Les guignols de la malveillance

Le marché du sadisme pour lâches.

Un point commun à tous les pervers, qu'ils soient pervers narcissiques, paranoïaques pervers, ou histrioniques pervers, est d'opérer sur  le marché de la lâcheté, plus précisément du sadisme pour lâches. Tout lâche se sent devenir fort et puissant, lorsqu'il applaudit aux persécutions menées par un sadique, et y participe avec ses moyens de lâche. Cela fait partie des vingt-cinq compétences que nous partageons avec les cousins dont nous nous sommes séparés depuis 280 millions d'années : les reptiles. Un lézard dominé sait se joindre au lézard dominant pour l'aider à expulser un intrus.
Un pervers, et typiquement un pervers histrionique, le plus récemment décrit, peut conquérir un pouvoir énorme, s'il sait flairer et flagorner ces demandes de lâches, de se sentir puissants par participation à une entreprise sadique.
Ce n'a pas été tout à fait ainsi de tous temps. De fait, la modernité, c'est à dire la mode actuelle, pousse à la perversité et au sadisme triomphants. On regarde désormais comme "ringards" les valeurs de charité et de solidarité, hors un communautarisme étroit.
L'auteur a été aveuglé pendant plusieurs années par la configuration de sa famille d'origine, où seules des femmes restaient vivantes. Leur misandrie militante occupait le devant de la scène. Un renversement dialectique s'imposait : elles choisissent leurs doctrines avec opportunisme pour satisfaire leur vanité ou leur sadisme. Il est superflu de participer aux batailles de slogans et de doctrines, les "C'est moi qui ai le bon slogan et la vraie foi ! Toi tu es un adepte du mauvais slogan, et un gros-boutien qui s'ignore !". Les doctrines ne sont le plus souvent que de l'habillage adapté à la mode, pour l'égocentrisme et la perversité. Seule compte la moralité de base, l'éthique. Là où sont l'éthique et le courage, le reste suit.

Tout gangster exercé à corrompre des policiers, des magistrats et des hommes politiques, le sait bien, tout agent de renseignements ayant déjà acheté des informateurs et des traitres le sait aussi : la corruption est un toboggan à sens unique. Le corrompu est prisonnier de son corrupteur, et prisonnier de la crainte de la révélation de ses turpitudes. Il n'en sortira que par la mort, ou par une sévère condamnation publique, et quelques années de réflexion à l'ombre. On sait quelques exemples positifs, d'anciens loubards et cambrioleurs devenus d'excellents animateurs de clubs sportifs après libération de prison, justement dans le souci de préserver la jeunesse de reproduire leurs errements passés. On sait aussi l'exemple de Thomas Watson, le fondateur d'IBM, qui avait commencé comme vendeur de caisses enregistreuses NCR : il avait mis au point de fausses caisses, estampillées à l'imitation de la concurrence, qui tombaient vite en panne. Ses vrais vendeurs passaient un ou deux mois après, et vendaient leurs caisses enregistreuses, non truandées, sur un marché ainsi truandé par leurs vendeurs de merde. Watson a été condamné, a fait de la prison, et est sorti en jurant qu'il ne ferait plus que des affaires honnêtes.

Dans le domaine familial, de la maltraitance familiale, nous sommes dans le royaume de l'impunité garantie, et de la glorification du sadisme intime. Il ne faut donc point s'ébahir si on y rencontre des accumulations d'horreurs comme celles qui suivent ci-après.

Ce que le lecteur malveillant reproche usuellement :

Ou l'organisation du marché de la malveillance...

Huit ans et demi de discussions sur le Net, dont  sept sur des forum de discussion, m’ont appris les principales façons de disqualifier et de fécaliser7 le témoin gênant. Voici celles qui seront utilisées :

Première astuce : accuser l’auteur de ne jamais parler que des actes de malveillance d’autrui, et d’oublier de s’accuser soi-même de toute malveillance, ni d’aucun tort (C'est à dire, en clair : "Tu oublies d'avouer que tu es forcément tout aussi violent et malveillant, sinon davantage, sinon, cela heurterait mes intimes préjugés !". Donc l’auteur est automatiquement inclus dans le collectif des malades de la victimite, persécutés présumés "imaginaires". Il n’est pas nécessaire que l’accusation soit justifiée : il suffira de faire des citations tronquées ou truandées, et qui ira vérifier ?

Seconde astuce : on reprochera à l’auteur de n’être intégré à aucune bande puissante, à aucune mafia, à aucune meute, d’être à l’écart de toute espèce de conformisme, donc d’être un original marginal, qui n’est validé par personne d’autre que lui-même, et pourquoi pas l’un de ces savants fous et quelque peu paranos, que personne ne comprend, un de ces incompris comme on en voit tant, et contre qui il est si jouissif de se déchaîner en meute, dans l'ivresse collective de la curée et du carnage  ?

Troisième astuce : l’auteur n’est pas un individu, mais n’est qu’un représentant d’un des collectifs que l’on hait profondément. Dans leurs exclamations, cela se résume dans le style : « Je t’ai reconnu ! Tu es tous les gniagniagniââh que j’ai toujours rêvé d’abattre ! ». Et à quels gniagniagniââh collectifs l’auteur peut-il être assimilé ? J’ai relevé ceux-ci, au cours des dernières années : les intellectuels, les pseudo-intellectuels, les crânes d’œufs incapables de la moindre réalisation concrète, les racistes-pur-blanc, les fonctionnaires, les scientistes étrangers à tout ce qui est humain, les savants-qui-ont-un-ordinateur-à-la-place-du-cœur, les technocrates, les misogynes, les pères absents, les « masculinistes-phallocrates-macho-dominants-dégénérés-fachos-revanchards » (celles là sont de chez Michèle Dayras), les violeurs, les batteurs de femmes, les batteurs d’enfants, les buveurs, les voleurs, les maquereaux, les fous, les simulateurs de la folie, les assassins, les incestueux, les négationnistes, les fascistes, les communistes, les gauchistes, les bourgeois, les exploiteurs du peuple, les alliés du grand capital, les lécheurs de bottes du pouvoir, les addicts aux matches de football… Voyons voyons voyons ? En ai-je oublié, parmi les insultes et les procès d’intention que j’ai pris dans la figure ? Oui bien sûr, j’en ai oublié trois : « les vieux » (variantes : les vieux cons, les vieux schnocks) , « les mâles », ce qu’elles prononcent et écrivent « les mecs », et « les psys », au sens de l’offre hégémonique en France, qui est celle des psychanalystes (variante locale : la PNL... selon l'une des obsessions de YBM sur  f.s.phy). A ce florilège s'est ajouté en 2004 "les arabes, les islamistes, leurs kollabos...".

Le florilège se continue : "Tu doit lire beaucoup de livre Harlequin" (orthographe d'origine), "féministe, pisse-assis", "pseudo-scientifique", "juste des gens qui ont un discours qui semble scientifique" , "les scientistes bornés","encéphale en décomposition", "vraie femelle", "Super Dingo", "crétin imbécile", "rationaliste demeuré", "Tête de noeud", "psychopathe en état avancé", "fou salement atteint", "Il ne connaît pas l'autodidactisme, le bougre. Un con diplômé" (celles-là sont de Jean-Claude Pinoteau, alias "nietsnie" alias "Pierre de la Davière"), "les crédules de l'évolutionnisme", "les croyants en l'évolution", "les matérialistes bornés et adeptes du génocide et du Goulag" (celles là viennent de créationnistes) , "conformiste, très ordinaire",  "tartuffes, inquisiteurs, apparemment scientifique,  coupé de l'apprentissage des humanités, logorrhée délirante, délires paranoïaques de vieil homme aigri, incapable d'argumenter posément" (celles-là sont d'Hélène Palma), "vieillard sénile, gâteux, tout à fait banal et sans consistance, intérêt ni envergure, pervers narcissique, mythomane et paranoïaque... existence vide et ratée" (celles-là sont de Jean-Paul Douhait, alias Cascus alias Jeanpapol alias Isaac Menuhin alias pierre szmydt alias Violette Dubois alias jacques dupont dit Jacky alias cassidile dit cascus alias vous dites le savoir" alias derrida alias Ixe alias Jean-Paul alias Incognito alias corbeau alias vendredi...), "vaseux" (celle-là est de Pierre Dumay dit Peyo), "bureaucrate de Bruxelles" (d'YBM encore), "génie méconnu, croyant" (de François Guillet), "misérabiliste","militariste", "marxiste pur et dur", "technocrate", "gaulliste", "godemiché sur pattes", "salaud en puissance", 'intégirste en puissance'" (l'orthographe de Sainte Michèle Dayras, vierge et martyre, est scrupuleusement maintenu), "adepte de Dutroux"...

Autre truffe, due à Daniel Sternheimer : "Vous seriez à la solde de groupes financiers désireux de faire obstacle à une approche non conventionnelle"...

Du même ordre : "Qui croit que la Terre est plate", " href="http://sciences.blogs.liberation.fr/home/files/oreskes.%20La%20recherche.pdf"autant un argument de l'envergure de Courtillot fait nettement plus href="http://sciences.blogs.liberation.fr/home/files/oreskes.%20La%20recherche.pdf"lobby pétrolier href="http://sciences.blogs.liberation.fr/home/files/oreskes.%20La%20recherche.pdf" (ou au moins ego hypertrophié)..."

A suivre !

Parenthèse technique. Les astuces n° 2 et 3 ont un trait en commun : projeter sur l'autre sa propre incapacité à penser sa propre articulation entre individuation et pensée de groupe ou de meute. Dans le cas 2, il est reproché à l'autre de ne même pas être dans une meute, et dans le cas 3, on l'assimile à une meute lointaine et étrangère.  Dans les deux cas, l'individuation de l'accusateur/trice, est révélée problématique par l'accusation même.

Quatrième astuce : les citations seront tronquées, décontextualisées, et travesties à contre-sens. Le dessinateur Hergé, échappé de justesse des geôles à la Libération de Bruxelles, répétait volontiers : "Donnez moi le choix de dix phrases d'un homme, et je le fais pendre." Grâce à l'excellence du biographe qu'est Jean Lacouture, je peux de même démontrer en dix phrases, prises notamment à l'adolescence, que Charles de Gaulle ne fut jamais qu'un histrion royaliste, antisémite, maurassien, et j'en passe...
Le truquage des citations, c’est l’une des astuces utilisées par une héroïne comparse qu’on verra plus loin : Alie Boron. C’est bien sûr le métier de base de l’avocate de Gazonbleu, Maîtresse Zantafia. Sa joie de nuire et de calomnier est si obscène que je ne comprends pas comment on peut simultanément être juge aux Affaires Familiales, et autoriser une telle nuiseuse à plaider encore des affaires familiales. Le droit est en principe encadré par la Constitution, et par la déclaration universelle des droits de l’Homme. Or cette dernière stipule que « La famille est l’élément naturel et fondamental de la société et a droit à la protection de la société et de l’état. » Comment la Justice peut-elle délibérément exposer les familles à autant de joie de nuire et de mentir que celle pratiquée par cette Maîtresse Zantafia ? Sauf bien sûr à être en réalité Injustice Antifamiliale, juge-et-partie…

Cinquième astuce : Conserver l’action mais permuter son sujet et son objet. Variante : transformer les négations en affirmations, et les affirmations en négations. Selon cette astuce, si A détaille les actes de haine pratiqués par B, alors prétendre que "en réalité" c’est A qui pratique de la haine envers B, et que B n’en est qu’une victime. L’astuce est plus délicate à utiliser si A détaille la confusion mentale de B. Il sera peu crédible d’accuser de but en blanc A de confusion mentale pour son compte. Il faudra changer de domaine. Pour sa part, Gazonbleu utilisait alors la…

Sixième astuce : s’enfuir dès la première phrase qui dépasse dix mots, en criant : « Ça veut dire que tu as toujours raison ! »

Septième astuce : « Oh toi ! Tu devrais te faire psychanalyser ! »

Huitième astuce : supprimer toute trace de l’auteur8, supprimer son livre, en interdire la publication, faire détruire tous les autres écrits qu’on pourrait découvrir.

On remarquera que ces astuces particulières s'inscrivent bien dans les quatre tactiques bien connues qu'emploient les institutions contre les innovateurs et les découvreurs :
1 - Si possible, et au plus vite, la suppression physique de ce témoin ou découvreur gênant. Exemples : Semmelweis, découvreur de l'aseptie en 1848, ou actuellement la suppression de l'astronome Halton Arp, interdit d'observatoire sur tout le continent américain, pour crime d'observations remettant en cause le dogme du redshift comme évaluation valide de l'éloignement des objets célestes.
2 - Lorsque 1 a échoué, contrer l'information en prétendant « Ce n'est pas vrai ! » .
3 - Lorsque 2 a échoué, opposer « Bon, c'est vrai, mais ça n'est pas nouveau, on le savait déjà ! ».
4 - Lorsque 3 a échoué, opposer « Bon, c'est vrai et c'est nouveau, mais c'est pas lui qui l'a découvert ! ».
Mais ce n'est pas ici le lieu pour en développer les nombreux exemples. Ces trois dernières tactiques ont été employées successivement contre Jean Dausset, découvreur des incompatibilités tissulaires HLA.

Dans ma famille d'origine (ce qui se réduit à deux femmes : ma mère et ma soeur), on utilise d'autres variantes de la huitième astuce, pour reprocher au témoin d'exister :
"M'enfin ! Qu'attends-tu pour supprimer la réalité, afin de mettre ma conscience en paix ? Qu'attends-tu pour tourner la page et penser à autre chose ?

Moi, je n'ai aucun besoin de savoir si oui ou non on te fait un procès en sorcellerie, ni combien de temps il durera, je n'ai aucun besoin d'être gênée par les calomnies répandues sur toi ! D'ailleurs tu es forcément coupable, puisque tous les hommes etc. Et c'est bien toi l'homme dans cette histoire ! Tout ce que je veux croire, c'est que ce procès en sorcellerie cesse magiquement d'exister, car sa réalité sordide dérange mes convictions féministes, où la femme est toujours sublime et méritante, et l'homme toujours dominateur et lâche.

Ta condition de calomnié dérange mes intimes convictions, donc ce ne sont pas les calomnies qui doivent cesser, ni faire l'objet de poursuites pénales, mais toi qui doit disparaître de mon champ de conscience...

Et puis qu'attends-tu pour supprimer tes enfants de ton champ de conscience ? Moi je m'en passe très bien de tes enfants ! Les miens me suffisent ! Taka faire comme moi !  Et puis qu'attends-tu pour supprimer ce procès et cette procédure ? Cette réalité me dérange ! Pense à aut'chose ! Ne pense qu'à des gens bien !

...
...    Comment ? Pas encore terminée cette procédure ? Moi je croyais que c'était réglé depuis longtemps !"

    Il est aussi pratiqué une variante de la septième  astuce :  "Et puis d'abord, tu n'as pas le droit d'ouvrir la bouche, car tu n'as même pas été psychanalysé !". C'est du reste la même personne qui pratique cette variante de la cinquième astuce :  " C'est bien fait pour ta gueule, non ? T''avais qu'à pas la choisir, cette Gazonbleu là !
- Hé mais pardon, ce n'est pas moi qui l'ai choisie. J'ai au contraire protesté que nous ne nous convenions pas du tout.
- C'est bien ce que je disais ! C'est bien ta faute, car tu l'as acceptée sans qu'elle te mette un pistolet dans la nuque ! Donc c'est entièrement de ta faute !  De toutes façons, l'inconscient est omniscient, donc tu avais choisi Gazonbleu exprès pour te faire maltraiter par elle ! ".

Elles sont comme cela, les féministes, dans l'épreuve... Elles ne diffèrent que sur un point des autres conseilleurs-pour-leur-confort-personnel : le choix de l'idéologie qui prime sur les gens et sur les réalités. Rien de plus.

Neuvième astuce : la fraude aux quantificateurs universels abusifs.
Un quantificateur universel, dans la langue française, ce sont les adjectifs "tout", "tous", "toujours", "jamais", "partout". Les mathématiciens ont symbolisé aussi le quantificateur d'existence : "il existe au moins un", "quelque", et de nombreuses autres variantes. C'est l'histoire classique de l'anglais débarquant à Calais, et qui à sa famille : Les françaises sont rousses.
Remarquez, l'astuce n° 3 comportait aussi une fraude au quantificateur universel : "Je t'ai identifié comme étant de la catégorie X, donc tu es tous les X que je désirais abattre depuis tant d'années !". Mais cette fraude se compliquait d'une fraude à la catégorisation.
    Exemple n° 1. Le cas des fraudes d'un ripoux. On ose protester contre la malhonnêteté des discours apocryphes composés par un calomniateur à gages, insoupçonnable expert auprès des tribunaux, Monsieur Caillou de la Taupinière, pour lui donner un cryptonyme. En représailles, et en vertu du Théorème de Caillou, qui énonce que la Taupinière est à lui seul tout le corps médical, Monsieur Caillou de la Taupinière écrit que vous manifestez "une méfiance maladive envers le corps médical." Vous avez compris le truc ?
    Exemple n° 2. Un espoir hâtif. Plein d'espoir, un contributeur à SOSPapa (fil http://www.forumsospapa.org/phpBB2/viewtopic.php?t=275&start=15 ) exulte parce que pour une fois, une accusatrice mensongère a été démasquée et condamnée. Il en conclut hâtivement que : "(ce témoignage) démontre en tout cas que ces "mères" finissent toujours par être démasquées et s'exposent à des sanctions pénales". Un cas n'est pas, et de loin, tous les cas...

    Exemple n° 3. Ce cas est massivement représenté. La fraude au quantificateur est ici couplée avec une fraude à la catégorie : une idéologie est prétendue équivalente à une partie de la population. A toute critique envers une idéologie raciste ou sexiste, est immédiatement opposée une accusation d'être l'ennemi de la partie de la population que cette idéologie prétend représenter. C'est d'autant plus caractéristique dans le cas particulier de l'auteur de ces mémoires, qu'il est depuis toujours ou presque, hors de toutes les idéologies, surtout si elles sont de la structure Nous-contre-Eux. Concrètement : Si A critique l'islamisme, alors A sera accusé d'être contre tous les arabes et musulmans, et partisan du colonialisme européen ou américain. Si A critique la haine du mâle, déguisée en féminisme, alors A est aussitôt accusé d'être un misogyne (ensuite vient le deuxième étage de la stratégie de calomnie : A ose protester contre cette assimilation frauduleuse, il est donc aussitôt accusé de confondre toutes les femmes avec Gazonbleu, cette charmante épouse qui a déjà organisé plusieurs tentatives d'assassinats, et embauché les enfants du couple dans une mission parricide). Si A critique le racisme anti-arabes de tel fasciste en Europe, alors A est accusé d'être pro-islamique, et kollabo des arabes, partisan du Ben Laden...

On pourrait même amplifier, le flot des reproches manipulateurs, de façon à faire ressortir le plan de mort qui les anime. Voici ce que j'ai publié le 26 août 2004 :

       M'enfin ! Kestatan pour avouer ?

Ah ! Les amis ! Les amis ! Leurs réticences, quand la réalité contrevient à leurs idéologies à eux qu'ils ont ! Intolérable réalité ! Impie réalité !

Oui Suzanne, tu as raison d'exiger que je me culpabilise d'exister et d'être encore vivant, en désobéissance aux ordres les plus stricts et à la meilleure planification de veuvage, car la culpabilité à tout propos et hors de propos, c'est tout le chrétien.

Oui Suzanne, le simple fait que je sois rescapé des diverses tentatives d'assassinat, et encore en état de témoigner, c'est en soi un blasphème envers l'Image Sainte de la Femme, et c'est un crime passible du bûcher.

Tu permets que j'en rajoute un peu sur la culpabilisation du rescapé, la criminalisation du bouc émissaire, pour la restauration de la Sainte Image de la Femme ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as toujours été un gros-boutien dans l'âme, un hérétique né ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as toujours été un ennemi de la fraude, et que tu es donc un danger mortel pour tous ceux qui avons, héroïquement et au péril de notre vie, fondé notre fortune sur la corruption et la fraude?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tout souffre-douleurs est en réalité un masochiste qui recherche inconsciemment les coups, depuis l'âge de cinq ans ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que tous les torts sont en réalité du côté du massacré, et que les massacreurs en ont toutes les excuses ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que dans tout bon assassinat, il faut que chacun y mette du sien (André T. scribit, 26/08/1997) : les assassins pour bien tuer sans trop laisser d'indices, l'Injustice pour bien les innocenter, et l'assassiné aussi doit leur faciliter la tuerie et le pillage. M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu n'as pas mis de bonne volonté à te laisser zigouiller, que tu as ainsi mis en échec les meilleures planifications ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que dans ton bol de muesli, les céréales qui leurrent, ça trompe énormément ? Kestatan pour avouer que les céréales qui leurrent, c'est toi (Annie Lesénécal épouse Beaurain scribit) ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que toute entrave au harcèlement du bouc émissaire du jour pourrait traumatiser les tortionnaires, et serait une atteinte au droit des tortionnaires ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que tout souffre-douleurs qui se plaint des persécutions est en réalité un paranoïaque qui fabule, et ce dès l'âge de cinq ans - et en cherchant bien madame, ne sauriez vous trouver quelque hérédité paranoïaque lourdement chargée du côté paternel ? En tout cas, nous on n'a rien vu, et pourtant les dieux savent à quel point on fermait énergiquement les yeux !

M'enfin Jacques ! Kestatan pour oublier et supprimer magiquement l'interminable procès en sorcellerie que te font les tueuses conjurées? Kestatan pour satisfaire mon horreur de la réalité que tu es contraint de subir, quand elle contrarie mon idéologie à moi que j'ai ? Kestatan pour tout oublier de tes enfants et petit-fils ? Moi je m'en passe très bien, d'eux ! Taka faire comme moi !

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que ta femme te reproche de t'être laissé dominer par elle (Maîtresse Brigitte Prudhomme – mon avocate en ce temps là - dixit)?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu as fait vivre femme et enfants sous la terreur (Annie Lesénécal épouse Beaurain, dite Alie Boron, scribit) ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer qu'on a bien su te faire renoncer à placer un mot dans le dialogue passionné entre Gazonbleu et son père (Michèle Lacroix scribit) ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que tu es un dominant comme tous les mâles, donc un intégriste, un masculiniste revanchard, un facho dégénéré, un salopard qui s'ignore, etc. etc. (Michèle Dayras et son Klub S°S Sexizm scribunt) ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que tu es un violeur de fillettes puisque tu en as tout l'équipement physique (comme toute femme est une pute puisqu'elle a tout l'attirail nécessaire) ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que nous avions mille fois raison de te foutre à la porte de chez toi, et de confisquer tous tes biens, puisque tu es de trop dans le territoire de Gazonbleu, et que tu laisses bien savoir que tu lui obéis, mais que tu n'en penses pas moins ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que si tu couds, que si tu menuises, que si tu écris, que si tu répares, que si tu soudes, tu ponces, tu peins, tu maçonnes, tu bûcheronnes, tu sarcles, du délierres les arbres, que si tu berces, tu baignes et torches, que si tu nourris et protèges, alors t'es pas un vrai mec, qui serait riche, notable dominant, avec tout plein de territoires à me donner pour mon triomphe social à moi, et que j'ai rudement raison de te bazarder quand j'ai trouvé une vraie nana qui elle est riche et territoriale ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que l'erreur de jugement que fut de t'avoir choisi pour l'ambition de grimper dans l'échelle sociale, elle mérite ma vengeance sans pitié, et puis que ça va être du gâteau, car cet imbécile de Jacques, il n'est même pas foutu de se battre, et il n'est même pas foutu d'acheter autant de faux témoins que moi, et qu'il est tellement bête qu'il veut pas faire de faux, ni acheter le faux témoignages, voilà pourquoi j'ai rudement raison de charger le bouc émissaire de tous mes péchés, et de le chasser dans le désert en raflant tous ses biens... Kestatan pour l'avouer ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que ta retraite est minable et ne te permet pas de vivre ? Raison de plus pour te bannir de chez toi avant que les chiffres officiels n'en soient accessibles !

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que quand j'ai mon compte d'enfants, je n'en ai plus rien à foutre de l'hétérosexualité, et qu'un mari qui vieillit et dont la retraite sera minable n'est qu'une bouche inutile, un adulte surnuméraire qui porte atteinte à mon droit d'être le seul adulte de mon Château La Haine à moi que j'ai ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que l'inconscient est omniscient ? Kestatan pour avouer que tout escroqué était en profonde complicité avec l'escroc, que tout volé était en profonde complicité avec le voleur (ou la voleuse), et est donc le véritable coupable du vol qu'il a subi ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que moi Juge Zoreilles, injuge aux affaires antifamiliales, j'ai bien raison de condamner le rescapé et banni à payer rançon aux tueuses, pour prix de la vie sauve ?

M'enfin Monsieur Lavau ! Kévzattendez pour avouer que puisque nous sommes entre hypocrites, ce corps étranger de Monsieur Lavau, seul mâle et seul scientifique de l'Audience, est forcément le plus fourbe et le plus faux de nous toutes, et que s'il écrit comment est organisée notre campagne de calomnies, alors que ne dissimule-t-il pas ? Vous en êtes bien d'accord, injuge Zoreilles à nous que nous avons ?

M'enfin Jacques ! Kestatan pour avouer que c'est pure violence (Gazonbleu dixit, au TGI - Temple de Grande Inexactitude) si tu as enregistré l'entrée vociférante de Gonflebouffigues dans ta classe ? Kestatan pour avouer que c'est pure violence perverse de ta part si tu as couché par écrit comment tu as été jeté à terre par deux paumés, seize heures après qu'ils y ont été autorisés et couverts par le dit Gonflebouffigues, proviseur du L.P. des Catalins ?

M'enfin m'sieur Lavau, Kévzattendez pour culpabiliser, déprimer et vous effondrer ? V'voyez pas qu'on est tous contre vous (et j'en prends soin personnellement) ? Croyez-vous que vos élèves font le poids contre mes ordres de boycott des classes ? (Proviseur Gonflebouffigues déjà cité, oeuvres orales).
M'enfin ! Kestatan pour avouer que tes habitudes de rigueur scientifique, de doute systématique, d'exigence de fondements expérimentaux et de preuves expérimentales, sont un outrage au droit sacré des sectes les plus puissantes à régenter tout l'imaginaire et chaque détail de la vie de son prochain ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer que Nazional Femizm vaincra, et que tout réticent comme toi doit être vaporisé ?

M'enfin ! Kestatan pour avouer tout ce qu'il nous plaira de te dicter ?

Bon. Reprenons la communication privée comme au début. C’est certainement très louable de me presser d’avouer quelques torts diplomatiques, histoire de noircir la victime pour blanchir le gang des bourrelles - féminisme oblige. Je serai toutefois fort intéressé d’apprendre quelles furent tes démarches pour inciter le gang des tueuses à se reconnaître des torts, et de quelle réponse tu fus honorée, Suzanne.

J’ai été d’autant plus irrité de cette nouvelle agression à la victime pour blanchir les bourrelles, que cela s’ajoute aux nombreuses autres manœuvres de culpabilisation et de paralysie accumulées (féminisme fanatique oblige) par les deux autres destinataires de ce fameux courrier du 18 août 1997, où je prévenais que quelle que soit la mise en scène élaborée par le gang, grâce au huis clos de Château La Haine, éloigné de tout, mon cadavre ne sera jamais celui d’un suicidé, ni celui d’un accidenté accidentellement, bien celui d’un assassiné.

Rappels du cadre légal :

Article 221-3 NCP (Nouveau Code Pénal) : du meurtre avec préméditation.
Le meurtre commis avec préméditation constitue un assassinat. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.
Article 223-1 NCP : de la mise en danger d’autrui.
Le fait d’exposer directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement est puni d’un an d’emprisonnement et de 100 000 F d’amende.
Article 121-4 et 121-5 NCP : de la tentative de crime.
Art. 121-4 : Est auteur de l’infraction la personne qui :
1) Commet les faits incriminés
2) Tente de commettre un crime ou, dans les cas prévus par la loi, un délit.
Art. 121-5 : La tentative est constituée dès lors que, manifestée par un commencement d’exécution, elle n’a été suspendue ou n’a manqué son effet qu’en raison de circonstances indépendantes de la volonté de son auteur.
Article 121-7 NCP : de la complicité.
Est complice d’un crime ou d’un délit la personne qui sciemment, par aide ou assistance, en a facilité la préparation ou la consommation.
Est également complice la personne qui par don, promesse, menace, ordre, abus d’autorité ou de pouvoir aura provoqué à une infraction ou donné des instructions pour la commettre.

1 . 9 .     Et voici mes réponses personnelles :

Une fois pour toutes, bien sûr que j’ai des carences. Toutefois, dans cette affaire criminelle efficacement maquillée – tentatives successives de veuvage, et assignation d’une mission parricide à notre fille aînée - , les défauts qui me sont attribués par la criminelle en chèfe et par ses complices n’ont rien à voir avec les vrais : ceux qui sont prétendus, sont ceux qui se vendent le mieux, qui sont crus aveuglément sans preuve aucune. La présente monographie est consacrée à ce système de rumeurs calomniatrices organisées, et aux coupables défaillances dans l’appareil judiciaire, qui sont accueillantes et complaisantes à ces calomnies vénales.

C’est vrai : un souffre-douleurs ne s’intègre ni à un collectif de tortionnaires, ni à un collectif de lâches. Il ne partage aucune de leurs valeurs – peut-être certaines de leurs valeurs avouables, quoique pas ou peu pratiquées, mais aucune de leurs valeurs clandestines. Cela, les tortionnaires et les imposteurs me le reprocheront jusqu’à ma mort. Un souffre-douleurs n’éprouve aucune sympathie ni aucune complicité envers la cruauté sociale, ni envers l’hypocrisie sociale. Il éprouve bien sûr des quantités de sympathies pour des individus, mais ni pour leurs lâchetés, ni pour leurs méchancetés.

Pour un souffre-douleurs, la vie est une corvée sans intérêt. Il consacre une grande part de ses forces à lutter contre l’installation d’une dépression anaclitique majeure ; il lutte contre le désespoir, un désespoir d’animal traqué. Son sens du devoir est facile à exploiter : il a été dressé à espérer qu’à force de dévouement à mère, père et fratrie, peut-être lui lèvera-t-on une ou deux des interdictions d’exister qui pèsent sur lui. De ma vie entière, je n’ai su faire qu’une seule chose : être utile aux autres. Je n’ai jamais su revendiquer pour moi, ni planifier pour moi. L’égoïsme m’est haïssable (mais bien moins que l’imposture, moins que le sadisme, moins que le totalitarisme…). Je ne sais même pas avoir un territoire et y nidifier. Devenu adulte puis père, le souffre-douleurs ne sait vivre que pour les autres : pour son épouse, pour ses enfants, pour ses clients, pour ses élèves, et pour ses lecteurs s’il tente de devenir écrivain sur le tard. Le souffre-douleur n’a pas d’avenir pour lui-même. Il est obligé d’emprunter une idée d’avenir et un goût de vivre aux autres. En tant que père, c’est d’abord à mes enfants que j’ai emprunté le goût de vivre. C’est à leur besoin d’un avenir, que j’ai puisé les forces pour rebondir depuis les situations les plus désespérées. En échange de cet emprunt du goût à vivre, nous donnons sans compter.

Ayant particulièrement manqué des nourritures affectives de base, le dépressif majeur cherche le restant de sa vie la ou les personnes qui lui donneront cela. Il arrive même qu’il la rencontre, ce n’est pas impossible. Il peut surtout rencontrer des prédateurs, qui savent l’exploiter, puis le jeter quand ils en ont extrait ce qu’ils désiraient.

Aucun survivant des camps de la mort n’en a gardé quelque confiance en l’humanité. Le plus souvent, on a enjoint à ces survivants de se taire, de ne plus rien dire de ce qu’ils ont vu et vécu. Aucun torturé ne garde confiance en l’humanité. Il ne pourra commencer à revivre pleinement que s’il rencontre un psychothérapeute qui soit qualifié et compétent, qui lui donne des raisons de faire confiance à quelques personnes au moins. Et qu’en est-il du souffre-douleurs ? Les sévices furent moins graves – au moins dans mon cas – mais il était un enfant. Une amie a confié avoir été transportée par l’enthousiasme primitif et populaire qui a animé les foules lors d’une coupe du Monde de football : « Oh ! C’était comme la Révolution Française ! ». Cela, ce suivisme, c’est impensable pour un ancien souffre-douleurs : lui, il a appris par l’expérience que les belles unanimités sont là pour courir tous ensemble sus au bouc émissaire du jour. Toute unanimité, tout sentiment collectif est pour lui un signal d’alerte et de danger majeur.

Heureusement, il m’est resté la ressource d’être créatif. Heureusement, il m’est arrivé une fois dans ma carrière d’avoir un environnement professionnel qui m’apprenne à tirer le maximum de ce qui n’étaient encore que des inconvénients : ma lenteur et ma rébellion. J’ai appris à en faire des forces : de la créativité de trouveur, et de la profondeur. Là où les autres se précipitent à faire semblant d’avoir tout compris, j’ai appris à continuer à questionner jusqu’à ce que tout soit vérifié, et les contradictions mises en évidence.

Autres manoeuvres crapuleuses en famille : utiliser son gendre pour abattre sa fille.

Nous disposons de deux cas assez bien documentés.
Le cas inmaculada/Que_faire ?, détaillé sur le forum de SOS Papa.

Et Quand la Reine-Mère se vantait de protéger la criminalité féminine. Utiliser sa bru pour abattre son fils.
Et la Reine-Mère s'enfonçait dans son délire...
Et ce que j'en pensais : Mettre fin à la complaisance envers la criminalité organisée.

A suivre...

7 « Fécaliser » : traiter en merde son prochain.

8 Commencer par se renseigner sur le prix d’un tueur à gages, pour exécuter sans délai la condamnation à mort du témoin gênant. Une centaine de dollars à peine, dans les pays d’Amérique Centrale…



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