Le
faux témoignage de Michèle Lacroix, aux standards de fraude du
Féministan.
1 "Que d'outils
qui n'avaient jamais servi", prétend Michèle Lacroix.
Aujourdhui, on va s'en occuper, de son coup des "outils qui n'avaient jamais servi".
Il serait fort injuste de ne pas rappeler les calomnies écrites dans la
même veine par Annie Le Sénécal épouse Beaurain sous la dictée du même
couple mère-fille de tueuses conjurées, afin d'optimiser la jouissance
des JAFs et des avocates de même obédience misandre victimaire, en
notre Féministan judiciaire :
En règle générale, quand un meuble était
construit ou modifié à la
maison, c'est 100 % de mes mains qu'il sortait. Ainsi le buffet de
cuisine, le lit-canapé qui a commencé sa carrière au salon, puis comme
lit d'un de nos enfants, le lit-cage-à sortie-pour-enfant, les étagères
de salon, plusieurs enceintes acoustiques, des caissons à tiroirs
renforcés et pérennisés par mes soins, la table basse en sipo, etc.
La commode-table à langer n'aurait jamais tenu le temps dans l'humidité
de la salle de bains de Saint-Quentin. J'ai doublé le fond en résine
polyester, tous les bois et les fonds ont été traités. Ah wi, mais je
ne peux plus le prouver, puisque Geneviève a tout rafflé, ne me laissant, et très
très involontairement, que la vie...
1.2. Bureau et surmeuble, construits année
1973-1974 :
En règle générale, quand un meuble était construit ou modifié à la
maison, c'est 100 % de mes mains qu'il sortait.
Exception : ce petit bureau a pour l'essentiel été construit par
Geneviève à partir de deux tréteaux de niangon, terminé
par moi, et c'est moi qui ai fait le seul tiroir, dont la glissière n'a
jamais été achetée. Et c'est moi qui ai construit le surmeuble :
Le bureau lui-même, sans son tiroir :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Bon, la grande étagère du mur Est du salon à Saint-Quentin, de 220 cm
de large, elle aussi en lattes massives de sipo, je n'ai pas de photos,
c'est Geneviève qui l'a raflée comme presque tout le mobilier et les
biens du ménage.
Mais il y a les photos de ce que j'ai construit depuis.
1.3. Rampe d'escalier, rambarde, et étagère de
rambarde, 2001-2002 :
Quand je suis arrivé, aucune rampe à l'escalier, aucune rambarde à
la
mezzanine (c'était un appartement de canuts), j'ai trouvé que m'Amie
prenait là des risques inadmissibles, comme si elle cherchait
l'accident grave, d'autant que sa petite-fille grandirait vite. En
novembre j'ai fait d'abord la rampe, puis
la rambarde à Noël, plus tard une étagère basse adaptée à la rambarde
(étagère qui a déménagé, elle, et qui est toujours en service). Ce
qu'on résout
mal derrière est une diagonale, qui assure la stabilité transversale du
haut de rampe, sans dépendre de la cloison de plâtre. Vous la séparerez
mieux sur la photo suivante.
Et la rambarde et la rampe ensemble (là on sépare mieux la diagonale
transversale le long de la cloison, qui prend appui sur le poutrage de
plancher) :
La rambarde avec son étagère derrière, on devine la liaison à la poutre
au plafond, liaison responsable de l'essentiel de la raideur du
garde-fou :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
1.4. Travaux au jardin ouvrier des Eglantiers, versant
Nord-Ouest de
Fourvière
Outre les travaux de jardinage proprement dits, j'ai été sollicité pour
faire un couvre-compteur, pour protéger le compteur d'eau, pour coudre
une tente-moustiquaire pour la sieste du jeune petit-fils à l'abri des
guêpes, et pour renforcer puis repeindre le restanquage en acier et
bois : ces jardins sont sur des pentes non constructibles, et en lutte
constante contre l'érosion.
L'abri anti-guêpes en service :
Son montage :
et sa confection dans ma cuisne :
La restanque renforcée et repeinte :
Le couvre-compteur, relevé pour accès au robinet :
abaissé, protecteur,
Et son chantier sur mon balcon :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.5. Geneviève ayant raflé tous les meubles, j'ai
trouvé cette lingère
dans le local à ordures (liaisons détruites) et l'ai reconstruite avec
des équerres (1998) :
Le détail du haut,
Le détail du milieu :
Le détail du bas :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.6. L'armoire trois portes prévue pour autodestruction
rapide.
A 400 F, cette armoire particulièrement "cheap"
était tout juste dans mes moyens de très spolié par sa très
charmante épouse, grand pauvre de fait. Seulement, son socle était si
frêle et si fautivement conçu, qu'elle devait s'autodétruire
rapidement, dans les six mois. J'ai triplé la force du socle : doublé
ses parois latéales, ajouté une fondation de refend presque sous la
cloison de tiers, refermé le portage à l'arrière de la partie lingère.
Et ça change tout : quatorze ans après, cette armoire à très bon marché
est toujours solide à son nouveau poste.
J'ai triplé
aussi la force de la barre de penderie.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.7. Le socle des étagères de physique.
Il me manquait de la place, et les murs sont difficiles à repousser...
Alors les deux étagères de physique sont désormais sur un socle commun,
qui lui-même reçoit de la papeterie à l'intérieur, et les cartes IGN
dans l'intervalle. Le haut et les murailles sont en
pin massif. Le restant est de l'agglo plaqué de récupération (oui oui,
j'ai encore fait
les poubelles...).
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.8. Il a fallu ranger la bibliothèque de management et
créativité, et
celle
de psycho. Entièrement fait Lavau, avec des planches de pin.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.9. Diagonaliser ou contreventer des étagères trop bon
marché :
Une seule est photographiée, mais il y en a eu cinq comme cela.
Personne d'autre ne contrevente ainsi. Mon voisin de palier achète la
même à Castorama, la monte, la charge sur son balcon, et tout s'écroule.
Encore des "outils qui n'avaient
jamais
servi" ?
Hin hin !
Ah wi mais c'est pô juste ! Jacques
il a fait de la charpente navale et de la rdm ! C'est déloyal et c'est
pure
malveillance !
Un contreventement terminé, l'autre suivra le lendemain :
Ces deux là ont reçu de l'outillage, et qui sert beaucoup, au grand
désappointement de Michèle Lacroix, faux-témoin ordinaire, au standard
du Féministan judiciaire.
Celles en métal aussi ont été contreventées, et maintenant elles
tiennent la charge :
Geneviève avait généreusement rempli le C35 des étagères pliantes dont
elle ne voulait plus, sur la base de "Je
garde tout ce qui a du prix, je lui fourgue ce qui est moche et fragile".
Or elles tiennent mal la charge, et ont tendance
à plier latéralement.
J'y ai mis bon ordre avec des diagonales en tasseau de 13 x 24 mm :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.10. En septembre 1998, Carrefour Part-Dieu soldait du
mobilier, dont
ces étagères à roulettes.
Mais malgré des murailles fort épaisses, elles aussi prirent un air
penché. Allez, je taille et pose des diagonales (ici ce sont des
plinthes) !
Et maintenant c'est fiable.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.11. Des étagères à livres qui enjambent des radiateurs de
93 cm, ça
n'existe pas dans le commerce.
Qu'à cela ne tienne, je les fabrique (le plus hasardeux à mon âge a été
de
monter la feuille de contreplaqué par l'escalier) :
Ça été du travail :
Obtenir l'équerre :
La déformation en barillet est due à l'objectif. En réalité ces
murailles sont bien droites.
Poser les équerres de montage sur le pilier central :
Et une diagonale entre les pieds et ce pilier central :
C'est assemblé, traitement du bois à l'huile siccative :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.12. Deux autres étagères de pin massif ont été construites
encore, sur
mesure pour la place disponible :
L'une
en 140 mm de profondeur, la suivante en 195 mm. Là, pas de diagonale :
en 21 mm les étages tiennent bien l'équerre, et comme la profondeur est
réduite, les charges et les contraintes de flexion sont réduites.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.13. Et une étagère à chaussures, basse, d'un mètre de haut.
Fin en novembre 2013, une étagère à chaussures, à partir du stock de
lames de parquet déclassées, en 22 mm d'épais, et du reliquat de chutes
des étages d'un placard.
Deux photos à l'envers, durant la première passe de lasurage, face
basse, une photo à poste définitif et calée.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
1.14. Haute étagère à chaussures
Presque la même largeur, presque la même profondeur, mais deux mètres
de haut et neuf étages : 200 cm x 54 cm x 31,5 cm.
Là aussi les murailles, le pied et le plafond viennent du restant du
stock en lames de parquet, un peu plus larges que les précédentes. Le
contreplaqué d'équerrage vient des chutes des étagères qui enjambent
les radiateurs de 93 cm. Des lambris étaient en stock. Les planches
d'étages ont été achetées, à 6,50 € les deux mètres. Voici le travail
fini, en service :
Bôf ! Diront les outrecuidants, yaka
acheter ça dans le commerce, et basta
!
Non, vous ne trouvez pas dans le commerce, c'est sur mesures, ça tombe
pile poil dans l'espace disponible, ça a pile poil la profondeur
convenable, et c'est du bois massif partout (excepté le contreplaqué).
Dans le commerce vous trouverez de l'agglo, et aucune des dimensions ne
conviendra.
Après plusieurs découpes d'étages, le chantier avait pris plusieurs
mois de retard, en abandon devant d'autres priorités, et des ennuis de
santé fort handicapants.
Commencer par découper en quatre une lame de parquet, et l'assembler
pour en faire pied et casquette, avec quelques pièges pour obtenir que
ça veuille bien faire un plan, sans gauche, sans dièdre, sans galbe :
Puis découper et dresser au millimètre près tous les neuf étages.
Rabot, ponceuse, disqueuse, limes à bois, il en faut pour obtenir
l'équerre et la rectitude partout au millimètre, sans les moyens
industriels.
Puis assembler par collage les deux murailles de 2 mètres, après
plusieurs jours de préparations de détails, avec là encore plein de siouxantes pour coller plan, de gré
ou de force (de force surtout).
Puis on peut ébavurer la colle :
Après il faut traiter tous les bois, deux couches de saturateur sur
toutes les faces, en profitant de la bonne fenêtre météo :
Puis une page de calculs pour déterminer le plan de perçages, 36 trous,
36 avant-trous. Plus un rattrapage, pour cause de noeud qui part en
miettes.
L'assemblage final, avec ce qu'il faut de ruses pour obtenir
l'équerrage, au moins en haut et en bas (et tant pis pour une partie du
galbe irréductible d'une des deux murailles, il sera juste divisé par
deux.
Vue de la face avant, après assemblage :
De retour de l'hôpital, exténué, je commence par faire une sieste. Puis
je coupe assez de lambris pour finir de fermer le fond - par pour faire
de l'étanche, mais assez pour que jamais boue ni cirage n'aillent sur
la peinture blanche du couloir. Agrafes au cloueur électrique, pas
convainquant ; allez, le compresseur en route, l'agrafeur pneumatique
gréé et chargé, et là ça ne traîne plus.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
Et allez ! Il faut recommencer avec une couche de saturateur. Puis
pressé par le temps, la seconde couche est un gel acrylique. Grâce à la
première couche de saturateur, non il ne fait pas trop rebiquer les
fibres du bois.
A présent, l'étagère complète pèse 29 kg. Une bonne charge à
manutentionner pour un septuagénaire...
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
Il ne reste plus qu'à désassembler et remonter sur le plan optimal
l'étagère intérimaire, en fil de fer et film plastique, qui avait
rempli la fonction durant environ un an, pour pouvoir la réaffecter.
Et, et ?
1.15. Cadres à roulettes pour étagères à charges lourdes.
A 40 roros, puis à 35 roros, les étagères pour charges lourdes vendues
par surprise deux fois par an par Lidl sont une bonne affaire, sauf sur
un point : les panneaux d'aggloméré sont de qualité inférieure, et
exigent deux (voire trois) couches de peinture ou de lasure sur les six
faces, avant de pouvoir prendre leur service, et ces couches et leur
séchage complet dévorent un temps précieux, de l'ordre de deux
semaines, par beau temps, ou en local abrité quoiqu'aéré.
La dernière n'a été montée qu'en demi-hauteur, deux exemplaires. L'un à
l'atelier a bientôt reçu le compresseur, quand il a fallu décider à
toute vitesse de cet investissement audacieux, l'autre devant la
penderie principale de l'entrée, permettait de résorber les principaux
cartons restants du déménagement. Mais ça n'était guère déplaçable. Une
autre étagère ainsi posée en catastrophe dans le bureau m'a dissimulé
durant plusieurs mois les dossiers vitaux pour la réouverture du
dossier pénal du gang dirigé par ma très charmante ex-épouse. Comme
dans les bibliothèques universitaires, des roulettes s'imposent, pour
déplacer aisément ces solides étagères. A ce jour (fin septembre 2014)
un seul cadre à roulettes est réalisé, en une soirée et une journée.
D'abord scier trois équerres, respectivement à 46 cm et 92,5 cm. Puis
deux plats pour faire les diagonales que vont porter la 4e vis de
chaque roulette. Assembler à l'équerre, puis percer :
Un seul incident : je casse un foret de 2 mm. Après quoi, tous les
avant-trous seront en 2,5 ou 3 mm.
Vérifier qu'il n'y a aucune erreur, que tout s'assemble :
Piège : les roulettes ne peuvent pivoter avec ces vis de 30 mm. Il faut
foncer chez Leroy-Merlin acheter des vis de 5 x 20 mm, et même ainsi,
il faudra multiplier les ruses de rondelles voire d'écrou entier, pour
laisser la place de la rotation à ces roulettes, surtout les deux avec
frein, les plus piégeuses.
Tant qu'à faire, la totalité des vis de 30 mm utilisées le temps de
l'équerrage sont remplacées par des vis de 20 mm. Autant de blessures
en moins pour qui a à glisser sa main sous le meuble.
Et voilà le résultat, une étagère mobile :
A l'arrière-plan, on retrouve l'étagère haute à chaussures, terminée un
peu plus tôt dans la même semaine.
L'inspectrice des travaux finis reproche alors qu'il manque une planche
sur le fond.
Je retrouve deux chutes de panneaux d'agglos. Trois coupes à la scie
circulaire, huit coupes à la scie à main, et voilà :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
A suivre, il faut encore en réaliser deux autres, avec des roulettes
plus fortes, calibre 200 kg sous le compresseur. Il est inadmissible
que j'aie autant de mal à atteindre mes outils. Il est inadmissible que
l'accès soit gêné aux dossiers pénaux du gang des tueuses conjurées.
Voilà qui est fait, le grand cadre à grosses roulettes est réalisé et à
poste. Sa réalisation en un peu plus de la journée :
Les perçages sont à 6 mm, cette fois.
On présente la première diagonale qui portera une des quatre vis de
platines de roulettes.
Voici une diagonale à son poste :
3 diagonales à poste, à présent :
Grand cadre terminé :
Manutentions : vider intégralement la grosse et forte étagère, appel au
voisin, et voilà, à quatre bras c'est à poste :
Si si, c'est bien le dossier pénal pour violation caractérisée de
l'article 441-7 NCP.
Détails, côté roue orientable :
Détails, côté roue fixe :
A suivre, pour le cadre à roulettes dans l'atelier.
1.16. Mécanique et couture.
Et je ne détaille pas les autres créations en mécanique, ski, pulka,
kayak, coutures, qui sont publiques par d'autres moyens :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php?board=52.0
Ça, par exemple, chasuble de pluie, un prototype pour savoir ce que
vaut la formule :
Ou un harnais pour pulka :
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
Sur Usenet, les féminazies de fr.soc.féminisme nient la réalité à leur
habitude, en s'exclamant bruyamment que "Ils sont moches tes meubles, et un enfant
de six ans avec deux mains gauches ferait mieux !".
Alors on poursuit avec les soudures à l'arc. Les unes dans mon garage
pour renforcer des cornières tellement faibles que plus de quarante
cinq garages du sous-sol ont déjà été fracturés.
Les autres soudures pour construire une butée de quille, butée avant,
qui travaille fort en cas de coup de frein.
Là, pour poser ce boulon, il fallait percer à 20 mm dans du plat de 10
mm. Que celui qui avait déjà l'outillage dans son atelier lève la main.
Là j'ai dû faire ça au trépan HSS. Non je n'ai plus la perceuse à
colonne puissante qui aurait pu forer avec un foret, celle-là fait
partie du hold-up perpétré par ma très charmante ex-épouse en juin 1998.
Ensuite il fallait garantir mon travail contre le vol, par des pêcheurs
qui s'équipent bon marché en pillant chez nous. D'où la soudure de la
tête de boulon, et la soudure générale de l'assemblage de butée, telle
que je puisse translater la butée longitudinalement si nécessaire, mais
qu'aucun voleur ne puisse réutiliser facilement des éléments, en
particulier le rouleau. Ils volent volontiers les rouleaux, nous en
savons quelque chose.
Oui, quatre étriers de fixation. Le premier proverbe marin demeure que
"Trop fort n'a jamais manqué".
Les critiques impénitents critiqueront que les soudures sont
manifestement faites par un débutant. Le marin sait tout faire,
virgule, mal. Le plaisancier sait presque tout faire, virgule, encore
plus mal.
Je ne crois pas que même les plus misandres des féminazies qui ont la
cruauté d'être mères, obligeraient des "enfants de six ans"
à souder à l'arc, sous prétexte que ce salaud d'enfant est un mâle, et
que les mâles, faut tous les exterminer par tous moyens.
Des "outils qui n'avaient jamais
servi" ?
Hin hin !
2.
Rappelons le couplet des
Trompettes
de la calomnie,
consacré à Michèle Lacroix :
« Gen’viève
avec
son père, voilà le vrai mariage !
Dialogue
passionné, et Jacques n’y place mot.
Il a lu bien trop d’livres, hors de mon pré
carré !
Des trucs que j’connais pas ! Pourtant j’suis prof
d’anglais !
J’peux
pas trouver un homme, que’j’guid’au
doigt, à l’œil,
Qui suive mes maximes, qui croive à mon dieu.
Non Jacq’ne fait pas l’affaire, il est trop
autonome.
S’il emballe ses outils, ça prouve
qu’ils
n’servaient pas !
Trompettes
de
la calomnie,
Vous êtes bien
femmes de haine !»
Donnons au lecteur le fin mot
de l'affaire, concernant
l'élimination de votre serviteur de toutes les
décisions
: de juillet 1995 à Pâques 1996, à
l'occasion de
premiers voyages avec le C35 pour un déménagement
préliminaire vers un HLM dans la ville de
« Nagoumari »
(Montélimar en réalité), votre serviteur
avait eu le temps de remarquer que notre
déménagement, vu le bordel monstre que tous deux,
fourmis ayant peur de manquer, avions accumulé,
dépassait
largement nos seules forces physiques, et qu'il fallait
réserver
les services de déménageurs professionnels.
Gazonbleu,
en bonne avaricieuse, avait refusé net, s'était
réservé toutes les décisions, avait
refusé
de prendre des décisions à temps, à
cause du
coût. Elle
avait fini par ne réserver qu'un camion de 45
mètres
cubes, largement insuffisant. Cela, elle ne s'en est pas
vantée... On déverse donc sur le bouc
émissaire toutes les responsabilités qui
n'appartiennent qu'à la chèfe de guerre.
Durant ce mois d'août
1996, j'ai
donc fait un ou deux voyages supplémentaires en solitaire
avec
le C35 : 750 km à chaque fois, de Saint-Quentin à
hmm...
"Canas" (les habitants de
Canas s'appellent les canassons, puisque les habitants de Savasse sont
les savassons). Les pneus étaient tellement chargés
que
je
devais les gonfler au maximum pour limiter leur surchauffe, et j'ai
dû en changer un d'urgence à sept heures du soir
à
l'entrée de Reims : il se prenait une hernie,
l'éclatement était
proche. Pour le déchargement en solitaire à
l'arrivée, heureusement que j'avais fabriqué un
chariot
de fortune, déjà lors du premier
déménagement en 1995, vers "Nagoumari" (Montélimar).
Des preuves de mes
problèmes articulaires ? Ah, évidemment que
Gazonbleu a fait
main
basse sur toutes mes radiographies et tous mes dossiers
médicaux,
et les a fait disparaître...
Héhéhé ! On
n'est pas criminelle organisée pour rien !
Résultat : je ne
puis plus prouver qu'en 1996, donc
à
52 ans, je souffrais depuis de longues années
déjà
de douleurs persistantes dans les vertèbres lombaires et les
hautes dorsales, avec becs de perroquets, ainsi que dans les
articulations des coudes, des poignets, des épaules, et des
genoux. Voici le seul certificat médical transmis
après
coup.
Reprenons avec les
affabulations de Michèle Lacroix « Il
était en contemplation devant des bocaux »
Elle
y était ? Elle l'a vu ? Michèle Lacroix n'est jamais
entrée
chez nous. Cela n'aurait pas cadré avec son
scénario.
Voici, vu par le
délire méprisant de Michèle Lacroix, la
description de 4 traverses de chêne, de 14 x 14 x 65 cm, que
nous avions volées en septembre 1972, sur le port de
Granville. Les premiers temps, ces larcins supportaient un
canapé
primitif, que j'ai ensuite transformé en un vrai lit, en
fabriquant deux
coffres de rangement en dessous. Début juillet 1975, ces
larcins servirent à surélever le petit frigo. En
effet,
notre première née, alors
âgée de juste
six mois, escaladait le frigo depuis sa chaise haute. J'ai mis deux
traverses de chêne en dessous, et... et
Frédégonde,
enchantée du défi, escalada deux fois plus vite !
Bon,
alors j'ai mis les quatre traverses, et
découragée par
les 28 cm de plus, Frédégonde finit par renoncer
aux
joies de l'escalade.
Fourmis ayant peur de manquer,
élevés
par des
familles ayant connu la guerre, nous avions encore ces traverses dans
un coin du grenier. Et maintenant, lisons Michèle Lacroix :
Et voilà le fantasme
: « Il
a fallu qu'il me
le donne tout scié,
alors que,
etc.. » Mais
bon, pas grave, hein ! C'est bien assez bon pour pour la justice ! Bien
entendu, quand des bois viennent d'être sciés, il
y a
des traces de sciage, des faces fraîchement
sciées.
Or ces
traverses avaient été
créosotées en 1973. Il aurait suffit
d'un coup d'oeil pour démentir le
fantasme du sciage.
Oh, mais au fait ? On scie avec
des outils ? Avec une scie ?
Me gourre-je ? Parce que la même Michèle Lacroix, qui n'est jamais,
jamais entrée chez nous, affirme avec une belle conviction,
comme si elle y avait été :
Mais elle n'en est plus à une contradiction près
: Michèle Lacroix accuse d'être simultanément
collectionneur d'outils qui n'avaient
jamais servi,
et utilisateur intempestif d'outils élémentaires pour des
tâches inutiles - et d'ailleurs inexistantes... mais bôf,
c'est bien assez bon pour la justice, cela...
Michèle Lacroix va vous faire croire
dans le paragraphe suivant,
qu'elle a vu simultanément
moi-même, et mes deux
filles, et cela donc durant le mois d'août 1996, à
Saint-Quentin. C'est bien sûr un mensonge
éhonté, mais pas grave, hein ! C'est bien assez
bon pour la justice ! Notre cadette avait rejoint sa
grand-mère au Brusc dès la fin des classes,
directement depuis "Nagoumari" (Montélimar). Quant à
l'aînée, sitôt son contrat de
baby-sitting terminé, elle a immédiatement pris
le train pour rejoindre sa grand-mère et sa cadette
à l'autre bout de la France, nous laissant sur les bras la
totalité de son bordélique bordel,
entassé au salon. Or Frédégonde
n'avait prévu aucun logement où que ce soit,
aucun déménagement vers aucun lieu. Rien, aucun
plan, aucune organisation, excepté le parasitisme
à l'extrême. Nous avons appris en octobre 1996
qu'elle était enceinte depuis juin. Père inconnu.
Il a fallu solliciter mon ami
Pierre C..rt..s, radio-amateur
1BJR, pour stocker chez lui le boxon de
Frédégonde, afin de pouvoir faire les emballages
et les travaux. Je suis ensuite allé seul à
Noël récupérer tout cela chez Pierre,
puisqu'entre temps, après avoir parasité sa
grand-mère à paris,
Frédégonde avait fini par atterrir chez nous,
à "Canas" (Savasse). En 1996, Michèle Lacroix n'avait que le plus
profond
mépris pour le parasitisme de
Frédégonde. Observez maintenant son revirement,
par complaisance misandre :
Et voilà le travail
! Alors ? Quand l'ont-elles donc
composé, ce roman ? A Noël 1997, lorsque mon
épouse a emmené nos enfants et mon petit-fils
à Saint-Quentin, pour aller acheter des faux
témoins, et faire taire les témoins à
décharge. Les conjurées ont usé
d'abondance du charme de mon petit-fils.
Voici maintenant la
transformation de l'histoire de la cuisinière à
charbon, pour les besoins de la chasse au bouc émissaire.
Cette cuisinière de fonte
émaillée était un fort lourd
monument, une Arthur Martin, que Gazonbleu avait tenu à
prendre au décès de sa grand-mère, en
1981. Lourde, mais trop petite : elle ne tenait pas la nuit. Elle a
donc encombré notre cuisine jusqu'après notre
départ en 1995, n'ayant servi qu'un seul hiver. En 1996,
Gazon a bien dû se rendre compte qu'elle ne voulait pas
l'emmener à Savasse, sans pour autant être capable
de se résoudre à la donner aux Emmaüs...
C'est que pour une avaricieuse, donner
est le pire des péchés... C'est donc Michèle Lacroix qui
fut la victime désignée pour donner la
cuisinière aux dits Emmaüs, à la place
de Gazonbleu, et en attendant, de la stocker dans un
appentis. C'est moi qui ai fait seul le dernier
voyage, en février 1997 avec le C35, pour finir
de débarrasser les derniers amis que nous avions
encombrés de nos indécisions de fourmis ayant
peur de manquer. Voici maintenant comment elle raconte la chose :
Pour faire d'une phrase
énonciatrice simple un mensonge, il y a de
nombreux procédés courants :
- Truander sur le
groupe sujet : changer de sujet, permuter sujet et objet de l'action,
changer genre et/ou nombre du sujet.
- Truander sur le
quantificateur, existentiel, universel, ou négatif.
- Truander sur le verbe
d'action ou d'état.
- Truander sur le sens positif
ou négatif, sur la réflexivité
éventuelle du verbe.
- Truander sur le temps de
l'action, le temps du verbe,
- Truander sur le lieu.
- Truander sur les moyens.
- Truander sur les
auxiliaires, protagonistes et témoins de l'action.
- Truander sur l'objet de
l'action.
Un variante courante consiste à permuter sujet et objet de
l'action.
Ici ce que les conjurées ont dicté à Michèle Lacroix, est de truander
sur le sujet des actions : tout ce qui est en
réalité dû à mon
épouse est déversé sur les cornes du
bouc émissaire. Et comme il faut un minimum de 15 lignes
pour réfuter un mensonge, tandis que vous
pouvez glisser
en moyenne trois mensonges par phrase, la lutte contre le mensonge
organisé est fort inégale.
Ça se passe comme ça, tous les jours au Féministan judiciaire...
Il reste une question : pourquoi toute cette haine à mon
égard ? Et je ne vous en ai donné que des
extraits.
3. Les mobiles de ces faussaires.
La haine de Michèle Lacroix est plus
délicate à comprendre que celle de Simone Sarfati, et repose bien plus
profondément sur la confusion mentale : confusion entre les
générations en premier, entre les gens ensuite,
entre l'extérieur et l'intérieur. Enfin,
l'explication est largement sociale : Michèle Lacroix a changé les
faits, et adopté le mensonge dicté, pour
rester dans l'illusion groupale "féministe",
c'est
à dire en réalité misandre. A
mépriser et calomnier les boucs émissaires, elles
se rehaussent à leurs propres yeux.
Imposteuse ? Oui, elle aussi. Michèle Lacroix multiplie les gestes
ostensatoires de "charité
chrétienne", et
les signes sentencieux, les pannonceaux sentencieux dans sa maison.
Toutefois quand on la lit, et vous la lirez intégralement
dans l'annexe qui suit, on constate que ce discours chrétien
n'est que du plaqué, du cache-haine sur un fond de
pensée manichéen, où elle se pense
appartenir aux Bons,
ayant le privilège de fustiger les Zautres, tous méchants.
Michèle Lacroix s'inscrit pleinement
dans la guerre sexiste et ses mensonges sont parfaitement dans la ligne
du parti Féminazi, parfaitement dans la norme du Féministan judiciaire.
Son cas relève donc de
l'ethnopsychiatrie : il y a eu négociations constantes entre
les délires individuels de Michèle Lacroix, et ceux de ses groupes
d'appartenance, qui lui ont fourni autant de
références hasardeuses, dans lesquelles elle
s'habille pour être au goût du jour et se faire
prendre pour ce qu'elle n'est pas..
C'est la fraude standard !
Cela peut se chanter sur une
musique de Pierre Degeyter :
C'est la fraude standard !
Groupons-nous, ou sinon
Le féminazisme, tuera le genre humain !
Annexe : texte complet de Michèle Lacroix.
Seconde annexe,
7 juin 2013, qui explique comment le gang des tueuses conjurées a
implanté ces faux souvenirs dans la tête de Michèle Lacroix :
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/06/05/des-chercheurs-creent-de-faux-souvenirs-de-guerre-chez-des-soldats/
Des chercheurs créent de faux souvenirs de
guerre chez des soldats
"Je me souviens que mon oncle avait
une 11 CV immatriculée 7070 RL2." "Je me souviens que j'adorais Le
Bal des sirènes avec Esther Williams et Red Skelton, mais que
j'ai été horriblement déçu quand je l'ai revu." "Je me souviens que
j'étais abonné à un Club du Livre et que le premier livre que j'ai
acheté chez eux était Bourlinguer de Blaise Cendrars." Dans
son célèbre Je me souviens, Georges
Perec recense ces petits riens – des noms, des détails et
des anecdotes – qui ont peuplé son enfance et sa jeunesse et font
germer des graines de nostalgie. Des fragments d'une époque révolue,
qui, à leur manière, l'ont un peu façonné tel qu'il est. Mais, sans
vouloir jouer les iconoclastes, on peut se demander lesquels de ces
souvenirs sont réels, correspondent à l'expérience de l'homme Perec, et
combien sont faux, ont été induits par d'autres au point que l'écrivain
les a inconsciemment rendus siens, sans avoir vécu lui-même les
événements dont ils sont issus.
Spectaculairement mis en lumière par des affaires
judiciaires dans lesquels des faits imaginaires de maltraitance voire
de pédophilie ont été implantés dans le cerveau d'enfants mais aussi
d'adultes, le phénomène des faux souvenirs s'avère d'autant plus
troublant que chacun d'entre nous a tendance à faire confiance à sa
mémoire, surtout quand les détails lui reviennent de manière
particulièrement vivante et imagée. Pourtant, aussi étonnant que cela
paraisse, cela ne garantit pas que nous ayons réellement expérimenté ce
que nous nous rappelons et, depuis des décennies, les
dysfonctionnements mnésiques qui facilitent l'incorporation dans nos
souvenirs de fausses informations sont
étudiés par des psychologues, notamment par l'Américaine Elizabeth
Loftus.
De nombreux tests ont déjà été réalisés par le
passé mais le dernier en date, publié
en mai dans le European
Journal of Psychotraumatology, est assez impressionnant. Il a
été réalisé par des chercheurs de l'université d'Utrecht (Pays-Bas) sur
un contingent de soldats néerlandais qui, en 2009-2010, avaient été
envoyés en mission en Afghanistan pour quatre mois. L'objectif premier
de ces psychologues consistait à étudier les facteurs favorisant
l'apparition et la guérison des troubles de stress post-traumatique,
que l'on retrouve fréquemment chez les militaires revenant de zones de
combat. Mais les chercheurs ont "profité" de ce cadre pour mener, en
parallèle, une expérience sur les faux souvenirs.
Les soldats (qui avaient été vus une première fois
avant de partir en Afghanistan) ont été invités à un "débriefing" deux
mois après leur retour. Il s'agissait d'évaluer le degré d'exposition
au stress et au danger auquel ils s'estimaient avoir été soumis sur le
terrain. Au cours de l'entretien, les expérimentateurs glissaient une
fausse information concernant un événement qui ne s'était pas produit
mais aurait plausiblement pu arriver : ils décrivaient une attaque à la
roquette du camp la veille du Nouvel An, attaque sans conséquences ni
blessés. Quelques détails étaient apportés sur le bruit de l'explosion
et les graviers que celle-ci avait projetés, à la fois pour renforcer
la crédibilité de l'histoire et pour donner des éléments permettant de
l'imaginer. Evidemment, personne ne s'en souvenait.
Sept mois plus tard, les quelque deux cents
militaires ont de nouveau été testés. Et là, surprise : 26 %, plus d'un
quart d'entre eux, ont assuré avoir été présents lors de l'attaque à la
roquette de la Saint-Sylvestre. Selon l'étude, le faux souvenir
s'était, en moyenne, installé plus aisément chez les soldats ayant le
plus souffert du stress sur le terrain et étant le plus en état
d'alerte ainsi que chez les individus ayant le moins bien réussi les
tests cognitifs. Dans le premier cas, le stockage de faux souvenirs
peut être dû à la facilité avec laquelle les personnes stressées se
fabriquent des images et des scénarios. Dans le second, le phénomène
peut s'expliquer plus simplement, par une moins bonne précision du
processus de mémorisation. Même si les résultats s'inscrivent dans la
lignée des travaux précédents sur le sujet, l'étude sort du lot pour
plusieurs raisons : d'une part, il ne s'agit pas d'une expérience en
laboratoire, contrairement à ce qui se fait le plus souvent, et,
d'autre part, l'intervalle de temps entre l'implantation du faux
souvenir et sa résurgence est nettement plus long qu'à l'ordinaire.
Enfin, la facilité avec laquelle les chercheurs ont pu créer un
souvenir de guerre factice chez des soldats de métier ne laisse pas de
surprendre et souligne le caractère grandement malléable du cerveau.
Avec sa nouvelle Souvenirs à vendre, qui a inspiré les
films Total Recall, Philip K. Dick n'était pas loin
de la réalité...
Pierre Barthélémy
Fin de citation
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/06/05/des-chercheurs-creent-de-faux-souvenirs-de-guerre-chez-des-soldats/
Voilà : Michèle Lacroix était complaisante
aux faux souvenirs que lui ont dictés le gang des tueuses conjurées,
car ils flagornaient ses préjugés misandres victimaires.