Et
la Reine-Mère Anne
s'enfonçait dans son délire...
Narcissique,
mythomane, charlatane...
Bordélique, égocentrique, vaniteuse, tyrannique
et
envahissante, notre mère n'était ni tout
à fait
psychotique, ni tout à fait névrotique.
Question : était-elle borderline,
en
français "état-limite"
?
Pas vraiment, car - illusion ou réalité - elle
n'en
exhibait pas l'instabilité affective qui est souvent
considérée
comme leur trait principal.
Bien qu'elle partageât de nombreux traits avec les pervers
narcissiques manipulateurs (PNM pour les intimes), à savoir
des
psychotiques qui ont élaboré des recettes pour ne
jamais
décompenser, en exploitant les autres et en
exportant sur
eux leur enfer interne, la Reine-Mère Anne
décompensait
facilement et souvent. Elle explosait alors et se trahissait dans le
style :
"Vous
êtes tous des cons et
vous m'emmerdez tous !
Vous
êtes tous les mêmes !
Vous êtes tous
pareils !
Vous
vous êtes donnés le
mot !
Vous
vous laissez
dépersonnaliser par votre père !
Oh
! Mais vos enfants me vengeront !
Vos
enfants me vengeront !
Rrrhoh ! Toi, tu rendrais frigide une Messaline !
Etc."
Nous avons tous été témoins de
variantes mineures
sur le thème commun, du délire
persécutoire et
vengeur de la Reine-Mère.
A quel moment décompensait-elle ? Quand sa
vanité
pyramidale était menacée, et qu'on contestait les
constructions mythomaniaques qu'elle cherchait à nous
imposer.
Quand elle découvrait que notre
crédulité ne lui
était pas aussi acquise qu'elle l'avait
rêvée.
En effet, quoique notre mère fut manipulatrice, elle
était maladroite, exaspérante, et
était souvent
démasquée. Elle ne faisait illusion que peu de
temps, ou
aux gens les plus naïfs. Les autres s'apercevaient vite du
mépris écrasant que "la
comtesse
un peu fada"
réservait aux manants.
Seule contradiction à ce mépris : la
Reine-Mère
Anne adorait exhiber qu'elle fréquentait tels et tels gens
prestigieux, et participait donc de leur gloire et de leur prestige. Et
que je te fais mousser les titres du capitaine de corvette et du
contre-amiral... Et que je te bassine les oreilles avec mon tourisme
tropézien et les concerts chez mon Annette Troisier de Diaz
à moi que j'ai... Groupie
avec les gens prestigieux dont elle avait plein la bouche, pour mieux
nous écraser, la Reine-Mère Anne se parait des
plumes du
paon.
Mais les bascules rapides d'un état d'adoration de groupie,
à un état de
mépris et d'exécration, n'ont pas
manqué. Son
problème était de ne pas se faire prendre
à jouer
ce jeu, devant des témoins trop extérieurs, trop
gênants.
Les manipulations par la Reine-Mère Anne étaient
incohérentes et cousues de fils blancs ; souvent,
cela faisait rire les témoins, dans son dos. Mes enfants et
surtout mon épouse la méprisaient totalement, et
aimaient
bien l'exploiter de même, par contre-manipulation, en
flattant sa
pyramidale vanité. La Reine-Mère Anne avait
trouvé
en
sa bru sa maîtresse, bien plus habile qu'elle en
compromission et
corruptions, en sorte que la Reine-Mère Anne ne put plus
jamais se dépêtrer du complot qu'elle
avait
elle-même initié, dont elle était
l'instigatrice
sous couvert d'idéologie sexiste misandre. Dans l'article
suivant, nous
verrons la Reine-Mère Anne se vanter (courrier du 12 octobre
2006)
d'avoir protégé la criminalité
féminine
organisée, dont elle avait été
l'idéologue
fanatique, au long cours.
C'est en effet l'art suprême de ce genre de psychopathes bordeline
et manipulateurs, que de savoir faire se battre les montagnes
entre elles, utiliser machin pour nuire à chose, utiliser sa
fille pour piller son frère, utiliser sa bru pour abattre
son
fils, etc. Tous autant les uns que les autres, nous sommes tous des
ustensiles à son service ; juste que les plus tortionnaires
sont
les plus
favorisés, afin de les compromettre, à vie. Comme
l'avait
déjà expliqué le diplomate florentin
Niccolo
Macchiavelli, l'art de la Princesse consiste à bien feindre et bien
dissimuler.
Dans le Midi, elle était réputée comme
"la
comtesse un peu
fada".
Un peu, oui... Un peu. La maison du Brusc ne fait que 42
mètres
carrés. Pourtant, nous avons déblayé
de son bordel
monstre - gâché serré - environ deux
cents à
trois cents paires de chaussures, dont des lots de deux douzaines
d'espadrilles, avec ou sans talons. Et le reste des fringues
était à l'avenant. Il y avait d'autres lots de
chaussures
et d'espadrilles aussi envahissants à Paris, tous
à la
taille 36-37, donc l'excuse standard "mais
c'était pour en faire cadeau"
serait intenable. Mais la maison du Brusc est en ruine, en retard de
quarante ans dans l'entretien indispensable : la Reine-Mère
Anne
dilapidait l'argent de sa pension alimentaire confortable, et de sa
retraite confortable, en futilités vaniteuses. Despotique,
la
Reine-Mère Anne militait pour l'environnement, emmerdait
tous
les
voisins pour leur interdire leurs constructions, leur faire
démolir ceci ou cela ou combler leur piscine, mais
paresseuse,
vivait au milieu d'un tas d'ordures, et d'épaves
brisées.
Incapable de prendre des décisions importantes, ni de rien
réaliser de sérieux, la Reine-Mère
Anne se
vengeait en
paralysant les autres, en leur interdisant au maximum d'exister. Elle
transmettait ainsi à autrui les injonctions d'immobilisme
imposées par sa propre mère. Elle
interdisait aussi qu'on entreprenne les travaux de
rénovation
indispensables à la maison du Brusc, de peur que la
maîtrise totale sur les autres lui
échappât. Sa
règle fut de faire de ses lieux de vie des taudis
insupportables
pour tout autre qu'elle-même. Mais elle savait tout
justifier,
prétendait qu'à condition de nous
écarter, elle
ferait tout mieux que les autres, et rien ne se faisait jamais plus... Mythomane,
telle était sa façon de faire semblant d'avoir
encore une
santé mentale, de faire semblant de savoir encore se
conduire
soi-même, tout en exigeant de diriger les autres, de sa
façon la plus toxique possible. Pas vraiment borderline,
car sans l'instabilité affective souvent
considérée comme caractéristique, ou
plutôt,
la Reine-Mère parvenait à la dissimuler
à ceux qui
n'étaient pas des intimes. Oui, la Reine-Mère, de
plus en
plus prisonnière de sa vanité et du noyau
psychotique
élaboré pour protéger sa
vanité contre les
épreuves de réalité,
hébergeait
simultanément deux attitudes contradictoires et
incompatibles,
envers chacun. Mais elle parvenait le plus souvent à
conserver
des attitudes de façade, qui suffisaient à abuser
le plus
grand nombre.
Charlatane.
Notre embarras dans le paragraphe précédent,
trahit la
difficulté suivante : bien que notre mère
exhibât
un noyau psychotique de déni de la
réalité de plus
en plus évident et envahissant, son cas tombe dans un trou
de la
nosographie psychiatrique. Hé oui ! Encore un trou,
dû au
biais d'adressage ! Ce sont les hurlements de triomphe hors de tout
propos, d'un charlatan professionnel - on les consultera au Staunisier
: http://deonto-ethics.org/impostures/index.php/board,16.0.html
- qui nous ont mis en face de l'évidence.
Prisonniers
de leur biais d'adressage,
les psychiatres de cabinets
n'ont jamais pensé à en dresser la
catégorie
psychiatrique : jamais les
charlatans ne consultent spontanément. Si d'aventure on les
capture,
c'est presque toujours dans un cadre judiciaire correctionnel, et non
criminel, et il n'y a pas d'expertise psychiatrique demandée.
Exception
: Jean-Claude Romand, parce qu'il a conclu sa mythomanie par cinq
meurtres, ou six meurtres si l'on inclut le meurtre de son
beau-père.
Prisonnier
de son bluff, le charlatan n'a aucune profondeur stratégique
:
il ne
peut plus jamais reculer, il doit se cramponner à sa
façade. Toute son
emprise repose sur sa façade, et il ne peut vivre s'il n'a
emprise sur
des crédules.
J'ai eu le sombre privilège, au cours de ma
carrière,
de fréquenter d'assez près toute une brochette
d'escrocs
et de
charlatans, détails à
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf
Un
témoin, du ministère de l'Industrie, raconte : "
J'ai vu au fil des mois
l'évolution pathologique de Michel L. A chaque
réunion,
la discussion
technique s'arrêtait toujours plus tôt, les
apéritifs arrivaient
toujours plus vite, la cour empressée remplissait le verre
de
Michel L.
à mesure qu'il le vidait..."
Jusqu'à ce que Michel L. s'enfuie en
hélicoptère, laissant derrière lui un
trou de plus
de douze millions de
francs. Un flou demeure sur le montant réel du
détournement, car pour
sauvegarder leur réputation de banquiers infaillibles, les
principaux
intéressés ont étouffé
l'affaire, qui n'est
jamais allée en justice.
Il
est futile de se demander si le charlatan croit à ses
mensonges,
ou
s'il est prisonnier d'une illusion initiale, ou s'il se contente de
mentir cyniquement aux gogos, parce que cela lui rapporte du pognon et
du pouvoir. Les deux mobiles s'entrelacent toujours plus intimement au
cours de la carrière du charlatan. De toutes
façons, il
suffit de
regarder les choses du point du vue de
l'épidémiologiste,
préoccupé de
contage en maladie mentale, pour voir l'académisme futile de
la
question : de toutes façons, le charlatan est d'autant plus
dangereux
et nocif qu'il a de pouvoir et d'audience, ou qu'il agit en
réseau de
charlatans, qui se donnent l'un à l'autre une aura
d'audience et
de
respectabilité.
Le charlatan s'écarte de la définition standard
du psychotique, en ce sens qu'il garde une prise sur la
réalité, une
seule du reste : il sait comment manipuler les gens pour ne pas se
faire pincer, pour continuer d'entretenir l'illusion et l'emprise, au
moins chez les plus naïfs, les plus convaincus d'avance. De ce
point de
vue, feue ma mère était maladroite dans le
charlatanisme,
car ses
manipulations étaient cousues d'assez de fils blancs, pour
bientôt
attirer les quolibets et le mépris.
Le charlatan se rend au fil du temps de plus en plus psychotique, en ce
sens que
le déni de réalité envahit peu
à peu toute
sa vie.
De ce point de vue, feue ma mère conserve quand
même
quelques traits caractéristiques de l'état-limite
: Quand
elle était prise en cisailles entre un sursaut de bon sens,
ou
un reste d'éducation correcte, et ses délires de
vaniteuse frustrée, incompatibles, invariablement
c'était
le délire de vaniteuse qui finissait par l'emporter, en
balayant
les brèves apparences d'honnêteté. Dans
les deux
variantes, charlatanisme et état-limite, le traumatisme et
la
problématique sont ante-oedipiennes. Bien qu'on ait mis
longtemps avant d'en élaborer la discipline et la technique,
on
sait maintenant traiter et guérir les
états-limites, car
ils demeurent demandeurs d'une relation authentique, qu'ils ne savent
pas encore obtenir. Tandis qu'en l'état actuel de
déni de
réalité du charlatanisme dans la nosographie, et
dans la
profession des psychothérapeutes, les charlatans sont encore
incurables : ils ne sont demandeurs d'aucune
authenticité.
Bien au contraire, ils ne cherchent qu'à imposer partout
leur
propre imposture. Une personne en état-limite ne vous oppose
pas
un mur de mauvaise foi. Un charlatan si. Ma mère si, et ses
disciples aussi.
Ce que la Reine-Mère
Anne aimait dans son fils :
Madame Mère
aimait les occasions de briller, d'exhiber sa
supériorité
sur son fils
et sur le restant du monde, et d'exhiber ses mérites
exceptionnels.
Ce que la Reine-Mère
Anne détestait dans son fils :
Madame
Mère détestait que son fils ait des opinions
indépendantes, un
développement distinct, de personne distincte. Madame
Mère détestait
que quiconque critique les invasions verbales qu'elle nous
assénait.
Septembre
1967 sans doute ? Ou 1966 ? Au Brusc, ma soeur était
adolescente, moi
jeune homme, et notre mère préparait son divorce
pour se
venger que
Georges n'ait pas fait d'elle une femme de ministre. M'enfin
quoi ?
Marie-Laure était bien femme de ministre, et pas elle !
M'enfin
quoi ?
Pourquoi donc Georges restait dans l'opposition stérile
à
de Gaulle, au
lieu de grenouiller pour être ministrable ?
Donc nous fumes deux, tous les deux, à protester contre
l'épuisante invasion sonore perpétuelle de la Reine-Mère.
Fulmination en réponse : "Vous
êtes tous les
mêmes ! Vous vous êtes donnés le mot !
Vous vous
laissez dépersonnaliser par votre père !"
Madame
Mère ne supportait pas que ses enfants eussent un
développement distinct.
Sauf le jour où elle peut se vanter que cette
réussite
profite à sa
gloire personnelle... Nous allons détailler quelques
échantillons plus loin.
Ah ! La vantardise !
"Mais non
voyons ! Vous n'y êtes pas du tout ! Vous vous laissez
dépersonnaliser
par votre père ! Ce sont les mecs qui sont des vantards !
Pas
nous les
femmes qui sommes toutes des victimes ! ..."
La Reine-Mère Anne saisissait toute doctrine
présente
dans
l'air du temps, pour parvenir à dénier son
prochain et
pour dénier les faits qui la dérangeaient. Le
délire sexiste féministe lui convenait donc
parfaitement
comme prêt-à-penser justificatif, pour justifier
tous ses
échecs de vie, pour justifier son mépris
d'autrui, et
pour disqualifier tous témoignages gênants. Ce qui
ne
l'empêchait pas, à d'autres moments, d'exhaler
tout son
mépris envers "toutes ces
bonnes femmes".
Voici quelques échantillons :
28 mai 2004 : la biographie
imaginaire qu'elle me plaque dessus.
C'est lorsqu'elle m'a envoyé cette copie de son courrier du
28
mai 2004 à son frère Maurice, que j'ai eu enfin
la preuve
écrite que ma mère affabulait à 75 %,
vivait dans
un monde imaginaire
à environ 75 %. Avant, je n'avais que des paroles, et des
actes
demandant confrontation à plein de faits
supplémentaires
pour être instruits.
J'ai très modérément
signalé l'existence
des inexactitudes systématiques dans mon courrier du 20
juillet
2004 à mon oncle (copie à Anne).
Mes termes
de
l'époque, 20 juillet 2004 : |
De part et d'autre, de nombreuses légendes font fi de la
réalité. Par exemple, oui j'ai bien
été
doctorant, mais jamais Robert M.z.t n'a disposé de poste de
Maître assistant à proposer à qui que
ce soit.
M.z.t n'a posé d'ultimatum à quiconque, mais a
publié sous son nom les travaux de thèse de
Charles G.,
laissant Charles tout nu, n'ayant plus rien à soutenir.
L'épisode O.P.I. (Au pays des merveilles...) est
conté de
façon fantaisiste. Or, je l'ai publié, il est en
ligne
à l'adresse http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf.
D'une manière générale, il est facile
de se
reporter à ma biographie, qui n'a rien de secret (ci-
jointe,
quant à la partie professionnelle), plutôt que de
la
réinventer pour les besoins en légendes urbaines. |
L'escalade et de ma mère et de ma soeur dans le
déni de
réalité, et les violences concertées
pour me
soumettre à leurs dénis, m'ont fait faire un
courrier
nettement plus détaillé le 8 janvier 2005. Copie
complète au format pdf à : Lettre
du 8 janvier 2005
Extraits :
8
janvier 2005
Les délires du 28 mai 2004
Maman,
Suite aux derniers cris de haine et de
mépris
de Florence, et à ton triomphe les
larmes aux yeux,
d'être de nouveau réintégrée
dans la
stratégie de ta bru contre ton
fils, je vois que mon esprit de conciliation
précédent
n'est plus de
mise. Par esprit d'apaisement, je n'avais pas
détaillé
les délires que
tu avais exposés à Maurice dans ta lettre de
rodomontades
du 28 mai
2004. Rouvrons ce dossier-là : c'est un triomphe de
l'omniscience
innée, exemptée des contraintes de recherches et
de
vérifications
d'informations. Ô omniscience matriarcale innée !
Anne de Corlieu-Lavau a écrit
: "Son
professeur et directeur de thèse lui a offert le poste de
maître
assistant à condition qu'il lui cède sa
thèse et
la signe à son nom.
Jacques a refusé. Sa vie d'assistant a
été renduE
impossible".
Délire total, pas un mot de vrai dans cette salade
mythomane.
Robert
M.z.t n'avait aucun poste de maître assistant. Il n'a jamais
dépassé le
total d'un seul assistant. M.z.t avait des crédits
d'équipement, pas de
crédits de fonctionnement. De nombreux appareils
sophistiqués,
commandés incomplets par ignorance, ont servi de presse-
papiers. Ni
moi ni Charles G.lh.r.g.. n'avons jamais eu le moindre poste
d'assistant. Charles a eu un autre poste, concernant l'intendance du
laboratoire expérimental, sans aucune des
responsabilités
d'enseignement qui incombent à un assistant. J'ai
été exploité comme
moniteur de travaux pratiques, ce qui à heures
égales,
faisait trois
fois et demi moins de l'heure, et de l'ordre de sept à dix
fois
moins
en tout. Ce sont les travaux pour la thèse de Charles
G.lh.r.g..
qui
ont été divulgués sous le nom de
Robert M.z.t, ne
laissant à Charles
plus rien d'inédit à mettre dans sa
thèse.
Zéro négociation. Charles
s'est retrouvé tout nu par ce fait accompli. Il n'a
commencé à revivre
professionnellement qu'au départ à la retraite de
M.z.t.
Le labo a
alors été fermé, et Charles et les
machines ont
été déménagés
à l'ENSET
de Cachan, sous les ordres de Jean Lemaître avec
notre
ancien collègue
Jean-Louis Ch.b.ch.. La dernière fois que j'ai revu Charles,
en
janvier
1994, il était ingénieur de
sécurité de
l'établissement de Cachan.
Surtout, par cette légende, Anne de Corlieu-Lavau occulte sa
propre
responsabilité. A la rentrée 1968,
j'étais enfin
admis sur titres à
l'Ecole Nationale du Génie Maritime, à 200 m de
l'appartement de la rue
de Monttessuy. La perspective d'être de nouveau - et
à moi
tout seul,
car Georges et Florence s'étaient tous deux mis à
l'abri
- le
territoire sonore de ma môman, et encore recruté
par elle
contre mon
père, m'a contraint à fuir, et à
croire
bêtement aux promesses de
Robert M.z.t, promesses qu'il n'avait aucun moyen de tenir.
Le 28 mai 2004, Anne de Corlieu-Lavau a écrit :
"Il
s'est cru sauvé quand la
faculté
d'Orsay a dirigé ses meilleurs
éléments sur un
entrepreneur prétendu
d'avant-garde à Saint-Quentin (Aisne) jusqu'à ce
que
celui-ci
disparaisse avec 12 millions prêtés par les banques."
Certains
mots sont parfois empruntés à la
réalité,
ainsi "Saint-Quentin" et
"Faculté d'Orsay" sont empruntés à la
réalité, et intégrés
à un
délire,
ou à une falsification si vous
préférez. Je suis
le seul, des diverses
promotions du Génie Industriel d'Orsay, qui ait
été incité à se faire
embaucher par Michel L.f.bvr., à l'O.P.I. des Merveilles. Le
professeur
de gestion B.ss.rd n'avait pas caché sa
perplexité et
celle des
étudiants après avoir visité O.P.I. :
de quoi au
juste tiraient-ils
cette opulence aussi voyante que le luxe vestimentaire d'un maquereau ?
En six mois, j'avais déjà envoyé trois
cent
cinquante courriers de
candidature en vain après obtention de mon diplôme
d'ingénieur de fac.
Délire narcissique, que de transformer cela en "ses meilleurs
éléments".
Anne de Corlieu-Lavau a d'autant moins d'excuses à avoir
envoyé ce
délire à son frère - dans le but de
reprendre la
position supérieure
sur lui -, que j'avais déjà publié
sous deux
formes le récit de
l'escroquerie de Michel L.f.bvre : le 27 juin 2002 sous forme papier,
comme mémoire de Licence, spécialité
psychologie
du travail et des
organisations, et le 27 janvier 2004 sous forme électronique
sur
mes
deux sites personnels, respectivement aux adresses
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf et
http://jlavau.9online.fr/Stargil_en_galerie_d_escrocs.pdf
De plus, on en trouve une copie non autorisée, mais exacte,
sur
un site
personnel marocain. C'est vrai que les marocains se sentent
concernés
par d'autres escroqueries, comme celles de cet Alain Becker, qui avait
tenté de
vendre une fausse bombe atomique au roi du Maroc.
La suite n'est pas mieux : ""Gazonbleu" admise
à l'écrit
du CAPES maths".
J'ai oublié si "Gazonbleu" a jamais
été admissible
à l'écrit, mais il
reste certain qu'elle n'a jamais été admise. Elle
a
longuement galéré
comme maîtresse auxiliaire.
Suite de la confusion
généralisée : "(Jacques)
a intégré une entreprise de matériaux
Davidof qui
a foiré".
Je ne crois pas que Joseph Davidovits lise avec plaisir son nom ainsi
massacré en "Davidof". Je ne crois pas non plus que CORDI
ait
jamais
été autre chose
qu'une société d'inventeurs. Ce n'est pas la
même
chose, ce n'est pas
le même métier. Or c'est moi qui y
étais. Qui
connaît cette question,
elle ou moi ? Anne aurait-elle pris la peine de m'interroger sur ma
biographie ? Oh non, bien sûr ! L'omniscience
innée
et le mépris pourvoient à tout...
Suite de la connerie : "Il ne
s'est pas remis d'un poste au lycée de
Montélimar, de
très mauvais
niveau où il s'est révolté entre
proviseur
élève et un père."
Je
renonce à comprendre, tellement c'est délirant.
Seul
"Montélimar" est
un mot connecté à la
réalité. Le passage
précédent, concernant les
stages en établissements de la région parisienne,
était aussi farfelu.
En revanche, on peut comprendre le but
de ces
délires : brouiller
des réalités qui contreviennent à
l'idéologie délirante d'Anne de
Corlieu-Lavau. La paranoïa de "Gazonbleu", et sa
volonté
forsenée de se
débarrasser par veuvage d'un mari qu'elle
déteste,
avaient
connu une
rémission temporaire de trois ans, de juillet 1993
à
juillet 1996. Les
gens bénins comme moi s'y laissent volontiers prendre, au
point
de
croire naïvement à une amorce de
guérison. La
réalité était bien
différente : "Gazonbleu" commençait à
subir elle
aussi le gangstérisme
familial de "Sigbert" et de "Frédégonde", qu'elle
avait
tant encouragé
et récompensé, tant qu'elle parvenait
à le diriger
contre son seul
mari. En 1993, elle commençait à se rendre compte
que
seul son mari
était d'une moralité stable, et qu'elle pouvait
et devait
s'appuyer sur
lui pour résister à la violence, la corruption,
les
trafics et les vols
commis par les deux aînés. Sans parler des
effondrements
systématiques
de "Frédégonde", cessant toute
scolarité à
chaque fois qu'elle s'était
mise en porte à faux sur ses rodomontades à
crédit, basées sur son
triomphe histrionique par l'attrait sexuel. D'où le
renversement
d'alliances
de
"Gazonbleu", purement tactique et temporaire.
Jusqu'en 1993, je disposais de la
satisfaction et
des encouragements de mes clients pour résister au mobbing
permanent que je subissais en famille. En 1994-1995, au
Lycée
Patay, je
disposais de même du soutien enthousiaste de mes
collègues
de physique
et d'électronique, ainsi que de la plupart de nos
élèves de B.E.P. et
de Bac Pro. En 1996-1997, j'ai dû faire face aux mobsters
sur deux fronts ; de
très loin le pire était le mobbing
en famille, en 1997.
Notamment, c'était le harcèlement uxoral qui
était
responsable de cette
voix si étranglée et
détimbrée, qui
excitait tant les sadismes
extérieurs, avides de nuire sans risques. J'avais rendu
public
ce fait
en février 1997, en salle des profs des Catalins. Or ces
réalités
immondes contreviennent à l'idéologie sexiste
dont ma
môman est
incapable de se passer : le fanatisme du matriarcat absolu,
justifié
par la légende "Nous les
femmes, nous
sommes des victimes éternelles ! Nous les femmes, nous
sommes le
bon
sens ! Nous les femmes, nous sommes la véritable
intelligence,
tandis
que les mecs, c'est tous des immatures grotesques !
Etc. etc."
Voilà pourquoi ma môman élabore
délire sur
délire pour dénier la
réalité.
Dans ces conditions
d'exaspération
narcissique, ma môman est dans
la main de qui la flatte, et est l'ennemie définitive de qui
ne
la
flatte pas, par exemple son fils. Un mâle, en plus !
...
|
Fin de citation
Le chiffre de 12 millions "emportés"
par Michel L.f.bvr. est lui aussi sorti du chapeau de la
Reine-Mère. D'une part elle confond le trou dans le bilan
d'O.P.I. avec un détournement opéré
par le PDG
pour son trésor de fuite avec
l'hélicoptère et le
bimoteur. Le second montant m'est inconnu, alors que
différentes
évaluations du premier montant ont été
publiées par la presse, à l'époque.
Contradictoires entre elles du reste, 50 millions de Francs selon
l'Aisne Nouvelle.
Au ministère de l'Industrie et de la Recherche, il m'a
été expliqué par deux personnes
différentes, que le ministère a
facilité
l'installation de Michel L.f.bvr. dans une seconde carrière
en
Australie. De là à conclure que la cassette de
fuite
n'était pas, et de loin le pire
élément du
scandale...
12 octobre 2006 : La
Reine-Mère Anne me soutient que j'ai
une
thèse de physique en fiches.
Extrait de mon courriel du 10 mai 2007, à 0 h 13,
adressé
à ma soeur :
...
Ci
joint l'un des derniers
échantillons de dénis de
réalité, du 12
octobre 2006. Elle me soutenait que j'avais une thèse de
physique en fiches, et que par quelque miracle que je ne parviendrais
jamais à percer, je redeviendrais physicien et
thésard.
Ma dernière inscription en fac de sciences date de l'an
2001-2002, juste pour terminer sur le ventre une maîtrise
devenue
très au dessus de ce qu'il me restait de moyens, et dont
plus un
mot ne m'intéressait plus et ne m'intéresserait
plus
jamais. Mes deux derniers articles en physique, commencés en
1997, ont reçu la dernière main en août
1999,
dernière correction en novembre 1999. Ils ont
été
mis en ligne en août
2003, quand j'ai créé mon site perso.
Depuis 1999 jusqu'en 2005, j'ai été inscrit en
psychologie à Lyon 2.
Donc je
n'y ai jamais été inscrit,
puisque ce fait
incassable dérange la mythomanie de la
Reine-Mère.
Voici la copie de mes cartes d'inscription en psychologie,
années 2004-2005, et 2002-2004 :
Commencé en 1999, le DEUG de psychologie était
terminé en 2000 :
J'ai donc mené ce DEUG de psychologie, puis la Licence, en
même temps que je terminais, plus mal que bien cette
maîtrise de physique :
Voici une liste partielle des articles de psycho que j'ai mis en ligne.
Donc
il n'ont jamais existé,
puisque cela dérange la mythomanie de la
Reine-Mère Anne:
Méthodologie
Pour la réflexivité dans les logiques.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Reflexivite.html>
Des besoins en autothéorie, à leur
dépassement
dialectique : des méthodes ?
<http://deonto-famille.info/index.php?topic=22.0>
La persistance de schèmes infantiles dans
l’enseignement
des mathématiques et de la physique.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/je_fais1.htm>
La bandaison pour une hypothèse ? Cela se commande-t-il ?
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_bandaison_pour_une_hypothese.htm>
Créativité et
management Un cas
d’inculture d’entreprise, exploitable par un escroc
: le
cas Stargil, 1983 –1984
(en perspective dans la galerie des escrocs et imposteurs)
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/TITRstargil.htm>
(format PDF).
Esprit scientifique, es-tu là ?
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/esprit_scientifique.htm>
Récréation : Le dénigreur universel
qui se
présente aux présidentielles de 2007..
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Sylvain_Poirier.html>.
Escroquerie : Une théorie entièrement
basée sur
des techniques d'hypnose... du lecteur confiant, naïf et
crédule
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Theorie_fondee_sur_l_hypnose.html>.
Pouvoirs dictatoriaux sur le net, et art de diriger.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Art_de_diriger.html>
L'usage de truands protégés, le management par la
corruption.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Management_par_corruption.html>
Ma dette envers Peter F. Drucker,
décédé le 12
novembre 2005.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Ma_dette_envers_Peter_F._Drucker.html>
Psychologie
sociale
Une dialectique entre le fun rien que le fun, et un lieu
d’exercice et d’émulation pour
l’expression
écrite
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Rezocontact.pdf>
(format PDF).
Oh ! Que l’oiseau agaçait le loup ! Et que le loup
avait
envie d’attraper l’oiseau ! Une guerre picrocholine
sur un
forum québécois
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/oh_loup_oiseau.pdf>
(format PDF).
Le psychologisme.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/psychologisme.html>
Plan de mort et crime parfait.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Plan_de_mort.html>
Une guerre civile comme les autres : la guerre sexiste.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/guerre_sexiste.htm>
Merci de poser cette question : Qu'est-ce que le féminisme,
de
nos jours ?
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/feminisme.html>
L'enfant, terre d'invasion facile, réservoir de janissaires
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/L_enfant_terre_d_invasion_facile.html>
La place de l'humour et de l'ironie, en émergence sous la
répression (en construction).
Les pervers histrioniques
<http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=21&Itemid=9>
Psychopathologie clinique
Trois carapaces autour d'un cœur en pleine confusion :
étiologie et structure d'une paranoïa.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/paranoia.html>
Les shootés à la joie de nuire. Malades de la
haine et de
l’attaque-fuite : paranoïaques, pervers
narcissiques,
sadiques organisés… Les contraintes sur le
modèle
neuro-endocrinien.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Joie_de_nuire.htm>
Apologies de l'esclavage, de la torture et de la mutilation.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?id=7>
La dépression majeure, un objectif de tortionnaires
raffinés
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Depression_majeure.html>.
En discuter sur le forum.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/disputatio/viewtopic.php?pid=130>
Citoyenneté
La séparation d'un enfant de l'un de ses parents, par
l'autre
parent
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/La_separation_d_un_enfant.html>
Le culte de l'exclusion : une garantie de maladie mentale à
l'échelle collective ?
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/culte_exclusion.html>
Attendu que le rackett n'est point fait pour que le justiciable en
démontre publiquement le fonctionnement...
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Attendu_que_le_rackett.html>
Caton, censeur de la République
<http://caton-censeur.org/>.
Déontologie pour la famille
<http://deonto-famille.info/index.php?topic=7.0>,
forum
<http://deonto-famille.info/>
Code de déontologie familiale proposé, ou pacte
de
non-prolifération de la haine.
<http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=19&Itemid=9>
Après Outreau : Lettre Ouverte aux
élèves de
l'Ecole Nationale de la Magistrature
<http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=17&Itemid=9>.
Lettre ouverte aux candidats : Attention au premier principe
républicain !
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Lettre_ouverte_Candidats.html>
Lettre ouverte à Madame Royal : vous bafouez le premier
principe
républicain.
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Lettre_ouverte_Royal.html>
Et il en manque, qui sont ailleurs que sur le site perso.
Par exemple : Un mode de maltraitance très efficace au long
cours
<http://deonto-famille.info/index.php?topic=12.0>,
Il manque aussi :
Si j'ai écrit et publié que Certaines familles
ont pour
but d'avarier et de rendre infirmes tout ou partie de leurs membres, le
plus souvent les enfants,
c'est
que ..
<http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Si_j_ai_ecrit_que.html>.
Donc n'est-ce pas, il est urgent de dénier tout cela, de
convaincre Jacques qu'il n'a jamais rien fait en psychopathologie, ni
en didactique des sciences, ni en psychologie sociale,
qu'il n'a jamais étudié la paranoïa ni
les
paranoïaques, qu'il n'a jamais étudié la
perversion
narcissique ni les pervers histrioniques, qu'il n'est juste qu'un
réfugié sourd-muet-aveugle-soumis-docile dans la
physique, comme on l'avait déjà contraint
à se
réfugier dans Science et Vie depuis l'âge de dix
ans... Et
puis il est urgent de déshériter au maximum un
témoin aussi gênant, l'annihiler et le
foudroyer...
...
Fin de citation.
Et comme toujours chez la Reine-Mère Anne, l'illusion tenace
que
s'inscrire en troisième cycle pour un D.E.A. puis une
thèse, soit de droit. Dans le monde réel, vous
présentez un dossier d'inscription, avec une description de
votre projet de recherche, et un plan de financement prouvant comment
vous alllez vivre durant ces quatre ans, et un jury décide
si
oui ou non vous allez être autorisé à
vous inscrire
sous sa direction. En juin 1999, j'ai présenté un
tel
dossier détaillé pour un D.E.A. de Sciences de
l'Education, sur le projet de thèse du Contrat
de
désensorialisation dans
l'enseignement des sciences, pièges et remèdes.
Il a été refusé comme ne s'inscrivant
pas dans les
thèmes nationaux. Mon plan de rechange a
été de
s'inscrire en 2e année de DEUG de psychologie. Et
là
encore, s'inscrire en 2e année n'était pas un
droit, il
fallu monter un dossier académique pour cela. En revanche,
DEUG
obtenu, puis licence obtenue, là oui, s'inscrire en Licence
puis
en Maîtrise était bien un droit.
Ultérieurement, en 2002, Maîtrise de Physique
enfin
terminée, et Licence de Psychologie obtenue, j'ai
présenté un dossier similaire en D.E.A. de
didactique de
la physique, sur le même thème, restreint
à des cas
que j'avais bien documenté - de vieux scandales jamais
amendés -, qui n'a jamais été
accepté.
Toutes réalités dont jamais le délire
de la
Reine-Mère Anne ne s'est embarrassé.
Notre mère était violemment toxique de son
vivant, et a
fait de son mieux pour continuer à être toxique le
plus
longtemps et le plus fort possible post
mortem.
Et comment avait-elle été rendue
elle-même si
amplement psychotique ? Qui lui avait transmis un tel noyau psychotique
?
Regardons comment sa mère s'y est prise, en leur imposant
quel
déni de réalité :
Le testament de
Cécile Compeyrot, 28 août 1976 :

Moyennant quoi, grâce à ce déni de
réalité, Anne et Maurice sont restés
en indivision
à vie, pendant cinquante-cinq ans sur la
propriété
du Brusc (jusqu'au décès d'Anne), pendant
trente-deux ans
sur les autres propriétés jusqu'en 2005, dans le
conflit,
la paralysie complète, et les pertes et la
dégradation
maximale durant tout ce temps. Notre grand-mère ne vivait
pas
dans le déni de
réalité dans tous les domaines, mais
essentiellement dans
le domaine familial. C'est ce noyau psychotique
hérité,
que notre mère a amplifié au maximum, lui donnant
des
proportions infernales.
En droit, aucun héritier n'est tenu de maintenir une telle
indivision et une telle obligation de ne pas vendre, plus de cinq ans.
Mais la Anne s'est cramponnée à ce
genre d'injonction comme un moyen de maintenir un pouvoir absolu sur
les autres, sur son frère notamment.
Si nous prenons le point de vue du thérapeute familial, la
première question à poser porte sur la nature de
l'attachement entre mère et fils, entre mère et
fille.
Attachements sécures ou insécures envers leur
mère
? La seconde question porte sur l'abondance, la suffisance, ou la
pénurie affective ?
La pénurie affective dans cette famille saute aux yeux des
observateurs et témoins. Quoique complices
collées l'une
à l'autre, la mère et la fille ne s'aimaient pas,
elles
étaient seulement unies par les
nécessités
tactiques de la guerre pour le pouvoir. Enfant de sept ans, Maurice
demandait à sa mère "Maman
? Pourquoi tu m'as fait naître ?"
. Hé oui, avant de supplicier son mari par jalousie, puis
son
fils pour le même mobile, Anne suppliciait son
petit-frère. Qu'en disait feue notre grand-mère
Cécile Compeyrot ? Elle ricanait. Là se situait
son
niveau d'empathie : la négation systématique
d'autrui.
Il s'agit donc bien de non-attachement, parfaitement
insécure.
Si Anne, promue nouvelle Reine-Mère au
décès de sa
mère en 1982, s'est fanatiquement attachée
à
"respecter" au delà de la lettre cette obligation
testamentaire
d'immobilisme sur la vieille maison de Villeneuve, ce
n'était
pas par affection envers feue sa mère, mais parce que cela
lui
restituait un pouvoir de lier son frère à vie, et
de le
tourmenter à vie.
Mmmh, si, il y avait bien un tout petit peu d'attachement
sécure, mais envers ses grands parents Compeyrot, qui
accuillaient en 1924-1925 la fratrie en vacances (sauf Maurice encore
trop petit) dans cette maison de Villeneuve. Le 3 mai 2005,
à
l'âge de 86 ans moins quelques semaines, Anne a donc
abandonné son appartement de Paris, est arrivée
à
Villeneuve avec son plumeau et un petit caddie de bagages, et s'est
mise le 4 mai à réocccuper cette maison
de Villeneuve,
laissée cinquante ans sans entretien. Oh, elle ne l'a
réoccupée qu'une nuit pour commencer.
Dès le
lendemain matin 5 mai, elle était à
l'hôpital en
urgence
cardiaque, pour oedème pulmonaire, et cela pour quatre mois
(administrativement trois mois, mais il y a eu des prolongations).
Ensuite,
à partir de septembre 2005 durant presque deux ans
jusqu'à sa troisième réhospitalisation
en mai
2007, Anne a revécu en 1925 dans cette vieille maison, dont
elle
faisait enfin refaire superficiellement la toiture qui tombait en
ruines.
Superficiellement : juste recouvrir la vieille charpente pourrie,
consolidée par quelques étais... encore et
toujours du
travail de singe. Voir les photos.
Et bombardant
la
mairie de courriers pour faire retourner Villeneuve sur Lot
à
l'état de 1925...
Cette vieille maison servait donc simultanément et de
fétiche ou de doudou, rappel d'un attachement
sécure
disparu voici longtemps, et d'engin de guerre fraternelle, avant
de devenir ce qu'elle est à présent : un
engin de
guerre contre son fils, en corrompant à nouveau nos enfants
contre leurs parents.
Nous eussions dû mettre Anne sous curatelle, mais avons
renoncé, effrayés par
l'énormité du
parcours juridique du combattant qui nous attendait.
Déjà le
fantasme de la thèse
à soutenir en Sorbonne,
20 octobre 1982.
Ce courrier du 20 octobre 1982, de la à son
frère Maurice, m'avait évidemment
été
caché en son temps. Il est présent au complet aux
adresses http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/20octobre1982R.png
et http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Fam_Lavau/20octobre1982bR.png.
Nous y reviendrons dans un autre chapitre, détaillant la
technique d'entourloupes et de corruption de la Reine-Mère,
et
les effets durables de ce brigandage familial.
N'ouvrons ici que cet extrait, détaillant son fantasme de la
"thèse
à soutenir en Sorbonne"
:
Ça revient souvent, hein, le mythe de la thèse
déjà prête, en fiches ?
Et, avec ses trois enfants en rafale, ma soeur fit-elle jamais mine de
reprendre les archives de notre grand-mère, pour en faire
quelque sçavant usage ? Vous y croyez, vous, au
Père
Noël ?
Autre déni monumental de réalité : les
dites
archives de notre grand-mère Cécile Compeyrot
n'étaient plus en possession de ma soeur, mais de notre
oncle
Maurice, qui les avait déjà triées,
empaquetées, emmenées durant
l'été 1982
à son domicile dans les Pyrénées
Orientales. Avec
le recul, il en évalue l'intérêt
à
néant, comme tout le monde du reste.
Même les
féminazies bon teint cherchent à se
débarrasser du voisinage de la Reine-Mère.
Même les féminazies bon teint cherchent
à se
débarrasser du voisinage de la Reine-Mère,
manifestement
bien trop cinglée pour leur servir encore
d'étendard
fréquentable. Fil de discussion http://www.quebec-politique.com/index/topic-9029-45.html
: "Ta mère
était peut-être cinglée et
féministe mais
ça ne veut pas dire que les féministes sont
cinglées pour autant."
par "Calabiyau",
le
04 Juil 2007, 20:20, titre du message "Re:
Merci d'avance de me signaler
quand et
où...".
Mon message d'origine :
|
Posté le: 03
Juil 2007, 9:08
Sujet du
message: Merci d'avance de me signaler quand et où... |
|
|
|
|
calabiyau
a écrit: |
...
Maintenant, répond à la question, lorsque
l'écart
actuel était inversé
et favorisait les hommes, t'en plaignais-tu ? Trouvais-tu cette
situation malsaine ? Si non, alors voilà encore une belle
preuve
que tu
n'es pas du tout pour l'égalité des sexes mais
pour la
suprémacie d'un
sexe sur l'autre. |
Merci d'avance de me signaler quand et où j'aurais connu une
situation
où les hommes étaient favorisés
comparativement
aux femmes.
Je réponds à la question, pour les
dernières fois
où cela est arrivé.
En France, ni hommes ni femmes n'ont voté sous l'occupation
allemande et sous Vichy. Les femmes ont voté pour les
municipales et
l'assemblée Constituante en 1945. J'avais un an. Qu'on
m'explique
comment j'aurais pu protester avant conception, in utero, ou avant
d'avoir l'âge de parler.
Les lois civiles étaient inégalitaires entre mari
et
femme,
jusqu'aux années soixante. La contraception et l'avortement
étaient
interdits, donc inégalitaires jusqu'aux années
soixante-dix, loi Veil.
Point final, sauf un qui va suivre.
Tout au long de ma scolarité et de mes études,
zéro inégalité, dans aucun domaine que
ce soit.
Ultime inégalité, qui touchait mon
épouse, en
concours en 1971 :
Encore soucieuse de limiter la féminisation massive du corps
professoral, l'Education Nationale tenait deux classements au concours
de CAPES, avec contingents séparés, un pour les
mâles, un pour les
femelles. Cela a suffit pour que mon épouse, ras du cul en
niveau, rate
son CAPES, alors que d'autres plus crasses, l'obtenaient. C'en
était
fini un ou deux ans plus tard.
Depuis, terminé, plus jamais revu une seule
inégalité aux dépens
des femelles. En revanche, j'ai vu la montée
irrésistible
des
inégalités en faveur des femelles.
Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon
témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y
étais, tu n'es donc
pas objectif !"
Qu'on me dise contre quelle inégalité aux
dépens
des filles
j'aurais pu protester concrètement davantage que je ne l'ai
fait, vu
mon âge aux temps où cela existait.
En revanche, durant des années, j'ai vu mon père
partir
au travail
une à deux heures avant que ma mère sortit du
lit. Il
était à son
bureau à préparer ses cours ou corriger des
copies, ou
lire des thèses,
deux heures après que ma mère se soit
couchée. Tel
était le quotidien à
la maison.
Durant des années, j'ai vu ma mère, non
lavée, non
habillée, encore
en peignoir et se grattant nerveusement sa tête hirsute,
poursuivre sa
femme de ménage de pièce en pièce pour
lui
expliquer que "nous les femmes nous
sommes toutes des exploitées et des opprimées, et
qu'il
faut se révolter contre les hommes"...
Ma mère oubliait qu'elle avait une fille à
chercher
à l'école. Ma mère
oubliait de rentrer à la maison, et la femme de
ménage
emmenait ma
petite soeur faire d'autres ménages avec elle, pour ne pas
la
laisser
seule dans l'appartement déserté...
Plus tard à Paris, à dix, onze et douze ans, ma
soeur
allait faire ses
devoirs chez Odile J., la fille du biologiste (prix Nobel), devenue
depuis éditrice, et quand elle arrivait à
l'appartement
à sept heures
du soir, ma mère sursautait : "Comment
! Tu es déjà là ?".
Elles sont comme cela,
les misandres victimaires qui s'autoproclament "féministes"....
Oui, théoriquement, quelque part vers mes treize ans,
j'aurais
pu être
témoin d'une inégalité universitaire,
sauf que les
témoins réels sont
tous décédés depuis. La
légende
prétend que ma mère voulait reprendre
un Doctorat en Droit à Grenoble, basé sur sa sa licence de Droit
d'avant guerre, et que les collègues ont fait pression
pour refuser son inscription. La légende prétend
que le
mobile était
misogyne. Une hypothèse alternative serait qu'ils
n'étaient pas assez
courageux pour mettre un zéro à un travail de
basse
qualité, si c'était
aussi mettre un zéro à une femme de
collègue...
Dans un courrier
de septembre 1963,
j'interroge ma mère pour lui demander pourquoi elle n'avait
pas
conservé un nouveau job. Maintenant que je suis
professionnellement
plus averti, il m'est évident que jamais je n'aurais
conservé une
employée aussi vaniteuse, envahissante et saboteuse que
celle-là... Il
est comme cela des bras cassés
dont on se débarrasse avec soulagement...
Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon
témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y
étais, tu n'es donc
pas objectif !"
Je n'ai jamais vu des féministes réclamer
l'égalité des quotas
masculins et féminins sur le carreau de la mine. Je n'ai
jamais
vu des
féministes réclamer
l'égalité des quotas
masculins et féminins à la
pêche hauturière et encore moins à la
grande
pêche. Je n'ai jamais vu
des féministes réclamer
l'égalité des
quotas masculins et féminins dans
le bâtiment et les travaux publics. Je n'ai jamais vu des
féministes
réclamer l'égalité des quotas
masculins et
féminins pour les emplois
d'ouvriers agricoles saisonniers. Je n'ai jamais vu des
féministes
réclamer l'égalité des quotas
masculins et
féminins pour les emplois
d'enlèvement des ordures.
Je n'ai jamais vu des féministes réclamer
l'égalité des quotas
masculins et féminins en matière d'accidents du
travail,
ni pour aucun
travail dangereux et/ou insalubre...
Je n'ai jamais vu des féministes réclamer
l'égalité en matière
judiciaire, notamment pénale. Je les ai toujours vu cultiver
soigneusement les inégalités et les
dénis de
justice en leur faveur, et
comploter pour leurs renforcements et leurs extensions.
Mais bien sûr, comme je suis un témoin visuel, mon
témoignage est donc invalidé d'office : "Puisque tu y
étais, tu n'es donc
pas objectif !"
Il y a plus de quarante ans, disparaissaient les derniers lambeaux
d'inégalités qui fussent au détriment
des filles
ou des femmes.
Maintenant continuent de se développer les
inégalités et les dénis de
justice en leur faveur.
_________________
Le militantisme victimaire rend-il davantage fou, qu'il n'attire les
déséquilibrés ?
Ceux qui veulent devenir bourreaux ou bourrelles à leur tour
?
Je m'inquiète des antidotes... |
Précision utile au lecteur qui n'irait pas
vérifier le
fil http://www.quebec-politique.com/index/topic-9029-30.html
: Le procès d'intention fait par calabiyau
le 03
Juil 2007, 6:43 ne
s'adressait pas à moi, mais à un
précédent
intervenant. C'était là ma première
intervention
dans la discussion.
Déni de
réalité, et brigandage familial, pillage de l'indivision.
Durant l'année et demi qui
précédèrent la
fuite de Georges hors du domicile familial (1967-1968), Anne utilisa
beaucoup l'arme de la portée de chiens, pour rendre
pénible la vie à la maison, et nous contraindre
tous
à prendre la fuite pour se protéger de sa
toxicité, en se justifiant ainsi : "Comment
osent-ils se
plaindre ? J'ai
offert un chien à Georges ! Un chien à Florence !
Et un
chien à Jacques !"
Je ne conteste pas que le folklore de ces quatre lévriers de
bon
appétit, fort bien endentés, est un
épisode
inoubliable. Pénélope jouant au chat et
à la
souris avec l'eau qui jaillissait de la bouche d'incendie,
ça
n'était pas mal. Grand, fort et admirablement
musclé, et de caractère réservé,
Patchouli qui aboyait à pleine poitrine contre le facteur,
puis
courait se terrer sous le canapé, inoubliable... Le
dictionnaire
Pototskaïa français-russe
dévoré par Patchouli, très
sage et très silencieux, regrettable. L'affection
débordante de Pôlaire, très touchante.
Ses
tremblements convulsifs le soir où elle a
dérobé
sur la table et mâchonné un tube de
sédatifs, le
portage de la chienne qui ne tenait plus sur ses pattes, que j'ai
dû faire jusqu'au
vétérinaire qui
lui a administré un vomitif, heureusement que
j'étais
jeune et bien entraîné... Ceux qui sont encore
vivants,
n'ont pas oublié les moulinets que les jeunes chiens
faisaient
avec leur queue, lorsqu'ils entendaient cinq étages plus
bas, le
cliquetis de la roue libre et de la béquille de ma mobylette
dans la cour de l'immeuble. Je n'oublierai jamais la fête
qu'ils
me faisaient quand j'arrivais à l'appartement, ni le cirque
infernal que c'était de les reprendre tous si j'avais
l'imprudence de les laisser courir le long des berges de Seine, voire
les bains forcés qu'ils s'infligeaient dans leur audace
exploratrice. Pénélope était à la fois la
plus hardie et la plus obéissante. Pôlaire la plus folle,
c'est elle qui prenait ces bains de Seine pour mieux
désobéir. Patchouli s'intéressait peu aux humains,
avait l'ouïe très fine pour les chiens de l'autre rive, et
finissait par être assez conciliant. Je
n'oublierai
jamais que Pénélope et Patchouli sont tous deux
morts
empoisonnés par une boulette, restés des
explorateurs
infatigables et insatiables chacun chez leurs nouveaux
maîtres.
Je n'oublierai jamais que quand ma jeune épouse et moi,
quand
nous sommes passés en 1972 à Mamers à
l'hôtel d'Angleterre, où le
propriétaire avait su
se faire donner gratuitement les deux sloughia blanches, Palmyre puis
Pôlaire, nous avons trouvé avec consternation deux
chiennes folles à lier, terrifiées et
féroces,
à force d'être enfermées et
confinées sous
l'escalier.
La contre-partie, est que la maison du Brusc, ou du moins la terrasse
couverte, était devenue chenil. Et l'appartement à
Paris, aussi devenait chenil... Les chiens devenaient instruments du
déni des humains, du déni des siens, par Anne. Ah oui
bien sûr, eux appréciaient la cuisine sommaire faite par
leur maîtresse, et dévalaient à coups de glissades
de griffes sur le parquet, dès qu'ils entendaient que leurs
gamelles étaient prêtes...
Pis j'vous raconte pas le voyage de retour du Brusc à Paris,
septembre 1967, Pôlaire vomissant affectueusement entre ma
chemise et ma peau...
Moins drôle encore, ce déni de
réalité d'Anne, "Mais
mon
frère, la maison du Brusc
lui a toujours été ouverte, il n'avait
qu'à venir !".
Lassé de subir en permanence ce pillage de l'indivision
forcée, Maurice a fait établir un constat
d'huissier, qui
va suivre ci-après, et l'a complété
par la
série de photos que voici :
L'arrivée à la maison, côté Nord, accuil par
épaves : épave non identifié, puis épave de
la plate, surmontée de la brouette. Terrasse sur "cave" au fond,
et entrée cuisine.
Feue la plate, vue de l'avant.
Entrée sur la terrasse couverte. Accueil par un meuble TV de
récupération.
Vue sur le buisson de lentisques qui sert de compost à ordures
dégradables, et le meuble TV dans terrasse couverte.
Trè belle vue sur les hourdis qui éclatent, sous la
pression de la rouille des poutrelles IPN, faute
d'étanchéité de la terrasse supérieure.
La Reine-Mère a une excuse certaine : seul du mobilier
très pauvre et quasiment en ruine n'attirait pas les
cambrioleurs, véritables maîtres des lieux durant la
majeure partie de l'année.
Vue rapprochée sur le lave-linge, un lit pliable, la banquette
et la table à manger, au fond l'abri du compteur
électrique, et le meuble à collection de caillous de
Bertrand.
Le coin Sud-Ouest, avec frigo hors d'état, installation
électrique quasiment en ruine.
Ce frigo à absorption nous avait été donné
quand nous étions jeunes mariés, en 1972, par la
concierge de la rue de Monttessuy. On y distingue la peinture du Petit
Nicolas, décoration de 1972 par Geneviève, Philippe et
Claude.
Vue générale du mur Sud de la terrasse couverte, avec
hourdis éclatés.
Vue sur les poutrelles rouillées et les hourdis
éclatés.
La terrasse Nord, le volet pourri de la porte de cuisine.
La terrasse Sud. Pas de volets à la porte-fenêtre du
séjour : ils ont été volés.
Les volets de la porte-fenêtre étant volés, Anne
accumulait derrière un bric-à-brac dense, afin de
gêner la circulation des cambrioleurs, véritables
maîtres des lieux durant les six mois d'hivernage. A noter que
nombre de ces vols, dont ces vols de volets, n'étaient pas
vraiment pour s'approprier quelque chose de désirable, mais pour
rendre la vie impossible à la maîtresse des lieux.
Le volet de la porte-fenêtre de la chambre, donnant sur la
terrasse Sud, est pourri.
La cuisine, côté réchaud hors d'âge, fuyant
le gaz, et évier, photographiés par Maurice, à
travers la vitre.
Vue sur la cuisine, réchaud, et perspective sur le séjour.
Vue sur le séjour, à travers la vitre de la
porte-fenêtre.
La chambre, vue à travers la porte-fenêtre Sud.
On trouve de meilleures photos des intérieurs sur le Constat d'huissier. Cliquer
sur ces mots pour le lire. Deux extraits :


Et à Paris, comment était l'entretien des lieux ?
La reine-mère passait en gros les six mois chauds au Brusc, et
les six mois froids à Paris. L'appartement de Paris
résistant incomparablement mieux aux cambrioleurs, le mobilier y
était beaucoup plus riche et raffiné. Mais l'entretien y
était-il mieux, ou pire ?
Voici l'état des toilettes à Paris, quand nous avons
vendu en décembre 2007, après le décès de
la Reine-Mère :
Ici le plancher pourri par fuite de
chasse d'eau. A droite :
Et à gauche :
Et pourquoi cet état consternant, ce plancher pourri ? Parce que
la chasse d'eau avait fui. Pourquoi fuyait-elle ? Pourquoi aucun
robinet d'arrêt n'arrêtait-il ? Parce qu'elle
n'était jamais entretenue ni changée par un plombier.
C'était la même chasse d'eau qu'à l'achat,
été 1962. Pourquoi pas d'entretien, et des fuites ? Parce
qu'il n'y avait pas de compteur individuel d'eal. Un compteur en bas de
la colonne montante d'eau des toilettes, un pour la colonne d'eau de
salles de bains, un pour la colonne d'eau de cuisine, et le tout
réparti dans les charges de co-propriété sur les
sept étages. Donc pas de raisons de se conduire en adulte, si la
Reine-Mère ne voulait pas être adulte...
La salle de bains était dans un état moins grave : deux
changements de cumulus en quarante-cinq ans.
La cuisine était à l'abandon. Les peintures de plafond
tombaient ou pendouillaient.
Et c'est cette Reine-Mère-là, qui me couvrait
d'admonestations doctrinales...
C'est une autre page, que vous ouvrirez en cliquant sur ce titre
ci-dessus.
(à suivre, à mesure
de la numérisation des autres pièces à
conviction).
Article en
développement,
à suivre.