Merci de poser cette question : qu'est-ce que le féminisme, de nos jours et dans nos pays ?
Petit-fils, fils et frère de féministes, ou plus précisément petit-fils de féministe historique, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, répudié et spolié de kleptomane, et père de [censuré, c'est indicible], soumis à plus de soixante ans de propagande misandre victimaire, je suis en mesure de répondre ce qui suit :
C'est une collection d'astuces pour haïr et mépriser son prochain, toutes ensembles, et pour se garantir l'une l'autre l'impunité pénale à tous les crimes et délits que cette idéologie de la haine inspire, une école de malveillance et de déni d'autrui. Suivant la règle générale qui constate que la perversité et la corruption sont des cliquets à sens unique - tout gangster évolué, capable de corrompre magistrats, policiers et hommes politiques te le confirmera, tout agent secret en charge de la manipulation de traitres à leur pays te le confirmera aussi : un corrompu est prisonnier de sa corruption -, le féminisme dans nos pays gavés est descendu toujours plus profondément dans l'abjection, dans la perversité, le sadisme et la fourberie dans l'intimité des familles. J'ai vu de mes yeux vu, tout au long de mes soixante-six ans d'existence à ce jour (un peu plus depuis que cet article fut écrit), la transmission de l'idéologie misandre s'inscrire dans la transmission des noyaux de délires psychotiques de mère en fille. De belle-mère en bru à l'occasion, quand le fils se révélait finalement rebelle au délire misandre inculqué par la mère, par exemple refusait de se laisser suicider dans les délais prescrits, quel que fut le poids des doubles contraintes infligées. On est folles en premier lieu parce qu'on a reçu injonction de l'être, et qu'on n'a pas été capables de résister à cette injonction, qu'on a trouvé autrefois que les avantages d'entrer dans le délire maternel l'emportaient sur les inconvénients. Et après, il est trop tard, on n'a pas les forces ni le courage nécessaires à résipiscence. J'ai vu, de mes yeux vu, chaque féministe ou exploiteuse de l'idéologie féministe à partir de la génération qui me précède, s'enfoncer individuellement dans l'abjection et le délire, à mesure qu'elle avançait en âge. Ceci est identique à l'évolution pathologique des charlatans, qui sont incapables de reculer, d'abandonner un seul de leurs mensonges de façade et de prestance.
Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but premier est de justifier des crimes et délits de droit commun, de justifier des vols, des meurtres, des spoliations et des privilèges, en disqualifiant un ou plusieurs boucs émissaires. Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but secondaire est de donner une apparence de rationalité à un bagage de haine héritée et déréférencée, en quête de cibles sans danger sur lesquelles se focaliser. Autrement dit, comme tous les autres racismes, le féminisme moderne est une organisation collective de la paranoïa, et du mode pervers de dénégation collective de la psychose partagée : une astuce pour projeter sur autrui toutes ses propres turpitudes qu'on n'est pas capables de s'avouer. Oui bien sûr, il y a longtemps, le féminisme luttait contre des inégalités. C'était il y a longtemps. Les anciennes inégalités supprimées et renversées, le féminisme moderne milite pour renforcer ces nouvelles inégalités. Il est devenu une entreprise criminelle quand il a pénétré en force le système judiciaire, garantissant l'impunité à toutes les formes de brigandage conjugal et familial qui soient féminines.
La seule différence par rapport à d'autres racismes comme ceux moins populaires (en France) d'islamisme ou de lepenisme, est qu'il a sélectionné celle des discriminations qui échappe encore à toute sanction légale : le sexisme. Ici, l'objet désigné pour recevoir tous les ressentiments, est l'autre sexe, tout représentant de l'autre sexe qui ne soit totalement soumis et asservi. Le sexisme anti-mâles est le seul racisme qui reçoive des subventions des municipalités, des collectivités locales, des ministères.
Comme tous les autres racismes et guerres de religions, le féminisme moderne sert à nier l'individu, à le masquer derrière une étiquette de catégorie sexuelle, à disqualifier en masse tout ce qui est autre, tout ce qui est non-féminin. Tout mécréant qui résiste est automatiquement prétendu monstre symétrique, ou dans leur jargon : « masculiniste ».
Le féminisme appartient au groupe des sectes exonuisibles, centrées sur la haine de l'extérieur, la joie de nuire à l'extérieur. Ainsi étaient aussi en Inde les Thugs, secte d'étrangleurs. Ils se proclamaient investis de la mission divine d'étrangler les voyageurs dont ils avaient capté la confiance et de les détrousser. Ils se justifiaient devant les tribunaux anglais au son de "Mais le souffle de Kâli était déjà sur lui !". Tandis que de nombreuses sectes renfermées sont endonuisibles, centrées sur l'exploitation à blanc de leurs propres fidèles : Témoins de Jéhovah, Moonistes, Mandarom, Scientologie, Krishna, etc.
Certes, si je n'étais que petit-fils de féministe historique, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, répudié et pillié de kleptomane, et père de [censuré, c'est indicible], mon échantillon serait statistiquement sans valeur, quoique j'en aie une connaissance intime dont je me serais fort bien passé. Eberlué par ces cris de haine écrits par ces fanatiques, je suis allé les observer sur leurs sites propres. Cette fois, il y a de quoi être submergé par l'ampleur du corpus d'études. Par exemple Michèle Dayras a écrit sur son site « sos sexisme » le 23/10/2003 à 06:53:30 : « la définition du "sexisme" est la discrimination à l'encontre des femmes ! », et le 22/08/2001 à 02:02:56 : « Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa : ceux qui n'ont pas été confrontés à la réalité et que leur petite femme chérie...conforte dans leur machisme; ceux-là ne sont pas trop véhéments car ils n'ont pas l'impresion qu'ils vont perdre le pouvoir avec tous les privilèges qui s'y rapportent. »
Fin de citation. Fautes de frappe maintenues.
J'ai aussi mis à jour un véritable "Meine Kampf" du féminazisme : apologie du
meurtre, de la mutilation, de l'esclavage et des camps d'extermination, en
gynarque dans le texte. Voir les liens rassemblés sur notre forum Synpoïesis,
Coévoluer et Créer, ou alternative sur Déontologie pour la famille : http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0.
Quelques constantes communes chez ces fanatiques :
1 - Une profonde désorientation temporelle, confusion des âges de la personne, confusion des générations, confusion entre l'intérieur et l'extérieur, confusion des époques entre elles, des civilisations entre elles, des continents entre eux. Il nous est alors facile d'identifier cette organisation collective de la psychose, comme un "syndrome d'aliénation parentale" prolongé à l'âge adulte. Redit en langage de tous les jours : le syndrome d'aliénation parentale est l'aliénation de ceux qui ont été dressés à servir d'aide-bourreau, tortionnaire d'un au moins de leurs parents.
Rappel : le syndrome d'aliénation parentale - ou en mots de tous les jours, le dressage des enfants comme aide-bourreaux d'un de leurs parents par l'autre parent, ou par des grands-parents - est une variante du syndrome de Stockholm, qui consiste à adopter la cause et le point de vue de ceux qui vous ont pris en otage ; en effet, ce sont eux qui sont manifestement les prédateurs les plus féroces, donc qui sont identifiés par l'enfant comme le contre-prédateur le plus crédible.
2 - Toutes ces féministes, ainsi que les quelques féministes misandres mâles, dont le québécois Martin Dufresne est le plus exhibé par les sites de misandrie, mais Francis Dupuis-Déry ou Jean-Claude Saint-Amand ne sont pas mal non plus dans le genre, ont en commun de continuer d'adhérer au couple de la toute-puissance qu'ils formaient avec leur môman, de continuer jusqu'à leur mort à être l'instrument de la guerre perpétuelle de leur môman contre leur pôpa.
3 - Une organisation narcissique fragile et ombrageuse. L'obsession de reprendre la position haute, et de ne plus jamais la lâcher. Un goût immodéré pour l'insulte. L'incapacité totale à toute réflexivité, à toute prise en compte de sa propre subjectivité, à tout retour réflexif sur sa genèse et sa biographie. La panique la plus complète et les réactions les plus violentes dès qu'une remise en cause réflexive leur est suggérée.
4 - Une organisation charlatane des dénis de réalité qui leur soient avantageux, et de l'emprise fanatique sur son prochain. Leur rage s'exacerbe quand ils/elles apprennent qu'on a mené une expérimentation pour vérifier une de leurs affirmations. Ma sœur par exemple a écumé de rage, quand elle a entendu le détail des expérimentations que j'ai montées pour en avoir le cœur net, déterminer qui de mon épouse ou de moi-même était fou à lier (voire les deux) ; elle m'a aussitôt traité de paranoïaque, pour avoir eu l'idée d'expérimenter, au lieu de la croire sur parole, elle. Tant il est vrai que l'expérimentation est un crime de lèse-charlatan.
Le féminisme actuel, autrement dit le féminazisme qu'il est devenu, présente tous les caractères d'une aliénation mentale transgénérationnelle : aucune élaboration individuelle du délire ; le délire est strictement importé, emprunté à la génération précédente.
Dans un article ultérieur, consacré à l'éloge de la féministe, je donnerai des détails croquignolets sur le sens artistique de la féministe, c'est à dire en clair son adhésion à la Puissance. Ebauche de cet article à Et la Reine-Mère s'enfonçait dans son délire...encore en cours de rédaction. Voir aussi l'aveu de son soutien inconditionnel à la criminalité organisée, pourvu qu'elle soit féminine : Quand la Reine-Mère se vantait de protéger la criminalité féminine.
Sauf que depuis, la jalousie paranoïaque de Christophe H. est intervenue. Le second lien est mort, et le premier est expurgé : la date des messages passe directement du 2 avril au 5 juin 2003. Heureusement j'avais sauvegardé tout cela en archives, et peux donc vous en restituer la teneur originale, telle qu'elle était avant la crise de jalousie de Christophe. Nouvelles adresses donc de ces deux documents : http://caton-censeur.org/resources/REACTION_face_a_ce_type_d'opinion.html et http://caton-censeur.org/resources/Pas_d_accord_sur_l_education.html.
Le dessin est emprunté à l'adresse : http://txc.net.au/~mapie/goodtobeboss.jpg
L'impôt sur le délit de masculinité, par Gudrun Schyman
Références, et originaux suédois à :
http://forum.aceboard.net/11070-1635-6346-0-impot-delit-malitude-pour-Gudrun-Schyman.htm
et à
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2515
"Un impôt sur le délit de masculinité, pour Gudrun Schyman".
J'ai repris ces originaux en sauvegarde à l'adresse http://deonto-famille.info/index.php?topic=26.0.
L'objectif de monopole économique et de monopole sur les familles, surtout les enfants.
Cet objectif a été exposé par Agnès Echène, et abondamment repris par les média féminazis, dont l'ineffable Sisyphe :
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1324 et http://ladivecie.free.fr/article.php3?id_article=68
L'apologie de
la torture, de la mutilation et de l'esclavage,
apologie féministe comme il se doit, selon le programme déjà tracé par Valerie
Solanas, j'en donne quelques références à :
http://forum.aceboard.net/11070-245-7218-0-Gynarchy-International.htm
http://deonto-famille.info/index.php?topic=15.0
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_joomlaboard&Itemid=26&func=view&id=38&catid=43
http://www.p-a-p-a.org/html/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=62&forum=8
L'articulation entre sadisme
de pointe et sadisme de masse
Quand le Putsch de Ludendorf et Hitler a échoué à München (novembre 1923), on a
ri, on a pouffé de leur débilité. Leurs idées prêtaient à rire, tant elles
étaient grotesques. En prison, Hitler rédigea son programme de guerre totale :
Mein Kampf. Accessoirement, il en profitait pour falsifier sa biographie d'en
moyenne un an, pour se confectionner une autre figure, bien plus maléfique que
le lâche qu'il avait été.
Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Le nazisme, c'est bien plus pur
et plus noble que ces braillards de S.A. !" D'ailleurs Hitler fit
assassiner Ernst Röhm, ce qui sembla régler la question.
Plus tard, on continua de dénier : "Oh non ! Les camps de la mort n'ont
jamais pu exister ! C'est juste une invention de la juiverie internationale
!"
Nous sommes tombés sur un vaste Meine Kampf du féminazisme, et aussitôt les
dénégations ont plu : "Oh non ! Ce sont juste des ultra-minoritaires sans
importance ! Pis t'es juste un paranoïaque pour avoir eu l'idée d'aller
fouiller de ce côté-là, et je vais de ce pas te dénoncer à mes copines de la
Sororité ! "
Les intimidations ont commencé à pleuvoir, pour nous interdire de penser
l'articulation entre ce sadisme de pointe - les gynarques déclarées - et les
sadiques anonymes, bien indistinctes dans le sadisme de masse, voire déjà
installées à des postes-clés dans la presse et dans l'appareil judiciaire. Se
reporter par exemple à l'émission de propagande anti-pères de Myriam Tonoletto
et de Marc Hansman (faisant la part très belle à leurs maîtres et complices
Hélène Palma et Martin Dufresne), sur Arte, le 22 mars 2005.
Nous disposons de deux précédents à étudier pour nous guider : la Sainte
Inquisition, et le nazisme en Allemagne, le fascisme en Italie, le franquisme
en Espagne, et quelques autres fascismes sanglants encore.
Institution sadique et génocidaire par excellence, la Sainte Inquisition sous
les rois Très Catholiques a fonctionné avec peu de sadiques vraiment maladifs :
essentiellement le Grand Inquisiteur. Pour le reste, les carriéristes ont suffi
presque partout. Opportunistes, les carriéristes ont flairé où étaient les
carrières sûres et juteuses : dans l'administration royale. Le roi avait besoin
de terroristes assis, pour terroriser son peuple, ils ont fait carrière dans le
terrorisme assis, sans autres scrupules ni "états d'âme". On a envoyé dans un
premier temps 500 000 juifs et musulmans à la mer, et je n'ai pas sous la main
les scores des années suivantes... Et voilà le moyen de satisfaire son sadisme
anonyme en faisant brillante et confortable carrière !
Et comment l'antisémitisme de l'extrême-droite allemande est-il devenu la loi
commune de l'Allemagne ? Silence très épais là dessus. Nous avons bien une
information, mais son statut épistémologique est ténu. Se reporter au premier
livre d'Alice Miller, son "C'est pour ton bien", chez Aubier Montagne. Y
figure le compte-rendu d'une psychanalyse d'un femme, une seule, qui explique
que se rebeller contre la dureté et la méchanceté de ses parents, était
impossible, impensable. Aussi quand Hitler lui a désigné qui haïr sans se faire
punir (les juifs), elle s'est engouffrée dans cette aubaine, comme les autres
lâches anonymes. Alice Miller dénonce d'une manière générale une "pédagogie
noire", des traditions familiales fortement répressives, voire sadiques, en
Allemagne, et en Suisse allémanique. Le sadisme paternel subi par le futur
président Schreber, en est un exemple, aux conséquences fameuses (voir
bibliographie).
Une seule psychanalyse, voilà qui ne satisfait aucun des critères scientifiques
et statistiques du sociopsychologue sérieux. On sait que ce que publie un
psychanalyste non vérifié par ailleurs, peut être discutable, voire carrément
truandé.
Il faudra pourtant bien s'en contenter à titre provisoire, car :
- On ne trouve pas d'autres témoignages non biaisés par le souci de prestance,
de s'innocenter de sa part de culpabilité.
- La structure fournie par cette confession donne un bon cadre explicatif
général.
- Cette structure de déplacement de la haine d'un objet inaccessible et
dangereux vers un objet inoffensif et facile à maltraiter, est cohérente avec
toutes nos autres connaissances et observations sur les haines et perversités,
sur les organisations de la maltraitance et du harcèlement.
- Quand on a répété les expériences de Milgram en Allemagne, on a trouvé 85% de
gens obéissants, contre 65% aux U.S.A et en Grande Bretagne. L'acteur qui
jouait le rôle du cobaye torturé par l'autre, le cobaye naïf, ne s'en est pas
remis : il a plongé dans un profond désespoir de plusieurs années, de voir ses
compatriotes toujours aussi obéissants à torturer un homme qui ne leur avait
jamais fait aucun mal.
- Autre information concordante, datant des années soixante-septante : la
terrifiante mécanisation militaire des maternités d'Allemagne à cette époque,
avec biberons à heures fixes, séparation rigoureuse des bébés d'avec leurs
mères, berceaux tous alignés dans leur salle collective... D'accord, je n'ai
qu'un seul témoignage direct, de Joseph Davidovits, à confirmer donc par
d'autres témoins.
- Du moins cette information satisfait aux critères causaux, au contraire de
l'essentialisme cher aux pédants, qui exhibent qu'ils savent classifier, mais
ni expliquer le processus de genèse, ni pratiquer un processus de guérison.
Cette explication donne la voie à un processus de prévention, et à un processus
de guérison, qui sont testables, donc satisfont aux critères scientifiques.
Ajoutons un mot sur les précédents en structures
de dénégation de la réalité. Entre les deux guerres mondiales, Winston
Churchill, presque redevenu journaliste enquêteur, en ce sens qu'il animait un
réseau de renseignement parallèle, d'origine généralement diplomatique,
enquêtait sur l'Allemagne et publiait force preuves que l'Allemagne réarmait
clandestinement, en violation du traité de Versailles, et préparait activement
une nouvelle guerre. Et on le traitait de paranoïaque, pour oser troubler ainsi
les illusions. Il semblerait qu'à cette époque, l'expression "adepte de la théorie du complot" n'était pas
encore inventée, sinon nul doute qu'on l'en aurait traité.
Grâce à l'éclairage historique, nous sommes sommes en mesure de préciser le
positionnement marketing de ces fanatiques du sadisme anti-mâle et de la
gynarchie : exactement comme Hitler en 1923, qui se positionnait comme le
truand finançable et exploitable par le patronat allemand, pour terroriser
leurs ouvriers à l'échelle du Reich, et pour exterminer toute résistance. Elles
se positionnent comme les truandes disponibles, le réservoir de toutes les
violences anti-mâles à commanditer, pourvu qu'on garantisse leur impunité.
Or l'impunité est d'ores et déjà garantie aux auteures d'attestations
mensongères, ainsi du reste qu'à leurs commanditaires. C'est un secret de
Polichinelle dans tous les Barreaux de France, que l'article 441-7 NCP est
lettre morte, les Ministères Publics refusant systématiquement de poursuivre
les attestations mensongères, car c'est un sport d'équipe massivement féminin,
massivement préjudiciable aux pères et aux maris. Il a aussi été publié un aveu
écrit du Garde des Sceaux, qu'il avait donné ordre aux procureurs, de ne plus
poursuivre les non-présentations d'enfants. En effet, le viol de l'article
227-5 NCP est un délit d'autant plus massivement féminin, qu'il est massivement
protégé par l'appareil judiciaire. Pour les mêmes raisons, les accusations
calomnieuses demeurent systématiquement non poursuivies, systématiquement
impunies, du moment qu'elles abattent des pères, et favorisent des mères, en
violation de l'article 226-10 NCP. Ce favoritisme
sexiste viole évidemment l'article 225-1 NCP. Seulement voilà : pour dénoncer
les violations systématiques de l'article 225-1 NCP par l'appareil judiciaire,
il faut repasser justement par l'appareil judiciaire...
Conclusion : Le ventre est encore fécond, d'où est sorti la
bête immonde...
Un courrier sera très prochainement adressé au procureur, avec un CD contenant
l'enregistrement de ces sites. Nous pouvons hélas prédire qu'aucune suite ne
sera donnée, excepté un encouragement envoyé à ces dames, de mieux protéger
leurs publications par des mots de passe, afin de ne plus laisser entrer que
des complices sûres. Mobile : ces gynarques et féminazies disent tout haut ce
que le Ministère Public pense tout bas.
Autre stratégie possible pour un plus long terme : Se déclarer désormais
religion, et Eglise de l'Image de la Femme et de Kâli. Si si, ça va marcher,
comme pour la scientologie ! D'abord c'est drôlement chouette pour l'évasion
fiscale, ensuite elles pourront crier qu'on ne traite pas les religions sur un
pied d'égalité, qu'elles sont encore brimées, qu'elles n'ont pas encore leurs
lieux de culte où elles pourront pratiquer leurs sacrifices humains en toute
tranquillité.
Le signataire de ces lignes est un sacrifice humain, qui a échappé par miracle
aux deux tueuses conjurées.
Conclusion :
Le féminisme moderne, après épuisement de tous les objectifs avouables du féminisme historique, est la forme collective de l'adhésion au NOUS fusionnel mère-fille, fétiche de la toute-puissance, la transmission de mère en fille d'un noyau de délire psychotique. Encore qu'il n'épuise pas à lui seul les transmissions psychotiques de mère en fille.
Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but collectif premier est de justifier des crimes et délits de droit commun, de justifier des vols, des meurtres, des spoliations et des privilèges, en disqualifiant un ou plusieurs boucs émissaires. Cette secte ou ce conglomérat de sectes pratique le cannibalisme externe, au contraire de la scientologie et des témoins de Jéhovah, qui pratiquent le cannibalisme interne aux dépens de leurs membres.
Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but individuel secondaire est de donner une apparence de rationnalité à un bagage de haine héritée et déréférencée, en quête de cibles sans danger sur lesquelles se focaliser.
Comme toutes les autres haines de boucs
émissaires, le féminisme sert dans l'économie individuelle, à éviter de porter
le poids de ses propres responsabilités dans ses échecs de vie, mais à en
reporter la responsabilité à l'extérieur, sur les cornes des boucs
émissaires.