Je
doute que mon cas vous intéresse. Il s'étale sur une longue durée.
Le lancement de rumeurs dans le voisinage et auprès de tous nos amis et
parentés respectives date sensiblement de février 1997.
Les dernières et plus dangereuses tentatives d'assassinats datent de
juillet 1998.
En juillet 1997 mon épouse et sa fille aînée ont fait le tour des
voisins à Savasse, en profitant du charme exceptionnel de mon
petit-fils (âgé de cinq mois à l'époque), pour leur exposer de "
ne
fréquenter en aucun cas mon père (resp. mon mari), car c'est un ours,
un violent, un batteur de bébés, un violeurs d'enfants, et puis il
n'aime pas les gens, etc"... Et des menaces si les dits voisins
n'obéissaient pas. On retrouve cette dictée ultérieurement, soit par
témoignages oraux des voisins menacés qui craignaient des représailles
sur la scolarité de leur fils, soit par attestation de complaisance
d'un autre voisin qui ne m'a jamais vu.
Entre la valise et le cercueil, un cafouillage de l'employeur m'a donné
la valise : j'ai ainsi sauvé ma vie contre tous les bons plans, j'ai
repris des études, et ce fut à Lyon.
Ma fille cadette est âgée actuellement de 26 ans et demi, et a repris
contact avec moi, d'abord sous couvert d'un pseudo opaque sur des
forums que je dirigeais, puis ouvertement, toujours par moyens
électroniques. Elle m'a fait deux visites, respectivement en juin 2009
et août 2012.
Au moment du vol d'enfant par le couple lesbien, en mars 2000, ma fille
avait donc treize ans et dix mois. Je ne me suis pas opposé à ce
qu'elle rencontre la JAF. Mon épouse s'est opposée à toute médiation.
Mon avocate a poursuivi ses félonies à mon égard : je n'ai compris
qu'avec lenteur et retards à quel point la guerre sexiste passait aussi
entre mon avocate et moi-même.
Mon avocate exigeait que je demandasse à ma mère de faire ceci, de
faire cela selon l'
imaginature particulièrement irréaliste de
l'avocate. Or moi, déjà au supplice permanent, j'étais sur le point
d'être opéré de la prostate, et me doutais à quel point la
convalescence serait douloureuse, me laisserait sans forces pour faire
face à une mère envahissante, égoïste et d'obédience misandre
victimaire, et à une adolescente remontée à bloc par le couple
mère-fille-aînée et par le couple lesbien.
Bref, il s'est écoulé 3395 jours avant que je revoie ma fille : neuf
ans, trois mois, seize jours.
Quant à mon petit-fils, il est interdit de me voir depuis début août
1997. Avec chance et persévérance, j'ai pu le voir quelques minutes,
affolé et hébété, le 8 mars 1998, voici 5369 jours. Il a quinze ans et
huit mois.
Les faux témoins à gages ont poursuivi leur harcèlement jusque très
récemment. L'un des harceleurs et calomniateurs recrutés par ma très
charmante ex-épouse a multiplié les menaces de mort par arme à feu
publiquement, sur Usenet. Le procureur d'Evian s'est contenté de lui
faire un rappel à la loi, et depuis ses récidives ont été limitées par
une force des choses qui lui échappe. Le couple de tueuses conjurées,
mère-fille aînée, a trouvé d'autres colporteurs de ragots ; ce ne sont
pas les pervers histrioniques enragés qui manquent, avides de taper sur
la goule d'un bouc émissaire.
Le plus gros du récit direct de cette mission parricide confiée à sa
fille aînée, puis subsidiairement aussi à notre fils, est difficilement
rassemblé à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/index.html
Encore qu'il manque encore le détail d'un des faux témoignages.
Outre ce site personnel, je dirige plusieurs sites, tous consacrés à
dénoncer quelques fraudes et impostures :
http://debats.aristeides.info
http://aristeides.info pour la
page d'introduction et d'aiguillages,
http://deonto-famille.info
Sur ces deux sites-là, les deux harceleurs à gages ont pris une part
importante, comme ils le firent sur quatre forums québécois aujourd'hui
disparus.
Je dirige encore un forum généraliste :
Pratiquer les
vertus républicaines,
un
Musée
des impostures prétendues scientifiques (un moteur de recherche
vous donnera facilement les liens),
Un wiki pour rédiger à plusieurs mains un livre d'initiation à la
quantique, et à la demande de collègues professeurs de physique, un
wiki condensant de précédents articles, sur la syntaxe géométrique de
la physique.
Respectivement :
http://www.deonto-ethics.org/quantic
http://deonto-ethics.org/geom_syntax
Je ne crois pas que beaucoup de gens auraient pu survivre et garder la
tête solide devant une telle coalition, unie par la passion de nuire et
la joie du brigandage et du butin (y compris dans ma famille
d'origine).
J'ai des raisons de penser que les hurlements de haine et de triomphe
poussés par ma mère et ma soeur à l'annonce que les félonies d'avocates
m'avaient dépouillé de tout, furent pour beaucoup dans le développement
du cancer du poumon : je ne suis pas fumeur.
D'autres pères encerclés par de telles coalitions perverses n'ont pas
su résister, et ont été suicidés conformément aux plans : Stéphane
Lafargue, Bernard Perrin par exemple.
Bernard Perrin est présent à titre posthume là :
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=190&catid=27
ou là si vous préférez :
http://forum.aristeides.info/index.php?topic=190.0
Je suis le seul témoin gênant que le procureur de Besançon n'ait pas
encore fait passer en garde à vue pour l'intimider, mais il peut encore
se rattraper.
L'analyse ne vaut rien tant quelle se limite à la pathologie de la
répudiante et de son réseau. D'autres témoignages, hélas peu nombreux
mais significatifs, établissent qu'au bout de peu de semaines il n'est
plus possible de démêler les deux perversités principales, et les deux
joies de nuire : celle de l'avocate, d'obédience misandre victimaire
(on dit aussi "
féminazie") et celle de la répudiante qui a
trouvé un ou une autre partenaire sexuel(le). L'avocate pousse aux
accusations mensongères, aux attestations mensongères, aux répandages
de rumeurs immondes. Tout se passe comme si elle pouvait certifier à sa
cliente "
Je réponds de la juge, c'est une femme à nous, on peut y
aller plein pots, et plus c'est gros mieux ça passe !".
Et sur SOS-papa, il était sévèrement interdit d'évoquer les connivences
entre avocats, les félonies d'avocats contre son client. Héhé ! La voix
de son maître, l'Honorable Monopole d'avocats...
A cette époque là, il n'y avait encore aucune publication ayant atteint
le grand public qui nous aurait donné les moyens de penser la
perversité, que ce soit dans sa variété narcissique, sa variété
paranoïaque, ni sa variété histrionique. Du reste, le DSM demeure
obstinément muet à ce sujet. Le calomnié était seul, le dos à la mer, à
faire face seul à une meute hurlante. Beaucoup en sont morts, et les
morts ne parlent pas.
Ça ne vous intéressera pas : 1997-2000, la partie la plus violente des
actions judiciaires. Trop vieux pour vous.
Avec mes salutations,
Lavau
sur
une musique de Georges Brassens.