Et la Reine-Mère Anne s'enfonçait dans son délire...


Narcissique, mythomane, charlatane...

Bordélique, égocentrique, vaniteuse, tyrannique et envahissante, notre mère n'était ni tout à fait psychotique, ni tout à fait névrotique.
Question : était-elle borderline, en français "état-limite" ? Pas vraiment, car - illusion ou réalité - elle n'en exhibait pas l'instabilité affective qui est souvent considérée comme leur trait principal. Bien qu'elle partageât de nombreux traits avec les pervers narcissiques manipulateurs (PNM pour les intimes), à savoir des psychotiques qui ont élaboré des recettes pour ne jamais décompenser, en exploitant les autres et en exportant sur eux leur enfer interne, la Reine-Mère Anne décompensait facilement et souvent. Elle explosait alors et se trahissait dans le style :
"Vous êtes tous des cons et vous m'emmerdez tous !
Vous êtes tous les mêmes !
Vous êtes tous pareils !
Vous vous êtes donnés le mot !
Vous vous laissez dépersonnaliser par votre père !
Oh ! Mais vos enfants me vengeront ! Vos enfants me vengeront !
Rrrhoh ! Toi, tu rendrais frigide une Messaline ! 
Etc."
Nous avons tous été témoins de variantes mineures sur le thème commun, du délire persécutoire et vengeur de la Reine-Mère.
A quel moment décompensait-elle ? Quand sa vanité pyramidale était menacée, et qu'on contestait les constructions mythomaniaques qu'elle cherchait à nous imposer. Quand elle découvrait que notre crédulité ne lui était pas aussi acquise qu'elle l'avait rêvée.

En effet, quoique notre mère fut manipulatrice, elle était maladroite, exaspérante, et était souvent démasquée. Elle ne faisait illusion que peu de temps, ou aux gens les plus naïfs. Les autres s'apercevaient vite du mépris écrasant que "la comtesse un peu fada" réservait aux manants. Seule contradiction à ce mépris : la Reine-Mère Anne adorait exhiber qu'elle fréquentait tels et tels gens prestigieux, et participait donc de leur gloire et de leur prestige. Et que je te fais mousser les titres du capitaine de corvette et du contre-amiral... Et que je te bassine les oreilles avec mon tourisme tropézien et les concerts chez mon Annette Troisier de Diaz à moi que j'ai... Groupie avec les gens prestigieux dont elle avait plein la bouche, pour mieux nous écraser, la Reine-Mère Anne se parait des plumes du paon. Mais les bascules rapides d'un état d'adoration de groupie, à un état de mépris et d'exécration, n'ont pas manqué. Son problème était de ne pas se faire prendre à jouer ce jeu, devant des témoins trop extérieurs, trop gênants.

Les manipulations par la Reine-Mère Anne étaient incohérentes et cousues de fils blancs ; souvent, cela faisait rire les témoins, dans son dos. Mes enfants et surtout mon épouse la méprisaient totalement, et aimaient bien l'exploiter de même, par contre-manipulation, en flattant sa pyramidale vanité. La Reine-Mère Anne avait trouvé en sa bru sa maîtresse, bien plus habile qu'elle en compromission et corruptions, en sorte que la Reine-Mère Anne ne put plus jamais se dépêtrer du complot qu'elle avait elle-même initié, dont elle était l'instigatrice sous couvert d'idéologie sexiste misandre. Dans l'article suivant, nous verrons la Reine-Mère Anne se vanter (courrier du 12 octobre 2006) d'avoir protégé la criminalité féminine organisée, dont elle avait été l'idéologue fanatique, au long cours.

C'est en effet l'art suprême de ce genre de psychopathes bordeline et manipulateurs, que de savoir faire se battre les montagnes entre elles, utiliser machin pour nuire à chose, utiliser sa fille pour piller son frère, utiliser sa bru pour abattre son fils, etc. Tous autant les uns que les autres, nous sommes tous des ustensiles à son service ; juste que les plus tortionnaires sont les plus favorisés, afin de les compromettre, à vie. Comme l'avait déjà expliqué le diplomate florentin Niccolo Macchiavelli, l'art de la Princesse consiste à bien feindre et bien dissimuler.

Dans le Midi, elle était réputée comme "la comtesse un peu fada". Un peu, oui... Un peu. La maison du Brusc ne fait que 42 mètres carrés. Pourtant, nous avons déblayé de son bordel monstre - gâché serré - environ deux cents à trois cents paires de chaussures, dont des lots de deux douzaines d'espadrilles, avec ou sans talons. Et le reste des fringues était à l'avenant. Il y avait d'autres lots de chaussures et d'espadrilles aussi envahissants à Paris, tous à la taille 36-37, donc l'excuse standard "mais c'était pour en faire cadeau" serait intenable. Mais la maison du Brusc est en ruine, en retard de quarante ans dans l'entretien indispensable : la Reine-Mère Anne dilapidait l'argent de sa pension alimentaire confortable, et de sa retraite confortable, en futilités vaniteuses. Despotique, la Reine-Mère Anne militait pour l'environnement, emmerdait tous les voisins pour leur interdire leurs constructions, leur faire démolir ceci ou cela ou combler leur piscine, mais paresseuse, vivait au milieu d'un tas d'ordures, et d'épaves brisées. Incapable de prendre des décisions importantes, ni de rien réaliser de sérieux, la Reine-Mère Anne se vengeait en paralysant les autres, en leur interdisant au maximum d'exister. Elle transmettait ainsi à autrui les injonctions d'immobilisme imposées par sa propre mère. Elle interdisait aussi qu'on entreprenne les travaux de rénovation indispensables à la maison du Brusc, de peur que la maîtrise totale sur les autres lui échappât. Sa règle fut de faire de ses lieux de vie des taudis insupportables pour tout autre qu'elle-même. Mais elle savait tout justifier, prétendait qu'à condition de nous écarter, elle ferait tout mieux que les autres, et rien ne se faisait jamais plus... Mythomane, telle était sa façon de faire semblant d'avoir encore une santé mentale, de faire semblant de savoir encore se conduire soi-même, tout en exigeant de diriger les autres, de sa façon la plus toxique possible. Pas vraiment borderline, car sans l'instabilité affective souvent considérée comme caractéristique, ou plutôt, la Reine-Mère parvenait à la dissimuler à ceux qui n'étaient pas des intimes. Oui, la Reine-Mère, de plus en plus prisonnière de sa vanité et du noyau psychotique élaboré pour protéger sa vanité contre les épreuves de réalité, hébergeait simultanément deux attitudes contradictoires et incompatibles, envers chacun. Mais elle parvenait le plus souvent à conserver des attitudes de façade, qui suffisaient à abuser le plus grand nombre.

Charlatane.

Notre embarras dans le paragraphe précédent, trahit la difficulté suivante : bien que notre mère exhibât un noyau psychotique de déni de la réalité de plus en plus évident et envahissant, son cas tombe dans un trou de la nosographie psychiatrique. Hé oui ! Encore un trou, dû au biais d'adressage ! Ce sont les hurlements de triomphe hors de tout propos, d'un charlatan professionnel - on les consultera au Staunisier : http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/board,16.0.html - qui nous ont mis en face de l'évidence.

Prisonniers de leur biais d'adressage, les psychiatres de cabinets n'ont jamais pensé à en dresser la catégorie psychiatrique : jamais les charlatans ne consultent spontanément. Si d'aventure on les capture, c'est presque toujours dans un cadre judiciaire correctionnel, et non criminel, et il n'y a pas d'expertise psychiatrique demandée.

Exception : Jean-Claude Romand, parce qu'il a conclu sa mythomanie par cinq meurtres, ou six meurtres si l'on inclut le meurtre de son beau-père.
Prisonnier de son bluff, le charlatan n'a aucune profondeur stratégique : il ne peut plus jamais reculer, il doit se cramponner à sa façade. Toute son emprise repose sur sa façade, et il ne peut vivre s'il n'a emprise sur des crédules.
J'ai eu le sombre privilège, au cours de ma carrière, de fréquenter d'assez près toute une brochette d'escrocs et de charlatans, détails à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf
Un témoin, du ministère de l'Industrie, raconte : "J'ai vu au fil des mois l'évolution pathologique de Michel L. A chaque réunion, la discussion technique s'arrêtait toujours plus tôt, les apéritifs arrivaient toujours plus vite, la cour empressée remplissait le verre de Michel L. à mesure qu'il le vidait..."
Jusqu'à ce que Michel L. s'enfuie en hélicoptère, laissant derrière lui un trou de plus de douze millions de francs. Un flou demeure sur le montant réel du détournement, car pour sauvegarder leur réputation de banquiers infaillibles, les principaux intéressés ont étouffé l'affaire, qui n'est jamais allée en justice.

Il est futile de se demander si le charlatan croit à ses mensonges, ou s'il est prisonnier d'une illusion initiale, ou s'il se contente de mentir cyniquement aux gogos, parce que cela lui rapporte du pognon et du pouvoir. Les deux mobiles s'entrelacent toujours plus intimement au cours de la carrière du charlatan. De toutes façons, il suffit de regarder les choses du point du vue de l'épidémiologiste, préoccupé de contage en maladie mentale, pour voir l'académisme futile de la question : de toutes façons, le charlatan est d'autant plus dangereux et nocif qu'il a de pouvoir et d'audience, ou qu'il agit en réseau de charlatans, qui se donnent l'un à l'autre une aura d'audience et de respectabilité.

Le charlatan s'écarte de la définition standard du psychotique, en ce sens qu'il garde une prise sur la réalité, une seule du reste : il sait comment manipuler les gens pour ne pas se faire pincer, pour continuer d'entretenir l'illusion et l'emprise, au moins chez les plus naïfs, les plus convaincus d'avance. De ce point de vue, feue ma mère était maladroite dans le charlatanisme, car ses manipulations étaient cousues d'assez de fils blancs, pour bientôt attirer les quolibets et le mépris. 

Le charlatan se rend au fil du temps de plus en plus psychotique, en ce sens que le déni de réalité envahit peu à peu toute sa vie.

De ce point de vue, feue ma mère conserve quand même quelques traits caractéristiques de l'état-limite : Quand elle était prise en cisailles entre un sursaut de bon sens, ou un reste d'éducation correcte, et ses délires de vaniteuse frustrée, incompatibles, invariablement c'était le délire de vaniteuse qui finissait par l'emporter, en balayant les brèves apparences d'honnêteté. Dans les deux variantes, charlatanisme et état-limite, le traumatisme et la problématique sont ante-oedipiennes. Bien qu'on ait mis longtemps avant d'en élaborer la discipline et la technique, on sait maintenant traiter et guérir les états-limites, car ils demeurent demandeurs d'une relation authentique, qu'ils ne savent pas encore obtenir. Tandis qu'en l'état actuel de déni de réalité du charlatanisme dans la nosographie, et dans la profession des psychothérapeutes, les charlatans sont encore incurables : ils ne sont demandeurs d'aucune authenticité. Bien au contraire, ils ne cherchent qu'à imposer partout leur propre imposture. Une personne en état-limite ne vous oppose pas un mur de mauvaise foi. Un charlatan si. Ma mère si, et ses disciples aussi.


Ce que la Reine-Mère Anne aimait dans son fils :

Madame Mère aimait les occasions de briller, d'exhiber sa supériorité sur son fils et sur le restant du monde, et d'exhiber ses mérites exceptionnels.

Ce que la Reine-Mère Anne détestait dans son fils :

Madame Mère détestait que son fils ait des opinions indépendantes, un développement distinct, de personne distincte. Madame Mère détestait que quiconque critique les invasions verbales qu'elle nous assénait.

Septembre 1967 sans doute ? Ou 1966 ? Au Brusc, ma soeur était adolescente, moi jeune homme, et notre mère préparait son divorce pour se venger que Georges n'ait pas fait d'elle une femme de ministre. M'enfin quoi ? Marie-Laure était bien femme de ministre, et pas elle ! M'enfin quoi ? Pourquoi donc Georges restait dans l'opposition stérile à de Gaulle, au lieu de grenouiller pour être ministrable ?
Donc nous fumes deux, tous les deux, à protester contre l'épuisante invasion sonore perpétuelle de la Reine-Mère. Fulmination en réponse : "Vous êtes tous les mêmes ! Vous vous êtes donnés le mot ! Vous vous laissez dépersonnaliser par votre père !"

Madame Mère ne supportait pas que ses enfants eussent un développement distinct. Sauf le jour où elle peut se vanter que cette réussite profite à sa gloire personnelle... Nous allons détailler quelques échantillons plus loin.

Ah ! La vantardise !

"Mais non voyons ! Vous n'y êtes pas du tout ! Vous vous laissez dépersonnaliser par votre père ! Ce sont les mecs qui sont des vantards ! Pas nous les femmes qui sommes toutes des victimes ! ..."

La Reine-Mère Anne saisissait toute doctrine présente dans l'air du temps, pour parvenir à dénier son prochain et pour dénier les faits qui la dérangeaient. Le délire sexiste féministe lui convenait donc parfaitement comme prêt-à-penser justificatif, pour justifier tous ses échecs de vie, pour justifier son mépris d'autrui, et pour disqualifier tous témoignages gênants. Ce qui ne l'empêchait pas, à d'autres moments, d'exhaler tout son mépris envers "toutes ces bonnes femmes".

Voici quelques échantillons : 


28 mai 2004 : la biographie imaginaire qu'elle me plaque dessus.

C'est lorsqu'elle m'a envoyé cette copie de son courrier du 28 mai 2004 à son frère Maurice, que j'ai eu enfin la preuve écrite que ma mère affabulait à 75 %, vivait dans un monde imaginaire à environ 75 %. Avant, je n'avais que des paroles, et des actes demandant confrontation à plein de faits supplémentaires pour être instruits.
Biographie imaginaire


Suite biogaphie imaginaire

J'ai très modérément signalé l'existence des inexactitudes systématiques dans mon courrier du 20 juillet 2004 à mon oncle (copie à Anne).

Mes termes de l'époque, 20 juillet 2004 :
De part et d'autre, de nombreuses légendes font fi de la réalité. Par exemple, oui j'ai bien été doctorant, mais jamais Robert M.z.t n'a disposé de poste de Maître assistant à proposer à qui que ce soit. M.z.t n'a posé d'ultimatum à quiconque, mais a publié sous son nom les travaux de thèse de Charles G., laissant Charles tout nu, n'ayant plus rien à soutenir. L'épisode O.P.I. (Au pays des merveilles...) est conté de façon fantaisiste. Or, je l'ai publié, il est en ligne à l'adresse http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf.
D'une manière générale, il est facile de se reporter à ma biographie, qui n'a rien de secret (ci- jointe, quant à la partie professionnelle), plutôt que de la réinventer pour les besoins en légendes urbaines.

L'escalade et de ma mère et de ma soeur dans le déni de réalité, et les violences concertées pour me soumettre à leurs dénis, m'ont fait faire un courrier nettement plus détaillé le 8 janvier 2005. Copie complète au format pdf à : Lettre du 8 janvier 2005

Extraits :
8 janvier 2005

Les délires du 28 mai 2004

Maman,

    Suite aux derniers cris de haine et de mépris de Florence, et à ton triomphe les larmes aux yeux, d'être de nouveau réintégrée dans la stratégie de ta bru contre ton fils, je vois que mon esprit de conciliation précédent n'est plus de mise. Par esprit d'apaisement, je n'avais pas détaillé les délires que tu avais exposés à Maurice dans ta lettre de rodomontades du 28 mai 2004. Rouvrons ce dossier-là : c'est un triomphe de l'omniscience innée, exemptée des contraintes de recherches et de vérifications d'informations. Ô omniscience matriarcale innée !

    Anne de Corlieu-Lavau a écrit : "Son professeur et directeur de thèse lui a offert le poste de maître assistant à condition qu'il lui cède sa thèse et la signe à son nom. Jacques a refusé. Sa vie d'assistant a été renduE impossible". Délire total, pas un mot de vrai dans cette salade mythomane. Robert M.z.t n'avait aucun poste de maître assistant. Il n'a jamais dépassé le total d'un seul assistant. M.z.t avait des crédits d'équipement, pas de crédits de fonctionnement. De nombreux appareils sophistiqués, commandés incomplets par ignorance, ont servi de presse- papiers. Ni moi ni Charles G.lh.r.g.. n'avons jamais eu le moindre poste d'assistant. Charles a eu un autre poste, concernant l'intendance du laboratoire expérimental, sans aucune des responsabilités d'enseignement qui incombent à un assistant. J'ai été exploité comme moniteur de travaux pratiques, ce qui à heures égales, faisait trois fois et demi moins de l'heure, et de l'ordre de sept à dix fois moins en tout. Ce sont les travaux pour la thèse de Charles G.lh.r.g.. qui ont été divulgués sous le nom de Robert M.z.t, ne laissant à Charles plus rien d'inédit à mettre dans sa thèse. Zéro négociation. Charles s'est retrouvé tout nu par ce fait accompli. Il n'a commencé à revivre professionnellement qu'au départ à la retraite de M.z.t. Le labo a alors été fermé, et Charles et les machines ont été déménagés à l'ENSET de  Cachan, sous les ordres de Jean Lemaître avec notre ancien collègue Jean-Louis Ch.b.ch.. La dernière fois que j'ai revu Charles, en janvier 1994, il était ingénieur de sécurité de l'établissement de Cachan.

Surtout, par cette légende, Anne de Corlieu-Lavau occulte sa propre responsabilité. A la rentrée 1968, j'étais enfin admis sur titres à l'Ecole Nationale du Génie Maritime, à 200 m de l'appartement de la rue de Monttessuy. La perspective d'être de nouveau - et à moi tout seul, car Georges et Florence s'étaient tous deux mis à l'abri - le territoire sonore de ma môman, et encore recruté par elle contre mon père, m'a contraint à fuir, et à croire bêtement aux promesses de Robert M.z.t, promesses qu'il n'avait aucun moyen de tenir.

Le 28 mai 2004, Anne de Corlieu-Lavau a écrit :
"Il s'est cru sauvé quand la faculté d'Orsay a dirigé ses meilleurs éléments sur un entrepreneur prétendu d'avant-garde à Saint-Quentin (Aisne) jusqu'à ce que celui-ci disparaisse avec 12 millions prêtés par les banques." Certains mots sont parfois empruntés à la réalité, ainsi "Saint-Quentin" et "Faculté d'Orsay" sont empruntés à la réalité, et intégrés à un délire, ou à une falsification si vous préférez. Je suis le seul, des diverses promotions du Génie Industriel d'Orsay, qui ait été incité à se faire embaucher par Michel L.f.bvr., à l'O.P.I. des Merveilles. Le professeur de gestion B.ss.rd n'avait pas caché sa perplexité et celle des étudiants après avoir visité O.P.I. : de quoi au juste tiraient-ils cette opulence aussi voyante que le luxe vestimentaire d'un maquereau ?
En six mois, j'avais déjà envoyé trois cent cinquante courriers de candidature en vain après obtention de mon diplôme d'ingénieur de fac. Délire narcissique, que de transformer cela en "ses meilleurs éléments". Anne de Corlieu-Lavau a d'autant moins d'excuses à avoir envoyé ce délire à son frère - dans le but de reprendre la position supérieure sur lui -, que j'avais déjà publié sous deux formes le récit de l'escroquerie de Michel L.f.bvre : le 27 juin 2002 sous forme papier, comme mémoire de Licence, spécialité psychologie du travail et des organisations, et le 27 janvier 2004 sous forme électronique sur mes deux sites personnels, respectivement aux adresses http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf et http://jlavau.9online.fr/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf
De plus, on en trouve une copie non autorisée, mais exacte, sur un site personnel marocain. C'est vrai que les marocains se sentent concernés par d'autres escroqueries, comme celles de cet Alain Becker, qui avait tenté de vendre une fausse bombe atomique au roi du Maroc.

    La suite n'est pas mieux : ""Gazonbleu" admise à l'écrit du CAPES maths". J'ai oublié si "Gazonbleu" a jamais été admissible à l'écrit, mais il reste certain qu'elle n'a jamais été admise. Elle a longuement galéré comme maîtresse auxiliaire.

    Suite de la confusion généralisée : "(Jacques) a intégré une entreprise de matériaux Davidof qui a foiré". Je ne crois pas que Joseph Davidovits lise avec plaisir son nom ainsi massacré en "Davidof". Je ne crois pas non plus que CORDI ait jamais été autre chose qu'une société d'inventeurs. Ce n'est pas la même chose, ce n'est pas le même métier. Or c'est moi qui y étais. Qui connaît cette question, elle ou moi ? Anne aurait-elle pris la peine de m'interroger sur ma biographie ? Oh non, bien sûr ! L'omniscience innée et le mépris pourvoient à tout...

    Suite de la connerie : "Il ne s'est pas remis d'un poste au lycée de Montélimar, de très mauvais niveau où il s'est révolté entre proviseur élève et un père." Je renonce à comprendre, tellement c'est délirant. Seul "Montélimar" est un mot connecté à la réalité. Le passage précédent, concernant les stages en établissements de la région parisienne, était aussi farfelu.

    En revanche, on peut comprendre le but de ces délires : brouiller des réalités qui contreviennent à l'idéologie délirante d'Anne de Corlieu-Lavau. La paranoïa de "Gazonbleu", et sa volonté forsenée de se débarrasser par veuvage d'un mari qu'elle déteste, avaient connu une rémission temporaire de trois ans, de juillet 1993 à juillet 1996. Les gens bénins comme moi s'y laissent volontiers prendre, au point de croire naïvement à une amorce de guérison. La réalité était bien différente : "Gazonbleu" commençait à subir elle aussi le gangstérisme familial de "Sigbert" et de "Frédégonde", qu'elle avait tant encouragé et récompensé, tant qu'elle parvenait à le diriger contre son seul mari. En 1993, elle commençait à se rendre compte que seul son mari était d'une moralité stable, et qu'elle pouvait et devait s'appuyer sur lui pour résister à la violence, la corruption, les trafics et les vols commis par les deux aînés. Sans parler des effondrements systématiques de "Frédégonde", cessant toute scolarité à chaque fois qu'elle s'était mise en porte à faux sur ses rodomontades à crédit, basées sur son triomphe histrionique par l'attrait sexuel. D'où le renversement d'alliances de "Gazonbleu", purement tactique et temporaire.

    Jusqu'en 1993, je disposais de la satisfaction et des encouragements de mes clients pour résister au mobbing permanent que je subissais en famille. En 1994-1995, au Lycée Patay, je disposais de même du soutien enthousiaste de mes collègues de physique et d'électronique, ainsi que de la plupart de nos élèves de B.E.P. et de Bac Pro. En 1996-1997, j'ai dû faire face aux mobsters sur deux fronts ; de très loin le pire était le mobbing en famille, en 1997.
Notamment, c'était le harcèlement uxoral qui était responsable de cette voix si étranglée et détimbrée, qui excitait tant les sadismes extérieurs, avides de nuire sans risques. J'avais rendu public ce fait en février 1997, en salle des profs des Catalins. Or ces réalités immondes contreviennent à l'idéologie sexiste dont ma môman est incapable de se passer : le fanatisme du matriarcat absolu, justifié par la légende "Nous les femmes, nous sommes des victimes éternelles ! Nous les femmes, nous sommes le bon sens ! Nous les femmes, nous sommes la véritable intelligence, tandis que les mecs, c'est tous des immatures grotesques ! Etc. etc." Voilà pourquoi ma môman élabore délire sur délire pour dénier la réalité.

    Dans ces conditions d'exaspération narcissique, ma môman est dans la main de qui la flatte, et est l'ennemie définitive de qui ne la flatte pas, par exemple son fils. Un mâle, en plus !
...


Fin de citation
Le chiffre de 12 millions "emportés" par Michel L.f.bvr. est lui aussi sorti du chapeau de la Reine-Mère. D'une part elle confond le trou dans le bilan d'O.P.I. avec un détournement opéré par le PDG pour son trésor de fuite avec l'hélicoptère et le bimoteur. Le second montant m'est inconnu, alors que différentes évaluations du premier montant ont été publiées par la presse, à l'époque. Contradictoires entre elles du reste, 50 millions de Francs selon l'Aisne Nouvelle.
Au ministère de l'Industrie et de la Recherche, il m'a été expliqué par deux personnes différentes, que le ministère a facilité l'installation de Michel L.f.bvr. dans une seconde carrière en Australie. De là à conclure que la cassette de fuite n'était pas, et de loin le pire élément du scandale...


12 octobre 2006 : La Reine-Mère Anne me soutient que j'ai une thèse de physique en fiches.


Thèse mythique

Extrait de mon courriel du 10 mai 2007, à 0 h 13, adressé à ma soeur :
            ...
Ci joint l'un des derniers échantillons de dénis de réalité, du 12 octobre 2006. Elle me soutenait que j'avais une thèse de physique en fiches, et que par quelque miracle que je ne parviendrais jamais à percer, je redeviendrais physicien et thésard. Ma dernière inscription en fac de sciences date de l'an 2001-2002, juste pour terminer sur le ventre une maîtrise devenue très au dessus de ce qu'il me restait de moyens, et dont plus un mot ne m'intéressait plus et ne m'intéresserait plus jamais. Mes deux derniers articles en physique, commencés en 1997, ont reçu la dernière main en août 1999, dernière correction en novembre 1999. Ils ont été mis en ligne en août 2003, quand j'ai créé mon site perso.Maîtrise de physique, 1997-2001

Depuis 1999 jusqu'en 2005, j'ai été inscrit en psychologie à Lyon 2. Donc je n'y ai jamais été inscrit, puisque ce fait incassable dérange la mythomanie de la Reine-Mère.
Voici la copie de mes cartes d'inscription en psychologie, années 2004-2005, et 2002-2004 :

Inscription psychologie 2004-2005

Inscription psychologie 2002-2004

Commencé en 1999, le DEUG de psychologie était terminé en 2000 :
DEUG Pssychologie
J'ai donc mené ce DEUG de psychologie, puis la Licence, en même temps que je terminais, plus mal que bien cette maîtrise de physique :

Voici une liste partielle des articles de psycho que j'ai mis en ligne. Donc il n'ont jamais existé, puisque cela dérange la mythomanie de la Reine-Mère Anne:

Méthodologie    
Pour la réflexivité dans les logiques. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Reflexivite.html>
Des besoins en autothéorie, à leur dépassement dialectique : des méthodes ? <http://deonto-famille.info/index.php?topic=22.0>
La persistance de schèmes infantiles dans l’enseignement des mathématiques et de la physique. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/je_fais1.htm>
La bandaison pour une hypothèse ? Cela se commande-t-il ? <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_bandaison_pour_une_hypothese.htm>
Créativité et management     Un cas d’inculture d’entreprise, exploitable par un escroc : le cas Stargil, 1983 –1984
(en perspective dans la galerie des escrocs et imposteurs) <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/TITRstargil.htm> (format PDF).
Esprit scientifique, es-tu là ? <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/esprit_scientifique.htm>
Récréation : Le dénigreur universel qui se présente aux présidentielles de 2007.. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Sylvain_Poirier.html>.
Escroquerie : Une théorie entièrement basée sur des techniques d'hypnose... du lecteur confiant, naïf et crédule <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Theorie_fondee_sur_l_hypnose.html>.
Pouvoirs dictatoriaux sur le net, et art de diriger. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Art_de_diriger.html>
L'usage de truands protégés, le management par la corruption. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Management_par_corruption.html>
Ma dette envers Peter F. Drucker, décédé le 12 novembre 2005. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Ma_dette_envers_Peter_F._Drucker.html>

Psychologie sociale   
Une dialectique entre le fun rien que le fun, et un lieu d’exercice et d’émulation pour l’expression écrite <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Rezocontact.pdf> (format PDF).
Oh ! Que l’oiseau agaçait le loup ! Et que le loup avait envie d’attraper l’oiseau ! Une guerre picrocholine sur un forum québécois <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/oh_loup_oiseau.pdf> (format PDF).
Le psychologisme. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/psychologisme.html>
Plan de mort et crime parfait. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Plan_de_mort.html>
Une guerre civile comme les autres : la guerre sexiste. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/guerre_sexiste.htm>
Merci de poser cette question : Qu'est-ce que le féminisme, de nos jours ? <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/feminisme.html>
L'enfant, terre d'invasion facile, réservoir de janissaires <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/L_enfant_terre_d_invasion_facile.html>
La place de l'humour et de l'ironie, en émergence sous la répression (en construction).
Les pervers histrioniques <http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=21&Itemid=9>

Psychopathologie clinique    

Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion : étiologie et structure d'une paranoïa. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/paranoia.html>
Les shootés à la joie de nuire. Malades de la haine et de l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers narcissiques, sadiques organisés… Les contraintes sur le modèle neuro-endocrinien. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Joie_de_nuire.htm>
Apologies de l'esclavage, de la torture et de la mutilation. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?id=7>
La dépression majeure, un objectif de tortionnaires raffinés <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Depression_majeure.html>. En discuter sur le forum. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?pid=130>

Citoyenneté    
La séparation d'un enfant de l'un de ses parents, par l'autre parent <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_separation_d_un_enfant.html>
Le culte de l'exclusion : une garantie de maladie mentale à l'échelle collective ? <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/culte_exclusion.html>
Attendu que le rackett n'est point fait pour que le justiciable en démontre publiquement le fonctionnement... <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Attendu_que_le_rackett.html>
Caton, censeur de la République <http://caton-censeur.org/>.
Déontologie pour la famille <http://deonto-famille.info/index.php?topic=7.0>, forum <http://deonto-famille.info/>
Code de déontologie familiale proposé, ou pacte de non-prolifération de la haine. <http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=9>
Après Outreau : Lettre Ouverte aux élèves de l'Ecole Nationale de la Magistrature <http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=17&Itemid=9>.
Lettre ouverte aux candidats : Attention au premier principe républicain ! <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Lettre_ouverte_Candidats.html>
Lettre ouverte à Madame Royal : vous bafouez le premier principe républicain. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Lettre_ouverte_Royal.html>

Et il en manque, qui sont ailleurs que sur le site perso.
Par exemple : Un mode de maltraitance très efficace au long cours <http://deonto-famille.info/index.php?topic=12.0>,
Il manque aussi :
Si j'ai écrit et publié que Certaines familles ont pour but d'avarier et de rendre infirmes tout ou partie de leurs membres, le plus souvent les enfants, c'est que .. <http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Si_j_ai_ecrit_que.html>.

Donc n'est-ce pas, il est urgent de dénier tout cela, de convaincre Jacques qu'il n'a jamais rien fait en psychopathologie, ni en didactique des sciences, ni en psychologie sociale, qu'il n'a jamais étudié la paranoïa ni les paranoïaques, qu'il n'a jamais étudié la perversion narcissique ni les pervers histrioniques, qu'il n'est juste qu'un réfugié sourd-muet-aveugle-soumis-docile dans la physique, comme on l'avait déjà contraint à se réfugier dans Science et Vie depuis l'âge de dix ans... Et puis il est urgent de déshériter au maximum un témoin aussi gênant, l'annihiler et le foudroyer...
            ...
Fin de citation.

Et comme toujours chez la Reine-Mère Anne, l'illusion tenace que s'inscrire en troisième cycle pour un D.E.A. puis une thèse, soit de droit. Dans le monde réel, vous présentez un dossier d'inscription, avec une description de votre projet de recherche, et un plan de financement prouvant comment vous alllez vivre durant ces quatre ans, et un jury décide si oui ou non vous allez être autorisé à vous inscrire sous sa direction. En juin 1999, j'ai présenté un tel dossier détaillé pour un D.E.A. de Sciences de l'Education, sur le projet de thèse du Contrat de désensorialisation dans l'enseignement des sciences, pièges et remèdes. Il a été refusé comme ne s'inscrivant pas dans les thèmes nationaux. Mon plan de rechange a été de s'inscrire en 2e année de DEUG de psychologie. Et là encore, s'inscrire en 2e année n'était pas un droit, il fallu monter un dossier académique pour cela. En revanche, DEUG obtenu, puis licence obtenue, là oui, s'inscrire en Licence puis en Maîtrise était bien un droit.
Ultérieurement, en 2002, Maîtrise de Physique enfin terminée, et Licence de Psychologie obtenue, j'ai présenté un dossier similaire en D.E.A. de didactique de la physique, sur le même thème, restreint à des cas que j'avais bien documenté - de vieux scandales jamais amendés -, qui n'a jamais été accepté. Toutes réalités dont jamais le délire de la Reine-Mère Anne ne s'est embarrassé.

Notre mère était violemment toxique de son vivant, et a fait de son mieux pour continuer à être toxique le plus longtemps et le plus fort possible post mortem.
Et comment avait-elle été rendue elle-même si amplement psychotique ? Qui lui avait transmis un tel noyau psychotique ? Regardons comment sa mère s'y est prise, en leur imposant quel déni de réalité :

Le testament de Cécile Compeyrot, 28 août 1976 :

Testament Cécile Compeyrot
Moyennant quoi, grâce à ce déni de réalité, Anne et Maurice sont restés en indivision à vie, pendant cinquante-cinq ans sur la propriété du Brusc (jusqu'au décès d'Anne), pendant trente-deux ans sur les autres propriétés jusqu'en 2005, dans le conflit, la paralysie complète, et les pertes et la dégradation maximale durant tout ce temps. Notre grand-mère ne vivait pas dans le déni de réalité dans tous les domaines, mais essentiellement dans le domaine familial. C'est ce noyau psychotique hérité, que notre mère a amplifié au maximum, lui donnant des proportions infernales.

En droit, aucun héritier n'est tenu de maintenir une telle indivision et une telle obligation de ne pas vendre, plus de cinq ans. Mais la Anne s'est cramponnée à ce genre d'injonction comme un moyen de maintenir un pouvoir absolu sur les autres, sur son frère notamment.

Si nous prenons le point de vue du thérapeute familial, la première question à poser porte sur la nature de l'attachement entre mère et fils, entre mère et fille. Attachements sécures ou insécures envers leur mère ? La seconde question porte sur l'abondance, la suffisance, ou la pénurie affective ?
La pénurie affective dans cette famille saute aux yeux des observateurs et témoins. Quoique complices collées l'une à l'autre, la mère et la fille ne s'aimaient pas, elles étaient seulement unies par les nécessités tactiques de la guerre pour le pouvoir. Enfant de sept ans, Maurice demandait à sa mère "Maman ? Pourquoi tu m'as fait naître ?" . Hé oui, avant de supplicier son mari par jalousie, puis son fils pour le même mobile, Anne suppliciait son petit-frère. Qu'en disait feue notre grand-mère Cécile Compeyrot ? Elle ricanait. Là se situait son niveau d'empathie : la négation systématique d'autrui.
Il s'agit donc bien de non-attachement, parfaitement insécure.

Si Anne, promue nouvelle Reine-Mère au décès de sa mère en 1982, s'est fanatiquement attachée à "respecter" au delà de la lettre cette obligation testamentaire d'immobilisme sur la vieille maison de Villeneuve, ce n'était pas par affection envers feue sa mère, mais parce que cela lui restituait un pouvoir de lier son frère à vie, et de le tourmenter à vie.
Mmmh, si, il y avait bien un tout petit peu d'attachement sécure, mais envers ses grands parents Compeyrot, qui accuillaient en 1924-1925 la fratrie en vacances (sauf Maurice encore trop petit) dans cette maison de Villeneuve. Le 3 mai 2005, à l'âge de 86 ans moins quelques semaines, Anne a donc abandonné son appartement de Paris, est arrivée à Villeneuve avec son plumeau et un petit caddie de bagages, et s'est mise le 4 mai à réocccuper cette maison de Villeneuve, laissée cinquante ans sans entretien. Oh, elle ne l'a réoccupée qu'une nuit pour commencer. Dès le lendemain matin 5 mai, elle était à l'hôpital en urgence cardiaque, pour oedème pulmonaire, et cela pour quatre mois (administrativement trois mois, mais il y a eu des prolongations). Ensuite, à partir de septembre 2005 durant presque deux ans jusqu'à sa troisième réhospitalisation en mai 2007, Anne a revécu en 1925 dans cette vieille maison, dont elle faisait enfin refaire superficiellement la toiture qui tombait en ruines.
Superficiellement : juste recouvrir la vieille charpente pourrie, consolidée par quelques étais... encore et toujours du travail de singe. Voir les photos.
Et bombardant la mairie de courriers pour faire retourner Villeneuve sur Lot à l'état de 1925...
Cette vieille maison servait donc simultanément et de fétiche ou de doudou, rappel d'un attachement sécure disparu voici longtemps, et d'engin de guerre fraternelle, avant de devenir ce qu'elle est à présent : un engin de guerre contre son fils, en corrompant à nouveau nos enfants contre leurs parents.

Nous eussions dû mettre Anne sous curatelle, mais avons renoncé, effrayés par l'énormité du parcours juridique du combattant qui nous attendait.


Déjà le fantasme de la thèse à soutenir en Sorbonne, 20 octobre 1982.

Ce courrier du 20 octobre 1982, de la à son frère Maurice, m'avait évidemment été caché en son temps. Il est présent au complet aux adresses http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/20octobre1982R.png et http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/20octobre1982bR.png. Nous y reviendrons dans un autre chapitre, détaillant la technique d'entourloupes et de corruption de la Reine-Mère, et les effets durables de ce brigandage familial.

N'ouvrons ici que cet extrait, détaillant son fantasme de la "thèse à soutenir en Sorbonne" :
Des archives de Mémé Cécile, pour "Thèse en Sorbonne"

Ça revient souvent, hein, le mythe de la thèse déjà prête, en fiches ?
Et, avec ses trois enfants en rafale, ma soeur fit-elle jamais mine de reprendre les archives de notre grand-mère, pour en faire quelque sçavant usage ? Vous y croyez, vous, au Père Noël ?
Autre déni monumental de réalité : les dites archives de notre grand-mère Cécile Compeyrot n'étaient plus en possession de ma soeur, mais de notre oncle Maurice, qui les avait déjà triées, empaquetées, emmenées durant l'été 1982 à son domicile dans les Pyrénées Orientales. Avec le recul, il en évalue l'intérêt à néant, comme tout le monde du reste.

Même les féminazies bon teint cherchent à se débarrasser du voisinage de la Reine-Mère.

Même les féminazies bon teint cherchent à se débarrasser du voisinage de la Reine-Mère, manifestement bien trop cinglée pour leur servir encore d'étendard fréquentable. Fil de discussion http://www.quebec-politique.com/index/topic-9029-45.html : "Ta mère était peut-être cinglée et féministe mais ça ne veut pas dire que les féministes sont cinglées pour autant." par "Calabiyau", le 04 Juil 2007, 20:20, titre du message "Re: Merci d'avance de me signaler quand et où...".

Mon message d'origine :

Posté le: 03 Juil 2007, 9:08    Sujet du message: Merci d'avance de me signaler quand et où... Répondre en citant



calabiyau a écrit:
...
Maintenant, répond à la question, lorsque l'écart actuel était inversé et favorisait les hommes, t'en plaignais-tu ? Trouvais-tu cette situation malsaine ? Si non, alors voilà encore une belle preuve que tu n'es pas du tout pour l'égalité des sexes mais pour la suprémacie d'un sexe sur l'autre.

Merci d'avance de me signaler quand et où j'aurais connu une situation où les hommes étaient favorisés comparativement aux femmes.

Je réponds à la question, pour les dernières fois où cela est arrivé.
En France, ni hommes ni femmes n'ont voté sous l'occupation allemande et sous Vichy. Les femmes ont voté pour les municipales et l'assemblée Constituante en 1945. J'avais un an. Qu'on m'explique comment j'aurais pu protester avant conception, in utero, ou avant d'avoir l'âge de parler.
Les lois civiles étaient inégalitaires entre mari et femme, jusqu'aux années soixante. La contraception et l'avortement étaient interdits, donc inégalitaires jusqu'aux années soixante-dix, loi Veil.
Point final, sauf un qui va suivre.
Tout au long de ma scolarité et de mes études, zéro inégalité, dans aucun domaine que ce soit.
Ultime inégalité, qui touchait mon épouse, en concours en 1971 : Encore soucieuse de limiter la féminisation massive du corps professoral, l'Education Nationale tenait deux classements au concours de CAPES, avec contingents séparés, un pour les mâles, un pour les femelles. Cela a suffit pour que mon épouse, ras du cul en niveau, rate son CAPES, alors que d'autres plus crasses, l'obtenaient. C'en était fini un ou deux ans plus tard.

Depuis, terminé, plus jamais revu une seule inégalité aux dépens des femelles. En revanche, j'ai vu la montée irrésistible des inégalités en faveur des femelles.

Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y étais, tu n'es donc pas objectif !"

Qu'on me dise contre quelle inégalité aux dépens des filles j'aurais pu protester concrètement davantage que je ne l'ai fait, vu mon âge aux temps où cela existait.

En revanche, durant des années, j'ai vu mon père partir au travail une à deux heures avant que ma mère sortit du lit. Il était à son bureau à préparer ses cours ou corriger des copies, ou lire des thèses, deux heures après que ma mère se soit couchée. Tel était le quotidien à la maison.

Durant des années, j'ai vu ma mère, non lavée, non habillée, encore en peignoir et se grattant nerveusement sa tête hirsute, poursuivre sa femme de ménage de pièce en pièce pour lui expliquer que "nous les femmes nous sommes toutes des exploitées et des opprimées, et qu'il faut se révolter contre les hommes"... Ma mère oubliait qu'elle avait une fille à chercher à l'école. Ma mère oubliait de rentrer à la maison, et la femme de ménage emmenait ma petite soeur faire d'autres ménages avec elle, pour ne pas la laisser seule dans l'appartement déserté...
Plus tard à Paris, à dix, onze et douze ans, ma soeur allait faire ses devoirs chez Odile J., la fille du biologiste (prix Nobel), devenue depuis éditrice, et quand elle arrivait à l'appartement à sept heures du soir, ma mère sursautait : "Comment ! Tu es déjà là ?". Elles sont comme cela, les misandres victimaires qui s'autoproclament "féministes"....

Oui, théoriquement, quelque part vers mes treize ans, j'aurais pu être témoin d'une inégalité universitaire, sauf que les témoins réels sont tous décédés depuis. La légende prétend que ma mère voulait reprendre un Doctorat en Droit à Grenoble, basé sur sa
sa licence de Droit d'avant guerre, et que les collègues ont fait pression pour refuser son inscription. La légende prétend que le mobile était misogyne. Une hypothèse alternative serait qu'ils n'étaient pas assez courageux pour mettre un zéro à un travail de basse qualité, si c'était aussi mettre un zéro à une femme de collègue...

Dans un courrier de septembre 1963, j'interroge ma mère pour lui demander pourquoi elle n'avait pas conservé un nouveau job. Maintenant que je suis professionnellement plus averti, il m'est évident que jamais je n'aurais conservé une employée aussi vaniteuse, envahissante et saboteuse que celle-là... Il est comme cela des bras cassés dont on se débarrasse avec soulagement...

Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y étais, tu n'es donc pas objectif !"

Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins sur le carreau de la mine. Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins à la pêche hauturière et encore moins à la grande pêche. Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins dans le bâtiment et les travaux publics. Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins pour les emplois d'ouvriers agricoles saisonniers. Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins pour les emplois d'enlèvement des ordures.
Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité des quotas masculins et féminins en matière d'accidents du travail, ni pour aucun travail dangereux et/ou insalubre...

Je n'ai jamais vu des féministes réclamer l'égalité en matière judiciaire, notamment pénale. Je les ai toujours vu cultiver soigneusement les inégalités et les dénis de justice en leur faveur, et comploter pour leurs renforcements et leurs extensions.

Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y étais, tu n'es donc pas objectif !"

Il y a plus de quarante ans, disparaissaient les derniers lambeaux d'inégalités qui fussent au détriment des filles ou des femmes. Maintenant continuent de se développer les inégalités et les dénis de justice en leur faveur.
_________________
Le militantisme victimaire rend-il davantage fou, qu'il n'attire les déséquilibrés ?
Ceux qui veulent devenir bourreaux ou bourrelles à leur tour ?
Je m'inquiète des antidotes...

Précision utile au lecteur qui n'irait pas vérifier le fil http://www.quebec-politique.com/index/topic-9029-30.html : Le procès d'intention fait par calabiyau le 03 Juil 2007, 6:43 ne s'adressait pas à moi, mais à un précédent intervenant. C'était là ma première intervention dans la discussion.


Déni de réalité, et brigandage familial, pillage de l'indivision.

Durant l'année et demi qui précédèrent la fuite de Georges hors du domicile familial (1967-1968), Anne utilisa beaucoup l'arme de la portée de chiens, pour rendre pénible la vie à la maison, et nous contraindre tous à prendre la fuite pour se protéger de sa toxicité, en se justifiant ainsi : "Comment osent-ils se plaindre ? J'ai offert un chien à Georges ! Un chien à Florence ! Et un chien à Jacques !"
Je ne conteste pas que le folklore de ces quatre lévriers de bon appétit, fort bien endentés, est un épisode inoubliable. Pénélope jouant au chat et à la souris avec l'eau qui jaillissait de la bouche d'incendie, ça n'était pas mal. Grand, fort et admirablement musclé, et de caractère réservé, Patchouli qui aboyait à pleine poitrine contre le facteur, puis courait se terrer sous le canapé, inoubliable... Le dictionnaire Pototskaïa français-russe dévoré par Patchouli, très sage et très silencieux, regrettable. L'affection débordante de Pôlaire, très touchante. Ses tremblements convulsifs le soir où elle a dérobé sur la table et mâchonné un tube de sédatifs, le portage de la chienne qui ne tenait plus sur ses pattes, que j'ai dû faire jusqu'au vétérinaire qui lui a administré un vomitif, heureusement que j'étais jeune et bien entraîné... Ceux qui sont encore vivants, n'ont pas oublié les moulinets que les jeunes chiens faisaient avec leur queue, lorsqu'ils entendaient cinq étages plus bas, le cliquetis de la roue libre et de la béquille de ma mobylette dans la cour de l'immeuble. Je n'oublierai jamais la fête qu'ils me faisaient quand j'arrivais à l'appartement, ni le cirque infernal que c'était de les reprendre tous si j'avais l'imprudence de les laisser courir le long des berges de Seine, voire les bains forcés qu'ils s'infligeaient dans leur audace exploratrice. Pénélope était à la fois la plus hardie et la plus obéissante. Pôlaire la plus folle, c'est elle qui prenait ces bains de Seine pour mieux désobéir. Patchouli s'intéressait peu aux humains, avait l'ouïe très fine pour les chiens de l'autre rive, et finissait par être assez conciliant. Je n'oublierai jamais que Pénélope et Patchouli sont tous deux morts empoisonnés par une boulette, restés des explorateurs infatigables et insatiables chacun chez leurs nouveaux maîtres. Je n'oublierai jamais que quand ma jeune épouse et moi, quand nous sommes passés en 1972 à Mamers à l'hôtel d'Angleterre, où le propriétaire avait su se faire donner gratuitement les deux sloughia blanches, Palmyre puis Pôlaire, nous avons trouvé avec consternation deux chiennes folles à lier, terrifiées et féroces, à force d'être enfermées et confinées sous l'escalier.

La contre-partie, est que la maison du Brusc, ou du moins la terrasse couverte,  était devenue chenil. Et l'appartement à Paris, aussi devenait chenil... Les chiens devenaient instruments du déni des humains, du déni des siens, par Anne. Ah oui bien sûr, eux appréciaient la cuisine sommaire faite par leur maîtresse, et dévalaient à coups de glissades de griffes sur le parquet, dès qu'ils entendaient que leurs gamelles étaient prêtes...

Pis j'vous raconte pas le voyage de retour du Brusc à Paris, septembre 1967, Pôlaire vomissant affectueusement entre ma chemise et ma peau...

Moins drôle encore, ce déni de réalité d'Anne, "Mais mon frère, la maison du Brusc lui a toujours été ouverte, il n'avait qu'à venir !". Lassé de subir en permanence ce pillage de l'indivision forcée, Maurice a fait établir un constat d'huissier, qui va suivre ci-après, et l'a complété par la série de photos que voici :

Taudis d'ccupation privative

L'arrivée à la maison, côté Nord, accuil par épaves : épave non identifié, puis épave de la plate, surmontée de la brouette. Terrasse sur "cave" au fond, et entrée cuisine.
Accès encombré d'épaves


Feue la plate, vue de l'avant.

L'épave de la plate d'Anne.

Entrée sur la terrasse couverte. Accueil par un meuble TV de récupération.

Terrrasse couverte, arrivée par le Nord.


Vue sur le buisson de lentisques qui sert de compost à ordures dégradables, et le meuble TV dans terrasse couverte.

Terrrasse couverte, vue par l'Ouest.


Trè belle vue sur les hourdis qui éclatent, sous la pression de la rouille des poutrelles IPN, faute d'étanchéité de la terrasse supérieure.

Terrasse couverte, ensemble avec hourdis en éclatement.

La Reine-Mère a une excuse certaine : seul du mobilier très pauvre et quasiment en ruine n'attirait pas les cambrioleurs, véritables maîtres des lieux durant la majeure partie de l'année.

Vue rapprochée sur le lave-linge, un lit pliable, la banquette et la table à manger, au fond l'abri du compteur électrique, et le meuble à collection de caillous de Bertrand.

Terrrasse couverte, vue sur le lave-linge.


Le coin Sud-Ouest, avec frigo hors d'état, installation électrique quasiment en ruine.
Ce frigo à absorption nous avait été donné quand nous étions jeunes mariés, en 1972, par la concierge de la rue de Monttessuy. On y distingue la peinture du Petit Nicolas, décoration de 1972 par Geneviève, Philippe et Claude.

Coin SoudOuest terrasse couverte


Vue générale du mur Sud de la terrasse couverte, avec hourdis éclatés.

Muer Sud terrasse couverte



Vue sur les poutrelles rouillées et les hourdis éclatés.

Les hourdis éclatés, poutrelles IPN rouillées.



La terrasse Nord, le volet pourri de la porte de cuisine.

Terrasse Nord, volet pourri.



La terrasse Sud. Pas de volets à la porte-fenêtre du séjour : ils ont été volés.

La terrasse Sud.



Les volets de la porte-fenêtre étant volés, Anne accumulait derrière un bric-à-brac dense, afin de gêner la circulation des cambrioleurs, véritables maîtres des lieux durant les six mois d'hivernage. A noter que nombre de ces vols, dont ces vols de volets, n'étaient pas vraiment pour s'approprier quelque chose de désirable, mais pour rendre la vie impossible à la maîtresse des lieux.

Pas de volets. Amoncellement divers derrière pour bloquer le passage des cambrioleurs.



Le volet de la porte-fenêtre de la chambre, donnant sur la terrasse Sud, est pourri.

Porte-fenêtre de la chambre, sur terrasse Sud, volet pourri.



La cuisine, côté réchaud hors d'âge, fuyant le gaz, et évier, photographiés par Maurice, à travers la vitre.

Cuisine, évier et réchaud hors d'âge.




Vue sur la cuisine, réchaud, et perspective sur le séjour.

Cuisine, réchaud hors d'âge, vu sur le séjour.




Vue sur le séjour, à travers la vitre de la porte-fenêtre.

Salle de séjour, à travers la vitre de la porte-fenêtre.



La chambre, vue à travers la porte-fenêtre Sud.

La chambre, vue à travers la porte-fenêtre Sud.


On trouve de meilleures photos des intérieurs sur le Constat d'huissier. Cliquer sur ces mots pour le lire. Deux extraits :
Grand désordre séjour
Il est pratiquement impossible de circuler.

Et à Paris, comment était l'entretien des lieux ?

La reine-mère passait en gros les six mois chauds au Brusc, et les six mois froids à Paris. L'appartement de Paris résistant incomparablement mieux aux cambrioleurs, le mobilier y était beaucoup plus riche et raffiné. Mais l'entretien y était-il mieux, ou pire ?
Voici l'état des toilettes à Paris, quand nous avons vendu en décembre 2007, après le décès de la Reine-Mère :

Ici le plancher pourri par fuite de chasse d'eau. A droite :

Plancher pourri par fuite de chasse d'eau. A droite



Et à gauche :
Plancher pourri par fuite de chasse d'eau. A gauche.


Et pourquoi cet état consternant, ce plancher pourri ? Parce que la chasse d'eau avait fui. Pourquoi fuyait-elle ? Pourquoi aucun robinet d'arrêt n'arrêtait-il ? Parce qu'elle n'était jamais entretenue ni changée par un plombier. C'était la même chasse d'eau qu'à l'achat, été 1962. Pourquoi pas d'entretien, et des fuites ? Parce qu'il n'y avait pas de compteur individuel d'eal. Un compteur en bas de la colonne montante d'eau des toilettes, un pour la colonne d'eau de salles de bains, un pour la colonne d'eau de cuisine, et le tout réparti dans les charges de co-propriété sur les sept étages. Donc pas de raisons de se conduire en adulte, si la Reine-Mère ne voulait pas être adulte...

La salle de bains était dans un état moins grave : deux changements de cumulus en quarante-cinq ans.
La cuisine était à l'abandon. Les peintures de plafond tombaient ou pendouillaient.

Et c'est cette Reine-Mère-là, qui me couvrait d'admonestations doctrinales...


Les dénis de réalité, concernant l'état de la maison de Villeneuve sur Lot.

C'est une autre page, que vous ouvrirez en cliquant sur ce titre ci-dessus.



(à suivre, à mesure de la numérisation des autres pièces à conviction).

Article en développement, à suivre.


Plan de la monographie "Mission parricide"

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Quand la Reine-Mère Anne se vantait de protéger la criminalité féminine qui l'arrangeait bien, et dont elle était l'idéologue.

Les guignols de la malveillance

Les dénis de réalité, concernant l'état de la maison de Villeneuve sur Lot. 

Le lien organique entre délire et pouvoir.

Nos sloughis : Miss, Patchouli, Pôlaire, Pénélope.