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Accueil > Littérature & Poésie > Trompettes de la calomnie !
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Avenger72

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MessagePosté le: 30 Mai 2004 19:46 Répondre en citant

...

Dernière édition par Avenger72 le 10 Aoû 2004 10:09; édité 1 fois
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bachi

Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 508

MessagePosté le: 30 Mai 2004 20:10 Répondre en citant

Alie Boron a écrit:
DROIT DE REPONSE.

Je demande aux webmasters de paternet et de forumquebec un droit de réponse car depuis plusieurs années je suis diffamée, insultée par un énergumène qui ne me pardonne pas d’avoir écrit, dans le cadre de son divorce, une attestation racontant ce que j’ai vu pendant près de vingt ans. Depuis j’ai droit à ses élucubrations sur plusieurs sites internet sous différents pseudos et sous son nom: sur forumquebec (Synapse), sur paternet (Saint-Thèse) , sur son site personnel (genevrier) et sur fr.sci.psychologie (St-Juste) et je ne parle pas de ses abondants courriers dont une partie m’est revenue ni de ses « mémoires » qu’il publie aussi sur internet !
Pour ce qui est de l’attestation, il a porté plainte pour « faits matériellement inexacts »et apportait la preuve …que j’avais sous-évalué la distance séparant nos maisons à l’époque où nous habitions la même ville de 150 mètres ! Sa plainte s’est bien sûr soldée par un non lieu, « ce dont (il) ne se remet pas depuis décembre 2002 » considérant que c’est « un déni de justice » Pour tout ce que j’ai écrit alors, j’ai fourni les preuves de ce que j’affirmais, parfois les écrits extraits des « mémoires » version 1999de Jacques lui-même .Il continue cependant à m’accuser de faux témoignage. D’ailleurs tout témoignage qui ne lui est pas favorable est, d’après lui ,un faux , même ceux de ses enfants qui ne font que raconter ce qu’ils ont vécu.
- pour montrer comment il gaspillait l’argent de sa femme je donne deux exemples :
° un bateau, ou plus exactement du bois pour construire ce bateau : c’était du très beau bois, très cher, il explique le bois utilisé p18/B de ses mémoires ; p20/B il dit que ce bois avait été acheté avec « le salaire d’IPESSiène de ( son épouse). », bien sûr le bateau ne fut jamais construit. Après, il fut acheté une camionnette (un C35 Citroën), plus chère à l’achat qu’une voiture, plus chère à assurer, qui devait être transformée en camping-car à l’aide de ce bois…. Ce qui n’arriva jamais. La camionnette est partie chez le ferrailleur très longtemps après.
° ce que j’ai appelé une petite pelleteuse (dont il avait besoin pour ses « recherches » sur une brique miracle), dont bien sûr il nie l’existence : cet objet était un « groupe à vide de laboratoire type
PZVM 8b » d’après la société propriétaire ( H. G & Co) qui la réclame dans un courrier du 3 Juin1 988 et le menace de poursuites judiciaires. Après avoir pinaillé sur les distances J. pinaille sur les mots. Il l’avait achetée sans s’assurer que le vendeur en était réellement propriétaire et dû la restituer sans être remboursé (environ un mois de salaire de son épouse).
-pour montrer sa violence, je parle de deux scènes auxquelles j’ai assisté :
° l’une où je l’ai vu battre violemment Frédégonde . Il dit que ce n’est pas possible car à cette époque il était en Bretagne. Bien sûr il y a passé dix neuf mois , mais pas sans revenir régulièrement chez lui !
° l’autre où il a agressé verbalement ma fille, chez moi, sur un ton très menaçant. Ce jour-là ma chienne,comprenant que sa maîtresse était en danger, s’est placée entre - eux ,poil hirsute, babines retroussées en position d’attaque, n’attendant que l’ ordre d’attaquer ( c’était un boxer dressé à la défense par le maître-chien de la gendarmerie qui faisait son travail).Je pense, que sans la chienne il aurait frappé ma fille, ce fut aussi l’impression de mon gamin qui avait alors huit ans et qui s’en souvient encore tant il a eu peur pour sa soeur. Bien sûr, je ne l’ai plus jamais autorisé à rentrer en l’absence de mon mari . Il est outré que j’ai pu insinuer qu’il eût eu peur du chien. Un homme comme lui n’a pas peur des chiens !
Il a aussi déposé plainte pour « tentative d’assassinat par sabotage du frein de son véhicule » contre son épouse, sa fille aînée et moi-même. Plainte classée sans suite évidemment quand on sait que « le véhicule » en question est un vélo dont le frein avant cassé, mais il continue de nous accuser de tentative d’assassinat. Voici ce qui c’est passé :il avait récupéré différentes affaires chez sa future ex-épouse dont un vieux vélo bon pour la ferraille ... En quittant la maison sur ce vieux clou mal entretenu il devait rouler sur un chemin privé caillouteux, plein d’ornières pour atteindre la route… et s’est cassé la g…De là à nous accuser d’avoir saboter le vélo il n’y a qu’un pas que J. n’ hésite à franchir car, il n’est pour lui pas envisageable qu’il soit tout simplement tombé. Il semblerait que la vis maintenant le frein avant ait sauté . Pour lui, si la vis est tombée, c’est qu’une main malveillante était intervenue (pourquoi n’a-t-il pas utiliser le frein arrière ? Utiliser le frein avant seul est le meilleur moyen de passer par dessus le guidon) et puis, un homme comme lui, ne peut pas non plus , tomber de vélo….Je lui conseille de mettre des stabilisateurs, ça évitera les chutes qui, à son âge peuvent être graves. Il est arrivé le week-end dernier une mésaventure comparable à G.W.Busch, les médias du monde entier rigolent, mais personne n’accuse son épouse, la CIA ou Ben Laden d’avoir voulu l’assassiner!
Il se présente comme un homme qui adore ses enfants qu’il ne peut plus voir car « (ils) sont victimes du SAP » (enfants aujourd’hui âgés de 29,25 et 18 ans, deux étaient majeurs au début du divorce).Voici trois passages qui montrent combien il a toujours « aimé » ses enfants : dans sa lettre du 5 février 1993 (Frédégonde a alors18 ans, mais la mort de la tante remonte a environ six ans) aux Até, Jacques a écrit : « La nuit où tante Berthe est morte, je fus bien persuadé qu’il s’agissait de Frédégonde qui agonisait. Bon pas encore. » … Le 3.01.2004, sur Forumquebec, il a écrit : « …ma fille aînée, qui reste la plus grande honte de ma vie. ».Dans sa lettre du 28.4.2002, il écrit à sa plus jeune fille « Audowere » pour son anniversaire : « Dans trois jours tu auras 16 ans. C’est toujours un plaisir si intense, que d’écrire et d’envoyer des cadeaux à ses ennemies mortelles que l’encre fige (…) »… Sans commentaires….
Je suis aussi ,d’après lui, une malade mentale responsable de tous ses malheurs :« La personne la plus atteinte est notre fille Frédégonde : elle a longtemps été manipulée comme engin de dénigrement et de violence par (moi) » Ailleurs Jacques écrit : « Ali Boron avait besoin de Frédégonde pour se faire valoir » ! ! !Je suis aussi « une voisine jeteuse de sorts, en termes plus savant psychopathe (ailleurs particulièrement perverse) » Mais il faut savoir que je ne suis pas la seule malade mentale dans son entourage : il y eu Erre, sa petite amie du temps du club Méd dans les années 60 p5/B , Firefly la petite amie qu’il eu à Villeurbanne p33/D, avant même la tentative de conciliation, l’instituteur de CM2 de sa fille p8O/M, sa future ex-épouse, sa fille aînée , le principal adjoint d’un collège où il fit un stage en Juin 2001et ceux que j ‘oublie. Tous sont des malades mentaux en particulier les femmes! Pour lui les femmes sont « des tortionnaires qui maltraitent conjoint et enfants en réponse à la propre maltraitance qu’elles ont subi de leur propre mère » ! Moi, « c’est encore plus pervers, car (j’ai) exporté dans (sa) propre famille (mon) plan de mort. » ! Il explique ma folie en inventant que ma mère aurait exigé que je me fasse avorter car le papa de mon enfant, ne lui convenait pas. Une mise au point me paraît indispensable :
° ma fille, qui a aujourd’hui, 33 ans a été conçue le soir de nos fiançailles, en septembre 1970, grande fête qui réunit nos deux familles (une trentaine de personnes). Au mois d’Août, mes parents nous avaient emmener présenter mon fiançé aux cousins de Normandie, à l’oncle des Charentes, à mon parrain du midi. Ce n’est pas la façon d’agir quand on est opposé au choix de sa fille !
° Le mariage était prévu pour Juin, évidemment il eu lieu plus tôt (le 14 Novembre). Ce fut une grande fête avec une centaine d ‘invités …Quelques jours avant mon père était revenu du centre ville en poussant le landau qu’il venait d’acheter, le plus beau qu’il avait trouvé dans toute la ville…
° De plus en 1970, l’avortement était un crime passible de la cours d’assise (la contraception, elle, n’était autorisée que depuis un an). Cela se passait dans des conditions épouvantables chez des « faiseuses d’anges», les mères en sortaient rarement indemnes. Jamais ma mère n’aurait voulu que je subisse ça !
° Enfin, nous sommes catholiques et la religion catholique interdit ce genre de pratique.
Il considère que je suis responsable des échecs scolaires de ses deux aînés . Le 10.10 .2003, il écrit à son fils :« Tu as donc parfaitement exécuté le plan de destruction manigancé par Alie Boron qui triomphe ainsi dans sa joie de nuire à son prochain, de calomnier son prochain… Alie Boron qui avait implanter cette idée d’échec professionnel maximal dans la tête de Frédégonde qui t’a contaminé aussitôt. » Explication : en 1995 Frédégonde terminait sa troisième première année universitaire, seule à « Sottenville » car ses parents étaient partis à l’autre bout de la France . Je lui conseillais de s’orienter à la rentrée vers un BTS en alternance car les autres portes se fermaient, solution apportant une formation reconnue, une expérience professionnelle appréciée des employeurs et un petit revenu .
Maintenant je pose une question : qui fut vraiment responsable de l’échec de ces jeunes : moi, ou l’exemple paternel ? Ces enfants ont toujours connu leur père poursuivant des études… C’est ainsi qu’en 2001 il a terminé ses études de physique commencées quelques décennies plus tôt , aujourd’hui, à 60 ans révolus, il poursuit des études de psychologie. Pour ces jeunes les études à rallonge de Papa , cela était synonyme de misère car, non seulement il n’a ramené que bien peu d’argent, mais surtout cela coûtait très cher car il lui fallait toujours ce qu’il y avait de mieux et de plus cher en matériel informatique , livres etc…. Du salaire de sa femme, professeur, il ne restait pas grand chose pour nourrir, habiller les enfants quand il avait prélevé tout ce qu’il jugeait indispensable pour son usage personnel. Il est bien évident que dans de telles conditions ces enfants ne voyaient pas l’utilité de poursuivre des études, surtout lorsqu’ils voyaient les pères des copains, moins diplômés mais travaillant, et les copains vivrent tellement mieux qu’eux.
Je vais quand même me présenter, puisque je fais partie du « trio misandre qui détient (sa) fille en otage depuis Septembre 2001 » J’ai été professeur de mathématiques pendant trente-deux ans et suis en retraite pour invalidité depuis Septembre 2001(je perds la vue), mais je ne vis nullement, même si pour lui la grande majorité des femmes non contentes d’être folles sont lesbiennes, avec sa future ex-épouse mais à 10 heures de voiture de là avec mon mari (le même depuis 35 ans) dans la maison où nous avons élevé nos trois enfants aujourd’hui adultes, mariés et travaillant (deux, ainsi que nos deux gendres, ont d’ailleurs ce BTS qu’il me reproche d ‘avoir conseillé à sa fille ). Ils ne sont pas pour moi « de parfaits faire-valoir qui gagnent beaucoup d’argent » mais des adultes heureux, équilibrés qui gagnent correctement leur vie en faisant un métier qu’ils aiment, ce qui leur permet d’avoir un train de vie équivalent à celui qu’ils ont connu et d’élever leurs enfants comme ils ont été élevés.
Il est bien évident que cette intervention de ma part est la première et la dernière. Je n’ai pas l’intention de polémiquer avec J. quelque soit le pseudo qu’il utiliserait : j’ai perdu assez de temps comme cela.






Nous ne sommes pas ici un jury cherchant à déterminer qui est lésé qui dit vrai ou pas. Il y a des cours de justice pour ça. Même si le déni de justice existe bel et bien comme le dénonce Synapse.
J'ai toujours reçu les témoignages de Synapse non pas comme ceux d'un homme qui aurait voulu que je sois dans son camp, de cela il n'a jamais rien eu à cirer, mais plutôt comme des enseignements et de cela je lui en ai toujours su gré pour sa rigueur intellectuelle, sa recherche de la clarté, et surtout pour sa grande générosité.
Tu apportes une autre vision des faits. Tu sembles avoir été témoin à charge et c'est de bonne guerre que tu viennes te défendre contre les accusations de Synapse à ton encontre. Pour ma part, je t'accorde le bénéfice du doute, je n'irais pas jusqu'à parler de vendetta de ta part.

Ceci dit, je connais Synapse depuis assez longtemps pour savoir qu'il n'est pas du tout l'homme que tu as cherché à dépeindre.
Mais je lis qu'il y a eu ci-dessus une meute d'imbéciles que ta lettre a su réveiller de nouveau toutes les haines. Non, tu n'y es pour rien, ils n'ont pas attendu ta missive, ces coyottes pour hair Jacques. Tu n'y es absolument pour rien, avant même qu'ils ne sachent jusque ton existence, cette meute de coyottes exécrait déjà Jacques de les avoir mis
face à leur nullité monumentale. Et de manière intégralement magistrale!
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AA!

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Messages: 216

MessagePosté le: 30 Mai 2004 20:25 Répondre en citant

Je n'ai rien dit. Jusqu'à présent.

Cette arborescence m'a beaucoup touchée par le texte de Synapse. Sa douleur palpable. Un bijou de texte.
(Je ne lis presque plus rien ici.)
Voilà un autre témoignage. Alie.

Une autre tristesse, sans contexte, est de voir des gens en profiter pour régler des comptes de haine avec Synapse.
Vos gueules cris!
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 31 Mai 2004 4:17 Répondre en citant

Concernant "St-Juste" :
Alie Boron a écrit:
Depuis j’ai droit à ses élucubrations sur plusieurs sites internet sous différents pseudos et sous son nom: sur forumquebec (Synapse), sur paternet (Saint-Thèse) , sur son site personnel (genevrier) et sur fr.sci.psychologie (St-Juste) et je ne parle pas de ses abondants courriers dont une partie m’est revenue ni de ses « mémoires » qu’il publie aussi sur internet !
...

Interroger Google par : "Saint Just" group:fr.soc.feminisme, donne 328 réponses.
Mais l'interroger sur le groupe fr.sci.psychologie ne donne que 2 réponses, qui sont toutes deux des cross-posts.
J'ignore tout de ce personnage, qui m'intéresse presque aussi peu que les autres malades adeptes de fr.soc.feminisme. On y rencontre notamment des raéliens. Une fois qu'on est bien informé de l'existence de ces variétés de chtarbés, dont la moitié environ sont des S.A.P. attardés (syndrome d'aliénation parentale), la seule chose sensée à faire est de se désabonner de fr.soc.feminisme. Quant à fr.sci.psychologie, pourtant moins mal fréquenté, les niveaux technique et moral y le plus souvent assez bas pour qu'on n'y accorde plus qu'un regard distrait. Quand même, certains, les professionnels uniquement, se sont un peu émus et remués avec l'affaire du juge d'Angoulême. Il faut qu'un juge se masturbe en audience publique pour qu'on s'aperçoive enfin officiellement qu'il est bien trop fou pour juger. Il en faut, pour qu'on s'en aperçoive officiellement !

A deux exceptions près en tout, j'interviens en mon nom propre sur les news groups (évidemment, il s'agit de physique, dans la grande majorité des cas).

On peut y lire par exemple "Trompettes de la calomnie, dont un couplet est consacré au faux témoignage de celle à qui j'ai donné le pseudo de "Alie Boron".

Le procureur de Valence va finir par être très embêté : l'impunité judiciaire garantie à l'attestation mensongère d'Alie Boron par le substitut, est bien en train de devenir un scandale d'ampleur nationale, et au delà. Il va bien finir par être obligé de rouvrir ce dossier, et cette fois, de le traiter correctement.


Le reste suit.
Je ne suis pas pressé.

Contrairement au crime organisé, je n'ai rien à cacher, moi.
_________________
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..
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pollito

Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 1272

MessagePosté le: 31 Mai 2004 5:12 Répondre en citant

AA! a écrit:
Je n'ai rien dit. Jusqu'à présent.

Cette arborescence m'a beaucoup touchée par le texte de Synapse. Sa douleur palpable. Un bijou de texte.
(Je ne lis presque plus rien ici.)
Voilà un autre témoignage. Alie.

Une autre tristesse, sans contexte, est de voir des gens en profiter pour régler des comptes de haine avec Synapse.
Vos gueules cris!


Si on ne veux pas que le monde se mêle de nos affaires personnelles, on ne les etalent pas sur le net, non?
_________________
Pollitix
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Synapse

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Messages: 897

MessagePosté le: 31 Mai 2004 5:14 Répondre en citant

Idylle a écrit:

Et bien pour ceux qui comme moi lisent Synapse depuis plus de 3 ans, ça fait du bien d'avoir un autre son cloche.
À vrai dire, Alie Boron ajoute un peu de crédibilité à ce personnage car j'avais conclus (et écrit sur un autre forum) il y a plus de 2 ans que son histoire tenait de la fabulation. Je vois que ce semble être plutôt un conte inspiré de faits vécus. C'est déjà mieux que de le prendre pour un mythomane quand même.

Tu as la mémoire bien courte, et complaisante, Idylle !

Voilà plus de trois ans que j'ai publié le faux témoignage du pseudo "Alie Boron", d'abord sur ReseauContact quand j'y étais encore abonné, puis sur Rezoville. Mais ces archives ont disparu, sauf les copies locales que j'en ai conservées, notamment par impression.

Tu n'étais donc nullement à court de la position adverse.

J'avais longuement précisé que la rumeur organisée par les conjurées, répandait que je serais un violeur de fillettes, un jeteur de bébés par terre, voire le père de mon petit-fils, etc... simplement chaque public a reçu une version différente, adaptée à ses complaisances propres. La juge a reçu une version différente de celles qu'on reçues d'autres complaisants. Ça fera mal quand l'administration judiciaire s'apercevra (enfin) qu'elle a été elle aussi roulée dans la farine par une association de malfaitrices.


Idylle a écrit:

En passant, je ne crois pas que le texte soit une vengeance. C'est plutôt une mise au point de quelqu'un qui a un autre point de vue sur les événements. La mise au point n'aurait d'ailleurs pas été nécessaire si ça ne faisait pas si longtemps que Synapse s'acharne à remâcher son histoire un peu partout. Il l'a bien cherché ce texte.


Ça fait longtemps que je cherche à faire éclater le scandale de l'impunité judiciaire garantie à toutes les attestations mensongères de complaisance, fournies à l'occasion de répudiations crapuleuses et pathologiques. L'impunité garantie à Alie Boron et à sa commanditaire, n'est hélas qu'un exemple parmi bien d'autres, tout aussi scandaleux.

Comment peux-tu imaginer que cela me dérange, moi, après tout ce que j'ai déjà vécu, que "Alie Boron" sorte enfin du bois, et expose publiquement sa joie de nuire ?

Une femme moderne peut changer de femme ou d'homme aussi aisément qu'elle change de coiffure. Mais un père ne peut changer d'enfants... Les enfants ne peuvent rien faire seuls pour réparer leur psychisme bousillé par des années de propagande fanatique contre la moitié de leur filiation, rien seuls contre plus de dix ans d'aliénation parentale forcenée.

Que m'importe le restant ?
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Synapse

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MessagePosté le: 31 Mai 2004 5:17 Répondre en citant

pollito a écrit:
Si on ne veux pas que le monde se mêle de nos affaires personnelles, on ne les etalent pas sur le net, non?

Contrairement au crime organisé, je n'ai rien à cacher, moi.
Cela fait effectivement quelques années que je cherche à faire éclater le scandale de l'impunité garantie à la criminalité organisée. Ici, à la criminalité organisée dans le domaine familial.
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pollito

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MessagePosté le: 31 Mai 2004 5:24 Répondre en citant

Comprenez bien, que je ne vous traite pas de menteur dans les faits que vous exposez, pas plus dans ceux que la dame amene, je reagis juste à l'impression que me donne vos ecrits.
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Idylle

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MessagePosté le: 31 Mai 2004 6:40 Répondre en citant

Synapse a écrit:
Idylle a écrit:

Et bien pour ceux qui comme moi lisent Synapse depuis plus de 3 ans, ça fait du bien d'avoir un autre son cloche.
À vrai dire, Alie Boron ajoute un peu de crédibilité à ce personnage car j'avais conclus (et écrit sur un autre forum) il y a plus de 2 ans que son histoire tenait de la fabulation. Je vois que ce semble être plutôt un conte inspiré de faits vécus. C'est déjà mieux que de le prendre pour un mythomane quand même.

Tu as la mémoire bien courte, et complaisante, Idylle !

Voilà plus de trois ans que j'ai publié le faux témoignage du pseudo "Alie Boron", d'abord sur ReseauContact quand j'y étais encore abonné, puis sur Rezoville. Mais ces archives ont disparu, sauf les copies locales que j'en ai conservées, notamment par impression.

Tu n'étais donc nullement à court de la position adverse.

Je n'étais pas sur ReseauContact et sur Rezoville Alie Boron ne s'est pas manifestée. Quand je parle d'un autre son de cloche, je parle d'un son de cloche de la part de quelqu'un d'autre que toi. Je n'ai jamais lu avant hier une confirmation d'une des autres personnes impliquées que ton histoire reposait sur un fond de vérité.
Synapse a écrit:
Ça fait longtemps que je cherche à faire éclater le scandale de l'impunité judiciaire garantie à toutes les attestations mensongères de complaisance, fournies à l'occasion de répudiations crapuleuses et pathologiques. L'impunité garantie à Alie Boron et à sa commanditaire, n'est hélas qu'un exemple parmi bien d'autres, tout aussi scandaleux.

C'est ta bataille à toi Synapse. Je t'ai déjà écrit que vous m'avez l'air mal barré en matière de justice familiale chez toi. Ici, le droit des pères me semble mieux protégé. Alors que m'importe un scandale européen en cette matière?
Synapse a écrit:
Mais un père ne peut changer d'enfants... Les enfants ne peuvent rien faire seuls pour réparer leur psychisme bousillé par des années de propagande fanatique contre la moitié de leur filiation, rien seuls contre plus de dix ans d'aliénation parentale forcenée.

Ma fille s'est fait bousillée le cerveau par son père mais a toujours trouvé le moyen de reprendre contact quand elle arrivait à sortir de son pantalon (littéralement). Certes elle retournait vers lui et les gains financiers qu'elle y trouvait, mais tranquillement elle arrive à se distancer et sait que je suis toujours là pour la supporter.
J'ai toujours eu confiance qu'elle verrait un jour à quel point elle est carencée et consulterait. Elle est présentement en processus et peut retomber car elle est très fragile. Si elle retourne avec lui, j'attendrai un autre éclair de lucidité. Il ne reste que l'espoir et la confiance quand le psychisme est à ce point affecté.
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 31 Mai 2004 7:42 Répondre en citant

Idylle a écrit:

Ma fille s'est fait bousillée le cerveau par son père mais a toujours trouvé le moyen de reprendre contact quand elle arrivait à sortir de son pantalon (littéralement). Certes elle retournait vers lui et les gains financiers qu'elle y trouvait, mais tranquillement elle arrive à se distancer et sait que je suis toujours là pour la supporter.
J'ai toujours eu confiance qu'elle verrait un jour à quel point elle est carencée et consulterait. Elle est présentement en processus et peut retomber car elle est très fragile. Si elle retourne avec lui, j'attendrai un autre éclair de lucidité. Il ne reste que l'espoir et la confiance quand le psychisme est à ce point affecté.

Bien que tes récits aient été précis et terrifiants, mes souvenirs en sont imprécis, pardonne moi.

Je suis moins confiant en l'avenir de mes propres enfants que toi en l'avenir de ta fille, pour trois raisons :
- Nos âges respectifs. Selon les statistiques, il me reste environ 18 ans d'espérance de vie, à toi le double environ. Revenir à la raison en moins de dix-huit ans ? Eux ? C'est sans doute rêver.
- La culpabilité due à la complicité qu'on leur a fait endosser.
A-t-on entraîné ta fille à te faire le plus de mal possible personnellement ? Merci de préciser ce point, car je l'ai oublié.
Tous les fonctionnaires corrompus par la mafia, ou par un service d'espionnage étranger connaissent ce problème : ils sont mouillés et tenus à la gorge par leur passé déjà criminel, ils ne peuvent plus du tout se ressaisir et reculer.

Mes enfants sont tous mouillés par les faux témoignages que leur mère leur a dictés. Les français ont en ce moment les yeux fixés sur le procès d'Outreau, où l'on découvre enfin que les enfants aussi mentent, pas seulement les adultes.

- La puissance de l'idéologie dominante, qui est sexiste, et qui s'oppose à toute manifestation de la vérité si cette manifestation cessait d'être misandre.
_________________
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 02 Juin 2004 0:40 Répondre en citant

canelle a écrit:
Doorman, effectivement a lire les écrits de Synapse c'est facile de voir que tout se rapporte souvent a "son" histoire. Je l'ai déja vue dénigrer les émotions des usagers en disant que ce qu'ils vivaient n'était rien a comparer a ce que lui avait vécu et vivait encore. D'avoir ici un autre son de cloche aide a rétablir ce que nous questionnions tous. Toit comme Idylle je ne percois pas moi non plus de vengeance, juste un simple ajustement des faits.. Je crois que si madame avait voulu se venger par écrits, elle aurait pu en remettre encore plus.. Elle ne s'est contenté que de rétablir les faits... Moi non plus je ne crois pas que ce message devrait être effacé.. ne serait-ce que par respect des usagers qui ici se font ou se sont fait rabrouer par Synapse, pour qu'ils puissent prendre conscience de qui est vraiment ce monsieur...

D'ordinaire, je laisse tous les messages de l'hypocrite citée plus haut sous "ignore" : ils schlinguent !
Il est tout à fait normal que l'hypocrite citée plus haut jouisse de lire une ordure qui lui ressemble.
Toutes deux se shootent à la joie de nuire, à la joie de répandre des rumeurs calomnieuses.
Chez toutes deux, l'hypocrisie est une manière de vivre, la seule qu'elles connaissent.
Toutes deux sont mythomanes. Toutes deux mentent systématiquement.

Toutes les deux ont la haine pour raison de vivre. Toutes les deux s'abritent sous une certaine expertise de la dissimulation.
Toutes les deux sont lâches : elles attendent d'avoir la certitude que le risque de retour de bâton envers elles soit nul, avant de se joindre à la meute pour mordre le bouc émissaire.

Le risque est nul pour l'hypocrite dont je cite le message plus haut : Fred a été assez crédule et assez niais pour lui abandonner quelques mois la responsabilité de "modératrice", alors que son passé de délinquante dans cette même responsabilité sur Rézoville était bien assez public pour qu'il put en avoir vent. Fred fera donc tout pour protéger l'hypocrite, de peur de déjuger ses précédentes erreurs de jugement.

Le risque avait été présenté comme nul à Annie B Oops ! à Alie Boron, par les deux tueuses. Elles lui ont bien fait valoir que l'avocate connaît bien la juge, et qu'avec elle on peut fabuler à 200%, le risque est nul, elle gobe avec enthousiasme les affabulations les plus grossières. Plus c'est gros, mieux ça passe ! L'avocate connaît bien la substitute du procureur, connaît sa flemme et sa passion partisane, elle sait que jamais au grand jamais sur Valence, on n'a poursuivi en correctionnelle les attestations mensongères dans le cadre des procédures de répudiations crapuleuses. Garantie : risque nul ! Tu peux fabuler tant que tu veux, et autant que nous te le dictons, du moment que c'est haineux, c'est parfait.

Le risque était estimé d'autant plus nul, que les deux tueuses avaient fait main basse sur la totalité des archives du ménage, sur toutes les photos, tous les dossiers, et que je me trouvais nu comme un ver : toutes les contre-preuves aux contre-vérités proférées par le gang des tueuses, elles les avaient, pouvaient les détruire ou les trafiquer à leur gré.

Il est un point où l'hypocrite citée plus haut a presque raison :
Excepté la frousse qu'elle a eu lorsqu'elle s'est vue citée en correctionnelle, alors qu'on lui avait si bien garanti que le risque était nul, que la loi n'est jamais appliquée, Annie B oh! Oups ! Alie Boron n'est pas mue par la vengeance envers quelqu'un qui lui aurait fait du mal. Pour cela, il eût fallu que je lui fisse du mal, ce qui n'est jamais arrivé. Comme tant d'autres shootés à la haine, comme l'hypocrite dont la citation ouvre ce post, A.B. se contente de tirer sur quiconque lui semble incapable de riposter, de faire le mal là où ça lui semble sans danger pour elle.

Quant à la genèse de ce comportement maladif et vicieux, ni pour A.B. ni pour B.L. je n'y étais. Je n'en ai pas été témoin.

Mais nous voulons bien entendre canelle : qu'elle nous explique d'où lui vient sa passion pour l'hypocrisie, son addiction à la joie de nuire.
Canelle! Nous vous écoutons !
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Synapse

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MessagePosté le: 02 Juin 2004 1:21 Répondre en citant

Avenger72 a écrit:
Merci Madame Alie Boron,

Votre courage et la précision apporter ici nous aides a mieux comprendre et cerner les délires de cette personne... merci... mais cela ne fais que confirmer ce que tous, avaient déduit en raissonnant sur les écrits de haines et plein de venin de le dite personne... :roll:

Toujours avoir les deux versions d'une histoire aide à la mettre en perpective, je suis convaincus Doorman que c'est important de ne pas l'éffacer !!! :biere2

A+

Bin non, mon p'tit, tu as tout faux ! A.B. n'a jamais été courageuse ni précise.
Tu es loin d'avoir vu "les deux" versions, car du côté des tueuses et de leurs complices, de très nombreuses versions ont circulé, adaptées aux complaisances des divers publics. Et il y a des contradictions monumentales entre la dernière version présentée dimanche ici par A.B. et celle qu'elle avait daté du 13 août 1998. Tu peux vérifier facilement : j'ai mis en ligne intégralement (aux pseudos près, par égard pour mes enfants, qui restent bêtement le territoire des criminelles) son faux témoignage, à l'adresse http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/la_piece_16.htm .
Il est facile de constater que chaque fois que ses allégations comportent un élément matériel vérifiable, et donc démenti par de nombreuses pièces, Annie change précipitamment de version. Par exemple "qu'à Toulon, un peu plus tard, il s'était achetait un bateau avec le salaire de sa femme." se déplace quinze ans plus tôt, et change entièrement de nature. Et la liste des changements précipités de version est loin d'être close.

Ai-je jamais vu A.B. courageuse ?
Inconsciente plutôt, dans ses conflits conjugaux. Son mari est armé. C'est un personnage étrange, renfermé, au regard fixe. Pendant les premières années, il entretenait un boa dans sa cave. Ma femme était plutôt terrifiée de ses exhibitions, tant des armes que du boa... C'est du reste pourquoi elle a vite cessé de les fréquenter chez eux, me laissant cette corvée, et se contentant de subir celles des visites d'Annie que je n'avais pas su ou pensé dévier.
Il nous est arrivé de craindre pour la vie d'Annie. Mais elle refusait net toute suggestion d'aller voir un psychologue.

A suivre.
Depuis toutes ces années que je cherche à faire éclater le scandale, on n'en a pas fini avec le décorticage pièce à pièce des affabulations d'A.B. et surtout de ses commanditaires.

Personne n'a assez de mémoire pour faire longue carrière dans le mensonge sans être démasqué(e) un jour.

A suivre, donc.
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Idylle

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MessagePosté le: 02 Juin 2004 6:52 Répondre en citant

Synapse a écrit:
Bien que tes récits aient été précis et terrifiants, mes souvenirs en sont imprécis, pardonne moi.

Je suis moins confiant en l'avenir de mes propres enfants que toi en l'avenir de ta fille, pour trois raisons :
- Nos âges respectifs. Selon les statistiques, il me reste environ 18 ans d'espérance de vie, à toi le double environ. Revenir à la raison en moins de dix-huit ans ? Eux ? C'est sans doute rêver.
- La culpabilité due à la complicité qu'on leur a fait endosser.
A-t-on entraîné ta fille à te faire le plus de mal possible personnellement ? Merci de préciser ce point, car je l'ai oublié.

Bien que je t'aie fait part des derniers développements en privé, je veux bien tenter de répondre à ta demande. Tu comprendras que ce ne sera pas exhaustif.

J'avoue que 18 ans me paraît bien court quand je vois que je me bats depuis 1983: année où j'ai laissé la garde légale de ma fille à son père pour poursuivre mes études universitaires (elle avait 2 ans).
Déménagé sans avertissement, il m'a pris 9 mois pour retrouver ma fille et son cher père. C'était suffisant pour qu'il lui mette dans la tête que je ne les aimais pas: que je ne l'aimais pas elle. Du coup, elle ne voulait plus me voir et c'est à force d'amour et de persévérance que j'ai fini par renouer les liens.

Tout était prétexte au dénigrement. Aussitôt que je disais non à quelque demande de ma fille, son père s'empressait de lui rappeler que c'était là une preuve que je ne l'aimais pas et que c'est pourquoi je l'avais abandonnée (sic!) Retour à la case départ à tous les coups. Je suis retournée au tribunal pas moins de 5 fois pour obtenir des ordonnances confirmant mon droit de visite et de sortie. Hé oui! Ce cher père exigeait que je ne rencontre ma fille que chez-lui et en sa présence.

L'oeuvre de destruction était bien amorcée. Ma fille devenait de plus en plus agressive, forte des interventions de son père toujours en sa faveur. Tout les gens qui ne se pliaient pas aux désirs de ma fille étaient des ennemis moi y compris.

Finalement, elle a fugué de chez son père à 11 ans et s'est retrouvée en centre d'accueil.
1ère conclusion: potentiel de dangerosité trop élevé pour tenter une réintégration familiale autant chez son père que chez moi.
2ème conclusion: relation fusionnelle inversée rendant impossible un sain développement avec son père.
Jugement: on ne pouvait éloigner ma fille de son père même temporairement quand elle était en centre d'accueil car rien ne prouvait qu'elle garderait des séquelles. Le père avait des droits et il pouvait profiter de visites supervisées au centre. Pour ma part, je pouvais du moins la sortir les fins de semaine.

Les épisodes de violence envers moi en particulier et envers les intervenants (3 à l'hôpital le même soir) étaient de plus en plus marqués. J'ai falli tout laisser tomber lorsqu'elle a tenté de me poignarder parce que je ne voulais pas qu'elle couche avec son demi-frère (mon fils). Je les avais surpris dans sa chambre un par-dessus l'autre (on se comprend).

Les mensonges orchestrés par son père et repris par ma fille m'ont valu de devoir prouver que je n'étais pas une alcoolique, toxicomane, prostituée, batteuse d'enfant. Affidavits, témoignages, certificat de bonne conduite de la Sureté du Québec, manque de preuve quant aux prétendus sévices. Enfin, ma fille a du admettre que tout ça n'était que mensonges et les liens se sont renoués.

Passons rapidement sur l'épisode au cours de laquelle elle faisait la rue pour entretenir son père. Sous prétexte de sa maladie (psycho-maniaco-dépressif) il maintenait ma fille en otage et confisquait (confisque encore) son courrier. Aucun contact n'est permis quand elle est sous le joug de son père. Il fallait que notre lien soit fort pour qu'elle revienne vers moi quand elle n'en pouvait plus.

En février, je me faisais une joie de la voir dans un centre de transition près de ma famille et loin de la psychose de son père dans laquelle elle s'enfonçait (phénomène de transfert).

Dernière trouvaille de son père: prouver qu'il est le père biologique de l'enfant de ma fille (ce qui est fort probable et soutenu par témoignange) et ainsi freiner le processus d'adoption enclanché l'an dernier. La toute petite est dans la famille qui devait l'adopter et ce délai ne peut que lui nuire. Attendons donc le résultat des tests d'ADN. Le père/grand-père ne peut être poursuivi puisque ma fille était majeure lors de la conception.

Dernier développement: elle a quitté la maison de transition et est retournée chez son père depuis le mois dernier. Je l'ai su lundi le 31 mai. Par ailleurs puisque les contacts sont à nouveau rompus.

Synapse a écrit:
Mes enfants sont tous mouillés par les faux témoignages que leur mère leur a dictés. Les français ont en ce moment les yeux fixés sur le procès d'Outreau, où l'on découvre enfin que les enfants aussi mentent, pas seulement les adultes.

- La puissance de l'idéologie dominante, qui est sexiste, et qui s'oppose à toute manifestation de la vérité si cette manifestation cessait d'être misandre.

Laisserais-tu entendre que les hommes qui agissent comme le père de ma fille ont adopté le comportement de ces misandre? Pour ma part, j'y vois plutôt une psychopathologie peu importe le sexe. Et ce sont évidemment les enfants qui en font les frais: psychisme bousillé dans l'enfance, affirmé à l'adolescence et dont ils peuvent difficilement se défaire à l'âge adulte.
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Synapse

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MessagePosté le: 02 Juin 2004 8:06 Répondre en citant

Idylle a écrit:
Synapse a écrit:
...
- La puissance de l'idéologie dominante, qui est sexiste, et qui s'oppose à toute manifestation de la vérité si cette manifestation cessait d'être misandre.

Laisserais-tu entendre que les hommes qui agissent comme le père de ma fille ont adopté le comportement de ces misandre? Pour ma part, j'y vois plutôt une psychopathologie peu importe le sexe. Et ce sont évidemment les enfants qui en font les frais: psychisme bousillé dans l'enfance, affirmé à l'adolescence et dont ils peuvent difficilement se défaire à l'âge adulte.

J'ai déjà répété de très nombreuses fois qu'une idéologie est une idéologie, et n'est en aucun cas "les hommes" ni "les femmes". Qu'en conséquence dénoncer une idéologie pathologique, sexiste par exemple, n'est pas être contre l'un ou l'autre sexe. Rappeler des évidences aussi banales est peine perdue. Il y a toujours un contingent de corneculs, qui tels P.ll.t., ramènent indéfiniment leur litanie : "Jacques dénigre les femmes".

Nous restons bien d'accord que nous parlons de comportements pathologiques. Toutefois, les corps de notables constitués, et en partie le corps médical, font une distinction prudente entre le malade mental isolé, celui que l'on ne court aucun risque à disqualifier, voire à incarcérer, et les malades mentaux puissants, groupés, organisés, qu'il serait imprudent de considérer à haute voix pour ce qu'ils sont : de dangereux malades mentaux, armés en organisation dangereuse.

Dans la plupart des pays arabes et musulmans, c'est la misogynie qui est l'idéologie pathologique armée, et qui est complaisante à des criminels.
En France, c'est la misandrie qui est l'idéologie pathologique et armée, depuis le temps que le féminisme a atteint la totalité de ses objectifs avouables, égalitaires. Il ne lui reste plus que les objectifs abusifs et inavouables, violemment inégalitaires ; elle a donc bien été repérée par des criminelles de droit commun, comme pavillon de complaisance.
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Synapse

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MessagePosté le: 10 Juin 2004 8:44 Répondre en citant

Un peu d'analyse de contenu. Lisons toutes les phrases d'Annie B. contenant le mot « études ».

Alie Boron a écrit:
« Ces enfants ont toujours connu leur père poursuivant des études… C’est ainsi qu’en 2001 il a terminé ses études de physique commencées quelques décennies plus tôt , aujourd’hui, à 60 ans révolus, il poursuit des études de psychologie. Pour ces jeunes les études à rallonge de Papa , cela était synonyme de misère... »
« Il est bien évident que dans de telles conditions ces enfants ne voyaient pas l’utilité de poursuivre des études, surtout lorsqu’ils voyaient les pères des copains, moins diplômés mais travaillant, et les copains vivrent tellement mieux qu’eux. »


L'avantage sur les courriers précédents où Annie B. dénigrait à fond toutes études et tous diplômés, et les accusait de tous les vices, c'est que cette fois c'est un écrit public. Ici, vous l'avez sous les yeux, Annie avoue publiquement avoir des comptes personnels à régler avec les études, avoue les avoir constamment dénigrées devant les enfants. Nous reviendrons ultérieurement sur les mensonges inclus dans les phrases citées.

Mes enfants ont dû donc gérer la double-contrainte suivante :
D'une part, par leur mère leur venait l'impératif : « Apprendre, il faut que ce soit emmerdant, que cela fasse souffrir ! Il faut donc que l'on cesse de s'amuser à apprendre, par jeux et concours, comme vous le faites avec votre père. D'ailleurs cela me fait mourir de jalousie, que de ne plus être le centre de mes enfants. ».
D'autre part d'Annie B. et de sa fille aînée, venait l'endoctrinement : « Tu vois comme tes parents ne sont pas des triomphants dans cette ville ! Donc les études, c'est de la merdre, et tu dois les saboter. Mieux vaut taxer les garçons, dealer de la schnouf, et se parfumer très cher (Ah ! Drakkar noir !) ».
Cet endoctrinement a ensuite été répercuté de l'aînée à mon garçon ; aussi celui-ci s'est-il fait jeter de deux lycées successivement, pour trafic de cannabis. Merci Annie B. !

A vingt-cinq ans, au bout de sept ans d'études supérieures, mon surdoué de fils a suffisamment saboté ces sept ans pour en être demeuré à Bac plus zéro. Merci Annie B. ! Quel triomphe dans ton plan de mort des enfants des autres pour te faire valoir !
A vingt-neuf ans notre aînée traîne toujours à Bac plus zéro : elle donne l'exemple selon les instructions de l'université Beaur... Boron.

Pour ceux qui ont besoin de quelques dessins, les deux schémas hiérarchiques suivants sont publiés sur mon site :


Oui, naturellement, si Annie B. est prolixe sur les dépenses imaginaires que j'aurais faites, elle est en public d'une discrétion totale sur les 25 000 F de canapés de cuir achetés en cachette le 25 février 1991 par mon épouse et sa fille aînée, dans l'espoir d'en faire le commerce avant qu'ils soient livrés (le 25 novembre 1991). J'ai réussi à négocier que nous ne perdions que l'accompte, soit 2 500 F, et non le tout, augmenté des frais de justice. Blackout sur ces incidents qui dérangent la légende confectionnée et propagandée par le gang criminel.
J'ai déposé chez l'huissier toute la cassette de l'épisode, et sa transcription au souffle près.

Blackout total aussi sur les plus de 25 000 F volés et dépensés par ma fille aînée aux dépens de mon fils mineur, d'avril 1995 à début juin 1995.






Il va de soi que la quasi-totalité des phrases d'Annie B. contiennent chacune au moins un mensonge, volontaire ou involontaire, et nous y reviendrons ultérieurement.

Il me faut vaincre la nausée qui me soulève le coeur chaque fois que je dois me pencher sur ce genre de personnages vomitifs.
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Habitude

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MessagePosté le: 11 Juin 2004 23:35 Répondre en citant

Tu sais synapse. Tu es arrogant et tête enflée. Tu n'as aucune humilité ni de compassion. Mais je ne peux pas t'en vouloir car oui tu es supérieur à moi. Non tu n'as pas à t'abaisser à mon niveau. Tu es énormément cultivé et j'aime tes argumentations salées. Ta culture à fait de toi un être respecté par les gens d'éthique de ce forum. Or ton attitude a eu un effet contraire pour les gens de moralité. Que tu sois un mauvais père et même un mauvais mari, ce ne sont pas de nos affaires. Pourtant tu t'acharne à vouloir nous en parler. Alors plusieurs version sont à mon avis nécessaire. Je ne veux pas te connaitre personnellement car je suis sur de détester. Mais heureusement, tu as beaucoup à apporté à ce forum. Ton analyse et ton acharnement me rendent parfois amer certe mais "criss" ta raison. J'arrive à comprendre que vue ton bagage, tes valeurs soient très différente des notres. Reste supérieur, c'est correct, mais respecte nous "sacrament".
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Synapse

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MessagePosté le: 12 Juin 2004 2:05 Répondre en citant

[MODE FLAME ON]
Habitude a écrit:
Tu sais synapse. Tu es arrogant et tête enflée. Tu n'as aucune humilité ni de compassion. Mais je ne peux pas t'en vouloir car oui tu es supérieur à moi. Non tu n'as pas à t'abaisser à mon niveau. Tu es énormément cultivé et j'aime tes argumentations salées. Ta culture à fait de toi un être respecté par les gens d'éthique de ce forum. Or ton attitude a eu un effet contraire pour les gens de moralité. Que tu sois un mauvais père et même un mauvais mari, ce ne sont pas de nos affaires. Pourtant tu t'acharne à vouloir nous en parler. Alors plusieurs version sont à mon avis nécessaire. Je ne veux pas te connaitre personnellement car je suis sur de détester. Mais heureusement, tu as beaucoup à apporté à ce forum. Ton analyse et ton acharnement me rendent parfois amer certe mais "criss" ta raison. J'arrive à comprendre que vue ton bagage, tes valeurs soient très différente des notres. Reste supérieur, c'est correct, mais respecte nous "sacrament".
[MODE FLAME OFF]

Oh ! Mais ton chapelet d'accusations gratuites et insultantes est insuffisant !
Tiens, voici un recueil plus complet :

"Troisième astuce : l’auteur n’est pas un individu, mais n’est qu’un représentant d’un des collectifs que l’on hait profondément. Dans leurs exclamations, cela se résume dans le style : « Je t’ai reconnu ! Tu es tous les gniagniagniââh que j’ai toujours rêvé d’abattre ! ». Et à quels gniagniagniââh collectifs l’auteur peut-il être assimilé ? J’ai relevé ceux-ci, au cours des dernières années : les intellectuels, les pseudo-intellectuels, les crânes d’œufs incapables de la moindre réalisation concrète, les racistes-pur-blanc, les fonctionnaires, les scientistes étrangers à tout ce qui est humain, les savants-qui-ont-un-ordinateur-à-la-place-du-cœur, les technocrates, les misogynes, les pères absents, les « masculinistes-phallocrates-macho-dominants-dégénérés-fachos-revanchards », les violeurs, les batteurs de femmes, les batteurs d’enfants, les buveurs, les voleurs, les maquereaux, les fous, les simulateurs de la folie, les assassins, les incestueux, les négationnistes, les fascistes, les communistes, les gauchistes, les bourgeois, les exploiteurs du peuple, les alliés du grand capital, les lécheurs de bottes du pouvoir, les addicts aux matches de football… Voyons voyons voyons ? En ai-je oublié, parmi les insultes et les procès d’intention que j’ai pris dans la figure ? Oui bien sûr, j’en ai oublié trois : « les vieux » (variantes : les vieux cons, les vieux schnocks) , « les mâles », ce qu’elles prononcent et écrivent « les mecs », et « les psys », au sens de l’offre hégémonique en France, qui est celle des psychanalystes. A ce florilège s'est ajouté récemment "les arabes, les islamistes, leurs kollabos...".
"
Fin d'autocitation.
C'est publié en ligne à l'adresse http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/Eloge_de_la_critique.htm#1.7

Tu l'ignores sans doute, mais un biographe de Maria Callas, a dû beaucoup insister pour que Meneghini (son ex-mari) finisse par lui donner une vieille valise en carton bouilli, dont il prétendait qu'elle ne contenait rien d'intéressant.

Or elle était remplie à ras bord de lettres d'insultes, que Maria Callas avait reçues tout au long de sa carrière, et après. De déménagement en déménagement, la cantatrice a donc emporté avec elle ces témoignages de l'immonde, comme pour rappeler : "Ma carrière, c'est aussi cela, ces flots d'immondes lettres d'insultes".

J'ignore pourquoi tu m'adresses ces immondes insultes. Tu l'ignores aussi toi-même. Tu es bien incapable de les justifier.

Je fais le pari suivant : tu insultes, tu calomnies parce que toi, tu as beaucoup d'actions inavouables à dissimuler. Je te mets au défi de te justifier.


Aristeidès (540-486 AC) fut banni d'Athènes de 483 à 482, suite aux intrigues et à la jalousie de Themistoclès. A Athènes, pour bannir, il fallait savoir écrire : écrire sur une coquille d'huître le nom de l'homme à bannir. Aristeidès voit donc un athénien graver son nom sur une coquille d'huître, il lui demande alors s'il connaît cet Aristeidès qu'il veut bannir. Non, il ne le connaît pas. Alors pourquoi le frappe-t-il d'ostracisme ? "Parce que j'en ai assez d'entendre dire "Aristide le Juste !" ".


Dernière édition par Synapse le 30 Juin 2004 3:14; édité 3 fois
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Synapse

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MessagePosté le: 12 Juin 2004 5:01 Répondre en citant

Vu les divergences de vocabulaire de part et d'autre de la Mare aux Harengs, il faut préciser que chez nous le Baccalauréat, ou "Bac", est le diplôme que l'on obtient à 17 ans, à la sortie du Lycée. En principe il suffit pour entrer en Université. En fait presque partout, et surtout pour l'entrée dans les "Grandes Ecoles" (un système très élitiste typiquement français), on est sélectionné sur dossiers, et surtout sur concours d'entrées, qui requièrent trois années de "prépa" intensive après Bac.
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bachi

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MessagePosté le: 15 Juin 2004 9:11 Répondre en citant

Citation:
Et à quels gniagniagniââh collectifs l’auteur peut-il être assimilé ? J’ai relevé ceux-ci, au cours des dernières années : les intellectuels, les pseudo-intellectuels, les crânes d’œufs incapables de la moindre réalisation concrète, les racistes-pur-blanc, les fonctionnaires, les scientistes étrangers à tout ce qui est humain, les savants-qui-ont-un-ordinateur-à-la-place-du-cœur, les technocrates, les misogynes, les pères absents, les « masculinistes-phallocrates-macho-dominants-dégénérés-fachos-revanchards », les violeurs, les batteurs de femmes, les batteurs d’enfants, les buveurs, les voleurs, les maquereaux, les fous, les simulateurs de la folie, les assassins, les incestueux, les négationnistes, les fascistes, les communistes, les gauchistes, les bourgeois, les exploiteurs du peuple, les alliés du grand capital, les lécheurs de bottes du pouvoir, les addicts aux matches de football… Voyons voyons voyons ? En ai-je oublié, parmi les insultes et les procès d’intention que j’ai pris dans la figure ? Oui bien sûr, j’en ai oublié trois : « les vieux » (variantes : les vieux cons, les vieux schnocks) , « les mâles », ce qu’elles prononcent et écrivent « les mecs », et « les psys », au sens de l’offre hégémonique en France, qui est celle des psychanalystes. A ce florilège s'est ajouté récemment "les arabes, les islamistes, leurs kollabos...".


Les chapelets se recoupent, les totos manquent d'originalité?

On m'a éructé tout ça aussi et quelques éructations de plus:
Les haineux, les méprisants, les snobs, les élitistes, les matheux, les obtus...
Puis, les lécheurs de bottes aux zaméricains, les anti américains primaires, les athées, les mécréants, les suppôts de Satan...La plus onéreuse: les taghouts.
et puis toutes les harmoniques de la série des machos.

Bin wi, bin wi


Dernière édition par bachi le 15 Juin 2004 10:20; édité 1 fois
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Synapse

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MessagePosté le: 19 Juin 2004 14:21 Répondre en citant

La stratégie du mensonge à 200% : un outrage à magistrats.

Telle qu'elle est poursuivie par Maîtresse Zantafia, la stratégie du mensonge à 200% est un outrage à magistrats, soigneusement calculé, avec impunité garantie, calculé pour les bénéfices maximaux.
Bien sûr, cela n'arrive pas vraiment au hasard, ce genre d'outrages à magistrats. Assurément, Zantafia connaît fort bien ses juges, connaît chacun de leurs travers, chacune de leurs infirmités logiques. Et surtout elle sait dans quel mépris l'administration les traite, et maltraite leurs conditions de travail. Elle sait qu'à 2 200 dossiers à évacuer par an, la juge ne peut que tout bâcler, en faisant semblant de lire, semblant de comprendre, et que la garantie de l'emploi pour la J.A.F. est à ce prix : les cadences infernales... Elle sait que dans ces conditions de délabrement de l'institution judiciaire, le/la juge est le premier à avoir gros à dissimuler, le premier corrupteur qui compte sur les avocats pour l'aider à cacher au justiciable à quel point il/elle se contente de faire semblant de savoir ce qu'il/elle fait.

Zantafia connaît bien les limitations mentales de sa juge, quand elle organise la stratégie du mensonge à 200%. Elle sait fort bien que mentir un mot sur trois, cela peut être fort bref, et peut donc entrer dans la capacité de lecture d'un juge. Tandis que démontrer chaque mensonge prend au bas mot quinze lignes. Donc la réfutation d'un tissu de mensonges fait un texte bien trop long, qui excite la haine du juge, furieux qu'on sollicite son attention vers la réalité, si ardue, si éloignée de la fiction, alors que la fiction est si simple, si flatteuse pour ses préjugés !

Au mieux, à supposer que la juge, dans un exceptionnel élan de non-parti pris, de non-sexisme, partage la poire en deux, fasse la moyenne entre mon texte, à zéro mensonges, et le texte préparé par Zantafia, elle se retrouve néanmoins avec 200%/2 = 100% de mensonges, juste là où Zantafia désirait la poser.

Au fil http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2258, laetitia.monard, dans son expérience a précisé qu'en affaires familiales, les juges ne s'embarrassent ni de preuves, ni de contre-preuves. Accuser sans preuves est libre, impuni, et très très profitable !

Le monopole d'avocat pose un problème méthodologique insoluble, car il devient impossible dans les textes finaux d'attribuer à coup sûr les divers délires à un auteur précis. En droit, l'avocat est censé être transparent et irresponsable, n'être que le mandataire de son client. Fiction juridique ! Successivement mes deux avocates ont soutenu à la juge exactement l'opposé de ma propre thèse sur plusieurs points, et je n'ai pu que fermer ma gueule : elles ont le pouvoir, elles ont le monopole, et elles sont fermement priées par la juge d'empêcher toute irruption de la réalité pouvant déranger le tissu de mensonges préféré par la juge, priées de museler leur client indésirable.

Avec imprécision, il reste possible de lire leur division du travail. En fait, elle est similaire à celle entre un grand truand, et son avocat : « Taisez-vous ! Vous risqueriez de vous couper ! Vous, vous êtes un(e) spécialiste de la dissimulation, et moi un(e) professionnel(le) du mensonge. A l'avenir, c'est moi qui mens à votre place. ». Gazonbleu se ferme dans son mutisme : « Je n'ai rien à te dire ! », et compte sur la prochaine meilleure tentative d'assassinat pour se débarrasser d'un témoin gênant. Zantafia étale sa propre passion de la calomnie, sa joie de nuire, sa haine sexiste des mâles... Enchantée, la J.A.F. compte les coups, et condamne le banni à payer rançon, pour prix de la vie sauve (sauve, oh, très involontairement, par pure malchance...), et à ne jamais pouvoir récupérer ses effets personnels volés.

Dans ce jeu de dupes et de complicités, Alie Boron n'est qu'un pion. Certes elle fut choisie pour sa passion de nuire à son prochain, pour sa mythomanie et sa bêtise... Là se limite son génie. En fait, Alie est tellement bête, qu'elle se coupe de partout, qu'elle révèle par écrit la passion du dénigrement au pouvoir sous le règne de Gazonbleu, elle trahit par écrit le caractère psychotique des nombreux procès d'intentions que j'avais subis au long des années. Mais qu'importe ! On est tellement certaines de l'infirmité logique de la juge, qu'on ne se préoccupe même pas de vraisemblance ni de cohérence, du moment que c'est haineux, c'est bien assez bon pour une juge ! Et l'avocate est garantie par l'impunité judiciaire.

Il y a exactement quatre points exacts dans le faux témoignage daté du 13 août 1998, et pas plus :
Oui, nous (nous, et non pas « je ») avons bien pris un brevet européen, et l'avons poursuivi jusqu'au franchissement des examens de brevabilité, puis avons laissé tomber : les conditions d'une reprise industrielle du projet ne pouvant plus être réunies.
Oui, dans ma solitude forcée, j'écoute souvent France Musique.
Oui, j'ai travaillé en Bretagne.
Oui, ma mère avait offert une petite robe rouge à une fillette qui grandissait vite, alors que la robe n'a jamais grandi.

Et tout le reste est grevé de mensonges, partout... Dans chaque phrase. Chacun des propos qu'elle me prête est faux, inventé de toutes pièces. Chacun des actes qu'elle m'attribue est faux.

13-08-98, A.B. prétend avoir constaté : « 1980, ... qu'à Toulon, un peu plus tard, il s'était achetait un bateau avec le salaire de sa femme. ». Donc APRES 1980, en principe.
Rendue dans le bureau du juge d'instruction, 18 octobre 2002, par oral, puis par écrit : « ° un bateau, ou plus exactement du bois pour construire ce bateau : c’était du très beau bois, très cher, il explique le bois utilisé p18/B de ses mémoires ; p20/B il dit que ce bois avait été acheté avec « le salaire d’IPESSiène de ( son épouse). » ». Soit des événements du printemps et de l'été 1971, antérieurs au mariage, n'ayant rien à voir avec Toulon, qu'elle n'a découverts qu'à la lecture des préversions de mes Mémoires, et que mon épouse lui avait soigneusement cachés jusqu'alors. Les lecteurs peuvent se reporter au texte réel, à l'adresse /mission_parricide/opereGette.html#4.7.12.
Grosso modo douze à treize ans de post-datage ! Hé bien, c'est bien assez bon pour un Tribunal !

Passons à la dernière tentative d'assassinat, la plus réaliste et la plus dangereuse de toutes, les sabotages de freins, préparés en une dizaine de jours, pour le samedi 18 juillet 1998.
Le 30 mai 2004, profitant de George W. Bush, Alie Boron prétend cette version :
« Voici ce qui c’est passé : ... ». Elle y était ? Non. Donc ce qu'elle prétend est fiable... J'y étais ? Oui. Donc mon récit est forcément « faux » et doit être « rectifié » par le gang.

« Voici ce qui c’est passé :il avait récupéré différentes affaires chez sa future ex-épouse dont un vieux vélo bon pour la ferraille ... En quittant la maison sur ce vieux clou mal entretenu il devait rouler sur un chemin privé caillouteux, plein d’ornières pour atteindre la route… et s’est cassé la g…De là à nous accuser d’avoir saboter le vélo il n’y a qu’un pas que J. n’ hésite à franchir car, il n’est pour lui pas envisageable qu’il soit tout simplement tombé. Il semblerait que la vis maintenant le frein avant ait sauté . Pour lui, si la vis est tombée, c’est qu’une main malveillante était intervenue (pourquoi n’a-t-il pas utiliser le frein arrière ? Utiliser le frein avant seul est le meilleur moyen de passer par dessus le guidon) et puis, un homme comme lui, ne peut pas non plus , tomber de vélo….Je lui conseille de mettre des stabilisateurs, ça évitera les chutes qui, à son âge peuvent être graves. Il est arrivé le week-end dernier une mésaventure comparable à G.W.Busch, les médias du monde entier rigolent, mais personne n’accuse son épouse, la CIA ou Ben Laden d’avoir voulu l’assassiner! »
J'y étais, j'ai donc consigné cela avec photos et carte détaillée, à l'adresse http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/sabotage_de_frein.htm
Annie prétend que je suis tombé, afin de faire comme GWB. Elle y était ? Non. Suis-je tombé ? Non. Mon récit est précis. Le scénario qui n'a échoué que de justesse était que je me fasse écrabouiller par les voitures qui foncent en contrebas sur la D6, nettement au delà des limitations de vitesse. Voir le plan extrait de la carte IGN :



Annie prétend que ce jour là, j'ai « récupéré des affaires ». Encore faux, comme tout le reste. Je n'avais aucun véhicule, j'étais à pieds, à une heure de la gare, mon épouse s'était assurée le monopole de tous les véhicules du ménage, et le traquenard sur le sabotage du C35 se flairait à plein nez : elle avait préparé la télécommande de chacun de mes gestes avec minutie, et j'avais lu dans le Crapouillot le récit par le tueur, de l'assassinat de Jacques Lemaigre-Dubreuil à Casablanca le 11 juin 1955. La similitude de la télécommande de chacun de mes gestes était frappante. Voir les photos.
C'était pour descendre au Supermarché Leclerc acheter un appareil photo jetable, pour avoir des preuves indiscutables de l'organisation prévue par le gang, que j'ai eu l'imprudence de prendre le vélo Starnord qu'elle avait soigneusement préparé pour cela. La suite est précisée dans mon récit. Je suis donc descendu au Leclerc dans la voiture des voisins « Plantefayard », et suis remonté à pieds. Voilà pourquoi la lumière est basse et médiocre, avec cet appareil jetable. Il se faisait tard. Voici le ticket de caisse des deux quicksnaps jetables à 59 F, samedi 18 juillet 1998, à 17 h 18 :



Passons à ce joli changement de version dans l'histoire personnelle d'Annie, de sa mère et des projets matrimoniaux formés par ladite mère. Une des deux versions est mensongère. Ou toutes les deux. Quand nous étions à Saint-Quentin, Annie nous avait conté par le détail le bras de fer entre elle et sa mère, qui voulait la faire avorter de son aînée, car elle voulait la marier au pharmacien du coin de la rue – qui était toujours propriétaire de la pharmacie au jour du récit. Peut-être que la première version était fausse, mais en tous cas, Annie a menti au moins une fois pour cette histoire.

Joli, le couplet : « ° Enfin, nous sommes catholiques et la religion catholique interdit ce genre de pratique. ». Voyons, rappelez moi déjà la date de la bulle d'Innocent IV, légalisant l'usage de la torture dans les procès d'inquisition : Ad extirpanda, 15 mai 1252. Confirmée par le pape Alexandre IV le 30 novembre 1259, et par Clement IV le 3 novembre 1265. En somme : catholicisme implique honnêteté et moralité ?

Passons à l'accusation de confusion mentale, contenue dans ce passage : « puisque je fais partie du « trio misandre qui détient (sa) fille en otage depuis Septembre 2001 »... mais je ne vis nullement, même si pour lui la grande majorité des femmes non contentes d’être folles sont lesbiennes, avec sa future ex-épouse ». Mhouais, je suis donc censé confondre Annie B. qui selon sa pièce d'identité est née le 8 février 1949 à Saint Quentin, qui mesure nettement moins d'un mètre soixante, et qui habite à Saint-Quentin, avec Claude, Manuelle (ou Marielle?), Christine M., épouse (ou divorcée depuis ?) PdF., née le 6 juin 1965, et qui est beaucoup plus grande puisqu'elle mesure 1,63 m selon la pièce Zantafia n° 119, qui a un appartement à Chamonix, et qui résidait alors officiellement à CdR... Félicitations à C. M. si elle a bien réussi, ce que prétendit ma fille, à faire chanter juste Gazonbleu. Je n'avais pu que renoncer. Fortes réserves si elle s'est mise en tête de la faire chanter en soprano des airs d'opéra, tels l'air de la Contessa, alors que Gazonbleu continue de parler en mezzo, sa voix naturelle... Mais jusqu'où n'irait-on pas pour se recréer sa môman idéale, en synthétique !
Bin oui, je ne puis que confondre, puisque je suis censé être le ridicule qu'on a bien raison de faire haïr par mes enfants ! Il faut bien justifier les crimes par tous moyens.

Nous reviendrons sur les autres mensonges et affabulations d'Alie Boron.

Mise à jour du 20 juin : corrigé un pluriel à un participe passé,
précisé "les cadences infernales",
ajouté les deux images.


...


Dernière information intéressante : "Alie Boron" passe régulièrement scruter aussi bien Paternet que ForumQuébec, pour vérifier si sa passion de la calomnie et sa joie de nuire produisent bien la nuisance qu'elle espérait... Ce sont là de très-chrétiennes vertus !
_________________
Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..


Dernière édition par Synapse le 20 Juin 2004 14:21; édité 5 fois
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