Si j'ai écrit et publié que Certaines familles ont pour but d'avarier et de rendre infirmes tout ou partie de leurs membres, le plus souvent les enfants, c'est aussi d'expérience, que je le sais et ai pu l'écrire.
Si j'ai décrit et publié le Plan de mort et crime parfait, c'est aussi d'expérience, que je le sais et ai pu l'écrire.
Si j'ai écrit et publié Un mode de maltraitance très efficace au long cours, c'est aussi d'expérience, que je le sais et ai pu l'écrire.
Si j'ai écrit et publié La dépression majeure, un objectif de tortionnaires raffinés, c'est aussi d'expérience, que je le sais et ai pu l'écrire.
Si j'ai écrit et publié L'enfant : une terre d'invasion facile, c'est aussi d'expérience, que je le sais et ai pu l'écrire.
Si j'ai créé et rempli toute une rubrique de forum "Annihiler et foudroyer", consacré aux tactiques familiales pour annihiler et foudroyer un des membres de la famille, dont par exemple l'article "Je maltraite donc je suis", c'est d'expérience que j'en ai, c'est l'idéologie pratiquée dans ma famille d'origine.

J'ai toujours peint d'après nature, et non d'imagination.
Scientifique, je suis toujours parti de situations expérimentales vérifiées, mais non volontaires, toujours imposées de l'extérieur. Les articles ci-dessus sont inspirés majoritairement par ma famille d'origine.
D'autres articles sont davantage inspirés par la maladie mentale au pouvoir, dans ce qu'est devenue la famille que j'avais fondée :
Culte de l'exclusion : garantie de maladie mentale ?
La séparation d'un enfant de l'un de ses parents, par l'autre parent.
Et bien sûr le premier d'entre eux, chronologiquement parlant : Au moins un de nous deux est fou. Lequel ? Ou les deux ?

Depuis de nombreuses années déjà, je n'ai plus aucun autre destin devant moi que d'être le témoin gênant, qui dérange les criminalités organisées, et qui les dérangera jusqu'à sa mort.

Pourquoi suis-je devenu scientifique ? Pourquoi le suis-je redevenu après passages par d'autres métiers ?
Réponse à Esprit scientifique, es-tu là ? : La motivation réelle pour devenir un obsessionnel de l’exactitude scientifique, ou linguistique, fut bien de fournir une démonstration : on peut respecter rigoureusement les faits. On PEUT ne pas tricher. On peut ne pas ensevelir autrui sous son territoire sonore, on peut ne pas procéder à un viol sonore permanent de son fils, comme le fit ma mère dans sa névrose et sa vanité envahissantes. On peut respecter les faits en silence et avec humilité. ... Je suis devenu et resté scientifique dans l'espoir que cela me permettrait de desserrer le garrot de mensonges permanents qui m'étranglait, et cela aussi bien dans ma famille d'origine, que lorsque la famille que j'avais fondée est devenue complètement folle et meurtrière - à l'instigation notamment de ma mère, prêcheuse de la guerre sexiste. L'exactitude scientifique recherchée, était un élément de loyauté et de fiabilité, antidote vital  au venin de la déloyauté parentale, puis de la déloyauté conjugale, puis encore et toujours de la déloyauté des matriarques de ma famille d'origine.

On a une nouvelle preuve de cette motivation durant ma vie entière à lutter contre les mystifications, la fourberie et la déloyauté régnantes, par le titre de l'article publié dans Le nombre, une hydre à n visages ; entre nombres complexes et vecteurs"Vecteurs" ?  151 ans de déloyaux services.  

Autre preuve à http://deonto-famille.info/index.php?topic=72.0 : l'ampleur du coup de bambou que j'ai pris, quand j'ai vraiment pris connaissance de l'importance de l'éthique et de la loyauté en psychothérapie, telle qu'exposée par Pierre Michard à partir des publications d'Yvan Boszormenyi-Nagy.
De la même manière que la tectonique des plaques s'est révélée le fait et le concept unificateur du plus gros de la géologie, renvoyant aux poubelles de l'histoire des décennies de dogme géosynclinal, les obligations de loyautés transgénérationnelles et bidirectionnelles, ainsi que la découverte de cette capacité neurologique propre à l'espèce humaine, de pouvoir tenir au long de sa vie et au fil des générations un Grand Livre des loyautés dues, voilà une découverte unificatrice et centrale, qui achève de renvoyer aux poubelles de l'histoire encore plus de décennies de dogmes freudiens.

Même les découvertes de Paul-Claude Racamier, le premier penseur de l'incestualité et de la perversité narcissique, s'intègrent en complément dialectique, comme description du viol des devoirs de loyautés les plus élémentaires.

Et comment dépasser cette constante dénonciation des organisations criminelles sournoises, si caractéristiques de la bourgeoisie, de protection de la perversité sociale, de mensonge systématique ?
Je suis au moins assez marxiste pour avoir appris quelques rudiments de dépassement dialectique, n'est-ce pas ?
Je me persuade avoir trouvé ce dépassement dialectique en travaillant désormais la déontologie. Voir par exemple notre Code de déontologie pour la famille aux adresses où je l'ai publié :
http://www.unaf.fr/forums/viewtopic.php?t=59 ou
http://deonto-famille.info/index.php?topic=7.0 ou
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=9 .

Alors que l'éthique est une discipline universitaire enseignée aux USA et au Canada, elle n'est en France que l'objet de sarcasmes par les intellectuels de la bourgeoisie française. Avec nous, elle va redevenir centrale.

Travailler la déontologie, cela suffit ? Non, cela ne suffit pas, il faut ensuite l'incarner dans l'action, dans la fondation qui dépasse ma propre durée de vie.
A l'heure actuelle, nous avons des militants qui militent pour l'échevinage, pour le remplacement  des juristes de caste par des représentants de la société civile, mais nous n'avons encore été capables de rien montrer en démonstration en ordre de marche. Nous ne savons dire à quiconque "Sois juge", ni garantir aux autres qu'il jugera ou du moins assurera une médiation, avec rigueur et sagesse. C'est une lacune inadmissible, et il faut y remédier.



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