Des
carrières de pervers histrioniques
dans le crime
organisé : Alie Boron, Jeanpapol, et les autres.
Introduction et problématique
Au temps où la première partie de ce chapitre fut
écrite (celle consacrée à la
part prise par "Alie Boron" à la campagne de calomnies), on
ne
disposait
de presque rien pour penser et comprendre ces organisations
perverses, ces
conspirations soudées par la joie de nuire. On ne
savait
rien de général sur
les alliances fonctionnelles du pervers en chef et des pervers
suiveurs, sauf
ce qu'écrivait Heinz Leymann dans son Mobbing,
la
persécution au travail,
mais
nous l'ignorions - première parution en 1993, traduction au
Seuil en 1996.
Seule Marie-France Irigoyen était en train
d'écrire son
futur best-seller
"Le
harcèlement moral, la violence
perverse au
quotidien", et commençait à
caractériser
les pervers en chef comme des
psychotiques qui ne décompensent pas. Première
parution
en 1998. Aucun des
livres de Hurni et Stoll n'étaient parus. Irigoyen ne les
cite
jamais, et ne
cite que Paul Racamier. Les articles et ouvrages de Racamier,
créateur de la
notion de pervers narcissique, n'étaient connus que des
universitaires
spécialisés. Restriction encore : Irigoyen
décrit
assez bien les pervers
narcissiques, alors qu'il me semble que je sois le premier à
décrire les
pervers histrioniques, lesquels ne sont que rarement des chefs
harceleurs
("Jeanpapol" est l'exception triomphante), mais sont de toutes les
complicités
de harcèlement.
Nous ignorions alors tout de l'alliance fonctionnelle si
caractéristique entre
le paranoïaque pervers et l'histrionique pervers, et nous
n'avions
aucune idée
encore de leur obsession commune d'abattre les Justes, les trop
honnêtes, les
trop altruistes, dont la rigueur morale leur est un affront et une
menace. Ou
de préférence, d'abattre le plus Juste, le plus
courageux, afin de terroriser
les autres. Toute l'organisation sociale de la perversité
nous
échappait en ce
temps-là. De plus, je me voilais la face sur l'organisation
du
sadisme
anti-mâles dans ce qui restait de ma famille d'origine.
Là
encore, revoir en
perspective mon aveuglement à leur
égard, donne le
vertige à l'auteur.
De plus, la problématique systématiquement
misandre,
pratiquée par les
perverses sur lesquelles je butais ces années là,
m'égarait. Il a fallu toutes
les démonstrations de
Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/D..H..T_J..n-P..l/vendredi, et
sa
fantastique carrière de truand
protégé, pour me
faire comprendre que
quoique l'économie du voyou
protégé,
chargé de molester le bouc émissaire, soit
bien majoritaire dans les sectes de la misandrie victimaire,
néanmoins elle la
déborde largement, au moins dans toutes les militances
victimaires ayant
vocation à devenir bourreaux et bourrelles à leur
tour.
Tel paranoïaque, ou
dans une version plus faible, tel vaniteux inquiet pour son narcisse,
est
créateur d'un marché de la maltraitance et de
l'assassinat discret par tous
moyens, légaux inclusivement. Le pervers histrionique
est le mieux adapté pour
répondre à ce marché, et y faire
fortune, capable
de contrefaire toutes les
figures, simuler toutes les opinions selon l'opportunité.
Ainsi
fonctionnait le
couple fonctionnel de Staline et de Béria.
Le second des marchés sur lequel le pervers sadique
opère
et profite, est celui
de la lâcheté, plus
précisément du sadisme
pour lâches : Tout lâche se sent
devenir fort et puissant, lorsqu'il applaudit aux
persécutions
menées par un
sadique, et y participe avec ses moyens de lâche. Cela fait
partie des
vingt-cinq compétences que nous partageons avec les cousins
dont
nous nous
sommes séparés depuis 312 millions
d'années : les
reptiles. Un pervers
histrionique peut conquérir un pouvoir énorme,
s'il sait
flairer et flagorner
ces demandes de lâches, de se sentir puissants par
participation
à une
entreprise sadique.
Une nosographie de laquais au service de la puissance
politique
De plus nous ignorions encore à quel point la
nosographie
psychiatrique
disponible nous égarait. Ouvrez un DSM IV (Diagnostic and
Statistics Manuel for
Mental Diseases), ou la CIM-10 française, et cherchez
partout
où pourraient
bien être définis et décrits la
perversité
narcissique, le sadisme organisé, et
la passion avaricieuse. Rien, rien de rien... Circulez ! Y a rien
à voir ! Evidemment
qu'il y a un gros biais d'adressage : avez vous jamais vu quelqu'un
allez
consulter un psychiatre pour se plaindre de son propre sadisme ? Ou que
son
sadisme est en panne ? ou se plaindre qu'il a une difficulté
à suicider son
bouc émissaire du jour, que le souffre-douleur
attitré se
met à lui résister
efficacement ? Ou se plaindre que les ruses d'avaricieux
qu'il
emploie pour
martyriser son entourage, commencent à le gêner et
le
martyriser lui-même ?
Redescendons sur Terre : aucun de ces gens-là ne consulte
jamais.
Vous ne trouvez aucun mot comme "pervers" ou "perversité"
dans
l'index du gros
manuel de psychopathologie de Durand et Barlow, traduit chez De Boeck.
Vous
trouverez deux paragraphes sur "sadisme sexuel", mais jamais rien sur
"sadisme"
tout court. Encore moins sur d'autres formes de prédation
à grande échelle,
pouvant aller jusqu'à l'organisation de
génocides. Le
psychiatre semble
considérer que tout ceci ne le concerne pas, et cela
jusqu'à ce que ce soit son
tour, à lui aussi, de se retrouver en camp de la mort. Et
quand
il y sera lui
aussi, il sera trop tard...
Un peu plus de recherche dans ces textes de
référence
nous révèle que la
lâcheté sociale est un des grands
principes
organisateurs du DSM, comme du
reste de la majorité des manuels de
psychiatrie. Prenons
l'exemple des troubles
de conversion (encore appelés hystérie), pages
531
à 538 dans la traduction
Masson du DSM. Pages 533-534 : "Il ne faut pas porter un
diagnostic
de
Trouble de conversion si le symptôme correspond en
tous
points à un
comportement ou à une expérience culturellement
déterminés. Ainsi des
"visions" ou des "envoûtements", comme il en existe dans
certains
rituels
religieux, où ces comportements sont encouragés
et
attendus, ne justifient pas
un diagnostic de Trouble de conversion, sauf si le symptôme
va
nettement
au-delà de ce qui est attendu dans ce contexte... Dans
l'hystérie épidémique,
un groupe limité d'individus partage les mêmes
symptômes après exposition à un
facteur précipitant commun."
En clair : n'est malade qu'un isolé social.
Tout groupe
malade, ayant la
puissance des groupes de pression au Congrès, et la
puissance
des fusils à
lunettes, cesse automatiquement d'être
considéré
comme malade. Groupez une
secte ou une église autour de vous, et vous cessez
automatiquement d'être
malade mental : vous devenez une puissance avec qui il faut compter...
Soyez toute une secte de féministes victimaires accusant
tous
vos hommes de
perversité, d'autoritarisme, de viols, d'incestes, de
violences,
d'immaturité,
d'ivrognerie, etc. etc. etc. et aussitôt vous cessez
d'être
des malades
mentales : le nombre et la puissance du lobby vous ont
sanctifiées. Avec le
seul DSM, vous aurez de même toutes les peines du monde
à
diagnostiquer John
Edgar Hoover, directeur du FBI de 1924 jusqu'à sa mort,
l'une
des plus grandes
ordures et des plus grands criminels du 20e siècle. Il
était aussi derrière
l'assassinat de J.F. Kennedy. Aussi... Il était
évidemment l'homme qui
manipulait le sénateur McCarthy poussé au premier
plan,
et fut directement
responsable de l'exécution de quantité
d'innocents,
notamment par la confection
de quantités de fausses pièces soit pour la
justice, soit
pour les média. Il
était l'homme qui intoxiquait James Forrestal de nouvelles
biaisées. Jusqu'à ce
qu'il le lâche et le fasse exécuter
(défenestration).
Il était l'homme de la Mafia, à la tête
du FBI.
Hoover ne se résigna à agir,
mollement, contre la Mafia que sur l'insistance de l'Attorney
général, Robert
Kennedy. Bien sûr, Hoover se débarrassa
bientôt de
Bob Kennedy, par
assassinat.
Toujours pour la même raison (flagornerie envers les
puissants),
le concept
d'aliénation tout court est inconnu du DSM. Bin oui, les
Etats
sont un pays où
"In God we trust"... Et en connaissez-vous une
seule, de
religion ou de
secte, qui ne soit fondée sur l'aliénation ?
Dès
1852, Charles
Lasègue publiait un livre "Le
délire de
persécution", qui fera date, suivi de "La folie à deux ou
folie
communiquée", avec
Jules Falret en 1877. Mais il faudra attendre plus de cent trente ans,
les
années 1990, pour voir enfin apparaître des
études
sur la persécution organisée
bien réelle, au moins au travail, puis
ultérieurement sur
la persécution
organisée, en famille.
Plus de
cent trente ans
de décalage, un déni remarquablement
obstiné...
Ce déni de réalité a une structure,
qui est
connaissable. Une persécution
organisée n'était prise en
considération que si un
enquêteur étranger à la
victime en démontrait les détails. Dans tous les
autres
cas, c'est la cible de
la persécution qui est étiquetée comme
"délire de la
persécution",
et retirée de la
vie civile sans autre forme de procès. C'est encore vrai de
nos
jours : dans
"Mobbing",
Heinz Leymann donne
de
nombreux cas de psychiatres qui, prisonniers de leurs routines de
disqualification et de mépris condescendant de l'autre, ont
joué le jeu des
mobsters
contre les
persécutés. Si
certains psychologues et certains psychiatres en ont donc pris
connaissance, ce
fut dans la stricte mesure où ils étaient assez
courageux
et honnêtes pour
changer de camp : pour renier la mission de larbins des
super-prédateurs, et de
créateurs de racisme à apparence scientifique,
qui leur
était assignée par la
puissance publique et par les possédants depuis
Louis-Philippe. Il y aura fallu
plus d'un siècle, pour se débarrasser de la
phrénologie des suppliciés, de
l'ethnologie des criminels, et autres pédantismes de laquais
diplomés.
Attention ! Je n'ai pas écrit que la situation ancienne a
cessé d'exister ! Les
calomniateurs à gages en costume-cravate existent toujours,
et
vivent
richement, merci pour eux ; leur marché est toujours
prospère. Je suis
personnellement témoin de MorzilManche
et de Caillou de la
Taupinière,
calomniateurs à gages au service d'un rectorat, qui
n'hésitaient pas à composer
des discours apocryphes, conformément aux ordres
reçus.
Sans parler bien sûr de
toutes les escroqueries au quantificateur, grand classique des
calomniateurs et
des polémistes.
La différence historique est que ces laquais de la
corruption,
et de
la perversité organisée, ne sont plus
les
maîtres de toute la boutique.
Peut-être qu'un jour leur corruption pourra être
dénoncée au grand jour ?
C'est la fortune des armes et de la politique, qui
détermine
la nosographie
psychiatrique.
Et quel est donc l'événement dirimant, qui a fait
qu'une
partie de la
profession a commencé à se démarquer
de
certaines fautes professionnelles
originelles, et seulement à partir des années
1980 ?
Ce fut évidemment l'URSS de Brejnev. Celui qui a
incarcéré en hôpitaux
psychiatriques dirigés par le KGB, des scientifiques
dissidents,
dont les plus
illustres furent Vladimir Boukovski, le biologiste Jaurès
Medvédev et le
mathématicien Leonid Pliouchtch, en les taxant de "schizophrènes
atteints d'un
dédoublement de la
personnalité", et en les torturant
chimiquement, par
exemple à la
naloxone. L'URSS n'a évidemment pas suffi à elle
seule.
Qui, en dehors de
quelques médecins et universitaires, sait la participation
de
médecins et de
psychiatres à l'administration de la torture par les
militaires
au pouvoir dans
les autres dictatures, celles d'Amérique du Sud (Argentine,
Brésil, Chili, pour
ne citer que les principales), ou centrale, ou en Grèce sous
les
colonels ?
Non, pour ces autres dictatures, le pouvoir politique qui
contrôle nos média ne
tenait pas à faire grande publicité sur ces
forfaitures
dans la profession
médicale, et le grand public n'est toujours pas au courant.
De
même que qui
connaîtrait la corruption de l'église catholique
romaine
au 15e siècle, qui
connaîtrait le génie littéraire de
Martin Luther
(1483-1546), si un prince
d'Allemagne n'avait trouvé intérêt
à
soutenir Luther contre la papauté, pour se
soustraire à l'impôt papal ? Sans cet Electeur
rebelle
à l'impôt pontifical,
qui de nos jours saurait que "Si
on
réunissait et assemblait toutes les reliques
prétendues
être un morceau du
prépuce du Christ, le rouge monterait au front de toute la
chrétienté !"
? J'ai cité Luther de mémoire. Là
aussi, ce n'est
qu'à l'opposition radicale de
nos pays à l'URSS, que l'on doit que toute l'opinion
publique
ait été informée,
et ait pu s'émouvoir de ces pratiques ignobles, de la
participation de
psychiatres soviétiques à la torture d'opposants
politiques. Alors on a vu la
communauté scientifique se mobiliser pour
réclamer la
libération et le passage
à l'Ouest de ses membres taxés de "schizophrénie
avec
dédoublement de la
personnalité" ; alors on a vu des psychiatres
français réclamer des
comptes à leurs aînés, et à
leur silence
coupable envers une telle trahison du
serment d'Hippocrate. Bien évidemment que ces psychiatres
ripoux
d'URSS
savaient qu'ils mentaient, ne cachaient pas à leurs
prisonniers
n'être que des
laquais du pouvoir politique : "Votre maladie,
ce sont vos idées politiques.
Abjurez-les, et nous vous relâchons !". Et le
métier de ripoux ne s'est
pas éteint avec l'URSS. Leur seul critère moral
demeure
la certitude d'échapper
à toute sanction.
A quoi tient donc ce timide début de correction des fautes
professionnelles
originelles, et le timide début d'une déontologie
professionnelle !
A la fortune des armes et du pouvoir politique.
Bref : pas de psychopathologie sérieuse, sans
compléter
les plus graves lacunes
des nosographies standards. Il est à notre charge de
remédier à l'immaturité de
l'institution psychiatrique, pour ne pas dire à la
corruption de
la partie de
cette profession, qui couche dans le lit de la Justice. Et nous venons
de voir
que notre tâche est compliquée par le fait qu'il
s'agit
toujours de pathologies
à plusieurs, avec division du travail dans la
criminalité
organisée.
L'histrionique n'est rien du tout sans les autres, qu'il
séduit
et manipule,
voire fait chanter. Le pervers est tout entier dans ses tactiques de
parasitage
d'autrui ; il est incapable de rien créer, sauf de nouvelles
astuces pour
escroquer, ou dépouiller, ou zigouiller son prochain, par
exemple par de
tenaces campagnes de calomnies.
Le second point méthodologique, nous pouvons l'emprunter
à Agatha Christie, et
à son détective Hercule Poirot : le
détective
cherche d'abord à repérer
qui ment. Puis il cherche à
pénétrer
le style de l'assassin. Le psychologisme
est une
faute professionnelle originelle de la profession de psychologue et de
psychiatre. Le psychologisme est une astuce qui consiste à
dénier la réalité
des situations réelles des gens réels. On se
dispense de
toute espèce d’examen
des faits extérieurs ; oui, la
réalité
c’est toujours trop compliqué, ça prend
du temps et des efforts pour en prendre connaissance, et puis on ne
serait pas
assuré de garder sa position supérieure, on
prendrait des
risques de révéler sa
naïveté et/ou son incompétence et/ou son
obédience à telle ou telle idéologie
sectaire, et/ou sa stratégie de mépris de classe
ou de
race, ou de genre sexué…
Donc, pour bien dominer son prochain par la
procédure du
psychologisme, il
faut d’une part dénier tout examen des faits,
d’autre part confronter à la
grille des sentiments autorisés, les sentiments que la
personne
à inférioriser
manifeste envers les dits faits. En règle
générale, les gens éprouvent des
sentiments non autorisés. C’est
là dessus
qu’il faut les coincer quand on est un fraudeur
diplômé : ces sentiments
non autorisés, c’est là la principale
ressource de
votre dossier à charge
contre votre prochain.
Premier
critère à
retenir : qui ment
? Celui qui ne ment pas ni ne fabule quand il
décrit un
complot, n'est
certainement pas le vrai paranoïaque, ni un "adepte de la théorie
du complot".
Sauf
qu'évidemment, il faut se donner la peine
d'enquêter sur
les faits... Celui qui
ment pour accuser son prochain n'est peut-être pas
paranoïaque, n'est peut être
que mythomane, ou calculateur, mais est à tous les coups un
dangereux pervers.
C'est par paresse, et calcul narcissique, que ce critère
premier
est bien trop
négligé. Qui néglige ce
critère premier,
est un fraudeur.
Un second critère, qui ne suffit jamais à lui
seul, mais
est un bon indicateur
: la présence de réflexivité et
d'humour chez le
suspect. D'abord parce qu'un
authentique paranoïaque peut aussi être un
authentique
persécuté, dans sa
situation présente, et on ne peut donc se dispenser de
l'enquête factuelle.
Ensuite parce que d'authentiques pervers peuvent présenter
assez
d'apparences
d'humour et d'autodérision pour abuser bien des
observateurs.
Référons-nous au
récit par Pierre Mendès-France de la prison de
Clermont-Ferrand où il avait
été
visité par le procureur qui avait obtenu sa condamnation
à mort au procès de
Riom : "Je sais ce que
vous pensez de
moi
!". "En
effet,"
poursuivit
Pierre Mendès-France, "il
était bien assez
intelligent pour le savoir". Ce récit est dans
le film de
Harris et
Sédouy : Le
chagrin et la
Pitié. La
limite de lucidité sur eux-mêmes de ces pervers
intelligents, porte sur les
débuts de leur vie, sur les sentiments de
détresse qu'ils
conjurent en
maltraitant leurs prochains.
Une trahison envers l'enseignement pasteurien.
On peut prétendre qu'il était peu grave, pour des
médecins, de ne s'intéresser
qu'aux personnes atteintes d'une incapacité, en particulier
les
schizophrènes
et les dépressifs profonds, et de négliger
totalement les
personnes
parasitaires qui les ont mises dans cet état
d'incapacité, en leur pompant leur
vitalité et leur goût de vivre. Mais un
épidémiologiste qui agirait ainsi
serait considéré comme un criminel
diplômé.
Tout épidémiologiste doit
s'intéresser de très près aux
réservoirs
d'un virus ou d'un microbe pathogène.
Par exemple le réservoir de la peste est principalement
constitué de petits
rongeurs. Un virus, un microbe, un onchocerque, ou un
ténia
échinocoque peuvent
être portés par des animaux qui ne semblent pas
malades,
mais peuvent tuer des
humains quand ils leur sont transmis depuis le
réservoir
sauvage non dépisté.
La psychopathologie a encore à faire sa
révolution
épidémiologique, où l'on
suivra la propagation du mal, où l'on cherchera enfin le
sadique
qui manoeuvre
pour contraindre son prochain, voire son propre enfant, au suicide. On
cherchera enfin les porteurs et exportateurs de la pathologie, et non
plus
seulement ses victimes.
Définition de "pervers histrionique"
Ne dissimulons pas que la notion de pervers
histrionique était inédite avant le
présent
article. Et encore m'a-t-il
fallu que le spécimen
Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/D..H..T_J..n-P..l/vendredi
s'acharne
plus de treize mois (vous verrez les pièces en annexe),
avant
que le concept se
dégage.
Le pervers histrionique
est
quelqu'un
qui joue constamment des rôles et des comédies
pour se
mettre au centre de
l'image, et se constituer un cortège de suiveurs qui
l'admirent,
à ceci près
qu'au lieu de centrer toute sa stratégie sur l'attrait
sexuel,
comme le font la
plupart des hystériques féminines, lui exploite
l'attrait
de la méchanceté, il
exploite les réflexes reptiliens d'adhésion
à
l'animal le plus agressif, il
exploite les individus non dominants, ou opportunistes qui se joignent
à lui
pour l'aider à expulser les intrus et les boucs
émissaires hors du territoire
de la horde. Selon les observations de Wilfred Bion, il est habile
à mettre le
groupe en régression d'attaque-fuite, la
régression qui
lui est la plus
favorable. Contrairement au paranoïaque simple, lui sait ruser
et
feindre pour
rester au pouvoir selon les retournements de conjoncture. Tandis qu'au
contraire, le paranoïaque, par sa rigidité
peureuse, peut
perdre le pouvoir et
se retrouver isolé si le groupe change d'état
régressif de base, voire quitte
les états régressifs pour passer à un
stade
productif.
Au cours de sa vie, l'histrionique peut passer de la version sexuelle
à la
version perverse et sadique, voire multiplier les variations de l'un
à l'autre,
selon les bénéfices à engranger. Bien
que nous
ayons en tête surtout des
exemples féminins, il ne faudrait pas oublier
ce riche
profiteur zaïrois, qui
est décédé du SIDA, et qui laissait
pour testament
la liste des femmes de
ministres de Mobutu, qu'il avait contaminées ; liste
évidemment la plus longue
et la plus prestigieuse possible...
Rapport à la
biographie
: Au contraire
du paranoïaque pur, qui est secret et dissimulateur de sa
biographie, le
pervers histrionique en exhibe volontiers une certaine
partie, qui
peut changer
selon ses estimations marketeuses du public auquel il s'adresse, et qui
est
souvent travestie. La part de mythomanie n'est jamais nulle chez
l'histrionique. Au féminin, la perverse histrionique peut
essayer devant divers
publics de nombreuses versions de l'inceste qu'elle prétend
avoir subi, le
temps nécessaire pour sélectionner la version qui
a le
plus grand succès
commercial, qui lui rapporte le plus.
Au masculin, Adolf Hitler a falsifié sa biographie, trichant
par
exemple d'un
an sur sa date de fuite de Wien vers München : en
réalité il avait fui la
menace de mobilisation pour une nouvelle guerre balkanique, menace qui
finalement ne s'était pas concrétisée.
Dans son
Mein Kampf, il a refait sa
biographie pour se présenter
comme illuminé raciste
et antisémite dès sa vie
viennoise. En réalité il avait vécu
à Wien
en clochard paumé, ne sachant plus à
qui s'opposer, puisque son père était
décédé, et à
München ce n'était
guère
plus brillant. Simplement, il ne savait aucun métier, ne
savait
pas travailler,
ne voulait pas travailler, et il était recruté
comme
homme de paille par les
officiers réactionnaires de München, parce que
criant bien
la haine antisémite.
Il fit donc carrière dans la haine
généralisée, la haine
antisémite aussi
puisque c'était cela qui se vendait le mieux, et a
falsifié sa biographie en
fonction de ce nouveau déguisement. On sait la suite, quand
le
pantin de paille
a cassé ses ficelles, et s'est rendu maître des
marionettistes, grâce au Führerprinzip...
Sur une pièce jointe, le 30
mai
2004, nous voyons Alie Boron changer d'autobiographie. Donc
une des
deux
versions est mensongère, et j'ignore laquelle - ou les deux ?
Toutefois, bien que l'histrionique exhibe une partie de sa biographie,
cela
reste à fins de dissimulations des parties qu'il/elle estime
honteuses et
inavouables. C'est cette part de dissimulation de
l'inavouable, et
notamment de
tout le mal qu'il a déjà fait à ses
victimes, qui
pousse le pervers
histrionique toujours plus loin dans la carrière de
malfaisance,
voire de
crimes, et qui peut le rapprocher de plus en plus des authentiques
paranoïaques, jusqu'au point de donner le change à
bien des
experts
psychiatres.
Etiologie :
le pervers
histrionique n'a
pas un passé d'enfant maltraité, mais mixte :
l'injonction reçue est qu'il doit
aider à maltraiter son prochain, sinon ce sera lui qui sera
maltraité. Il a été
davantage corrompu que menacé. Et surtout, dès le
départ, dès l'enfance,
complice compromis, il a de l'inavouable à cacher, on l'a
corrompu aussi en
l'incitant à des maltraitances inavouables.
Un intergrade typique est Adolf Hitler, authentique enfant battu,
sauvagement
battu, qui comptait à haute voix les coups de ceinturon,
mais
authentique
tortionnaire dès la même époque,
encouragé
par sa mère.
Note : Je
m'écarte
là d'une autre
tradition de la psychopathologie, enseignée notamment en
cours
de Licence à
Lyon 2 : ceux-là retiennent de l'érudition
remarquable
d'Adolf Hitler sur les
armes et leurs possibilités, qu'il était surtout
un
obsessionnel, ce qui le
placerait alors dans le champ de la névrose, et non de la
psychose. Cette
observation demeure incontestable. Toutefois, un homme qui a peur de
l'eau au
point de renoncer précipitamment à
l'invasion de la
Grande Bretagne, pour se
consacrer à l'invasion de la Russie et à
l'extermination
des juifs de Pologne,
de Biélorussie, d'Ukraine, de Roumanie et de Hongrie, semble
être dans un tel
déni de la réalité, que je persiste
à le
classer parmi les hommes ayant un
large noyau psychotique. Ce noyau psychotique était
largement
modelé par le
fantasme de toute-puissance maternelle, Hitler ne faisant plus qu'un
avec sa
mère-Allemagne, qu'il hypnotisait.
Et surtout, le déterminisme biographique endogène
demeure
faible : la
plasticité opportuniste du symptôme s'adapte aux
circonstances, négocie selon
les rentabilités au marché de la
perversité, selon
les avantages que le pervers
peut en retirer notamment dans la compétition sexuelle et
territoriale.
Paul Racamier l'avait déjà
démontré : on
trouve toujours de l'incestuel dans la
genèse du pervers, mais on en trouve aussi toujours dans la
genèse de
l'hystérique. Dans tous les cas, son enfance a subi des
invasions par des
problématiques de la sexualité de l'adulte. Les
cas
d'invasion par la séduction
de l'adulte sont de loin les plus médiatisés,
monstrueusement médiatisés ; ne
sont pas moins graves les invasions par la conflictualité
dans
la sexualité
d'un parent, qui utilise l'enfant dans sa guerre sexuelle. Raymond
Queneau
avait mis en scène, dans la bouche de Zazie, l'utilisation
de la
fillette comme
appât vivant, dans le traquenard pour fendre le
crâne de
son mari, d'un coup de
hache, soigneusement préparé à
l'avance. Les cas
réels sont moins
spectaculaires, bien plus étalés dans le
temps, et
les enfants réels s'en
tirent beaucoup plus mal que l'héroïne de Zazie
dans le
métro...
Dangerosité ?
En janvier 2003, je décrivais dans un
mémoire de
Maîtrise le cas d'un
prédateur du net, manifestement incestué
maternel,
suffisamment manipulateur
pour manquer de peu à réussir à faire
se
défenestrer "Aurore" : page 10,
adresse http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/oh_loup_oiseau.pdf,
titre "Oh ! Que
l’oiseau
agaçait le loup ! Et
que le loup avait envie d’attraper l’oiseau ! Une
guerre
picrocholine sur un
forum québécois". Lire le dialogue
du 23
août 2002.
Destin :
comme tous les
pervers, il a
appris que la méchanceté et la cruauté
sont des
moyens efficaces de leadership,
toutefois il ne sait tirer de ce mode de leadership que des avantages
limités,
souvent il doit se contenter du statut de petit truand
protégé, utilisé pour
les basses oeuvres : hors nuire à son prochain, et recruter
et
compromettre
d'autres complices, il ne sait rien faire.
S'il est avocat inscrit au Barreau, il peut devenir fort riche, mais il
est généralement incapable de diriger,
et de se
maintenir à un poste de
dirigeant, et encore moins de diriger par
délégation.
Indigne de toute
confiance, il ne peut non plus faire confiance à personne.
Il
lui faut le plus
souvent se mettre au service d'un dirigeant, et l'association la plus
fréquente
et la plus dangereuse est celle du pervers histrionique avec le
paranoïaque
pervers. Leur association reste teintée d'une lutte
à
mort pour le pouvoir, et
le chantage y tient une place majeure.
Descendance ?
En l'état
actuel de nos
informations, il semble que la perversité augmente
irrémédiablement au fil des
générations. Seul un grand courage moral permet
de
conduire une résipiscence.
Or justement les coalitions de pervers s'acharnent à
détruire et zigouiller
tous ceux chez qui elles détectent un courage moral qui
pourrait
menacer le
règne de la perversité.
Evolution en fin de vie ?
Nous
l'ignorons encore, car le concept est trop récent pour que
nous
ayons
l'expérience de fin de vie des pervers histrioniques que
nous
avons identifiés.
Plusieurs auteurs ont souligné que des
paranoïaques,
authentiques maltraités
durant leur enfance, finissent dans la dépression et
l'authentique demande d'un
amour qui leur avait été refusé quand
ils
étaient petits. Je conjecture, et
l'expérience tranchera contre ou pour ma conjecture, que le
pervers
histrionique n'a jamais cette évolution finale vers une
dépression et une
résipiscence : tout entier dans sa mythomanie, il s'y
cramponne
jusqu'au bout.
La fin de Adolf Hitler dans son bunker tandis que l'Allemagne est en
ruines et
que Berlin brûle, en est un prototype plausible.
Traitement ?
Ne rêvons
pas, il n'existe
aucune solution psychiatrique. Pour le commun des
perversités,
il n'existe que
des solutions managériales, pénales et
répressives. Ce n'est qu'après échec
complet de ses stratégies de
méchanceté
organisée, après éventuellement des
années de prison, que le pervers histrionique peut
éventuellement envisager de
changer de vie, et éventuellement entreprendre une
psychothérapie.
Et surtout, il existe une solution dans l'orientation
générale de la société,
réorienter ses valeurs pour qu'elle cesse de vouloir tant
récompenser les
pervers, de tant admirer leurs méfaits et leurs larcins.
Toute
une éducation
politique à refaire... C'est bien pourquoi nous avons in fine, pris la
peine de
rédiger une déontologie
explicite pour la famille et les professionnels et organisations qui
ont prise
sur elle. Sans déontologie explicite, exposée aux
feux de
la critique et de la
controverse, on n'a pas de prise sur le soutien social
généralisé à la
perversité, pas de réplique aux ressources de la
langue
de bois. Avec ? Si, là
on commence à avoir un peu de ressources.
Sinon, le destin collectif d'une organisation perverse est
invariablement de
s'emballer, et de devenir de plus en plus puissante et de plus en plus
criminelle, avec toujours plus de complices compromis. Cela ne
s'arrête que par
le décès, ou la défaite militaire, ou
la faillite
de l'entreprise ou du pays
dirigé. Il n'y a jamais de résipiscence par des
voies
internes, dans une
organisation perverse. Tout grand gangster exercé
à
acheter des policiers, des
magistrats, des experts, et des hommes politique, le sait ; tout
officier
manipulateur d'espions le sait aussi : un homme corrompu n'a plus de
chemin du
repentir et de la résipiscence, il est condamné
à
s'enfoncer toujours plus
profond dans la trahison de sa mission, jusqu'à ce qu'il
soit
pris et condamné,
ou décédé.
Quand vous avez cela en face de vous, il ne vous reste que les armes,
au sens
déjà expliqué par Niccolo Macchiavelli
à
ses mandants de la république de
Firenze. Le fabuliste Jean de la Fontaine avait
déjà
conclu :
La paix est fort bonne
de soi, j'en
conviens,
Mais que sert-elle avec
des ennemis
sans foi
?
A l'heure actuelle, toute l'organisation culturelle est
orientée
vers le
soutien aux pervers, et l'accablement de leurs victimes. Le triomphe du
narcissisme et de l'individualisme über
alles, implique que la corruption triomphe toujours. Le
grand
chic est
de traiter toute victime qui ose parler, de "adepte de la théorie
du complot",
pour le
plus grand bénéfice et le plus grand
confort des
persécuteurs organisés. On
finit par se demander si le culte de la haine et du sadisme n'est pas
l'horizon
indépassable de la modernité. Seules
fluctueraient les
cibles désignées, selon
les caprices de la politique et de la facilité, tandis que
l'adoration du
sadisme progresse.
Ce sera l'objet d'un autre article.
L’intérêt
de cette attestation
mensongère, est que ces trois femmes l’ont
jugé bon
pour le service, bien assez
bon pour le Tribunal, aucune contre-vérité ne
leur a
semblé trop grosse.
Mes
adaptations pour la
publication se bornent à remplacer les noms propres
réels, par les pseudonymes,
depuis la numérisation et l’OCR. Les fautes de
grammaire
et de ponctuation sont
respectées.
(Sottenville), le 13 Août 1998
Madame Alie Boron
(adresse)
(Sottenville)
|
|
J'ai
connu Madame Gazonbleu
à la
rentrée 1980, quand elle fut nommée au
collège
Gabriel Hannotaux, où
j'enseignais moi-même depuis plusieurs années. Jacques,
à cette époque-là, ne
travaillait pas, à 37 ans, il poursuivait,
paraît-il, des
études, à une époque
où le chômage ne touchait pas les gens jeunes et
diplômés. Très vite, je me
rendis compte :
- que
Gazonbleu
et ses enfants étaient dans la misère la plus
complète, ils manquaient de tout,
même d'une nourriture convenable, alors que les ordinateurs
commençaient à
apparaître dans le bureau de Jacques, qu'à
Toulon, un
peu plus tard, il
s'était achetait un bateau avec le salaire de sa femme.
Certains
mois, il
restait 400 francs pour vivre, même pas
l'intégralité des allocations
familiales, Jacques gaspillait l'intégralité du
salaire
de sa femme pour son
usage personnel.
- qu'il
ne
faisait aucun travail, ni études
sérieuses : il
était enfermé dans son bureau
où j'entendais soit le bip caractéristique des
jeux sur
ordinateur, accompagné
de musique très pure, jouée par une
chaîne de haute
qualité, donc très chère
(surtout, il y a quinze ans et plus à une époque
où les disques lasers
n'existaient pas), soit le poste de télévision,
acheté, soi-disant pour faire
fonctionner un ordinateur, que les enfants, n'avaient pas le droit de
regarder
. Gazonbleu, qui l'avait payé, ne le regardait pas
davantage. IL
faisaient des
soi-disant recherches, qui n'ont pas abouti à grand chose,
mais
coûtaient très
cher. Un jour, profitant de l'absence de Gazonbleu, il alla au loin
acheter une
pelleteuse pour faire des recherches au sujet d'une brique miracle. La
pelleteuse coûta très cher, il fallu la rendre
sans
être remboursé car son
origine était malhonnête, déposer le
brevet
coûta très cher et fut
inexploitable, donc ne rapporta rien. Bilan : quelques
dizaines de
milliers de
francs d'alors, en francs actuels, plus du double...
- qu'il
ne
faisait pas davantage de travail dans la maison, je ne l'ai jamais vu
un
pinceau ou un marteau à la main. C'était
Gazonbleu et
Frédégonde, même petite
fille, qui faisaient, comme elles pouvaient, tous les travaux dans la
maison.
Rajouter des prises électriques, reboucher des fissures,
repeindre... Lui,
pendant ce temps, se distrayait dans son bureau,
épuisé
par le travail
intellectuel que représentaient ses recherches...
quoiqu'étant allée des
centaines de fois chez eux (nous habitions à moins de 100
mètres ), je suis
pratiquement toujours tombée à des moments
où il
se distrayait, que ce soit le
matin, l'après-midi, le soir.
-qu'il
était
violent. Non seulement périodiquement, il faisait
éruption de son bureau, en
vociférant , mais surtout, je fus témoin d'actes
qui
m'ont particulièrement
choquée : Frédégonde avait
environ huit ans,
pour une peccadille que j'ai
oublié, il se jeta sur elle, la fit tomber par terre et la
roua
de coups avant
que Gazonbleu ne puisse intervenir . Une autre fois, il
était
venu chez moi, un
dimanche matin, chercher quelques chose. N., ma fille
aînée, alors âgée de
quinze ans, écoutait dans le salon, de la musique de jeunes
assez fort. Au lieu
de demander à ma fille d'interrompre sa musique, Jacques
entra
dans une
colère sans nom à son égard, je pense
qu'il
l'aurait frappée si ma
chienne-boxer n'avait pas montré les crocs en grognant, il
savait qu'elle était
de défense et avait déjà mordu .
Après lui
avoir vertement répondu, ma fille
quitta la pièce. A mon grand étonnement, je vis
alors Jacques faire le
poirier sur mon tapis de salon. Quand il eu repris une position
normale,
quelques minutes plus tard, il m'expliqua que c'était pour
se
calmer, car ma
fille et son chien l'avaient mis hors de lui. A dater de ce jour, quand
par
hasard il vint chez moi, je le reçu sur le pas de la port
quand
mon mari était
absent, craignant pour la sécurité de mes enfants
et la
mienne... et la sienne,
car ma chienne aurait bien voulu goûter à un de
ses
mollets, à dater de ce
jour. Je pense que Gazonbleu et les enfants étaient souvent
victimes de ses
actes de rage, car visiblement ils avaient tous très peur de
lui. D'ailleurs
plusieurs épisodes m'ont confortée dans ce
sentiment . Il
y a environ seize
ans, Jacques partit à Rennes pour, ô miracle,
travailler, je vis alors
Gazonbleu et ses enfants se transformer, rire, être heureux.
Quelques mois plus
tard , il revint, et j'eus le sentiment qu'un vent de panique soufflait
sur la
maison. En l'espace de quelques heures il fallu faire de la place aux
affaires
de ce Monsieur . Il investit le salon, le couloir et plusieurs
pièces en haut ,
il fallu que Gazonbleu aussi soit à son entière
disposition. Finis le bonheur,
les rires, les ballades à la campagne, en forêt,
la
nourriture digne de ce
nom.
que
tout ce
qui avait rapport à autre chose que LUI était
secondaire,
même la nourriture,
l'habillement des enfants. Il nourrissait sa famille d'un
mélange de riz
complet et de lentilles... bon appétit ! Il
paraît
que c'est une nourriture
équilibrée, complète et bon
marché,
donnée dans les pays sous développés
en
période de famine. Quand Frédégonde
refusait de
manger cette nourriture
immonde, il la lui resservait au repas suivant. Un jour elle avoua
à Venera ,
ma deuxième fille, qu'elle avait faim, alors que je n'avait
pas
encore desservi
la table et se régala de ce que mes enfants avaient
laissé et qui était
normalement destiné au chien. J'étais
très
ennuyée car, n'ayant pas fait mes
courses, je n'avait rien d'autre à lui donner. A dater de ce
jour, il y eu
toujours « la part de Frédégonde
» qu'elle
mangea bien souvent. Frédégonde
avait alors une huitaine d'années, mais douze ans plus tard
ils
mangeaient
toujours la même chose. Il n'acceptait pas non plus que ses
enfants aient des
vêtements corrects. Un jour, sa propre mère donna
à
Frédégonde une jolie petite
robe rouge. Quand elle fut partie, il se mis en colère,
interdit
à sa fille de
mettre la robe qui était, d'après lui «
une robe
pour courir les garçons »...à
neuf ans ! Gazonbleu me donna la robe pour Venera....
En
descendant
sur la Côte d'Azur, au mois de Juillet, je me suis
arrêtée chez Gazonbleu, ce
que je n'aurais pas fait si Jacques avait été
là. J'y ai trouvé Gazonbleu et
ses filles heureuses, décontractées. Mais le
deuxième soir, Jacques
téléphona. Je su que c'était lui au
changement
d'expression des visages qui
m'entouraient , la peur y était lisible .
Cet
homme a
maintenu femme et enfants dans la misère et la terreur
pendant
plus de 20 ans
et il est prêt à tout pour que cela continue,
d'une part
il veut continuer à
s'approprier le salaire de sa femme, d'autre part je pense qu'il
éprouve du
plaisir à les faire souffrir ,il a ainsi l'illusion de la
puissance : ne dit il
pas « le savant » en parlant de lui ! Sa
fille a des
cauchemars la nuit en
rêvant de lui : elle le voit massacrer toute la
famille .Ma
propre fille a mal
dormi la dernière nuit de crainte qu'il ne rentre , quoique
la
maison soit
solidement barricadée. Connaissant Jacques depuis 18 ans
et
ayant lu sa
prose, je pense qu'il représente un danger réel
pour
Gazonbleu et Frédégonde ,
qu'il hait tout particulièrement, de plus il
connaît
parfaitement les lois. Je
pense qu'il veut se faire passer pour fou pour les raisons
suivantes :
Gazonbleu
serait enchaînée encore à lui pour de
nombreuses
années : on ne divorce pas
d'un fou !
Il
a de gros
ennuis avec son employeur : l'Education Nationale
,où il
est rentré depuis peu
Reconnu comme fou, il sera mis en longue maladie et non mis
à la
porte , s'il
peut prouver que l'enseignement à aggraver son
état de
santé, pour avoir
travailler quelques mois, il s'assure une rente à vie.
Enfin
s'il
passe aux actes, et tue Gazonbleu, ou plus probablement
Frédégonde, qu'il hait
tout particulièrement, reconnu comme fou il ne sera pas
responsable. Quelques
années d hôpital psychiatrique valent moins cher
que 20
ans de prison, sans
compter qu'il suffit d'être considérer comme
guéri
pour sortir, ça vaut le coup
pour assouvir sa haine.
Je
soussignée Alie Boron,
confirme
l’authenticité de ce témoignage (2
pages)
qu’en raison d’une fracture de la
main droite, je n’ai pu écrire à la
main.
(Signature Alie Boron)
Ç’aurait
été dommage de
manquer cela ! J’ai aussitôt
informé mes amis voisins et plaisanciers du Brusc, de cet
intéressant
« bateau acheté avec le salaire
de mon
épouse » quelque part dans les
années 80. Eclats de rire immédiats.
Pour résumer ma
carrière de
plaisancier propriétaire :
En juillet 1961, papa
achète un 420
d’occasion. En juillet
62, Jean-Claude et moi, nous disputons le championnat de France
à Bendor, et
nous nous classons de façon
inespérée : le
petit temps nous avait été
favorable. En août, je suis parti prendre mon poste de
moniteur
à Bénodet,
tandis que Jean-Claude se charge de faire essayer le bateau
à
l’acheteur. Ce
sera le dernier voilier de ma vie de propriétaire, et
encore,
par filiation
interposée : j’avais 18 ans, et
étais donc
mineur. Il nous en reste une photo :
il portait le numéro 71.
En décembre 1962,
à Créteil,
je construis un kayak en
polyester, rouge, puis descends quelques rivières avec, au
sein
de clubs : la
Sarthe et la Rouvre en février 63, puis la Haute Vienne
à
Pâques 63, et enfin
la Creuse au printemps 64 avec le CKCF. Mes parents
l’emmènent au Brusc
l’été
63, tandis que je suis en Guadeloupe chez mon oncle. Je le revends je
ne sais
plus quand, fin 1964, ou début 1965. Sont-ce ce kayak rouge,
ou
ce 420 qu’Alie
Boron me reproche ?
Jusqu’en 1967, je navigue
comme moniteur,
à l’UNF (devenue
UCPA depuis), aux Glénans, au Club
Méditerranée,
à Carnac et enfin à Loctudy.
Puis je décroche, et je pars en montagne.
En juillet 1973, nous achetons notre
premier et
dernier
pneumatique, un Zodiac Mark II, avec un moteur Johnson de 3 CV. Il nous
servira
en août au Brusc. Nous emmènerons plusieurs fois
les
petits frères. Il sera
alors évident, que nous avons fait un mauvais choix.
D’abord, le bateau est
trop petit pour quatre personnes, et pour le même prix ou
presque, nous aurions
pu avoir un modèle moins luxueux, mais une taille au dessus.
Ensuite, ça pue,
et c’est vraiment désagréable, le
moteur.
En août 1975, avec notre
bébé
de huit mois, nous ferons un
très bon usage de ce Zodiac, quelques jours sur la
côte
suédoise, jusqu’à une
panne de lanceur, et surtout en Norvège, sur le lac Isteren,
où nous pourrons
nous choisir un lieu de camping d’un grand charme,
inaccessible
autrement, et
nous gaver de délicieuses myrtilles sur un îlet
(Gazonbleu
en garde encore la
tache violette sur sa culotte d’escalade) au milieu du lac.
Je
parviendrai même
à charger la remorque repliée dessus, pour la
mettre
à l’abri des regards et
des indélicats.
Après quoi, soit
à l’automne
1975, soit plus probablement
fin du printemps 1976, j’ai revendu Zodiac et moteur,
à un
plaisancier qui
avait besoin d’une annexe.
Est-ce ce Zodiac qu’Alie
Boron me
reproche ?
Pendant ce temps, ma mère
s’était fait construire une
bette (une plate) en contre-plaqué, dont elle fit bon usage
à courte distance
dans la baie, avec son ami. Jusqu’à ce
qu’une
branche d’arbre tombât sur
l’étrave. Nous ne sûmes
réparer.
Est-ce la bette de ma
mère, qu’Alie
Boron me reproche ?
En août 1976, Gilles R. ami
d’enfance,
a la générosité de
nous prêter son Chrisval, Edel 3 (7,80 m,
je crois me
souvenir), qu’il
allait bientôt revendre. Nous laissons
Frédégonde,
alors âgée d’un an et demie,
à ma mère, et faisons deux sorties. Une vers Port
d’Alon, puis au delà de La
Ciotat, et une par mistral vers Porquerolles. Mes photos montrent
Gazonbleu
fort heureuse de tenir la barre par un tel vent arrière
force 6,
sur cette mer
assez grosse, harnais soigneusement croché. Heureuse, mais
tendue. Sans le
montrer, j’étais encore plus tendu, sachant
à quel
point Gazonbleu était
incapable de manoeuvrer pour me repêcher, si
j’avais la
maladresse de passer
par dessus bord. Et même incapable d’arriver seule
à
un port.
Au retour, j’ai
l’audace à ne
pas imiter, de mouiller
Chrisval juste sous le vent de notre pointe (je suis
assez
plongeur,
pour savoir au mètre près, où laisser
tomber
l’ancre, sur une toute petite
plage à huit mètres de fond, pour
éviter en
sécurité sous ce très faible vent
d’Est), et le père de Gilles nous fait des grands
signaux
du haut de la
falaise, puis dévale son escalier de béton, se
met nu, et
arrive à bord, pour
la joie de terminer la croisière avec nous
jusqu’au port
des Embiez. Une des
dernières joies que nous donnerons à ce veuf, si
désorienté par la perte de son
excellente épouse. Cette fois, pas de scandale, je fais
l’entrée de port au
moteur, comme tout le monde : ici la voile pure et la godille
sont
des idées
étrangères.
Est-ce le Chrisval de
Gilles, qu’Alie
Boron me
reproche ? Ainsi nommé parce que le
précédent
propriétaire avait deux filles,
Christine et Valérie. Pour donner à ce chapitre
consacré
au putride du plus
délirant et du plus haineux des faux témoignages,
les couleurs d'un
livre d'images, voici un
Edel 3, photographié au mouillage sur le Grand Large (lac de
barrage sur le
Rhône, sur les communes de Décines et Meyzieux)
depuis mon
kayak, dont on
aperçoit au premier plan l'avant du pont :
Et voici un groupe de trois autres
kayaks,
probablement
photographiés durant la même sortie, cet automne
2005 :
Mais vous allez voir que l'existence
de ces photos
sera
invoquée pour s'écrier : "Vous voyez
bien que
j'avais raison d'accuser Jacques de s'être achetait un bateau
à Toulon dans les
années 80 avec le salaire de sa femme !"...
En 1981, quand Sigbert avait presque
trois ans,
Jean-Claude rachète le Muscadet[1]
de
Robert, et l’essaie, en m’emmenant comme
équipier.
Nous sortons donc environ
une heure et demi, dans la baie, par belle piaule force 4 à
5.
Une fin de
mistral, qui commençait à calmir.
Est-ce le Muscadet de Robert et de
Jean-Claude,
qu’Alie
Boron me reproche ?
Ensuite ? Il nous est
arrivé, à
Sigbert et moi, de faire
un « catamaran à
réaction »
avec deux bouteilles de Badoit, une boîte de
conserve percée, et un peu de colle thermofusible.
Sont-ce ces deux bouteilles de
Badoit,
qu’Alie Boron me
reproche ?
Ensuite ? En août
1994, nous avons
acheté une planche à
voile Tiga, âgée d’au moins dix ans,
pour CENT
francs. Si ancienne, que nous
n’avons jamais réussi à lui retrouver
un pied de
mât, après rupture de
l’ancien, sauf à mettre y deux fois le prix
d’achat
de toute la planche et de
son gréement. En bons avares, nous avons renvoyé
le
remplacement à la prochaine
bonne occasion, qui attend encore. Nous avons réussi
à la
faire tenir dans le
C35, et sommes rentrés à Sottenville avec, avec
aussi des
vélos, en passant par
le Vercors, où nous avons fait deux marches
intéressantes, à trois : Gazonbleu,
Audowere, et moi.
Est-ce cette planche à
voile, qu’Alie
Boron me reproche ?
A moi ?
Un kayak en 1962 ? Un Zodiac
en 1973 ?
Deux bouteilles de
Badoit ? Un planche à voile à cent
francs en
1994 ? Lequel est ce bateau
acheté à Toulon dans les années 80,
acheté
avec le salaire de mon épouse ?
Cruelle incertitude !
On ne voit pas non plus quand je
serais
allé à Toulon
l’acheter, ni quand j’aurais
espéré
m’en servir dans les années 80, où je
fus
le plus souvent privé de vacances. Dans cette
décennie-là, je ne suis allé au
Brusc qu’en 1981, et 1985.
Mais ça ne fait
rien ! C’est
bien assez bon pour La
Justice !
Et tout le
reste est à
l’avenant.
Dans une version
ultérieure du tome 2, nous
apprendrons
quel sort le Tribunal aura réservé à
ce faux
témoignage. La justice étant
rendue au nom du Peuple Français, il sera
intéressant
d’apprendre comment elle
est rendue.
L’approbation
même de ce document,
prouve la confusion
mentale : ces deux femmes, Gazonbleu et
Frédégonde,
ont une large zone
psychotique. Je ne comprends toujours pas
Frédégonde,
avec sa mythomanie. Elle
sait qu’elle ment. Et elle le fait même avec
parfois une
étonnante virtuosité,
si d’autres fois, elle se coupe.
Mais le cas de Gazonbleu est bien
plus profond,
nous le
savons désormais. J’ai relevé sur
plusieurs points
les problèmes de frontière
du Moi chez Gazonbleu. En 1971 et 1972, Gazonbleu restait parfaitement
consciente que ces problèmes de peau et de
frontières
étaient entièrement dus à
sa mère, femme largement pathogène, intrusive et
hostile.
Mais elle payait
cette lucidité sur l’aspect mauvaise
mère
de Couzette, par un
aveuglement total sur ses besoins de bébé, envers
une
bonne mère. Ma conjecture
est que c’est la maladresse et l’aveuglement
irresponsable
de la seconde épouse
de Janov, sa thérapeute à l’Institut
Primal en
août 1982, qui allumèrent la
mèche. Livrée sans recours à cette
ouverture sur
ses sensations de bébé, et
abandonnée sans recours par la secte, Gazonbleu
s’en tira
en coupant fin
décembre 1982, à toute ouverture sur ses
sentiments, et
dans la foulée, coupa
toute lucidité et toute critique sur ses parents.
TOUT passa dans
l’inconscient.
Gazonbleu ne distingue plus
clairement
elle-même ni de sa
mère, ni de moi. Je suis chargé de prendre le
rôle
de malveillant et de
maltraitant à la place de sa mère. De souhaiter
la mort
de Gazonbleu à la place
de sa propre mère. Je suis chargé
d’être
voleur, menteur, cupide et calculateur
à la place de Gazonbleu. D’être
obsédé
de prestance et de supériorité à la
place de Gazonbleu. D’être fou à la
place de
Gazonbleu. D’être impotent et
infantile à la place des petits frères, tels
qu’ils
étaient enfants.
D’être
exclusivement un travailleur
manuel, pour être
installé en compétition et en remplacement de mon
beau-père, aussi, mais cela
est moins grave, cela n’est pas psychotique, si
c’est
épuisant et sans
issue.
La désorientation dans le
temps s’est
installée. Gazonbleu
ne distingue plus les époques, explique
par des
événements postérieurs
réels ou imaginaires, les événements
antérieurs, réels ou imaginaires.
Dans sa fuite
effrénée
derrière toujours plus de blindages
toujours plus perfectionnés, Gazonbleu s’est
enfoncée dans une grande
déprivation affective et sensorielle, le seul domaine
où
elle se sente dans ses
marques. Son isolement est alors tel, qu’elle continue
d’avoir besoin de
toujours plus de prolongements d’elle-même, pour
s’envelopper dans des
unanimités.
Dans le chapitre
« Le triangle oedipien
de Frédégonde »,
nous démêlerons le noeud des mythomanies,
instabilités, volte-face et délires
de Frédégonde. Grâce à ce
faux
témoignage que Frédégonde a
dicté à
Alie Boron,
nous avons étalés sous les yeux les fantasmes de
Frédégonde. Il reste à
démêler
le jeu complet des
« déplacements »,
travestissements, toute la trame de
l’auto-illusion, et de la fourberie.
Contrairement à ce que je
croyais et
écrivais
précédemment, le seul recrutement de
Frédégonde par sa mère comme
supplétive
dans la guerre contre son père, ne peut suffire à
tout
expliquer. Notamment
restait à expliquer que ce recrutement ait pu
réussir, et
n’ait réussi à 100%
que chez Frédégonde. Restait aussi à
expliquer les
propos entièrement
divergents tenus par Frédégonde devant
d’autres
publics, où elle se serait au
contraire plainte que son père ne la protégeait
que
très insuffisamment contre
les intrusions permanentes de sa mère dans son
intimité.
Nous démêlerons
les origines du
dérangement psychique de
nos aînés, de Frédégonde
surtout, qui
s’est durablement installée depuis 1991
dans la mythomanie : l’intensité du
recrutement
contre le père, mit ces enfants
en grand conflit avec eux-mêmes, en conflit à la
fois avec
leurs souvenirs, et
avec l’évidence sous leurs yeux, d’un
père ne
ressemblant en rien à l’image
horrible que leur présentait désormais leur
mère.
Mais pour plusieurs années,
ce fut leur mère la plus puissante, et
égoïstes
comme le sont souvent les
enfants, ils ont pensé d’abord à
survivre, donc
à se concilier la plus
puissante.
Alie Boron a écrit :
"qu'il
ne
faisait pas davantage de travail dans la maison, je ne l'ai jamais vu
un
pinceau ou un marteau à la main. C'était
Gazonbleu et
Frédégonde, même petite
fille, qui faisaient, comme elles pouvaient, tous les travaux dans la
maison.
Rajouter des prises électriques, reboucher des fissures,
repeindre... Lui,
pendant ce temps, se distrayait dans son bureau,"
L'avantage de se faire attribuer
provisoirement
par la
juge, c'est à dire pour quelques dizaines
d'années
(provisoirement-définitivement, quoi), la maison et la
totalité des biens du
ménage, ainsi que la quasi-totalité des biens
personnels
du mari, c'est qu'on a
fait main basse aussi sur toutes les archives du ménage,
toutes
les factures,
toutes les photos, toutes les contre-preuves à chacun des
mensonges que l'on a
envie de faire gober par la juge complaisante.
Au calomnié et
volé, il ne reste que
les quelques rares
témoins non encore décédés,
pas
terrorisés, pas acquis à l'ennemie mortelle.
Remarquez, l'avocate la connaît bien, sa juge, et envoie
à
la poubelle les
trois quarts de ces témoignages trop timorés,
trop
"balancés"...
Alors voici quelques photos :
Alors mon brave ? On sarcle ?
Et en plus, voilà qu'on perce pour
réparer un pied de
radiateur ! Quelle
insolence envers Nous-les-faux-témoins-au
service-de-la-Grande-Sororité !
Et
puis voilà
qu'on coud,
maintenant ?
Ici
je couds un abri
moustiquaire pour le petit-fils de m'Amie, Ryu : il y a des abeilles et
des
guèpes sur ce jardin ouvrier, attirées notamment
par les
prunes tombées, et sa
mère aime bien le laisser dormir pendant qu'elle jardine.
Faut-il rappeler le nombre de fois où dans mes
récits de
montagne, je décris
les travaux de couture faits à divers matériels ?
Un
auvent de tente canadienne
prêté fin juillet 1970 à Elisabeth et
à
Gazonbleu, modifications à l'abri
Zdarski, au sac de bivouac pour en faire un biplace, remontage de deux
duvets
pour en faire un biplace de couple, et ouvrant,
élargissement de la cape à
bosse grise vieux Campeur, deux nouveaux abris de bivouac Vieux Campeur
transformé en biplace, etc, etc. Hé oui, dans ce
ménage, c'était non seulement
moi qui faisais tous les courriers et toutes les
comptabilités,
mais aussi moi
qui cousais : homme dactylo, homme couturier, homme maçon,
homme
bûcheron,
homme peintre, homme menuisier, homme électricien et
électronicien, homme
mécanicien, homme polyester, et plus grave encore
: homme
témoin, donc un
homme à abattre...
Une
seule photo est
jointe à ces
mémoires pour le moment : les transformations faites
à la
tente suédoise de
1970, pour le mini-tour d'Oisans fait avec Gazonbleu, en août
1977, qui en font
une semi-isothermique, en ajoutant des murailles et des pignons-absides
au
double-toit (d'origine trop ouvert, ne protégeant pas sac ni
chaussures par
vrai mauvais temps) :
La photo est prise ici, à Vaulx en Velin.
Alie
Boron a
écrit :
"Jacques
entra dans
une colère
sans nom à son égard, je pense qu'il l'aurait
frappée si ma chienne-boxer
n'avait pas montré les crocs en grognant, il savait qu'elle
était de défense et
avait déjà mordu . ... car ma fille et son chien
l'avaient mis hors de lui. A
dater de ce jour, quand par hasard il vint chez moi, je le
reçu
sur le pas de
la port quand mon mari était absent, craignant pour la
sécurité de mes enfants
et la mienne... et la sienne, car ma chienne aurait bien voulu
goûter à un de
ses mollets"
Gazonbleu
détient
toutes les
factures, donc aussi les correspondances avec la MAIF, qui remboursa
à une
infirmière libérale huit jours d'arrêt
de travail.
Oui, notre chien l'avait
mordu après qu'elle m'ait bousculé, femme bourrue
et
pressée... Nabis était un
beauceron de la S.P.A. Un chien difficile et dangereux, autrement plus
grand et
plus redoutable que la très modeste chienne d'Alie Boron...
Georges Prault
est un homme
trop terrifié pour témoigner de ce qu'il a vu :
quand il
a fait le voyage en
juin 1983 avec Gazonbleu de Saint-Quentin à
Saint-Méen,
pour meubler quelque
peu l'appartement HLM que j'avais pu prendre près de l'usine
Stargil, Gazonbleu
a essayé à plusieurs reprises de perdre Nabis en
forêt... Tout ancien combattant de la guerre d'Indochine qu'il
fut, Georges Prault en était tout de
même choqué.
Ma mère a élevé des
lévriers sloughis.
Quand du 5e étage, ils entendaient le
tic-tic de roue libre, et la béquille de ma mobylette dans
la
cour, ils
bondissaient de joie et leurs queues faisaient des moulinets. Photos ?
Non, je
ne suis pas dessus.
Témoignages alors ? Ah non alors ! Jacques
est un mec,
même si c'est mon fils (resp. mon frère), alors
pas
question de démontrer
qu'Alie Boron ment sur ce point comme sur tous les autres :
solidarité féminine
avant tout !. Que me reste-t-il alors ? Des photos peut-être
? En
voici quatre,
prises chez un de mes élèves, avec Cheyenne et
Oscar :
Ça,
c'est le
portail. Pas de
sonnette : les chiens font l'affaire.
Maintenant
voici Oscar
se
faisant flatter :
On
ne le voit pas sur la
photo,
mais ce sac vert et rouge est largement réparé
par moi :
boucles cassées et
réparées, bretelles
réparées. Il avait
été acheté 30 F en 1995,
soldé
gâté par
l'inondation. Bin oui, quoi, l'homme
entretenu par nous-les-femmes...
Cette
fois Cheyenne et
Oscar
sont tous deux sous un de mes bras.
Et
maintenant on voit le
museau
de Cheyenne, bergère allemande.
Le
30 mai,
simultanément sur
paternet.net et sur ForumQuébec, Alie Boron a voulu
renforcer
ses mensonges
préférés, en ces termes :
"°
l’autre où il a
agressé verbalement ma fille,
chez moi, sur un ton très menaçant. Ce
jour-là ma
chienne,comprenant que sa
maîtresse était en danger, s’est
placée entre
- eux ,poil hirsute, babines
retroussées en position d’attaque,
n’attendant que
l’ ordre d’attaquer (
c’était un boxer dressé à la
défense
par le maître-chien de la gendarmerie qui
faisait son travail).Je pense, que sans la chienne il aurait
frappé ma fille,
ce fut aussi l’impression de mon gamin qui avait alors huit
ans
et qui s’en
souvient encore tant il a eu peur pour sa soeur. Bien sûr, je
ne
l’ai plus
jamais autorisé à rentrer en l’absence
de mon mari
. Il est outré que j’ai pu
insinuer qu’il eût eu peur du chien. Un homme comme
lui
n’a pas peur des chiens
! ".
Bien
sûr, si
l'injuge aux
affaires antifamiliales était une personne qui ait les
moyens et
l'envie de
faire correctement son travail, alors les délires d'Alie
Boron
auraient été
envoyées direct à la poubelle par l'avocate de
Gazonbleu... Bien sûr, mais la
réalité au T.G.I. est exactement à
l'opposé
de ce qu'elle devrait être...
Le
30 mai 2004, Alie
Boron a eu
l'excellente idée de sortir publiquement du bois.
Vous
trouverez ses
interventions
sur paternet aux adresses suivantes :
1000
~ 1000 ~ 1000 ~ 1000 ~ 1000 ~ 1000.
Quatre
ans
après.
Là,
elle n'a pas
eu de chance,
elle s'est ébrouée devant d'autres victimes du
même
genre d'attestations
mensongères, exploitées par la même
criminalité organisée en toge noire. Ils
savent donc largement à quoi s'en tenir...
En
revanche, Alie Boron
a cru
tenir un moment de triomphe sur ForumQuébec, ce
même 30
mai 2004 : son appel à
la haine rencontrait d'autres haineux. Le lecteur constatera toutefois
qu'au
final, aussi bien les haineux québécois qu'Alie
Boron
furent mouchés par des
intervenants de plus haut niveau. ForumQuébec a disparu
depuis
et personne ne
le regrettera. Mais j'ai sauvegardé ces pages à
temps, et
vous les lirez
ci-après :
Trompettes
de la calomnie, page 1,
Trompettes
de la calomnie, page
2,
Trompettes
de la calomnie, page
3.
Qu'ai-je
modifié
pour que vous
puissiez les consulter ?
Les
adresses de
navigation, pour
que vous puissiez naviguer entre les pages 1, 2 et 3 de la discussion
sur mon
site, et non sur un FQ qui n'existe plus.
Sur
les pages 1 et 2,
j'ai aussi
supprimé les bandeaux publicitaires venant de Google, les
blagues de la marge
de droite, et la marge de droite. Tout cela gênait pour
afficher
clairement les
diagrammes et photos. La lisibilité en est largement
améliorée.
Et si vous vous demandez
pourquoi et
comment
ForumQuébec a disparu, consultez là l'oraison
funèbre qu'en fit Kortinus, "Quand on tire
sur les pianistes, la musique s'éteint".
En septembre
2004,
l'administrateur a banni les dix posteurs les plus créatifs
et
les plus
cultivés : ils faisaient de l'ombrage à son
narcissisme
et à son instabilité
caractérielle. Frédéric Dube-Fournier proclamait
encore très fort
que son
Reich restait établi
pour encore trente ans, même s'il était
déserté. En mars 2005, c'était fini.
Sur les dix bannis, quatre restent établis,
créatifs et
coopératifs. Nous
fûmes d'octobre 2004 à février
2007 sur le forum
Synpoïesis,
et un blog
collectif
plutôt primitif,
qu'en réalité je fus le seul à
nourrir. Ces sites
d'octobre 2004 sont
présentement abandonnés. Nous sommes actuellement
là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/
pour le principal forum, consacré à la Pratique
des vertus citoyennes,
http://deonto-famille.info
pour
traiter de Déontologie
pour la
famille.
La page introductive est à http://deonto-famille.org/
:
Bienvenue sur ce site
collaboratif
consacré à
l'éthique et la déontologie.
Le plus ancien des nouveaux sites est à http://caton-censeur.org
: Il n'y a pas de
république sans
républicains, sans
esprit républicain.
Un Musée des impostures
soi-disantes
scientifiques, a été ouvert
à http://deonto-ethics.org/impostures/.
La rédaction à plusieurs mains d'un livre
d'initiation
à la quantique a été
ouverte à http://quantic.deonto-ethics.org/
: La microphysique
est-elle
ondulatoire,
quantique, ou poltergeist?
Voir
Annie Beaurain à partir du 14 mars 2008 sur Primo Vivere,
site québécois consacré à la lutte contre
les sectes, en particulier les Témoins de Jéhovah.
Jonathan leur doit la mort de son frère.
On y lit une nouvelle preuve que Geneviève, la
commanditaire en chef dans cette affaire criminelle, ment
systématiquement à Annie Beaurain, à l'affirmation
"
...
dans sa lettre du 5 février 1993
(Frédégonde a alors 18 ans, mais la mort de la
tante remonte a environ six ans) ..." Or la date du
décès de ma tante Berthe de Corlieu figure sur des actes
notariés...
Voilà une nouvelle preuve écrite que
Geneviève, profitant à fond de la bêtise de sa
chienne d'attaque, lui fourgue n'importe quel délire.
Bien entendu,
à la réouverture de son
dossier pénal et de celui de ses deux
commanditaires, "Alie Boron"
prétendra n'être impliquée en rien dans
le pilotage de "Jeanpapol"
(alias Jean-Paul Douhait, alias Cascus, alias Isaac, alias
pierre
szmydt, alias Violette Dubois, alias jacques dupont dit Jacky, alias
cassidile dit cascus, alias "vous dites le savoir" dit jeanpapol, alias
jderrida, alias Ixe, alias Jean-Paul, alias Incognito, alias corbeau,
alias vendredi,). Voici donc deux preuves de plus du
caractère fort
concerté de leur complot de harcèlement :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Beaurain_Douhait.html
Maintenant que nous tenons
les aveux d'Anne de Corlieu-Lavau,
du 12 et du 16 octobre 2006, se vantant d'avoir
protégé la criminalité
féminine,
il est intéressant de rappeler une autre vantardise d'Annie
Le Sénécal
épouse Beaurain, du 16 avril 1999, où elle se
vantait d'avoir propagé
la rumeur selon laquelle ce serait moi le père inconnu de
mon
petit-fils, ce qui me ferait un zizi long de 700 km, capable d'aller de
Montélimar à Saint-Quentin, en juin 1996,
d'engrosser à Saint-Quentin
tout en étant en service à Montélimar :
Pièces complètes en résolution
réduite pour tenir à l'écran,
à :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Beaurain_tapuscrit_R.png
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Beaurain_tapuscrit2R.png
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/beaurain_19-4-1999_R.png
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Beaurain_manuscrit_R.png
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Beaurain_manuscrit2R.png
La version originale en résolution 1200 dpi, pour impression
fine,
est disponible aussi sur un autre serveur.
A la
rentrée 1991, furieuse de constater
que je ne m'étais toujours pas suicidé durant
leur vacances au Brusc
chez ma mère, ce qui contrariait tous ses plans, que ma
solitude était
visiblement resplendissante de santé, mon épouse
déclara devant les
trois enfants réunis, que leur père avait
probablement le SIDA.
Lisons Annie Beaurain se réjouir que cette affirmation (le
SIDA) put être vraie :
Ceci en page 2, 2e paragraphe du même courrier du 16 avril
1999, adresse
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Beaurain_tapuscrit2R.png.
Il y a une complète continuité entre cette joie
de nuire en 1999, et la même en 1998 (
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/tembaurain.png
et
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/tembaurain2.png),
et la même en 2008, en équipe avec son compagnon
de plume et de
harcèlement Jean-Paul Douhait (aux nombreux alias), quand
tous deux,
sous la dictée de mon ex-épouse, se sont
réjouis de ma fin prochaine,
et des tourments en chimiothérapie :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=168&catid=45
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=158&catid=47
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=138&catid=47
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=166&catid=49
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=150&catid=49
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=150&catid=49&limit=6&limitstart=6
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=165&catid=50
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=164&catid=50
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=15&catid=25
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&Itemid=27&func=view&id=167&catid=49
Citation :
Celle-ci est de Jean-Paul Douhait, sous le masque de "
violette"
:
Citation
de: Jean-Paul Douhait
Violette
(Utilisateur)
Lavau
: malfaisant de 1° catégorie
30-07-2008 à 10:04
Notre
ennemi Jacques Lavau prétend avoir 37 inscrits sur son forum
désert:
rien de moins étonnant! En fait, dès que vous le
contredites, il vous
vire. Comme nous sommes tous et toutes ici d'anciennes victimes (ou
d'actuelles victimes) de cet individu et que nous sommes
déterminés à
lui dire son fait avant qu'il ne passe l'arme à gauche (ce
qui devrait
être l'affaire de quelques semaines..) nous nous
réinscrivons
obstinément.. D'où les 37 (etc) inscrits...
Alors
ce pauv' Lavau ne
sait plus quoi inventer : accès privé au forum,
censure, calomnie,
prise à partie... Mais ça ne sert à
rien, Lavau : il y trop de monde
qui sait exactement qui tu es.. Tu ne trompes pas longtemps ton
entourage...
Allez,
bonne chimiothérapie...
IP: 86.209.96.76
Ce spammeur est en réalité Jean-Paul Douhait,
résidant à Gaillard, Haute Savoie.
Suite du même fil :
Et du même Jean-Paul Douhait, cette fois sous le masque de "jderrida"
jderrida
(Utilisateur)
ce
que révèle ce site sur son auteur...
26-11-2008 à 22:58
acques
Lavau, alias Lavaujac, alias, immodestement, Caton-censeur, est un
homme qui a passé sa vie à faire du mal et
à s'en prendre à des
personnes qui ne lui ont, en fait, jamais rien fait. On retire une
impression de pitié en lisant les propos tenus ici par
l'administrateur
Lavau, dans sa grande solitude, prêchant de beaux principes
(déontologie, respect, ton mesuré) mais
pratiquant l'inverse exact sous
les yeux même de ses lecteurs (partout ici Lavau se livre
à des
agressions verbales, à la pire des calomnies!!).
Quelle
grotesque tartufferie!
Lavau,
tu injuries même tes enfants alors que tu sais pertinemment
où est la
vérité. Tu cherches à salir des
personnes dont tu sais par ailleurs la
probité juste parce qu'elles ne pensent pas comme toi... Tu
as recours
aux procédés les plus ignobles : des
procédés d'extrême droite. Des
procédés de personnage sans scrupule. De
personnage violent et fou de
haine.
Ne
te demande pas pourquoi tout le monde te prend pour un fou, ni
pourquoi tes trois enfants t'ont tourné le dos.
Tu
n'es pas une victime, Lavau : tu es un agresseur.
Et
cracher comme tu le fais publiquement au visage de tant de gens produit
l'effet inverse de celui que tu escomptes : à te lire, on se
dit que
tous les gens que tu nommes doivent être sacrément
intéressants et
sympathiques.. Méfie-toi de l'effet produit par ton
acharnement : tu
serais surpris, si tu pouvais connaître les
réactions des rares
personnes qui lisent tes pages. Elles en arrivent toutes à
la
conclusion que tu as probablement mérité ton
isolement et que celles et
ceux que tu vilipendes avec autant de hargne sont sans nul doute tes
victimes avant d'être victimes de la pire calomnie de ta
part. Tu
pensais les salir? Tu les encenses...
Alors,
mon vieux, change de
stratégie, entre
deux chimios
et essaie de t'amender avant de passer l'arme à
gauche : il y a
peut-être moyen que tu rattrapes un peu le mal que tu as
fait....
IP: 90.29.231.8
On
aura facilement reconnu le style psychotique de Jean-Paul Douhait,
résidant à Gaillard, Haute Savoie. Il s'est assez
vanté d'être du
complot, dirigé de près, grâce
à sa bêtise, par le couple de tueuses
conjurées.
Et à http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_fireboard&func=view&Itemid=27&catid=25&id=161#161
quand Annie Beaurain prend le masque de "gretel", on
lit :
gretel
(Utilisateur)
Re:Méthode
pour
découper en vue du
Musée des horre 25-07-2008 à
10:08
Il
faudrait, pour que ces conseils soient un succès, que
l'administrateur
commence lui-même par pratiquer ce qu'il préconise
et qu'il cesse
d'injurier tout le monde en s'imaginant qu'il existe un complot ourdi
contre lui par les mystérieux membres d'un grouspuscule
spécial
anti-Lavau... Mais à force de se comporter comme il le fait,
le
groupuscule anti-Lavau a fini par se constituer.. Il a donc
pratiqué ce
qu'on peut appeler une "prophétie
auto-réalisatrice" : à force
d'importuner les autres (y compris ses propres enfants) et de leur
nuire, voilà qu'il fait l'unanimité contre lui.
Au
fait, est-il à l'hôpital?!!
IP: 90.27.84.194
Cette spammeuse est en réalité Annie Le
Sénécal, épouse Beaurain,
résidant à Saint-Quentin, Aisne.
La suite du chapitre, consacrée aux exploits
de
Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/D..H..T_J..n-P..l/vendredi, a
été bien longue à venir. La
voilà enfin.
Centralisation provisoire
des
pièces dont
l'auteur est Ixe/corbeau/Charlot/Incognito/Jeanpapol/DOUHAIT
Jean-Paul/vendredi, mises en ligne sur le
forum
http://deonto-famille.info/index.php?board=21.0
Voici ses débuts, du 11 février 2005 au
18
février, comment il se voyait en
gourou, et comment ce vaniteux explose en insultes et en
imprécations, à la
première difficulté rencontrée par son
bluff :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/guerre_privee_vaniteux_Jeanpapol.html
On remarquera à la fin sa lettre d'insultes
adressée
samedi 19 février 2005 à
Pierre B., qui l'a aussitôt publiée.
Le début de la suite, avril 2005 :
Voici
pourquoi j'ai rédigé notre charte des
débats, le
code de la police locale sur
Synpoïésis : prendre le contre-pied de leur
incompétence et de leur corruption.
Le reste viendra bientôt.
Autres extraits :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Jeanpapol.html
Voici Jean-Paul Douhait sous le pseudo de "Incognito", sur Paternet :
Tout
Incognito du 16 avril au 25 novembre 2005, et il en manque
après cette
date, le 18 décembre par exemple. Ah oui, mais quand on a la
liste des
glapissements de haine de Jean-Paul Douhait
déguisé en
incognito, on n'a pas le
contexte, alors ptêt ben que le contexte lui donne
des
raisons ? Pas
de problème, voici le contexte : En
perspective parmi les autres aliénations parentales...
Vous
le voyez glapir
sa haine en dehors de toute rime ni raison. Et tout le reste est
à l'avenant.
Un imposteur dépité d'avoir perdu le soutien de
l'aura de
son Janov...
Autre extrait : Une accusation
mensongère de
pédophilie,
où l'ineffable Jean-Paul Douhait, sous le pseudonyme de
"Incognito" est
intervenu à sa façon habituelle.
L'accusé, ML, a
été intégralement
innocenté. Cela au grand regret de l'ineffable, comme vous
pourrez le
lire en détail à http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/francois_sutra1490.htm.
Et voici la suite que vous attendiez tous : les inventions
délirantes à coups de "sur le forum
campingcar-bricoloisir", etc...
Sur son forum campingcar-bricoloisir, ce
que j'y ai trouvé le 28 mars 2006 : http://caton-censeur.org/resources/sabrinazeroual/Rouler_a_l_huile_vegetale.html
Il s'agissait d'une femme écolo, militante naïve
pour
l'huile végétale
pour moteurs Diesel. Après être entré
dans une rage
folle contre elle
pour une question d'orthographe, Jean-Paul Douhait s'est mis
à
prétendre que je serais cette femme, puis que je serais tel
hackeur
introducteur de porno. Admirez-les sur pièces.
Admirez Jean-Paul Douhait, cette
fois sous le pseudo de Ixe, exaspérer la confusion mentale
de Sabrina. Toujours sur pièces : http://caton-censeur.org/resources/sabrinazeroual/Chez_sabrina_guerre_a_l_instruction.html.
C'est à cela que sert le musée des
horreurs et de la
corruption. C'est comme
cela qu'il faut les encercler, les faux témoins et les
auxiliaires d'injustice
qui sucent le sang du petit peuple. Les encercler avec leur propres
pièces.
Voir d'autres échantillons du travail d'équipe
Beaurain-Douhait :
Novembre 2005 sur SOS Papa : http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Beaurain_Douhait.html
Septembre-novembre 2006 :
ces deux
pervers
histrioniques princeps offrirent encore un festival de
récidives sur http://www.quebec-politique.com.
Voici les 58 messsages de Jean-Paul
Douhait sous le pseudo de "vendredi" sur Québec-Politique :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque20novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque27novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque30novembre_2006.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/vendredi_jusque5fevrier2009.htm
Et voici les 70 messages d'Annie
épouse Beaurain, sous le pseudo de "ambre" sur le même
forum de Québec-Politique :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque8janv2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque27janv2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque14octob2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque4decemb2007.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/ambre70messgs_jusque14fevr2008.htm
Mais du coup, vous ne les voyez pas
ensemble, vous ne voyez pas leur travail d'équipe. Alors
admirez-les attaquer de façon coordonnée :
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_1.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_2.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/Plaidoyer_gynarque_(en_gynarque_dans_le_texte)_3.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_1.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_2.htm
http://caton-censeur.org/resources/Jeanpapol/La_joie_de_nuire_sans_aucun_risque_3.htm
Vous pouvez trouver ces trois dernières
pages à l'adresse d'origine :
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188&st=0&sk=t&sd=a&start=15
et
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=30&t=7188&st=0&sk=t&sd=a&start=30
car celles-là sont en accès libre. La plupart des autres requièrent une
inscription au forum.
En accès libre, vous trouverez
aussi une explosion de haine de "ambre" = Annie Le
Sénécal épouse Beaurain à
http://www.quebec-politique.com/index/viewtopic.php?f=22&t=8070
Tous ces liens sont à refaire : entre
temps Samuel Giguere a cassé ses joujoux et coulé son forum racheré
fort cher à Paul-André-Laura.
Autres exploitations du faux témoignage d'Annie Beaurain par un
autre mythomane, Jean-Claude Pinoteau, années 2010-2012.
Ce sous-chapitre serait très vite
envahissant comme l'est Pinoteau lui-même.
Un extrait du 13 octobre 2012 :
Le
13/10/2012 13:09, jc_lavau a écrit :
...
Ttt ttt ! Tu oublies que ses ressources en dernier ressort sont
l'insulte, la calomnie, la menace, et les voies de fait.
...
Tututute...
Jacques Lavau est un malade mental (certifié par l'éducation nationale)
et un dégénéré (incapable de gagner sa vie, il contraignait sa famille
à manger un mélange de riz et de lentilles). Il n'y a aucune calomnie
là dedans, ce sont des faits établis par plusieurs témoignages.
--
Jean Claude Pinoteau
Hé ben on va en parler, de ces céréales et lentilles. Regarder un
instant les rayons des céréales préparées dans les
supermarchés, plutôt villes riches que villes pauvres :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Cereales
Pourquoi plutôt en villes riches ? Parce que c'est deux fois plus
cher
que la même quantité en une seule céréale : 2,50€ à 2,80 € en 500 g.
Contre 1,27 € les mêmes 500 g en blé précuit.
Voilà voilà, la torture infâme ! Faire des innovations culinaires qui
sont ensuite copiées pour vendre deux fois plus cher !
Quant au coup de "forcer les enfants", c'est la calomnie standard
des
mythomanes comme l'auteure Annie Beaurain (faux-témoin à gages) ou
Jean-Claude Pinoteau, et des paranoïaques comme ma très charmante
ex-épouse : on accuse l'autre de ses propres travers et turpitudes.
Dans l'immense majorité des familles, ce sont les femmes qui sont
autoritaires voire tyranniques sur l'alimentation. A seize heure
trente, la maîtresse de maternelle rend Cécile avec le commentaire
surpris : "Elle n'a pas ouvert la bouche de l'après-midi". Et pour
cause, elle avait gardé tout l'après-midi dans la bouche le morceau de
salade que Geneviève l'avait forcée à mettre dans la bouche, imaginant
que Cécile avalerait. Elles enchaînent sur d'autres courses, et Cécile
garde sa bouche fermée sur sa salade... Geneviève est prête à craquer
et l'autoriser à cracher la salade, quand les mâchoires de Cécile se
mettent lentement en mouvement...
Hin hin ! Des mythomanes comme Annie Beaurain accusent le père d'être
le tyrannique dans la parenté. Bin wi ! "Je connais la juge et je
réponds d'elle. C'est une femme à nous, et on peut y aller plein pots, avec elle plus c'est gros, mieux ça passe !".
Elles sont comme ça, les avocates d'obédience gynarque (on dit aussi
familièrement : féminazies).
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/trompettes_de_la_calomnie.html
Les faux témoins se contredisent entre elles :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/faux_temoins.html
Nul n'a assez de mémoire pour vivre constamment dans le mensonge sans
se couper, et
Pinoteau non plus.
Pinoteau s'est vanté qu'il a des tueurs à gages dans sa poche :
Message-ID: <k4jqjn$imo$1@shakotay.alphanet.ch>
4 octobre 2012, 13 h 06 :
Toi, je
vais t'envoyer Kinna
Bineta pour te chauffer les oreilles ! :-)
--
Jean Claude Pinoteau
Le saint homme ! Le 26 août 2012, 20 h 35, il s'est aussi vanté de
savoir acheter le juge :
Tutute... Je connais Roland.
C'est un psychorigide. Il
ne lui viendrait pas à l'idée de donner un petit billet au juge...
--
Jean Claude Pinoteau
[1]
pour les
profanes:
plan de Philippe Harlé vers 1964 (ou 1963?), construit en
contreplaqué, 6,40 m,
équipage normal de trois à quatre personnes, en
course
côtière. Probablement le
premier plan de sa carrière d’architecte
indépendant.
1965.
Paru
en édition
abrégée sous le
titre : « L’effort pour rendre
l’autre
fou ». Gallimard 1977.