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Accueil > Littérature & Poésie > Trompettes de la calomnie !
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Avenger72

Inscrit le: 25 Mar 2004
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MessagePosté le: 19 Juin 2004 20:33 Répondre en citant

...

Dernière édition par Avenger72 le 10 Aoû 2004 10:11; édité 1 fois
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
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MessagePosté le: 21 Juin 2004 2:59 Répondre en citant

Ouaip ! Mauvaise nouvelle pour les faux témoins...
En plus de surveiller ForumQuébec.com et paternet.net, voilà qu'il lui faut aussi surveiller SOS Papa !
http://www.forumsospapa.org/phpBB2/viewtopic.php?p=539

Ah puis j'oubliais, il lui faudra aussi surveiller Framasoft ! Je lui laisse chercher l'adresse exacte.

Personne n'a assez de mémoire pour faire longue carrière dans le mensonge... excepté avec l'aide de la force des baïonnettes, des mitrailleuses, et des gaz de combat.
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Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 21 Juin 2004 8:17 Répondre en citant

Habitude a écrit:
... Que tu sois un mauvais père et même un mauvais mari, ...

Personne n'a le privilège de se tromper toujours à 100 %.

C'est vrai que je n'ai pas été capable de trouver à l'extérieur du secours compétent, à temps. Je n'ai du reste toujours pas la moindre idée où ni qui, sur Saint-Quentin, qui aurait eu la compétence nécessaire en psychopathologie familiale. Après les années les plus atroces, j'ai bien fini par appeler au secours de vieux amis, en novembre 1992, en février et mai 1993, totalement en vain, puis le 18 août 1997. Les trois premiers courriers sont en ligne. Le dernier n'est pas encore en ligne ; dommage du reste, car ce fut la première fois que j'ai appelé l'ironie à mon secours pour décrire les plans criminels de l'intérieur, depuis l'esprit même des conjurées criminelles. Grâce à l'ironie, ce fut la première fois que je fus compris - Oh, pas entièrement, mais au moins à 30%.

C'est longtemps après, décembre 1998, puis surtout par la bibliothèque universitaire, que j'ai appris que ce genre de compétences professionnelles commençait d'exister parfois en France.

Remarque que, dans les années 60, j'ai aussi été un "mauvais fils" selon tes critères. Je n'avais pas la plus petite idée pour remettre d'aplomb des parents qui déconnaient sévère. Je me suis mis à l'abri, je me suis tenu à distance.

Remarque qu'à cette époque là, rien, personne de compétent en matière familiale. Ça ne se faisait pas.

J'ai déjà publié cette analyse dans le chapitre "Un de nous deux est fou; Lequel ? Ou les deux ?", notamment dans le paragraphe "7.6. Ne pas savoir trouver du secours à l’extérieur."
http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html#_Toc48894603

Et toi ? Qu'aurais-tu réussi, dans des conditions similaires ?
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BelAnge

Inscrit le: 11 Oct 2003
Messages: 664

MessagePosté le: 22 Juin 2004 12:28 Répondre en citant

Vous amenez un point de vue qui diverge des écrits de notre ami Synapse... et c'est votre droit. Mais depuis que je le lis, trois ans maintenant, j'ai appris à discerner l'homme blessé derrière les écrits et quand je le lis, maintenant, c'est l'homme dans son intégrité que je reconnais. J'ai confiance dans le regard qu'il porte sur sa situation, il s'est donné une formation qui lui permet un regard plus détaché et très lucide. Le vôtre vous appartient et ne me rejoint en rien... celui de Synapse, oui. J'ai vu l'homme évoluer au cours des années et je le respecte énormément. Il peut compter sur mon soutien...

Quand vous parlez du fait que parce qu'il s'est offert des études il a peu offert financièrement à sa famille, et que ça semble vous apparaître répréhensible, dans mon regard de nord-américaine je trouve que cet homme a été courageux d'aller au bout de ses rêves, de pousser plus loin sa curiosité intellectuelle... L'argent, madame, n'est pas tout dans la vie et l'«avoir» ne devrait jamais être mis devant l'«être». Se former, c'est prioriser l'«être» en mouvement et léguer à sa progéniture une richesse sans limites... sans aucune mesure avec les biens pécuniers de ce monde.

Désolée, je suis en désaccord avec votre façon d'aborder cette situation...
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Que pourrais-je ajouter quand respirer est la clef? Respirer et respirer encore... Vivre quoi! !
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 22 Juin 2004 16:09 Répondre en citant

BelAnge a écrit:
...
Quand vous parlez du fait que parce qu'il s'est offert des études il a peu offert financièrement à sa famille, et que ça semble vous apparaître répréhensible, dans mon regard de nord-américaine je trouve que cet homme a été courageux d'aller au bout de ses rêves, de pousser plus loin sa curiosité intellectuelle... L'argent, madame, n'est pas tout dans la vie et l'«avoir» ne devrait jamais être mis devant l'«être». Se former, c'est prioriser l'«être» en mouvement et léguer à sa progéniture une richesse sans limites... sans aucune mesure avec les biens pécuniers de ce monde.

Désolée, je suis en désaccord avec votre façon d'aborder cette situation...

Merci BelAnge, de ce message de remise en place. Sachant combien on s'est parfois empoignés, j'en apprécie d'autant plus le recul que tu as su prendre.

Il faut toutefois préciser que chaque fois que Annie, "Alie Boron" prétend tels ou tels faits, ils sont faux ! Mentir à 200% est un principe stratégique, dans ce gang. Autrement dit : Calomniez ! Calomniez toujours ! Il en restera bien quelque chose !

La balance études/travail rémunéré qu'elle prétend, n'a jamais existé. Et toi, tu interprètes comme "culture de l'esprit", ce qui est louable, mais aussi inexact.

D'autre part, Alie Boron joue de la confusion des mots : Un ingénieur d'études, un bureau d'études développent des projets, pour une réalisation. Ce qui n'a rien à voir avec "suivre des études". Mais ce jeu de mots aide à lui permettre d'échapper à une condamnation au pénal : "Oh ! Je me suis mal exprimée !" qu'elle prétend.

Dans l'armée, un officier qui prend sa retraite a suivi en moyenne douze ans de formations permanentes.

Au contraire, un prof de collège comme A.B. ou comme mon épouse, perd très vite sa qualification scientifique initiale, car il ne fait plus que de l'alphabétisation et du rabâchage très primaire. C'est particulièrement frappant en mathématiques, leur spécialité à chacune. Zéro actualisation des connaissances, zéro évolution du monde scientifique extérieur dans leur spécialité : les malheureux (malheureuses ici) s'encroûtent à une vitesse terrifiante, et deviennent vite des ignares dans leur propre spécialité, hors du rabâchage de collège. Mon épouse ne s'est jamais cachée d'en souffrir. Garantie de l'emploi, mais au prix d'un abrutissement professionnel, sans aucune évolution de carrière.

Ceci explique une partie des jalousies d'A.B. envers les cultures scientifiques et techniques que j'ai bien été contraints d'ingurgiter au cours des péripéties de ma carrière professionnelle. Une carrière atypique au possible.

Dans l'ensemble des formations professionalisantes en reconversions, que j'ai suivies de 1976 à 1978, il m'est arrivé de commettre des erreurs du jugement, de trop entreprendre, trop embrasser. Entreprendre une négociation commerciale audacieuse plusieurs mois trop tôt, compromettant un projet universitaire encore difficile et exigeant. Sans aucun doute, hélas. Mes projets ont parfois souffert de périodes d'indécision, voire de désespoir. Tout ceci est public : je n'en fais pas mystère.

Les années 1997 à maintenant sont contées au fil http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2190 , en réponse à Allorex, qui exprimait combien en affaires familiales, les psychiatres qu'il avait rencontrés, furent plus fiables que tous les autres acteurs. J'y explique comment l'Education Nationale utilise nos impôts, à payer des fonctionnaires en bonne santé à ne rien faire, pour protéger les malversations d'un ripoux.

L'essentiel était d'échapper de mon vivant à mes deux tueuses à domicile : l'isolement de la maison et de la propriété laissaient le champ libre aux deux conjurées pour combiner les pires traquenards, loin de tout témoin. Vous avez le plan plus haut, et le cadastre sur mon site. Etait-ce pour trois semaines ? Pour quatre semaines ? Pour trois mois ? L'Education Nationale laissait le mystère noir à ce sujet.

Il est un autre genre de mode de formation qu'Alie Boron n'oserait mentionner, ce fut durant deux mois de l'été 1979, d'avoir négocié avec le Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées, un stage gratuit et informel, de gré à gré, pour m'initier aux techniques de la géotechnique routière. Ce fut là un apport technique inestimable, et cela jusqu'au contrat de 1983-1984 avec Stargil. Bien que mes jeunes collègues fussent tous les trois issus du génie civil à l'INSA, tous ne connaissaient que le béton, aucun n'avait approché les techniques de caractérisation des sols et des argiles, ils n'avaient aucune notion de minéralogie, etc. C'est moi qui ai tout apporté, aussi bien le bagage technique que le bagage scientifique. Oh, l'usine tournait déjà avant mon arrivée, sauf qu'elle ne produisait que des rebuts, dont les acheteurs exigeaient remboursement... J'étais embauché comme inventeur de rechange. Après la liquidation de Stargil, c'est le Laboratoire Central des Ponts et Chaussées qui a récupéré le plus gros de nos travaux. L'ingénieur Leroux ne crachait pas dessus : il y a assez de chantiers en Guyane, voire en coopération en Afrique, sur sols ferrallitiques, où mes travaux kaolinite-chaux-soude, a fortiori kaolinite-gibbsite-chaux-soude, sont utilisables, en complément des avancées LCPC et internationales précédentes.

Durant toute ma carrière, jusqu'en 1995, je n'avais jamais eu de garantie de l'emploi nulle part. Un chercheur, si sa spécialité disparaît, doit repartir de zéro, mais plus tout jeune... Ce que je ne pouvais deviner, c'est que quelles que soient les études de reconversions réussies, vers le marketing industriel, justement pour gagner moins mal ma vie, le regard extérieur des recruteurs resterait définitif et figé : "Vous êtes un chercheur, et pas un marketeur ! Sauf que votre spécialité d'ingénieur chercheur, on n'en a pas l'usage. "

Ce rempart de préjugés, je n'ai jamais réussi à le percer. Peut-être aussi a-t-on deviné que je n'étais pas du tout menteur, donc inapte aux réalités du commerce ?

Depuis ce temps là, j'ai donc une formation managériale, qui n'a jamais pu servir à rien qui soit rémunéré. J'ai une formation à certains principes de communication commerciale, qui ne sert qu'à des services ponctuels et bénévoles, par exemple à Framasoft...

En fait, le seul domaine où je pourrais réussir une dernière carrière de consultant, c'est dans la formation à la créativité. Hélas la créativité technique est passée de mode : l'industrie est en disparition accélérée en France, étranglée par la concurrence chinoise, et d'autres pays où les ouvriers sont payés au lance-pierres. On ne s'occupe plus du tout de créativité technique, d'innovations, de nouveaux produits, ni même de qualité, on ne s'inquiète plus que de baisser les coûts et de jeter davantage de personnel.

Quant à la créativité dans le domaine scientifique, universitaire, ce marché est à créer de toutes pièces : il est de larges domaines (c'est typique en physique), où mes collègues universitaires n'ont jamais rien soupçonné de leurs insondables carences professionnelles en méthodologie de la créativité (ni du reste en interopérabilité interprofessionnelle), et n'ont pas la plus petite envie de remettre en cause leurs complexes de supériorité envers toutes les autres professions. Et pourtant !
Un marché à créer de toutes pièces, en milieu hostile et sinistré, et il ne me reste probablement plus assez d'années à vivre.
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BelAnge

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MessagePosté le: 23 Juin 2004 5:53 Répondre en citant

tu y es pour beaucoup et cela m'a permis d'apprendre. À me coltailler avec toi, j'ai appris à faire la différence entre ce que tu écris, ce que tu vis et comment cela résonne en moi... Je me suis mis à te lire toi, à te découvrir au delà de l'effet premier qui m'avait tant heurté. Mais c'est l'effet produit, donc ma structure qui recevait tes textes, avec lequel j'ai travaillé sur moi.

À travers tes textes, je t'ai vu évoluer... Mais sache que jamais je n'ai remis en doute ton histoire, d'aucune manière... On n'invente pas une histoire pareille et on ne réagit pas comme tu réagissais sans avoir un vécu empreint d'une telle violence destructrice à ton endroit... Je t'ai cru dès le départ et je te crois toujours. C'était ta façon de t'exprimer et le ton de certains textes ou thèmes, parfois répétitifs, qui me dérangeaient, pas leur contenu... Sois en assuré.

Avec le temps, j'ai appris à t'apprécier et à ne plus être heurtée par le contenu et la forme de tes écrits. En fait, l'effet passé n'est plus là du tout... J'ai évolué aussi.

Merci!
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BelAnge

Inscrit le: 11 Oct 2003
Messages: 664

MessagePosté le: 23 Juin 2004 7:18 Répondre en citant

Je crois comme toi que la créativité, quelque soit le domaine scientifique, a peu de place. C'est comme si on sortait de la planète mars. Ce que j'en ai appris, sur le terrain du counseling et de la psychologie (à Québec du moins), c'est que si on diverge un tant soit peu des lignes directrices des professeurs qui jouent le rôle de grands manitous (genre qu'après Dieu il y a eux) et que comme petite étudiante, mon point de vue n'a que très peu de valeur, à moins que ça alimente leur propre port folio, évidemment.

Mais j'en ai rencontré d'autres, de l'unviersité de Sherbrooke, qui me sont apparus plus ouverts, où la créativité semble plus prégnante. J'ai rencontré un prof européen (Charles-Henri Amherdt) qui a créé un outil de diagnostic en santé émotionnel au travail, très intéressante approche, qui va vérifier l'état du «flow» chez les personnes. Je n'ai pas lu là-dessus alors je ne peux pas vraiment aller plus loin, cependant j'ai assisté à une conférence et un atelier du monsieur,puis je l'ai rencontré à deux reprises et il est inspiré, aucun doute là-dessus. Je lui ai offert mes services de rédactrice. Je me croise les doigts... Quand la créativité se met au service de la santé psycholgoqique, je suis preneuse... et je peux facilement, tu t'en douteras, écrire des heures et des heures là-dessus. En soi, ce prof est une ouverture sur la créativité. Est-il seul ainsi à Sherbrooke? Je ne sais pas, je l'ai rencontré ailleurs (Québec et Saint-Hyacinthe). Y a-t-il d'autres chercheurs universitaires qui soient inspirés, créatifs et généreux au niveau relationnel? Je ne peux dire. Je n'en ai pas vraiment rencontré à l'université Laval, mais encore là, je n'ai pas fait le tour. Depuis que je suis entrée dans mon département, tous les profs ont changé... les nouveaux comme les anciens semblent en quête d'une renommée, d'un statut, bien plus que d'une inspiration créative... ils gonflent leur curriculum vitae pour atteindre leur agrégation, mais donnent peu aux étudiants inspirés qui aimenraient se rattacher à leurs recherches...

Bof, moi et l'université... qui sait, peut-être qu'on n'est pas si fait pour s'entendre que ça... mais Dieu que le doctorat m'attire! Ça me prendra quelqu'un d'inspiré et d'ouvert à ma créativité pour me diriger en tout cas. Trouverai-je? On verra bien...
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Avenger72

Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483

MessagePosté le: 23 Juin 2004 11:29 Répondre en citant

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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 29 Juin 2004 16:53 Répondre en citant

A cette heure-ci, Alie Boron scrute Paternet, puis ForumQuebec, afin de vérifier si sa passion de la calomnie me nuit bien autant qu'elle le désire si passionnément...

____________
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des connaissances, par une croyance de base : nous croyons que les experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre la peine de vérifier, par des expériences.


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Avenger72

Inscrit le: 25 Mar 2004
Messages: 2483

MessagePosté le: 29 Juin 2004 19:21 Répondre en citant

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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 30 Juin 2004 2:14 Répondre en citant

Avenger72 a écrit:
Je te dit bonjour mon bon Synapse... tu es le soleil de nos vies...

Amicalement Avenger72

Pipeau ! Pipeau !
Avenger72 a écrit:
Merci Madame Alie Boron,

Votre courage et la précision apporter ici nous aides a mieux comprendre et cerner les délires de cette personne... merci... mais cela ne fais que confirmer ce que tous, avaient déduit en raissonnant sur les écrits de haines et plein de venin de le dite personne... :roll:

Toujours avoir les deux versions d'une histoire aide à la mettre en perpective, je suis convaincus Doorman que c'est important de ne pas l'éffacer !!! :biere2

A+
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 18 Aoû 2004 3:24 Répondre en citant

Message édité par masterjim car il existe déja ici
http://www.forumquebec.com/forum/ftopic5103.php

Prière de ne pas partir plusieurs fils sur le même sujet (surtout un nouveau)
Merci de votre compréhension.
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bachi

Inscrit le: 08 Sep 2003
Messages: 508

MessagePosté le: 18 Aoû 2004 12:04 Répondre en citant

Ce n'est pas correct ce que tu as fait, Masterjim.
L'écrit supprimé, pour moi, était très littéraire et il avait très bien sa place ici aussi.
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Masterjim

Inscrit le: 18 Nov 2003
Messages: 837

MessagePosté le: 18 Aoû 2004 15:49 Répondre en citant

bachi a écrit:
Ce n'est pas correct ce que tu as fait, Masterjim.
L'écrit supprimé, pour moi, était très littéraire et il avait très bien sa place ici aussi.


Désolé si ca en brusque plus d'un mais Synapse n'est pas a son premier acte de ce genre, c'est une des raison de mon action.

Un message poste en nouveau sujet ne devrait pas etre copier collé dans d'autre il me semble que c'est logique on le lit une fois et c'est tout.

Citation:
B) Respectez les opinions et le fil de discussion
4- Ne pas s’acharner à débuter plusieurs fils de discussion sur un même sujet.


Je sais que ce n'est pas de l'acharnement dans son cas MAIS c'est une habitude que je dois réduire.

Je ne ferais JAMAIS cela si la personne l'avait fait une fois... mais il est rendu a sa 3 ou 4ieme fois... alors j'agis.

Merci de votre compréhension
_________________
Vous êtes tanné de ne rien savoir???
De voir que des gens "tellement meilleur" trouvent tout sur le net??

Allez y c'est gratuit!!
www.google.com
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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 19 Aoû 2004 13:15 Répondre en citant

Alie Boron a écrit :

Alie Boron a écrit:
"qu'il ne faisait pas davantage de travail dans la maison, je ne l'ai jamais vu un pinceau ou un marteau à la main. C'était Gazonbleu et Frédégonde, même petite fille, qui faisaient, comme elles pouvaient, tous les travaux dans la maison. Rajouter des prises électriques, reboucher des fissures, repeindre... Lui, pendant ce temps, se distrayait dans son bureau,"

L'avantage de se faire attribuer provisoirement par la juge, c'est à dire pour quelques dizaines d'années (provisoirement-définitivement, quoi), la maison et la totalité des biens du ménage, ainsi que la quasi-totalité des biens personnels du mari, c'est qu'on a fait main basse aussi sur toutes les archives du ménage, toutes les factures, toutes les photos, toutes les contre-preuves à chacun des mensonges que l'on a envie de faire gober par la juge complaisante.

Au calomnié et volé, il ne reste que les quelques rares témoins non encore décédés, pas terrorisés, pas acquis à l'ennemie mortelle. Remarquez, l'avocate la connaît bien, sa juge, et envoie à la poubelle les trois quarts de ces témoignages trop timorés, trop "balancés"...

Alors voici quelques photos :

Alors mon brave ? On sarcle ?


Et puis voilà qu'on coud, maintenant ?


Ici je couds un abri moustiquaire pour le petit-fils de m'Amie, Ryu : il y a des abeilles et des guèpes sur ce jardin ouvrier, attirées notamment par les prunes tombées, et sa mère aime bien le laisser dormir pendant qu'elle jardine.

Faut-il rappeler le nombre de fois où dans mes récits de montagne, je décris les travaux de couture faits à divers matériels ? Un auvent de tente canadienne prêté fin juillet 1970 à Elisabeth et à Gazonbleu, modifications à l'abri Zdarski, au sac de bivouac pour en faire un biplace, remontage de deux duvets Topiol achetés au BHV pour en faire un biplace de couple, et ouvrant, élargissement de la cape à bosse grise vieux Campeur, deux nouveaux abris de bivouac Vieux Campeur transformé en biplace, etc, etc. Puis en octobre 1998, nouveau sac de bivouac biplace (décrit à l'adresse http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/opereGette.html#4.8.1.).
Hé oui, dans ce ménage, c'était non seulement moi qui faisais tous les courriers et toutes les comptabilités, mais aussi moi qui cousais : homme dactylo, homme couturier, homme maçon, homme bûcheron, homme peintre, homme menuisier, homme électricien et électronicien, homme mécanicien, homme polyester, et plus grave encore : homme témoin, donc un homme à abattre...

Une seule photo est jointe à ces mémoires pour le moment : les transformations faites à la tente suédoise de 1970, pour le mini-tour d'Oisans fait avec Gazonbleu, en août 1977, qui en font une semi-isothermique, en ajoutant des murailles et des pignons-absides au double-toit (d'origine trop ouvert, ne protégeant pas sac ni chaussures par vrai mauvais temps) :


La photo est prise ici, à Vaulx en Velin.


Alie Boron a écrit :
Alie Boron a écrit:
"Synapse entra dans une colère sans nom à son égard, je pense qu'il l'aurait frappée si ma chienne-boxer n'avait pas montré les crocs en grognant, il savait qu'elle était de défense et avait déjà mordu . ... car ma fille et son chien l'avaient mis hors de lui. A dater de ce jour, quand par hasard il vint chez moi, je le reçu sur le pas de la port quand mon mari était absent, craignant pour la sécurité de mes enfants et la mienne... et la sienne, car ma chienne aurait bien voulu goûter à un de ses mollets"


Gazonbleu détient toutes les factures, donc aussi les correspondances avec la MAIF, qui remboursa à une infirmière libérale huit jours d'arrêt de travail. Oui, notre chien l'avait mordu après qu'elle m'ait bousculé, femme bourrue et pressée... Nabis était un beauceron de la S.P.A. Un chien difficile et dangereux, autrement plus grand et plus redoutable que la très modeste chienne d'Alie Boron... G.P. est un homme trop terrifié pour témoigner de ce qu'il a vu : quand il a fait le voyage en juin 1983 avec Gazonbleu de Saint-Quentin à Saint-Méen, pour meubler quelque peu l'appartement HLM que j'avais pu prendre près de l'usine Stargil, Gazonbleu a essayé à plusieurs reprises de perdre Nabis en forêt... G.P. en était tout de même choqué.
Ma mère a élevé des lévriers sloughis. Quand du 5e étage, ils entendaient le tic-tic de roue libre, et la béquille de ma mobylette dans la cour, ils bondissaient de joie et leurs queues faisaient des moulinets. Photos ? Non, je ne suis pas dessus. Témoignages alors ? Ah non alors ! Synapse est un mec, même si c'est mon fils (resp. mon frère), alors pas question de démontrer qu'Alie Boron ment sur ce point comme sur tous les autres : solidarité féminine avant tout !. Que me reste-t-il alors ? Des photos peut-être ? En voici quatre, prises chez un de mes élèves, avec Cheyenne et Oscar :



Ça, c'est le portail. Pas de sonnette : les chiens font l'affaire.

Maintenant voici Oscar se faisant flatter :


On ne le voit pas sur la photo, mais ce sac vert et rouge est largement réparé par moi : boucles cassées et réparées, bretelles réparées. Il avait été acheté 30 F en 1995, soldé gâté par l'inondation.
Bin oui, quoi, l'homme entretenu par nous-les-femmes...



Cette fois Cheyenne et Oscar sont tous deux sous un de mes bras.

Et maintenant on voit le museau de Cheyenne, bergère allemande.


Le 30 mai, simultanément sur paternet.net et sur ForumQuébec, Alie Boron a voulu renforcer ses mensonges préférés, en ces termes :

Alie Boron a écrit:
" ° l’autre où il a agressé verbalement ma fille, chez moi, sur un ton très menaçant. Ce jour-là ma chienne,comprenant que sa maîtresse était en danger, s’est placée entre - eux ,poil hirsute, babines retroussées en position d’attaque, n’attendant que l’ ordre d’attaquer ( c’était un boxer dressé à la défense par le maître-chien de la gendarmerie qui faisait son travail).Je pense, que sans la chienne il aurait frappé ma fille, ce fut aussi l’impression de mon gamin qui avait alors huit ans et qui s’en souvient encore tant il a eu peur pour sa soeur. Bien sûr, je ne l’ai plus jamais autorisé à rentrer en l’absence de mon mari . Il est outré que j’ai pu insinuer qu’il eût eu peur du chien. Un homme comme lui n’a pas peur des chiens ! ".

Bien sûr, si l'injuge aux affaires antifamiliales était une personne qui ait les moyens et l'envie de faire correctement son travail, alors les délires d'Alie Boron auraient été envoyés direct à la poubelle par l'avocate de Gazonbleu... Bien sûr, mais la réalité au T.G.I. est exactement à l'opposé de ce qu'elle devrait être...


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Synapse

Inscrit le: 28 Sep 2003
Messages: 897

MessagePosté le: 04 Sep 2004 14:24 Répondre en citant

Il n'est pas inintéressant d'aller voir la plus délirante des faux témoins péter les plombs sur ForumQuébec.
http://www.forumquebec.com/forum/ftopic3286.php
http://www.forumquebec.com/forum/ftopic5238-0-asc-20.php

Sur paternet.net aussi, mais là elle a renoncé à insister, vu le flop... : http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=1338
http://www.paternet.net/salon/forum/viewtopic.php?t=2006

L'original de son attestation mensongère et délirante est toujours visible à l'adresse http://perso.club-internet.fr/lavaujac/mission_parricide/la_piece_16.htm


Depuis le temps qu'on lui promettait une glorieuse promenade militaire sans risques, avec impunité garantie, elle se sent maintenant devenir une infortunée victime de sa fourberie et de sa passion de nuire à son prochain... Elle n'avait pas prévu le WEB : une nouvelle liberté de la presse. Comme l'incurie militaire n'avait pas prévu le télégraphe et les correspondants de presse, qui tous les soirs décrivaient au public du Times comment les soldats britanniques mouraient de faim, de froid, du typhus, des blessures non soignées...

Le télégraphe n'a pas créé les personnalités de Florence Nightingale ni de Henry Dunant, mais leur a donné les moyens de leur action.


Aujourd'hui, 4 septembre 2004, cela fait 1644 jours que je n'ai plus jamais revu ni entendu ma fille.
2372 jours que j'ai réussi à voir mon petit-fils cinq minutes, avec chance et persévérance...
2505 jours que ce petit-fils est interdit de voir son arrière-grand-mère, depuis le 26 octobre 1997, par violence pure.
Ainsi est consacré le triomphe de la violence perverse. Et le reste est à l'avenant.

Je répercute aussi sur deux niouses-groupes, afin que Gougueule s'en souvienne pour longtemps. Tant que le scandale ne sera pas encore gros, rien ne bougera vraiment...


_________________

Les morts ne témoignent pas. Moi si, jusqu'à présent.
Et cela, les imposteurs et les faussaires le détestent, le détestent, le détestent, mais le détestent !..
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