L'usage des rumeurs pour abattre un père et un ayant-droit gênant.



Victimes de rumeurs pour NRJ12

Vendredi 9 novembre 2012

Je suis journaliste pour la chaine NRJ12, et je prépare actuellement un
documentaire consacré aux victimes de rumeurs.

A ce titre, je m’intéresse aux séparations difficiles et aux pères
célibataires.

Je suis à la recherche d’un homme que se serait vu retirer le droit de
garde de son enfant, suite à une rumeur lancée par son ex-compagne et
qui se batte pour obtenir un droit de visite.

Si vous vous sentez concerné, vous pouvez me contacter au 0153198190
(demandez Aline ou Céline) ou par mail à c.payen@909productions.tv

Céline Payen



Je doute que mon cas vous intéresse. Il s'étale sur une longue durée.

Le lancement de rumeurs dans le voisinage et auprès de tous nos amis et parentés respectives date sensiblement de février 1997.
Les dernières et plus dangereuses tentatives d'assassinats datent de juillet 1998.
En juillet 1997 mon épouse et sa fille aînée ont fait le tour des voisins à Savasse, en profitant du charme exceptionnel de mon petit-fils (âgé de cinq mois à l'époque), pour leur exposer de "ne fréquenter en aucun cas mon père (resp. mon mari), car c'est un ours, un violent, un batteur de bébés, un violeurs d'enfants, et puis il n'aime pas les gens, etc"... Et des menaces si les dits voisins n'obéissaient pas. On retrouve cette dictée ultérieurement, soit par témoignages oraux des voisins menacés qui craignaient des représailles sur la scolarité de leur fils, soit par attestation de complaisance d'un autre voisin qui ne m'a jamais vu.

Entre la valise et le cercueil, un cafouillage de l'employeur m'a donné la valise : j'ai ainsi sauvé ma vie contre tous les bons plans, j'ai repris des études, et ce fut à Lyon.

Ma fille cadette est âgée actuellement de 26 ans et demi, et a repris contact avec moi, d'abord sous couvert d'un pseudo opaque sur des forums que je dirigeais, puis ouvertement, toujours par moyens électroniques. Elle m'a fait deux visites, respectivement en juin 2009 et août 2012.

Au moment du vol d'enfant par le couple lesbien, en mars 2000, ma fille avait donc treize ans et dix mois. Je ne me suis pas opposé à ce qu'elle rencontre la JAF. Mon épouse s'est opposée à toute médiation. Mon avocate a poursuivi ses félonies à mon égard : je n'ai compris qu'avec lenteur et retards à quel point la guerre sexiste passait aussi entre mon avocate et moi-même.

Mon avocate exigeait que je demandasse à ma mère de faire ceci, de faire cela selon l'imaginature particulièrement irréaliste de l'avocate. Or moi, déjà au supplice permanent, j'étais sur le point d'être opéré de la prostate, et me doutais à quel point la convalescence serait douloureuse, me laisserait sans forces pour faire face à une mère envahissante, égoïste et d'obédience misandre victimaire, et à une adolescente remontée à bloc par le couple mère-fille-aînée et par le couple lesbien.

Bref, il s'est écoulé 3395 jours avant que je revoie ma fille : neuf ans, trois mois, seize jours.
Quant à mon petit-fils, il est interdit de me voir depuis début août 1997. Avec chance et persévérance, j'ai pu le voir quelques minutes, affolé et hébété, le 8 mars 1998, voici 5369 jours. Il a quinze ans et huit mois.

Les faux témoins à gages ont poursuivi leur harcèlement jusque très récemment. L'un des harceleurs et calomniateurs recrutés par ma très charmante ex-épouse a multiplié les menaces de mort par arme à feu publiquement, sur Usenet. Le procureur d'Evian s'est contenté de lui faire un rappel à la loi, et depuis ses récidives ont été limitées par une force des choses qui lui échappe. Le couple de tueuses conjurées, mère-fille aînée, a trouvé d'autres colporteurs de ragots ; ce ne sont pas les pervers histrioniques enragés qui manquent, avides de taper sur la goule d'un bouc émissaire.

Le plus gros du récit direct de cette mission parricide confiée à sa fille aînée, puis subsidiairement aussi à notre fils, est difficilement rassemblé à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/index.html
Encore qu'il manque encore le détail d'un des faux témoignages.

Outre ce site personnel, je dirige plusieurs sites, tous consacrés à dénoncer quelques fraudes et impostures :
http://debats.aristeides.info
http://aristeides.info pour la page d'introduction et d'aiguillages,
http://deonto-famille.info

Sur ces deux sites-là, les deux harceleurs à gages ont pris une part importante, comme ils le firent sur quatre forums québécois aujourd'hui disparus.
Je dirige encore un forum généraliste : Pratiquer les vertus républicaines,
un Musée des impostures prétendues scientifiques (un moteur de recherche vous donnera facilement les liens),
Un wiki pour rédiger à plusieurs mains un livre d'initiation à la quantique, et à la demande de collègues professeurs de physique, un wiki condensant de précédents articles, sur la syntaxe géométrique de la physique.
Respectivement :
http://www.deonto-ethics.org/quantic
http://deonto-ethics.org/geom_syntax

Je ne crois pas que beaucoup de gens auraient pu survivre et garder la tête solide devant une telle coalition, unie par la passion de nuire et la joie du brigandage et du butin (y compris dans ma famille d'origine).
J'ai des raisons de penser que les hurlements de haine et de triomphe poussés par ma mère et ma soeur à l'annonce que les félonies d'avocates m'avaient dépouillé de tout, furent pour beaucoup dans le développement du cancer du poumon : je ne suis pas fumeur.

D'autres pères encerclés par de telles coalitions perverses n'ont pas su résister, et ont été suicidés conformément aux plans : Stéphane Lafargue, Bernard Perrin par exemple.
Bernard Perrin est présent à titre posthume là :
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=view&id=190&catid=27
ou là si vous préférez :
http://forum.aristeides.info/index.php?topic=190.0
Je suis le seul témoin gênant que le procureur de Besançon n'ait pas encore fait passer en garde à vue pour l'intimider, mais il peut encore se rattraper.

L'analyse ne vaut rien tant quelle se limite à la pathologie de la répudiante et de son réseau. D'autres témoignages, hélas peu nombreux mais significatifs, établissent qu'au bout de peu de semaines il n'est plus possible de démêler les deux perversités principales, et les deux joies de nuire : celle de l'avocate, d'obédience misandre victimaire (on dit aussi "féminazie") et celle de la répudiante qui a trouvé un ou une autre partenaire sexuel(le). L'avocate pousse aux accusations mensongères, aux attestations mensongères, aux répandages de rumeurs immondes. Tout se passe comme si elle pouvait certifier à sa cliente "Je réponds de la juge, c'est une femme à nous, on peut y aller plein pots, et plus c'est gros mieux ça passe !".

Et sur SOS-papa, il était sévèrement interdit d'évoquer les connivences entre avocats, les félonies d'avocats contre son client. Héhé ! La voix de son maître, l'Honorable Monopole d'avocats...

A cette époque là, il n'y avait encore aucune publication ayant atteint le grand public qui nous aurait donné les moyens de penser la perversité, que ce soit dans sa variété narcissique, sa variété paranoïaque, ni sa variété histrionique. Du reste, le DSM demeure obstinément muet à ce sujet. Le calomnié était seul, le dos à la mer, à faire face seul à une meute hurlante. Beaucoup en sont morts, et les morts ne parlent pas.

Ça ne vous intéressera pas : 1997-2000, la partie la plus violente des actions judiciaires. Trop vieux pour vous.

Avec mes salutations,

Lavau

Post Scriptum :
Trompettes de la calomnie
sur une musique de Georges Brassens.