Je veux dire par là que la bétise des hommes est quelque chose
d'infiniment prévisible mais c'est toujours surprenant de constater à
quel point cela peut s'avérer vrai... si cela n'est guère surprenant
c'est par contre infiniment désolant.
Le temps est supposé faire bien les choses, pour le moment, ce temps me semble de mauvais poil.
Ca doit être cela le Karma, réjouis toi, à cette allure tu te réincarneras en Taj-Mahal!
Machiasalut |
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Alie Boron
Inscrit le: 30 Mai 2004
Messages: 15
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Posté le: 30 Mai 2004 14:32 |
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DROIT DE REPONSE.
Je demande aux webmasters de paternet et de forumquebec un droit de
réponse car depuis plusieurs années je suis diffamée, insultée par un
énergumène qui ne me pardonne pas d’avoir écrit, dans le cadre de son
divorce, une attestation racontant ce que j’ai vu pendant près de vingt
ans. Depuis j’ai droit à ses élucubrations sur plusieurs sites internet
sous différents pseudos et sous son nom: sur forumquebec (Synapse), sur
paternet (Saint-Thèse) , sur son site personnel (genevrier) et sur
fr.sci.psychologie (St-Juste) et je ne parle pas de ses abondants
courriers dont une partie m’est revenue ni de ses « mémoires » qu’il
publie aussi sur internet !
Pour ce qui est de l’attestation, il a porté plainte pour « faits
matériellement inexacts »et apportait la preuve …que j’avais
sous-évalué la distance séparant nos maisons à l’époque où nous
habitions la même ville de 150 mètres ! Sa plainte s’est bien sûr
soldée par un non lieu, « ce dont (il) ne se remet pas depuis décembre
2002 » considérant que c’est « un déni de justice » Pour tout ce que
j’ai écrit alors, j’ai fourni les preuves de ce que j’affirmais,
parfois les écrits extraits des « mémoires » version 1999de Jacques
lui-même .Il continue cependant à m’accuser de faux témoignage.
D’ailleurs tout témoignage qui ne lui est pas favorable est, d’après
lui ,un faux , même ceux de ses enfants qui ne font que raconter ce
qu’ils ont vécu.
- pour montrer comment il gaspillait l’argent de sa femme je donne deux exemples :
° un bateau, ou plus exactement du bois pour construire ce bateau
: c’était du très beau bois, très cher, il explique le bois utilisé
p18/B de ses mémoires ; p20/B il dit que ce bois avait été acheté avec
« le salaire d’IPESSiène de ( son épouse). », bien sûr le bateau ne fut
jamais construit. Après, il fut acheté une camionnette (un C35
Citroën), plus chère à l’achat qu’une voiture, plus chère à assurer,
qui devait être transformée en camping-car à l’aide de ce bois…. Ce qui
n’arriva jamais. La camionnette est partie chez le ferrailleur très
longtemps après.
° ce que j’ai appelé une petite pelleteuse (dont il avait besoin
pour ses « recherches » sur une brique miracle), dont bien sûr il nie
l’existence : cet objet était un « groupe à vide de laboratoire type PZVM 8b » d’après la société propriétaire ( H. G & Co) qui
la réclame dans un courrier du 3 Juin1 988 et le menace de poursuites
judiciaires. Après avoir pinaillé sur les distances J. pinaille sur les
mots. Il l’avait achetée sans s’assurer que le vendeur en était
réellement propriétaire et dû la restituer sans être remboursé (environ
un mois de salaire de son épouse).
-pour montrer sa violence, je parle de deux scènes auxquelles j’ai assisté :
° l’une où je l’ai vu battre violemment Frédégonde . Il dit que ce
n’est pas possible car à cette époque il était en Bretagne. Bien sûr il
y a passé dix neuf mois , mais pas sans revenir régulièrement chez lui
!
° l’autre où il a agressé verbalement ma fille, chez moi, sur un
ton très menaçant. Ce jour-là ma chienne,comprenant que sa maîtresse
était en danger, s’est placée entre - eux ,poil hirsute, babines
retroussées en position d’attaque, n’attendant que l’ ordre d’attaquer
( c’était un boxer dressé à la défense par le maître-chien de la
gendarmerie qui faisait son travail).Je pense, que sans la chienne il
aurait frappé ma fille, ce fut aussi l’impression de mon gamin qui
avait alors huit ans et qui s’en souvient encore tant il a eu peur pour
sa soeur. Bien sûr, je ne l’ai plus jamais autorisé à rentrer en
l’absence de mon mari . Il est outré que j’ai pu insinuer qu’il eût eu
peur du chien. Un homme comme lui n’a pas peur des chiens !
Il a aussi déposé plainte pour « tentative d’assassinat par sabotage du
frein de son véhicule » contre son épouse, sa fille aînée et moi-même.
Plainte classée sans suite évidemment quand on sait que « le véhicule »
en question est un vélo dont le frein avant cassé, mais il continue de
nous accuser de tentative d’assassinat. Voici ce qui c’est passé :il
avait récupéré différentes affaires chez sa future ex-épouse dont un
vieux vélo bon pour la ferraille ... En quittant la maison sur ce vieux
clou mal entretenu il devait rouler sur un chemin privé caillouteux,
plein d’ornières pour atteindre la route… et s’est cassé la g…De là à
nous accuser d’avoir saboter le vélo il n’y a qu’un pas que J. n’
hésite à franchir car, il n’est pour lui pas envisageable qu’il soit
tout simplement tombé. Il semblerait que la vis maintenant le frein
avant ait sauté . Pour lui, si la vis est tombée, c’est qu’une main
malveillante était intervenue (pourquoi n’a-t-il pas utiliser le frein
arrière ? Utiliser le frein avant seul est le meilleur moyen de passer
par dessus le guidon) et puis, un homme comme lui, ne peut pas non plus
, tomber de vélo….Je lui conseille de mettre des stabilisateurs, ça
évitera les chutes qui, à son âge peuvent être graves. Il est arrivé le
week-end dernier une mésaventure comparable à G.W.Busch, les médias du
monde entier rigolent, mais personne n’accuse son épouse, la CIA ou Ben
Laden d’avoir voulu l’assassiner!
Il se présente comme un homme qui adore ses enfants qu’il ne peut
plus voir car « (ils) sont victimes du SAP » (enfants aujourd’hui âgés
de 29,25 et 18 ans, deux étaient majeurs au début du divorce).Voici
trois passages qui montrent combien il a toujours « aimé » ses enfants
: dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la
mort de la tante remonte a environ six ans) aux Até, Jacques a écrit :
« La nuit où tante Berthe est morte, je fus bien persuadé qu’il
s’agissait de Frédégonde qui agonisait. Bon pas encore. » … Le
3.01.2004, sur Forumquebec, il a écrit : « …ma fille aînée, qui reste
la plus grande honte de ma vie. ».Dans sa lettre du 28.4.2002, il écrit
à sa plus jeune fille « Audowere » pour son anniversaire : « Dans trois
jours tu auras 16 ans. C’est toujours un plaisir si intense, que
d’écrire et d’envoyer des cadeaux à ses ennemies mortelles que l’encre
fige (…) »… Sans commentaires….
Je suis aussi ,d’après lui, une malade mentale responsable de tous
ses malheurs :« La personne la plus atteinte est notre fille Frédégonde
: elle a longtemps été manipulée comme engin de dénigrement et de
violence par (moi) » Ailleurs Jacques écrit : « Ali Boron avait besoin
de Frédégonde pour se faire valoir » ! ! !Je suis aussi « une voisine
jeteuse de sorts, en termes plus savant psychopathe (ailleurs
particulièrement perverse) » Mais il faut savoir que je ne suis pas la
seule malade mentale dans son entourage : il y eu Erre, sa petite amie
du temps du club Méd dans les années 60 p5/B , Firefly la petite amie
qu’il eu à Villeurbanne p33/D, avant même la tentative de conciliation,
l’instituteur de CM2 de sa fille p8O/M, sa future ex-épouse, sa fille
aînée , le principal adjoint d’un collège où il fit un stage en Juin
2001et ceux que j ‘oublie. Tous sont des malades mentaux en particulier
les femmes! Pour lui les femmes sont « des tortionnaires qui
maltraitent conjoint et enfants en réponse à la propre maltraitance
qu’elles ont subi de leur propre mère » ! Moi, « c’est encore plus
pervers, car (j’ai) exporté dans (sa) propre famille (mon) plan de
mort. » ! Il explique ma folie en inventant que ma mère aurait exigé
que je me fasse avorter car le papa de mon enfant, ne lui convenait
pas. Une mise au point me paraît indispensable :
° ma fille, qui a aujourd’hui, 33 ans a été conçue le soir de nos
fiançailles, en septembre 1970, grande fête qui réunit nos deux
familles (une trentaine de personnes). Au mois d’Août, mes parents nous
avaient emmener présenter mon fiançé aux cousins de Normandie, à
l’oncle des Charentes, à mon parrain du midi. Ce n’est pas la façon
d’agir quand on est opposé au choix de sa fille !
° Le mariage était prévu pour Juin, évidemment il eu lieu plus
tôt (le 14 Novembre). Ce fut une grande fête avec une centaine d
‘invités …Quelques jours avant mon père était revenu du centre ville en
poussant le landau qu’il venait d’acheter, le plus beau qu’il avait
trouvé dans toute la ville…
° De plus en 1970, l’avortement était un crime passible de la
cours d’assise (la contraception, elle, n’était autorisée que depuis un
an). Cela se passait dans des conditions épouvantables chez des «
faiseuses d’anges», les mères en sortaient rarement indemnes. Jamais ma
mère n’aurait voulu que je subisse ça !
° Enfin, nous sommes catholiques et la religion catholique interdit ce genre de pratique.
Il considère que je suis responsable des échecs scolaires de ses
deux aînés . Le 10.10 .2003, il écrit à son fils :« Tu as donc
parfaitement exécuté le plan de destruction manigancé par Alie Boron
qui triomphe ainsi dans sa joie de nuire à son prochain, de calomnier
son prochain… Alie Boron qui avait implanter cette idée d’échec
professionnel maximal dans la tête de Frédégonde qui t’a contaminé
aussitôt. » Explication : en 1995 Frédégonde terminait sa troisième
première année universitaire, seule à « Sottenville » car ses parents
étaient partis à l’autre bout de la France . Je lui conseillais de
s’orienter à la rentrée vers un BTS en alternance car les autres portes
se fermaient, solution apportant une formation reconnue, une expérience
professionnelle appréciée des employeurs et un petit revenu .
Maintenant je pose une question : qui fut vraiment responsable de
l’échec de ces jeunes : moi, ou l’exemple paternel ? Ces enfants ont
toujours connu leur père poursuivant des études… C’est ainsi qu’en 2001
il a terminé ses études de physique commencées quelques décennies plus
tôt , aujourd’hui, à 60 ans révolus, il poursuit des études de
psychologie. Pour ces jeunes les études à rallonge de Papa , cela était
synonyme de misère car, non seulement il n’a ramené que bien peu
d’argent, mais surtout cela coûtait très cher car il lui fallait
toujours ce qu’il y avait de mieux et de plus cher en matériel
informatique , livres etc…. Du salaire de sa femme, professeur, il ne
restait pas grand chose pour nourrir, habiller les enfants quand il
avait prélevé tout ce qu’il jugeait indispensable pour son usage
personnel. Il est bien évident que dans de telles conditions ces
enfants ne voyaient pas l’utilité de poursuivre des études, surtout
lorsqu’ils voyaient les pères des copains, moins diplômés mais
travaillant, et les copains vivrent tellement mieux qu’eux.
Je vais quand même me présenter, puisque je fais partie du « trio
misandre qui détient (sa) fille en otage depuis Septembre 2001 » J’ai
été professeur de mathématiques pendant trente-deux ans et suis en
retraite pour invalidité depuis Septembre 2001(je perds la vue), mais
je ne vis nullement, même si pour lui la grande majorité des femmes non
contentes d’être folles sont lesbiennes, avec sa future ex-épouse mais
à 10 heures de voiture de là avec mon mari (le même depuis 35 ans) dans
la maison où nous avons élevé nos trois enfants aujourd’hui adultes,
mariés et travaillant (deux, ainsi que nos deux gendres, ont d’ailleurs
ce BTS qu’il me reproche d ‘avoir conseillé à sa fille ). Ils ne sont
pas pour moi « de parfaits faire-valoir qui gagnent beaucoup d’argent »
mais des adultes heureux, équilibrés qui gagnent correctement leur vie
en faisant un métier qu’ils aiment, ce qui leur permet d’avoir un train
de vie équivalent à celui qu’ils ont connu et d’élever leurs enfants
comme ils ont été élevés.
Il est bien évident que cette intervention de ma part est la
première et la dernière. Je n’ai pas l’intention de polémiquer avec J.
quelque soit le pseudo qu’il utiliserait : j’ai perdu assez de temps
comme cela.
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canelle

Inscrit le: 21 Aoû 2003
Messages: 4897
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Posté le: 30 Mai 2004 14:55 |
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Ravi
de vous avoir lue madame. C'est toujours intéressant d'avoir un autre
son de cloche. Le monsieur dont vous faites ici référence me poursuit
virtuellement de ses accusations et par essaie de détruire ma
réputation depuis déja quelques années. Simplement parce que je me suis
donné le droit de lui dire qu'il pourrait se donner le droit d'être
heureux au lieu de vivre dans le passé.... Mais ici, je ne vous apprend
rien sur le personnage. Vous semblez le connaitre bien mieux que nous.
Je vous souhaite le meilleur, madame.
canelle _________________ Ce qui fatigue le plus, avec les
enfants, c'est de se mettre sur la pointe des pieds jusqu'à la hauteur
de leurs sentiments, pour ne pas les blesser. Janusz Korcask
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pollito
Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 1272
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Posté le: 30 Mai 2004 16:07 |
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Votre
temoignage ne me surprends pas du tout, bien que ne le connaissant pas
"reellement" j'ai toujours pensé que ce bonhomme est un pauvre type
mysogine, et frustré à l'os. Pis en plus il est collant comme une
mouche sur les forums. _________________ Pollitix |
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Doorman

Inscrit le: 19 Fév 2004
Messages: 5085
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Posté le: 30 Mai 2004 16:56 |
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Honnêtement,
ce ne sont pas de nos affaires Madame. Et de plus, Les usagers vont ce
servir de ce "témoignage" pour l'insulter et le ridiculiser d'avantage.
Je ne trouve pas ça très correct. C'est mon opinion, voilà tout.
Je vous incite à aller lire ce petit texte qui est ma foi, fort intéressant pour ce genre de commentaire.
http://edelassus.free.fr/corrig/a_t_on_le_droit_de_se_venger.html _________________ Doorman
On peut vaincre avec une épée et être vaincu par un baiser. |
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pollito
Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 1272
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Posté le: 30 Mai 2004 17:03 |
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Mais que lui denigre ces femmes et enfants un peu partout sur le net (ici aussi), ça c'est acceptable.. _________________ Pollitix |
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Doorman

Inscrit le: 19 Fév 2004
Messages: 5085
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Posté le: 30 Mai 2004 17:05 |
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pollito a écrit: | Mais que lui denigre ces femmes et enfants un peu partout sur le net (ici aussi), ça c'est acceptable.. |
Pas plus mon cher Pollito. Je n'ai jamais lu de telles choses car
il est certain à 200% que je lui aurais répondu. À vrai dire, il est
assez rare que je lise ces commentaires. Comme je l'ai dis ci-haut, que
ce soit vrai ou non, ce ne sont pas de nos affaires. Il ce passe assez
de choses incorrectes sur le Net comme ça sans en sentir le besoin d'en
ajouter. J'ai failli effacer ce message mais je ne l'ai pas fais pour
ne pas me faire crier dessus! _________________ Doorman
On peut vaincre avec une épée et être vaincu par un baiser. |
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Idylle
Inscrit le: 17 Sep 2003
Messages: 1112
Trophées: 2
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Posté le: 30 Mai 2004 18:30 |
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Doorman a écrit: | pollito a écrit: | Mais que lui denigre ces femmes et enfants un peu partout sur le net (ici aussi), ça c'est acceptable.. |
Pas plus mon cher Pollito. Je n'ai jamais lu de telles choses car il
est certain à 200% que je lui aurais répondu. À vrai dire, il est assez
rare que je lise ces commentaires. |
Et bien pour ceux qui comme moi lisent Synapse depuis plus de 3 ans, ça fait du bien d'avoir un autre son cloche.
À vrai dire, Alie Boron ajoute un peu de crédibilité à ce personnage
car j'avais conclus (et écrit sur un autre forum) il y a plus de 2 ans
que son histoire tenait de la fabulation. Je vois que ce semble être
plutôt un conte inspiré de faits vécus. C'est déjà mieux que de le prendre pour un mythomane quand même.
En passant, je ne crois pas que le texte soit une vengeance. C'est
plutôt une mise au point de quelqu'un qui a un autre point de vue sur
les événements. La mise au point n'aurait d'ailleurs pas été nécessaire
si ça ne faisait pas si longtemps que Synapse s'acharne à remâcher son
histoire un peu partout. Il l'a bien cherché ce texte. |
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canelle

Inscrit le: 21 Aoû 2003
Messages: 4897
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Posté le: 30 Mai 2004 18:50 |
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Doorman,
effectivement a lire les écrits de Synapse c'est facile de voir que
tout se rapporte souvent a "son" histoire. Je l'ai déja vue dénigrer
les émotions des usagers en disant que ce qu'ils vivaient n'était rien
a comparer a ce que lui avait vécu et vivait encore. D'avoir ici un
autre son de cloche aide a rétablir ce que nous questionnions tous.
Toit comme Idylle je ne percois pas moi non plus de vengeance, juste un
simple ajustement des faits.. Je crois que si madame avait voulu se
venger par écrits, elle aurait pu en remettre encore plus.. Elle ne
s'est contenté que de rétablir les faits... Moi non plus je ne crois
pas que ce message devrait être effacé.. ne serait-ce que par respect
des usagers qui ici se font ou se sont fait rabrouer par Synapse, pour
qu'ils puissent prendre conscience de qui est vraiment ce monsieur... _________________ Ce
qui fatigue le plus, avec les enfants, c'est de se mettre sur la pointe
des pieds jusqu'à la hauteur de leurs sentiments, pour ne pas les
blesser. Janusz Korcask
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Avenger72
Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483
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Posté le: 30 Mai 2004 19:20 |
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Dernière édition par Avenger72 le 10 Aoû 2004 10:08; édité 1 fois |
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Doorman

Inscrit le: 19 Fév 2004
Messages: 5085
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Posté le: 30 Mai 2004 19:25 |
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Je
n'ai plus l'intention de l'effacer Avenger. Je trouvais simplement
inutile de savoir de telles choses. Je le répète, ce ne sont pas nos
affaires. En tout cas, pas des miennes. J'espère simplement que les
usagers ne ce serviront pas de ça pour écœurer Synapse. _________________ Doorman
On peut vaincre avec une épée et être vaincu par un baiser. |
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Avenger72
Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483
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Posté le: 30 Mai 2004 19:31 |
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...
Dernière édition par Avenger72 le 10 Aoû 2004 10:08; édité 1 fois |
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Doorman

Inscrit le: 19 Fév 2004
Messages: 5085
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Posté le: 30 Mai 2004 19:43 |
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Je
sais Avenger et c'est pourquoi je n'ai pratiquement jamais lu Synapse
d'ailleurs. Les gens qui s'apitoie sur leur sort ne m'attire pas
vraiment. C'est malheureux ce que je vais dire mais très vrai. La
plupart des gens qui sont ou qui ont de la misère dans la vie, ils
l'ont très souvent cherché eux-même et ne s'aide pas vraiment pour ce
sortir de leur impasse. _________________ Doorman
On peut vaincre avec une épée et être vaincu par un baiser. |
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Un mari arrive chez lui, affamé, et demande :
- Qu'est-ce que tu m'as préparé, ce soir ?
- Un bon petit dîner, fait sa femme.
Et elle sert un plat de ha (...) Suite >> Un mari arrive chez lui, affamé, et demande :
- Qu'est-ce que tu m'as préparé, ce soir ?
- Un bon petit dîner, fait sa femme.
Et elle sert un plat de haricots en boîte.
- C'est ça ton festin ? s'écrie le mari.
- C'est-à-dire que, lorsque ma dinde a commencé à brûler,
j'ai été obligée de l'éteindre avec la soupe et
à la suite d'un faux mouvement, le homard est tombé dans la poubelle
et en voulant le nettoyer, j'ai laissé tomber le blé d'inde dans
le broyeur ! << Fermer |
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eh ben par Madam Makak
le 25 Nov 2004 0:22 |
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