Si j'ai créé et rempli toute une rubrique de
forum "Annihiler
et foudroyer",
consacré aux tactiques familiales pour annihiler et
foudroyer un
des membres de la famille, dont par exemple l'article "Je
maltraite donc je suis", c'est d'expérience que
j'en ai,
c'est l'idéologie pratiquée dans ma famille
d'origine.
Depuis de nombreuses années déjà, je
n'ai plus
aucun autre destin devant moi que d'être le témoin
gênant, qui dérange les criminalités
organisées, et qui les dérangera
jusqu'à sa mort.
Pourquoi suis-je devenu scientifique ? Pourquoi le suis-je redevenu
après passages par d'autres métiers ? Réponse à Esprit
scientifique, es-tu là ?
: La
motivation réelle pour devenir un
obsessionnel de l’exactitude scientifique, ou linguistique,
fut
bien de fournir une démonstration : on peut
respecter
rigoureusement les faits. On PEUT ne pas tricher. On peut ne pas
ensevelir autrui sous son territoire sonore, on peut ne pas
procéder
à un viol sonore permanent de son fils, comme le fit ma
mère
dans sa névrose et sa vanité envahissantes. On
peut respecter les faits en silence et
avec humilité. ...
Je
suis devenu et resté scientifique
dans l'espoir que cela me permettrait de desserrer le garrot de
mensonges permanents qui m'étranglait, et cela aussi bien
dans
ma famille d'origine, que lorsque la famille que j'avais
fondée
est devenue complètement folle et meurtrière -
à
l'instigation notamment de ma mère, prêcheuse de
la guerre
sexiste. L'exactitude scientifique recherchée,
était un
élément de loyauté et de
fiabilité,
antidote vital au venin de la déloyauté
parentale,
puis de la déloyauté conjugale, puis encore et
toujours
de la déloyauté des matriarques de ma famille
d'origine.
On a une nouvelle preuve de cette motivation durant ma vie
entière à lutter contre les mystifications, la
fourberie et la déloyauté régnantes,
par le titre de l'article publié dans Le nombre, une hydre
à n visages ; entre nombres complexes et vecteurs
: "Vecteurs"
?
151 ans de déloyaux
services.
Autre preuve à http://deonto-famille.info/index.php?topic=72.0
: l'ampleur du coup de bambou que j'ai pris, quand j'ai vraiment pris
connaissance de l'importance de l'éthique et de la
loyauté en psychothérapie, telle
qu'exposée par
Pierre Michard à partir des publications d'Yvan
Boszormenyi-Nagy.
De la même manière que la tectonique des plaques
s'est
révélée le fait et le concept
unificateur du plus
gros de la géologie, renvoyant aux poubelles de l'histoire
des
décennies de dogme géosynclinal, les obligations
de
loyautés transgénérationnelles et
bidirectionnelles, ainsi que la découverte de cette
capacité neurologique propre à
l'espèce humaine,
de pouvoir tenir au long de sa vie et au fil des
générations un Grand
Livre des loyautés dues, voilà une
découverte unificatrice et centrale, qui achève
de
renvoyer aux poubelles de l'histoire encore plus de
décennies de
dogmes freudiens.
Même les découvertes de Paul-Claude Racamier, le
premier
penseur de l'incestualité et de la perversité
narcissique, s'intègrent en complément
dialectique, comme
description du viol des devoirs de loyautés les plus
élémentaires.
Alors que l'éthique est une discipline universitaire
enseignée aux USA et au Canada, elle n'est en France que
l'objet
de sarcasmes par les intellectuels de la bourgeoisie
française.
Avec nous, elle va redevenir centrale.
Travailler la déontologie, cela suffit ? Non, cela ne suffit
pas, il faut ensuite l'incarner dans l'action, dans la fondation qui
dépasse ma propre durée de vie.
A l'heure actuelle, nous avons des militants qui militent pour
l'échevinage, pour le remplacement des juristes de
caste
par des représentants de la société
civile, mais
nous n'avons encore été capables de rien montrer
en
démonstration en ordre de marche. Nous ne savons dire
à
quiconque "Sois juge", ni garantir aux autres qu'il jugera ou du moins
assurera une médiation, avec rigueur et sagesse. C'est une
lacune inadmissible, et il faut y remédier.